Helene Sourou, Author at Journal du Niger - Page 27 sur 212

Ouagadougou accueille un sommet clé pour l’unité ouest-africaine

À Ouagadougou, le président sierra-léonais Julius Maada Bio et le capitaine Ibrahim Traoré ont engagé un dialogue stratégique sur l’avenir de la CEDEAO. Dans un contexte régional tendu, cette rencontre incarne une volonté commune de bâtir une Afrique de l’Ouest plus unie, résiliente et tournée vers la paix.

Ouagadougou, 16 septembre 2025 – Ce mardi, la capitale burkinabè s’est transformée en un haut lieu de la diplomatie régionale. En fait, le Président sierra-léonais Julius Maada Bio, actuel président en exercice de la CEDEAO, a foulé le tarmac de l’aéroport de Ouagadougou pour une visite officielle de travail. Accueilli chaleureusement par le capitaine Ibrahim Traoré, président de la Transition du Burkina Faso, cette rencontre marque un moment clé pour l’avenir de l’Afrique de l’Ouest, à l’heure où la région aspire à plus de paix, d’unité et de prospérité.

Julius Maada Bio, président en exercice de la CEDEAO, a rencontré Ibrahim Traoré à Ouagadougou. Objectif : renforcer la coopération régionale et poser les bases d’une Afrique de l’Ouest plus stable et intégrée.

Une rencontre sous le signe de la coopération renforcée

Dès son arrivée, le président Maada Bio a entamé des discussions approfondies avec son hôte, le capitaine Traoré. Ces échanges, qui se sont tenus dans une ambiance cordiale, ont porté sur des enjeux cruciaux pour la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) : consolidation de la paix, renforcement de l’intégration régionale et promotion d’une prospérité partagée pour les citoyens ouest-africains. Dans un contexte marqué par des défis sécuritaires et politiques, cette visite témoigne en effet de la volonté des deux dirigeants de maintenir un dialogue constructif.

« Notre bloc régional a toujours défendu la paix, l’unité et la prospérité partagée pour tous nos citoyens », a déclaré Julius Maada Bio à l’issue des discussions. « J’ai eu un engagement très productif avec son Excellence Ibrahim Traoré. Nous sommes résolus à maintenir un dialogue permanent pour renforcer notre région. »

La CEDEAO face à un tournant stratégique

Cette visite intervient à un moment charnière pour la CEDEAO, qui cherche à consolider son rôle de moteur de l’intégration africaine. Le Burkina Faso, en pleine transition politique sous la houlette du capitaine Traoré, joue un rôle stratégique dans cette dynamique. Les discussions entre les deux leaders ont probablement abordé des questions sensibles, comme la sécurité régionale face aux menaces terroristes, la coopération économique et la nécessité de solutions concertées pour relever les défis climatiques et sociaux.

Pour le Burkina Faso, cette rencontre est aussi une opportunité de réaffirmer son engagement au sein de la CEDEAO, malgré les turbulences politiques récentes. Le capitaine Traoré, en accueillant le président en exercice, envoie un message clair : Ouagadougou reste un acteur clé dans le dialogue régional.

En somme, la visite officielle du président de la CEDEAO à Ouagadougou laisse entrevoir des perspectives prometteuses. En plaçant le dialogue et la coopération au cœur de leurs échanges, les présidents Maada Bio et Traoré posent les jalons d’une Afrique de l’Ouest plus unie et résiliente. D’ailleurs, les citoyens de la région, qui aspirent à la stabilité et à la prospérité, suivront avec attention les fruits de cette rencontre.

Cette poignée de main symbolique est-elle le prélude à un apaisement durable et à une plus grande stabilité dans une région en quête d’unité ? Seul l’avenir nous le dira.

Gaya frappe fort contre le trafic de drogue

À Gaya, deux opérations menées par l’OCRTIS ont permis la saisie de plus de 15 kg de cannabis et 30 000 comprimés de drogues pharmaceutiques. Cette victoire, fruit d’une collaboration exemplaire entre la police et la communauté locale, envoie un message clair : le Niger ne reculera pas face aux trafiquants.

Gaya, 16 septembre 2025 – Dans la lutte sans relâche contre le fléau de la drogue, la ville de Gaya, dans la région de Dosso, a frappé un grand coup. En effet, l’antenne départementale de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) a saisi une impressionnante quantité de stupéfiants lors de deux opérations menées les 11 août et 10 septembre. C’est une victoire collective qui illustre la force de la coopération entre la police et la communauté locale.

 Gaya célèbre une double saisie de stupéfiants menée par l’OCRTIS. Grâce à la vigilance citoyenne et à l’engagement des forces de l’ordre, la lutte contre le trafic de drogue prend un tournant décisif dans la région de Dosso.

Gaya frappe un grand coup contre les trafiquants de drogue

Les opérations, menées en collaboration avec le comité de vigilance du chef de canton de Gaya, ont permis de mettre la main sur un butin alarmant : 18 briques de cannabis totalisant 15,3 kg, 20 000 comprimés de Diazépam D5, et 10 640 comprimés de Tramadol. Ces drogues, qui menacent la santé et la sécurité des populations, ont été confisquées avec rigueur, et une personne impliquée dans ce trafic a été interpellée.

Par ailleurs, le 15 septembre, au sein de leurs locaux, la Direction Départementale de la Police Nationale de Gaya a exposé la drogue confisquée et le suspect appréhendé devant les autorités administratives, judiciaires et coutumières. Cette cérémonie a aussi mis en lumière l’engagement sans faille des forces de l’ordre et de la communauté dans la lutte contre le trafic de stupéfiants.

L’efficacité d’une synergie saluée par tous

Le Directeur Départemental de la Police Nationale (DDPN) de Gaya, le Commissaire Principal Issaka Djibo, a tenu à souligner l’importance de la collaboration entre la police et les citoyens.

« Ces saisies sont le fruit d’une synergie d’action entre la Police Nationale et la population de Gaya », a-t-il déclaré, adressant ainsi ses félicitations aux agents de l’OCRTIS pour leur professionnalisme.

De son côté, le Procureur Délégué près le Tribunal d’Instance de Gaya, M. Chaibou Ibrahim, s’est dit « satisfait » des résultats obtenus, saluant l’efficacité de l’antenne régionale de l’OCRTIS. De même, le Chef de Canton de Gaya, l’honorable Roumane Elhadje Moussa Gani, a exprimé sa gratitude envers la police pour ses efforts dans la protection des personnes et des biens. Le Préfet du département, le Commandant Moussa Souley, a également félicité l’OCRTIS pour son travail acharné.

Un message clair aux trafiquants : le Niger ne reculera pas

En marge de cette présentation, le Chef de Canton a décerné des témoignages officiels de satisfaction au Directeur Départemental de la Police Nationale et au Procureur Délégué, exprimant ainsi la reconnaissance des autorités traditionnelles pour leur engagement.. Ces distinctions soulignent l’importance d’une mobilisation collective dans la lutte contre un fléau qui touche particulièrement la jeunesse et fragilise les communautés.

Cette double saisie à Gaya envoie un signal fort aux trafiquants : le Niger est déterminé à éradiquer le commerce illicite de stupéfiants. Grâce à la vigilance des citoyens et à l’action résolue des forces de l’ordre, la région de Dosso montre l’exemple dans cette bataille cruciale pour l’avenir du pays. Alors que les autorités locales poursuivent leurs efforts, les Nigériens peuvent se féliciter de cette victoire collective, un pas de plus vers une société plus sûre et plus saine.

Reste à voir si ce type de collaboration fructueuse entre les forces de l’ordre et la population pourra s’étendre à l’ensemble du territoire, pour une lutte plus efficace et durable contre le trafic de drogue.

Le Niger et le Koweït scellent une alliance pour le développement

À Niamey, le ministre Mohamed Toumba et la Fondation Islamique Internationale de Bienfaisance ont posé les jalons d’un partenariat ambitieux. Objectif : transformer le quotidien des Nigériens grâce à des projets concrets dans l’éducation, la santé, l’eau et l’autonomisation économique. Une coopération stratégique entre le Niger et le Koweït qui s’inscrit dans la dynamique de refondation nationale.

Niamey, 16 septembre 2025 – Alors que le Niger s’engage dans une ambitieuse refondation nationale, une rencontre clé s’est tenue hier à Niamey entre le ministre d’État, ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, le général de division Mohamed Toumba, et M. Ibrahim Khalid Nimma Ibrahim Daoud Albader, vice-directeur de la Fondation Islamique Internationale de Bienfaisance (FIIB), basée au Koweït. Cette visite marque un tournant dans la coopération bilatérale, avec des projets concrets pour transformer la vie des Nigériens.

Le Niger et le Koweït : une alliance stratégique pour le développement communautaire

La délégation koweïtienne, conduite par M. Albader, également chargé des projets de la FIIB, a échangé avec le ministre sur des initiatives ambitieuses visant à soutenir les populations nigériennes, particulièrement dans les zones rurales. Au cœur des discussions : une série de projets structurants destinés à répondre aux besoins fondamentaux et à promouvoir le développement durable. Parmi les priorités identifiées :

    • La construction de centres de métiers pour favoriser l’apprentissage et l’emploi des jeunes.
    • Le fonçage de forages multi-villages pour garantir l’accès à l’eau potable.
    • La construction et l’équipement d’écoles primaires et secondaires, pour renforcer l’éducation.
    • La mise en place de Centres de Santé Intégrés (CSI) dans les zones rurales, pour améliorer l’accès aux soins.
    • La création de jardins communautaires, pour promouvoir la sécurité alimentaire.
    • La formation et l’insertion des femmes veuves et des jeunes dans des chaînes de valeur productives, favorisant leur autonomisation économique.

Un partenariat en phase avec la refondation nationale

Cette visite intervient dans un contexte où le Niger, sous l’impulsion de ses nouvelles autorités, s’engage dans une dynamique de refondation pour mieux servir son peuple. La FIIB, en tant que partenaire stratégique, cherche à s’aligner sur cette vision en adaptant ses interventions aux priorités du gouvernement.

« Nous sommes ici pour recueillir les nouvelles orientations des autorités et accompagner le Niger dans sa quête d’un développement centré sur les besoins des citoyens », a déclaré M. Albader.

Le général Mohamed Toumba a, pour sa part, salué l’engagement de la FIIB et réaffirmé la volonté du ministère de l’Intérieur, en tant que tutelle des ONG, de faciliter la mise en œuvre de ces projets. Cette collaboration illustre une synergie entre les aspirations du Niger et le soutien de partenaires internationaux, dans un esprit de solidarité et d’efficacité.

Le Niger et le Koweït ont lancé une coopération bilatérale axée sur le développement communautaire. Centres de métiers, écoles, forages

Le Niger et le Koweït : l’espoir d’un avenir prometteur

Ces initiatives, qui touchent des secteurs clés comme l’éducation, la santé, l’accès à l’eau et l’autonomisation économique, promettent d’avoir un impact durable sur les communautés nigériennes, en particulier les plus vulnérables. En s’appuyant sur des projets concrets et inclusifs, le Niger et la FIIB tracent la voie d’un avenir où le développement est au service de tous.

En somme, cette rencontre marque une étape importante dans la construction d’un Niger plus fort, plus équitable et plus solidaire. Les Nigériens peuvent désormais espérer voir ces projets se concrétiser, transformant leur quotidien pour le meilleur.

Le défi qui se pose désormais est de déterminer si ces actions réussiront à surmonter les obstacles logistiques et sécuritaires pour toucher réellement les communautés les plus isolées du pays.

Le ministère de l’Intérieur trace la voie d’un État plus fort

À Niamey, le Général Mohamed Toumba a réuni les cadres du ministère de l’Intérieur pour une rencontre inédite axée sur la refondation administrative. Face aux défis sécuritaires et sociaux, cette réunion a marqué un tournant stratégique : faire de chaque agent public un acteur de souveraineté et d’efficacité, au service d’un État plus proche de ses citoyen

Niamey, 16 septembre 2025 – Une nouvelle page s’écrit au Niger. En effet, le 12 septembre dernier, le Général de Division Mohamed Toumba, Ministre d’État en charge de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, a donné le coup d’envoi d’une réunion inédite des cadres de son ministère. Sous le thème évocateur « Refondation de l’Administration Publique et Résilience au Cœur du Combat », cet événement marque un tournant dans la volonté du pays de renforcer sa souveraineté et de bâtir une administration plus efficace et responsable.

Le haut commandement à l’épreuve de la redevabilité

Pour la première fois, les hauts responsables du ministère – directeurs généraux, directeurs techniques nationaux, directeurs régionaux et responsables de projets stratégiques comme Wuri-Niger ou le Programme national de stabilisation et de gestion des repentis – se sont réunis pour dresser un bilan sans complaisance. L’objectif était clair : évaluer les forces, identifier les faiblesses et formuler des recommandations audacieuses pour répondre aux ambitions fixées par le Président de la République, le Général d’Armée Abdourahamane Tiani.

Cette rencontre intervient dans la foulée de la Conférence des cadres de commandement, qui avait déjà posé les jalons d’une gouvernance renouvelée avec des propositions fortes. À Niamey, la réunion des cadres du Ministère de l’Intérieur s’inscrit dans une dynamique similaire : restaurer le principe de recevabilité, c’est-à-dire la responsabilité de chaque acteur public dans l’accomplissement de sa mission.

Le  ministre de l’Intérieur du Niger, Mohamed Toumba, a lancé une réunion stratégique des cadres pour refonder l’administration publique. Objectif : renforcer la résilience, la redevabilité et l’efficacité de l’État face aux défis nationaux.

De la théorie à l’action : vers une administration plus efficace

Au programme, des échanges approfondis sur les résultats obtenus par les différentes directions et projets sous tutelle. En effet, des initiatives comme Wuri-Niger, qui vise à moderniser l’identification des citoyens, ou encore le Programme national de stabilisation, destiné à accompagner les repentis, ont été passées au crible. Par conséquent, les participants ont saisi cette occasion pour proposer des solutions concrètes, destinées à optimiser la mise en œuvre de la feuille de route confiée au ministre par le chef de l’État.

Dans un contexte où le Niger fait face à des défis sécuritaires et socio-économiques majeurs, cette réunion incarne un message fort : la refondation de l’administration publique est une priorité stratégique. En plaçant la résilience et la synergie d’action au cœur des débats, le ministère ambitionne de mobiliser chaque agent pour contribuer à la reconstruction d’un État plus fort, plus indépendant et plus proche des citoyens.

« Cette rencontre n’est pas un simple exercice administratif. C’est un appel à l’action pour chaque cadre, chaque agent, afin de bâtir un Niger souverain et résilient », a déclaré le Général Toumba lors de l’ouverture des travaux.

Le  ministre de l’Intérieur du Niger, Mohamed Toumba, a lancé une réunion stratégique des cadres pour refonder l’administration publique. Objectif : renforcer la résilience, la redevabilité et l’efficacité de l’État face aux défis nationaux.

Une impulsion pour l’avenir du pays

Les recommandations issues de cette réunion, attendues dans les prochains jours, devraient dessiner une feuille de route ambitieuse pour le ministère. Elles pourraient également inspirer d’autres secteurs de l’administration publique nigérienne dans leur quête de modernisation et d’efficacité.

En somme, le Niger est résolument engagé sur la voie de la refondation. Cette initiative pourrait bien devenir un modèle pour d’autres nations en quête de renouveau. Une chose est sûre : sous l’impulsion du Général Toumba et de ses équipes, le Ministère de l’Intérieur s’affirme comme un moteur du changement.

Cette dynamique de changement saura-t-elle se diffuser au-delà des murs du ministère de l’Intérieur pour transformer l’ensemble de l’appareil d’État ?

Ingall réhabilite ses écoles et rallume l’espoir éducatif à Agadez

À Ingall, commune rurale du nord nigérien, 16 salles de classe réhabilitées symbolisent bien plus qu’un chantier achevé : elles incarnent la volonté locale de garantir à chaque enfant un droit fondamental à l’éducation. Porté par Mamadou Bana et financé sur fonds propres, ce projet marque  en effet un tournant pour neuf villages, dans une région où l’école devient un levier de transformation sociale.

Agadez, 16 septembre 2025 – Dans le cœur battant de la commune rurale d’Ingall, au nord du Niger, un vent d’espoir souffle pour la jeunesse. En effet, le lundi 15 septembre, l’Administrateur Délégué (AD) de la commune, l’Officier de Police Nationale Mamadou Bana, a inauguré avec fierté la réception provisoire de 16 salles de classe réhabilitées, un projet ambitieux qui redonne vie à l’éducation dans plusieurs villages de la région. Une cérémonie vibrante d’émotion s’est tenue dans l’enceinte de l’école primaire Assaguid Chiba et de l’école traditionnelle d’Ingall, marquant un tournant pour l’accès à l’éducation dans cette zone rurale.

Une mobilisation collective pour l’avenir à Ingall

Sous un ciel chargé d’espoir, l’événement a réuni des figures clés de la communauté : le Secrétaire Général de la commune, le directeur départemental du génie rural, le représentant de l’inspection scolaire, l’entrepreneur en charge des travaux, le chef du village d’Ingall, le président du FCC et un représentant des leaders religieux. Ensemble, ils ont célébré un projet qui touche directement le quotidien des enfants de neuf villages de la commune.

Les travaux, entièrement financés par les fonds propres de la mairie, ont ainsi permis la réhabilitation de salles de classe dans plusieurs localités :

    • 2 classes à Aggaya.
    • 2 classes à Foudouk Nato.
    • 2 classes à Inkoussoutane.
    • 2 classes à Mararaba.
    • 2 classes à Martaba.
    • 1 classe à Mazababou.
    • 2 classes à Ingall ville (une à l’école Assaguid Chiba, une à l’école traditionnelle).
    • 1 classe à Tedbok.
    • 1 classe à Tagadamat.

Seule ombre au tableau : la classe du village d’Amantadan, dans l’Irazer, n’a pas encore été réhabilitée en raison des difficultés d’accès liées à la saison des pluies. Les travaux, promis pour bientôt, devraient également  compléter ce projet d’envergure.

L’éducation, une priorité locale et un investissement durable

Ce projet, porté par la commune rurale d’Ingall, illustre une volonté forte de prendre en main l’avenir éducatif des enfants, et ce, malgré un contexte de contraintes budgétaires et climatiques. En finançant ces rénovations sur ses propres ressources, la mairie envoie un message clair : l’éducation est une priorité absolue, et chaque enfant, quel que soit son village, mérite un cadre d’apprentissage digne.

« Investir dans nos écoles, c’est investir dans l’avenir du Niger », a déclaré Mamadou Bana lors de la cérémonie, suscitant les applaudissements des habitants présents. Ce projet ne se limite pas à la réhabilitation de bâtiments : il s’agit aussi de redonner espoir et opportunités à des centaines d’élèves, tout en renforçant le lien entre les communautés et leurs institutions.

La commune d’Ingall a inauguré 16 salles de classe réhabilitées dans neuf villages. Ce projet, financé par la mairie, illustre l’engagement local pour une éducation inclusive et durable dans le nord du Niger.

Un pas de plus vers l’espoir pour le Niger

À l’heure où le Niger fait face à des défis multiples, cette initiative à Ingall rappelle l’importance des actions locales pour transformer la société. Ces 16 salles de classe rénovées ne sont pas seulement des murs et des toits réparés ; elles sont également le symbole d’un engagement collectif pour offrir aux enfants un avenir meilleur. Alors que les pluies s’estompent et que les travaux à Amantadan se profilent, la commune d’Ingall prouve que, même dans l’adversité, l’éducation reste une lumière inextinguible.

Cette initiative locale servira-t-elle de modèle pour d’autres communes face aux défis éducatifs du pays ?

Le Niger sous les eaux : Un bilan alarmant pour la rentrée scolaire

Alors que les pluies ravagent quartiers et écoles, le Niger affronte une crise humanitaire sans précédent. À Niamey, les autorités redoublent d’efforts pour reloger les sinistrés et sauver la rentrée scolaire. Mais au-delà de l’urgence, une question cruciale s’impose : le pays est-il prêt à bâtir une politique climatique durable face à la fureur des éléments ?

 

Niamey, 15 septembre 2025 Alors que la saison des pluies bat son plein au Niger, les inondations continuent de semer le chaos, touchant des milliers de foyers et menaçant la rentrée scolaire. Selon le dernier bilan du Comité National de Prévention et de Gestion des Inondations (CNPGI), présenté vendredi dernier , 246 228 personnes réparties dans 32 251 ménages ont été affectées par ces catastrophes climatiques. Face à cette crise, les autorités nigériennes se mobilisent pour apporter une aide d’urgence et préparer un avenir plus résilient.

 

Une catastrophe humanitaire qui frappe les plus vulnérables au Niger 

 

Les chiffres sont alarmants : 47 personnes ont perdu la vie, selon le bilan actualisé fin août par la Direction Générale de la Protection Civile (DGPC). En outre, les inondations, qui ont frappé 1 009 quartiers et villages dans 122 communes, ont détruit des habitations, des cultures et des infrastructures essentielles. Les inondations ont gravement touché le secteur de l’éducation : elles ont endommagé 524 classes, 511 latrines et 157 blocs administratifs scolaires. De plus, les sinistrés occupent actuellement 238 écoles, soit 271 salles de classe.

Or, avec la rentrée scolaire prévue pour le 1ᵉʳ octobre, le temps presse. C’est la raison pour laquelle le Colonel-Major Salissou Mahaman Salissou, Ministre de l’Équipement et des Infrastructures et vice-président du CNPGI, a assuré que des mesures sont en cours pour libérer ces écoles et garantir une rentrée dans les meilleures conditions. « Une synergie d’actions est en place pour répondre à cette urgence », a-t-il déclaré lors d’un point de presse à l’issue de la 4ᵉ réunion du comité, tenue dans la salle de banquet du Cabinet du Premier Ministre.

 

Une réponse d’urgence pour les sinistrés

 

Face à l’ampleur des besoins, les autorités ont déjà distribué 1 896,2 tonnes de céréales à 18 962 ménages, soit 142 642 personnes, en trois vagues d’appui. De plus, une quatrième vague est en préparation pour toucher 9 976 ménages, soit environ 79 442 personnes. Le ministre a insisté sur l’importance de garantir que cette aide parvienne aux véritables bénéficiaires, soulignant des « instructions fermes » données à cet effet.

 

Au-delà de l’aide, un élan de solidarité et de prévention

 

Sous l’impulsion du Président de la République et du Premier Ministre, le Niger ne se contente pas de réagir à la crise : des actions anticipatoires sont mises en place pour mieux prévenir les inondations à l’avenir. Par conséquent, le CNPGI s’est félicité des initiatives en cours, qui visent à renforcer la résilience des communautés face aux aléas climatiques de plus en plus fréquents.

 

Un appel à la résilience collective au Niger 

 

Alors que le Niger fait face à ces défis climatiques, la mobilisation des autorités et des partenaires témoigne d’un engagement fort pour soutenir les populations sinistrées. Mais l’urgence reste de taille : reconstruire les infrastructures, reloger les familles et assurer une rentrée scolaire digne pour des milliers d’enfants. Dans ce combat, chaque geste compte, et le Niger montre qu’il peut compter sur la solidarité de ses citoyens et de ses dirigeants.

Cette crise est-elle le signal d’alarme pour une politique nationale de résilience climatique à long terme, capable de protéger durablement le Niger de la fureur des éléments ? L’avenir du pays dépend peut-être de la réponse à cette question.

 

Sacrifices humains à Niamey : l’ancien ministre Ibrahim Yacoubou au cœur d’un scandale d’État

Niamey est sous le choc. Le Procureur Général a révélé l’implication présumée d’Ibrahim Yacoubou dans une affaire de sacrifices humains, relançant les débats sur la responsabilité des élites et la capacité de la justice nigérienne à faire face à l’impensable. Une enquête glaçante qui met à l’épreuve les fondements moraux de la République.

 

Niamey, 15 septembre 2025 – Un scandale d’une gravité sans précédent ébranle la capitale nigérienne. Lors d’un point de presse tenu hier soir, le dimanche dernier, le Procureur Général près la Cour d’Appel de Niamey, M. Maazou Oumarou, a révélé des détails troublants sur l’interpellation de l’ancien ministre Ibrahim Yacoubou, cité comme commanditaire dans une affaire de sacrifices humains. Cette annonce, qui a captivé l’opinion publique, soulève des questions brûlantes sur la justice et la moralité dans le pays.

 

Une enquête macabre débute à Niamey

 

Tout a commencé le 29 juillet 2025, lorsqu’une enquête de la police judiciaire a été ouverte suite à une tentative d’assassinat dans un quartier périphérique de Niamey. Les investigations ont conduit à l’arrestation d’un certain Mahamadou Noura à Dosso. Lors de son interrogatoire, ce dernier a fait des révélations glaçantes : il aurait non seulement commis cette tentative, mais également six autres assassinats, tous à des fins de sacrifices humains. Selon ses déclarations, Ibrahim Yacoubou, ancien ministre, ainsi qu’Issa Ali Maiga, Ismael Morou Karama, Elhadji Bilya et Issa Seybou Hama lui ont commandé ces actes.

 

Sacrifices humains à Niamey :  la justice nigérienne face à ses responsabilités

 

Suite à l’arrestation des personnes citées, le Procureur de la République a ordonné à la police judiciaire de poursuivre ses investigations pour recueillir davantage d’éléments. « Ces injonctions procédurales visent à établir un procès-verbal complet, prenant en compte toutes les situations », a expliqué M. Maazou Oumarou. Face à la gravité des accusations, le Procureur Général a insisté sur l’urgence de mener l’enquête avec « la plus grande célérité » afin de faire toute la lumière sur cette affaire.

Par ailleurs, le Procureur a également appelé les citoyens à faire confiance à l’indépendance de la justice, promettant que « toute la vérité sera établie ». Cette affaire, impliquant des figures publiques de haut rang, met le système judiciaire nigérien sous pression, alors que l’opinion publique attend des réponses claires et rapides.

 

Un passé trouble qui refait surface

 

Ibrahim Yacoubou, figure bien connue, avait déjà été arrêté à la suite des événements troublés du 26 juillet 2023, avant de bénéficier d’une liberté provisoire il y a quelques mois. Son implication présumée dans cette nouvelle affaire relance les débats sur la responsabilité des élites et jette une ombre sur son parcours.

 

Sacrifices humains à Niamey :  Choc et quête de vérité pour la société nigérienne

 

Cette affaire, qui mêle crimes rituels et personnalités influentes, a provoqué une onde de choc à Niamey et au-delà. Les Nigériens, choqués par la nature des accusations, suivent de près les développements de l’enquête. Dans un pays où la cohésion sociale est une priorité, ces révélations interrogent les valeurs fondamentales de la société et rappellent l’importance d’une justice transparente et équitable.

 

Alors que l’enquête se poursuit, une question demeure : jusqu’où mèneront ces investigations ? Une chose est certaine : les Nigériens attendent des réponses, et la justice est désormais sous le feu des projecteurs. L’affaire, qui promet d’être longue et complexe, servira de test décisif pour la capacité de l’appareil judiciaire nigérien à juger des personnalités puissantes, et le verdict aura des répercussions profondes sur la confiance du public dans ses institutions.

Agadez : Quand la santé publique rencontre la tradition

En clôture d’une mission ministérielle intense, le Colonel Major Garba Hakimi a rendu hommage au Sultan de l’Aïr, scellant une alliance entre modernité et tradition. À Agadez, cette visite symbolique incarne l’engagement du gouvernement pour une santé accessible, enracinée dans les valeurs culturelles du Niger.

 

Agadez, 15 septembre 2025 – En clôture d’une mission de travail intense dans la région d’Agadez, le Colonel Major Garba Hakimi, Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, a marqué les esprits en rendant une visite de courtoisie au Sultan de l’Aïr, Son Altesse Oumarou Ibrahim Oumarou. Ce geste, ancré dans les traditions nigériennes, illustre le respect profond des autorités pour la chefferie traditionnelle, pilier de la cohésion sociale et de l’unité nationale.

Une étape symbolique pour sceller l’unité à Agadez

 

Conformément à la coutume nigérienne, qui veut qu’une personnalité en visite officielle rende hommage aux notables locaux, le Colonel Major Garba Hakimi, accompagné du Gouverneur de la région d’Agadez, le Général de Division Ibra Boulama Issa, et de plusieurs cadres civils et militaires, s’est rendu au Sultanat de l’Aïr. Cette rencontre symbolique a été l’occasion pour le ministre de transmettre les salutations fraternelles du Président de la République, le Général d’Armée Abdourahmane Tiani, ainsi que celles du gouvernement.

Par la suite, le Sultan Oumarou Ibrahim Oumarou, figure respectée de la région, a accueilli la délégation avec chaleur, offrant des cadeaux au ministre et à certains membres de son entourage, dans un geste de générosité et d’hospitalité. Ce moment d’échange a rappelé le rôle central des chefs traditionnels dans la préservation de la paix et de l’unité au Niger, un pays où les valeurs culturelles sont un ciment social incontournable.

Le Ministre de la Santé du Niger, Garba Hakimi, conclut sa mission à Agadez par une visite au Sultan de l’Aïr. Ce geste fort illustre l’alliance entre santé publique et chefferie traditionnelle, au service de la cohésion sociale et du développement national.

Le bilan de la mission : des discussions stratégiques et des perspectives concrètes

 

En amont de cette visite de courtoisie, le ministre a conclu son séjour à Agadez par une réunion stratégique avec les responsables des structures sanitaires de la région, tenue dans la salle du gouvernorat. Ces discussions ont également  permis d’évaluer les avancées et les besoins du secteur de la santé, après avoir mené une série de visites dans des infrastructures clés comme le Centre Hospitalier Régional et le Centre de Santé Intégré de Dagamanat. Cette démarche s’inscrit dans une volonté de renforcer l’accès aux soins dans une région stratégique, tout en mobilisant les acteurs locaux.

Un message fort pour l’avenir

 

En somme, en combinant engagement sanitaire et respect des traditions, le Colonel Major Garba Hakimi envoie un message fort : le développement du Niger passe par une alliance entre modernité et ancrage culturel. La chefferie traditionnelle, représentée par des figures comme le Sultan de l’Aïr, reste un maillon essentiel pour fédérer les communautés et promouvoir la stabilité.

Alors que le ministre achève sa mission à Agadez, les Nigériens retiennent une image d’unité et de détermination. Ce dialogue entre autorités modernes et traditionnelles est une promesse d’un avenir où la santé et la cohésion sociale avancent main dans la main. L’enjeu, pour le gouvernement et les leaders traditionnels, sera désormais de concrétiser cette synergie en actions pérennes pour le bien-être des populations de l’Aïr et de tout le Niger.

 

L’engagement sans faille du ministre de la Santé pour Agadez

À Agadez, le Colonel Major Garba Hakimi ne s’est pas contenté de discours. En 72 heures de visite intensive, le Ministre de la Santé a sillonné les centres médicaux, reçu un don pharmaceutique de l’OMS et dressé un diagnostic sans concession. Une tournée qui pourrait bien marquer un tournant pour les soins dans cette région stratégique du Niger

 

Agadez, 15 septembre 2025 – Dans une région où la santé est au cœur des préoccupations, le Colonel Major Garba Hakimi, Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, a entamé une visite de travail de 72 heures à Agadez, débutée le samedi dernier. Accueilli chaleureusement à Amatatal, dans la commune rurale d’Ingall, par le Gouverneur de la région, le Général de Division Ibra Boulama Issa, ainsi que les autorités locales, le ministre a multiplié les initiatives pour évaluer et renforcer le système de santé régional.

Une tournée ministérielle au chevet des populations

 

Dès son arrivée, le Colonel Major Garba Hakimi, accompagné du gouverneur, a sillonné les localités d’Amatatal, Mararaba et Ingall pour rencontrer les acteurs de terrain. Par la suite, le dimanche 14 septembre, il a intensifié ses efforts en menant une série de visites ciblées dans les infrastructures sanitaires. Au Centre Hospitalier Régional d’Agadez, le ministre a inspecté des services clés, tels que l’unité de dialyse, le scanner et le chantier du futur Centre Mère et Enfants, des équipements essentiels pour répondre aux besoins croissants de la population.

Un des moments forts de cette mission a été la réception d’un don de 6 tonnes de produits pharmaceutiques, d’une valeur de 26 434 424 FCFA, offert par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cette contribution, réceptionnée en présence du Gouverneur Ibra Boulama Issa, renforcera l’approvisionnement en médicaments dans la région, un geste salué comme un pas majeur vers l’amélioration de l’accès aux soins.

Le Ministre de la Santé du Niger, Garba Hakimi, a mené une visite de 72 heures à Agadez pour renforcer les infrastructures sanitaires.

Un diagnostic sans concession du ministre de la Santé pour une meilleure action

 

Dans cette optique, le ministre a également visité le Centre de Santé Intégré (CSI) de Dagamanat et le District Sanitaire de la commune urbaine d’Agadez. L’objectif était clair : évaluer les conditions de travail des agents de santé et identifier les besoins prioritaires pour optimiser la qualité des services. De plus, des réunions avec les responsables sanitaires, les partenaires techniques et financiers, ainsi que les partenaires sociaux, ont permis de dresser un diagnostic précis et d’envisager des solutions concrètes.

Le Ministre de la Santé du Niger, Garba Hakimi, a mené une visite de 72 heures à Agadez pour renforcer les infrastructures sanitaires.

Agadez : au cœur de l’effort national pour la santé

 

Cette visite illustre l’engagement du gouvernement nigérien à renforcer le système de santé, particulièrement dans des régions reculées comme Agadez, où les défis logistiques et climatiques compliquent l’accès aux soins.

« Notre priorité est de garantir que chaque Nigérien, où qu’il soit, puisse bénéficier de soins de qualité », a déclaré le Colonel Major Garba Hakimi, soulignant l’importance de cette mission.

Accompagné du Gouverneur Ibra Boulama Issa et de cadres de son ministère, le ministre a envoyé un signal fort : la santé est une priorité nationale, et Agadez, carrefour stratégique du Niger, est également au cœur de cet effort.

 

En somme, cette visite de 72 heures pourrait bien marquer un tournant pour les infrastructures sanitaires de la région, au bénéfice des populations locales. Cependant, l’évaluation de l’impact de ces initiatives sur le long terme reste à observer. Le véritable défi sera de maintenir l’élan et de transformer ces promesses en résultats tangibles.

Niger : Une vague de solidarité pour la patrie à Niamey

Le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie devient le symbole vibrant d’un peuple uni. Des entreprises aux citoyens, les Nigériens multiplient les gestes de soutien, prouvant que la solidarité nationale peut être la plus puissante des réponses face aux défis du moment.

 

Niamey, 15 septembre 2025 – En ces temps où l’unité nationale est plus que jamais essentielle, le Niger vibre au rythme d’un élan patriotique sans précédent. Ce lundi, le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) a de nouveau été le théâtre de contributions généreuses, témoignant de l’engagement indéfectible des Nigériens pour leur pays. Sous la houlette de Mme Réki Moussa Hassane Djermakoye, présidente du comité de gestion du FSSP, et en présence d’Ep Brah Ali, des dons significatifs ont été réceptionnés, illustrant une solidarité à toute épreuve.

Contributions massives : Quand le public et le privé s’unissent au Niger

 

Les apports financiers dévoilés aujourd’hui reflètent la diversité et la détermination des acteurs nigériens. Parmi eux, Airtel-Niger SA s’est distingué avec un versement impressionnant de 195 934 552 FCFA, collectés grâce à un prélèvement de 10 FCFA sur chaque appel et chaque souscription aux forfaits internet et voix. Cette initiative montre clairement l’impact des petites contributions cumulées à grande échelle.

De son côté, l’Autorité de Régulation de la Commande Publique (ARCOP) a également répondu à l’appel de la patrie avec une contribution de 155 466 409 FCFA, issue d’un prélèvement de 10 % sur les recettes provenant de la redevance de régulation. Même les photographes privés, présents lors des cérémonies de réception des dons, ont aussi apporté leur pierre à l’édifice avec un total de 8 000 FCFA (2 000 FCFA par personne). Ainsi, aucun geste n’est trop petit quand il s’agit de soutenir la nation.

Le Niger célèbre un élan patriotique inédit autour du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie.

Le FSSP, symbole de l’unité nationale

 

Ces contributions, qu’elles proviennent de grandes entreprises ou de citoyens ordinaires, témoignent d’un élan collectif qui transcende les frontières sociales et économiques. Chaque franc versé au FSSP est un pas de plus vers la consolidation de la stabilité et du développement du Niger. « Ces gestes prouvent que le cœur du Niger bat à l’unisson pour la sauvegarde de notre patrie », a déclaré Mme Djermakoye, visiblement émue par l’ampleur de la mobilisation.

Dans un contexte où les défis ne manquent pas, cette vague de solidarité est un puissant rappel de la force de l’unité nigérienne. En effet, le FSSP, en canalisant ces efforts, devient un symbole d’espoir et de résilience. Alors que les contributions continuent d’affluer, le message est clair : le Niger est prêt à se relever, main dans la main, pour bâtir un avenir plus fort.

Le Niger, une nation unie pour un avenir commun

 

En conclusion, la mobilisation autour du FSSP illustre une nation soudée, prête à se surpasser pour son avenir. Ces gestes de générosité, petits ou grands, ne sont pas de simples transactions financières ; ils sont le reflet d’un engagement citoyen profond et de la fierté d’appartenir à une patrie qui se relève ensemble. Le FSSP ne se contente pas de collecter des fonds, il incarne aussi l’espoir et la détermination d’un peuple.