Helene Sourou, Author at Journal du Niger - Page 29 sur 212

Nominations gouvernementales  : des choix stratégiques pour le Niger

Le Président Abdou-Rahmane Tiani signe une série de nominations clés dans plusieurs ministères. Des choix qui allient expertise, diversité et vision, pour renforcer l’efficacité des institutions et préparer le Niger aux défis de demain.

 

NIAMEY, 11 septembre 2025 – À Niamey, une nouvelle page de l’histoire administrative du Niger s’écrit avec audace. Hier, le Président de la République, Son Excellence le Général d’Armée Abdou-Rahmane Tiani, a signé une série de décrets officialisant des nominations clés dans plusieurs ministères.

Loin d’être de simples formalités, ces décisions incarnent une ambition claire : renforcer l’efficacité administrative, stimuler l’innovation et ancrer le Niger dans une dynamique de progrès territorial et symbolique. En plus, ces mesures, touchant des secteurs aussi variés que les transports, l’enseignement supérieur, la jeunesse et les communications, traduisent une volonté de bâtir un avenir résolument moderne pour la nation.

Des nominations stratégiques pour des secteurs clés

 

Annoncées par le Secrétariat Général du Gouvernement, ces nominations visent à doter les institutions nigériennes de cadres compétents pour relever les défis contemporains. Ainsi, au Ministère des Transports et de l’Aviation Civile, des figures telles que Garba Boureima, nommé Secrétaire Général, et Elhadj Gangama Adam, Directeur Général de la Circulation et des Transports Routiers, incarnent une expertise technique pointue.

Avec, en complément, des profils comme Illiassou Ibrahim à la tête de la Sécurité Routière ou Madame Adama Aïssatou Sitta à la Direction Nationale de la Météorologie, le ministère s’équipe afin de renforcer la mobilité et la sécurité sur l’ensemble du territoire.

De son côté, le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation Technique n’est pas en reste. La nomination d’Issa Malam Souleymane comme Directeur Général de l’École Nationale de Pétrole et du Gaz à l’Université Salifou de Zinder illustre l’engagement du Niger à former une élite capable de soutenir l’industrie énergétique, un secteur stratégique pour l’économie nationale.

 

Une gouvernance renouvelée pour des secteurs importants

 

Dans le même esprit, le domaine de la Jeunesse et des Sports voit arriver des profils dynamiques comme Maïzama Hadiza Issiakou, Inspectrice Générale des Services, ou Malam Souley Malam, Directeur Général de la Jeunesse. Ces choix visent non seulement à renforcer l’accès aux infrastructures sportives, mais aussi à promouvoir l’éducation extrascolaire, des leviers essentiels pour l’insertion sociale et la cohésion nationale.

Enfin, le Ministère de la Communication et des Nouvelles Technologies de l’Information se dote de cadres tels que Mashoul Abdoul Nasser, nouveau Secrétaire Général, et Amadou Abdourahamane, Conseiller Technique, dans le but d’accélérer la transition numérique du pays. L’arrivée du Dr Koroney Abdoul-Salam à la tête de l’ESCEP constitue un pas décisif vers la formation de talents dans un secteur en pleine expansion.

 

Nominations gouvernementales : un symbole d’unité et de progrès territorial

 

Au-delà de leur dimension administrative, ces nominations portent une forte charge symbolique. En confiant des responsabilités à des profils variés, issus de différentes régions et spécialités, le gouvernement nigérien envoie un message d’unité et d’inclusion. Chaque nomination traduit une volonté de valoriser les compétences locales tout en répondant aux besoins spécifiques des territoires, qu’il s’agisse de moderniser les infrastructures de transport, de renforcer l’éducation ou de dynamiser les politiques jeunesse.

Par ailleurs, l’accent mis sur des secteurs comme la météorologie, la logistique ou les nouvelles technologies témoigne d’une vision prospective. De cette manière, le Niger se positionne comme un acteur prêt à relever les défis de la connectivité, de l’innovation et de la formation, tout en consolidant son identité nationale.

 

Une administration au service de la prospérité

 

D’ailleurs, ces décrets incarnent un élan collectif pour un Niger plus fort et mieux structuré. Ils s’adressent ainsi à un public engagé – des jeunes en quête d’opportunités aux professionnels investis dans le développement national. En structurant ses institutions avec des profils qualifiés, le gouvernement pose les bases d’une administration efficace, capable non seulement de soutenir les ambitions du pays sur la scène régionale et internationale, mais aussi de renforcer la confiance citoyenne.

 

Nominations gouvernementales : Perspectives et continuité

 

Si ces nominations marquent un tournant, elles s’inscrivent néanmoins dans une dynamique plus large de renforcement des capacités institutionnelles. Des postes comme celui de Directeur de la Documentation et des Relations avec les Services Publics ou de Président du Conseil d’Administration de l’ANISER illustrent l’attention portée aux détails opérationnels et à la coordination intersectorielle.

En définitive, ces mesures individuelles représentent le signal d’un Niger en mouvement, prêt à mobiliser ses talents pour façonner un avenir prospère, inclusif et connecté. Un pari audacieux qui, à n’en pas douter, continuera d’inspirer les citoyens et les acteurs publics du pays.

 

 

Niger- ONU : un partenariat pour une transformation nationale

Une rencontre stratégique qui scelle l’alliance entre le Niger et l’ONU pour accélérer la transformation socio-économique et renforcer la cohésion nationale.

Niamey, 10 septembre 2025 — Ce mercredi, le Cabinet du Premier Ministre du Niger a été le théâtre d’un échange institutionnel majeur. Ali Mahaman Lamine Zeine a accueilli Mme Mama Keita, Coordinatrice résidente et humanitaire du Système des Nations Unies au Niger, venue avec plusieurs responsables du bureau-pays. L’entretien a également confirmé la solidité d’un partenariat qui s’inscrit dans la durée et dans l’action.

 

Des programmes conjoints pour un impact socio-économique durable

 

Au centre des discussions, le lancement récent des programmes conjoints Gouvernement du Niger – Système des Nations Unies, amorcé une dizaine de jours plus tôt. Par ailleurs, ces initiatives visent à conjuguer expertise institutionnelle et ressources internationales pour impulser une transformation socio-économique durable. À ce titre, Mme Keita a salué « une excellente collaboration » et réaffirmé l’engagement de l’ONU à œuvrer aux côtés du gouvernement pour la réussite de ces projets.

 

Une stratégie commune pour des ressources et une vision partagées

 

En outre, les deux parties ont convenu de mettre en œuvre une stratégie conjointe de mobilisation des ressources, afin de garantir l’efficacité et la pérennité des actions engagées. Pour la représentante onusienne, ces programmes sont « de nature à transformer le Niger » en renforçant les capacités nationales et en soutenant les priorités de développement définies par l’État.

Ainsi, au-delà des aspects techniques, cette rencontre illustre la dimension symbolique d’une coopération internationale alignée sur les ambitions nationales. Elle traduit la volonté commune de bâtir un Niger plus résilient, où les politiques publiques s’appuient sur des alliances solides pour répondre aux défis économiques, sociaux et territoriaux.

L’ONU et le Niger : Un message de confiance pour l’avenir

 

En conclusion, Mme Keita a exprimé sa satisfaction quant à la qualité des relations entre le Niger et l’ONU, soulignant « la manière positive dont les choses se passent ». Un message qui conforte la place du Niger comme acteur engagé dans les dynamiques régionales et internationales de développement et de mobilisation collective.

Pour autant, il faut maintenant transformer cette volonté politique et ces projets communs en résultats concrets et durables pour les populations les plus vulnérables. La question reste entière : comment veiller à ce que cet élan de coopération se matérialise sur le terrain, notamment dans les zones reculées, afin d’assurer un impact réel et mesurable ?

Tahoua: les gouverneurs au rapport pour la refondation du Niger

Sous le ciel ardent de Tahoua, la Conférence des Cadres de l’Administration Territoriale réunit gouverneurs et autorités nationales autour d’un objectif commun : bâtir une gouvernance moderne, transparente et ancrée dans chaque région du Niger.

 

Tahoua, 10 septembre 2025 – Sous le ciel ardent de Tahoua, ce mercredi, la Conférence des Cadres de l’Administration Territoriale a poursuivi ses travaux avec une intensité palpable. Ce deuxième jour de ce rendez-vous crucial a vu les gouverneurs des régions du Niger, figures clés de l’administration, dévoiler leurs bilans et ambitions pour leurs territoires respectifs. Dans une atmosphère empreinte de gravité et d’engagement, Tahoua s’est affirmée comme le creuset d’une gouvernance renouvelée, portée par la vision de la refondation nationale.

Le bilan des gouverneurs : un rapport au service de la nation

 

En effet, chaque gouverneur a présenté un état des lieux détaillé, aligné sur le cahier des charges qui leur a été confié par les autorités. Ce document stratégique, émanation de la Lettre de Mission du Ministre d’État, de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, structure leurs actions autour de quatre axes fondamentaux : garantir la sécurité et la paix, renforcer la gouvernance locale, coordonner les initiatives des ONG et des programmes de développement, et établir des mécanismes d’évaluation des résultats. Ces priorités, véritable feuille de route, traduisent les ambitions du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) en matière de souveraineté, de sécurité et de progrès socio-économique.

À Tahoua, gouverneurs et autorités unissent leurs forces pour une gouvernance transparente et un développement équilibré de toutes les régions du Niger. À Tahoua, gouverneurs et autorités unissent leurs forces pour une gouvernance transparente et un développement équilibré de toutes les régions du Niger.

Tahoua, creuset d’une administration unifiée pour le Niger

 

En outre, en accueillant cette conférence, Tahoua se positionne comme un carrefour symbolique de l’administration nigérienne. Ainsi, chaque gouverneur, en exposant les réalisations, les défis rencontrés et les opportunités propres à sa région, a contribué à dessiner une fresque nationale, où la diversité des territoires converge vers un objectif commun : la refondation du Niger. Par ailleurs, les interventions ont mis en lumière des avancées concrètes, comme le renforcement de la sécurité ou la coordination des projets de développement, tout en identifiant les obstacles à surmonter pour un progrès durable.

Transparence et collaboration : les maîtres-mots du changement

 

Ces présentations, riches en détails, ont permis de valoriser le potentiel unique de chaque région tout en traçant des perspectives d’avenir. Les gouverneurs ont partagé leurs réussites, comme l’amélioration de la gouvernance locale, mais aussi les défis persistants, tels que la coordination des interventions extérieures ou la mobilisation des ressources. De fait, ce dialogue ouvert, sous l’égide du Ministre d’État, illustre un engagement pour une administration transparente, capable de répondre aux attentes des citoyens et de porter les ambitions du CNSP.

À Tahoua, gouverneurs et autorités unissent leurs forces pour une gouvernance transparente et un développement équilibré de toutes les régions du Niger.

Un élan collectif des gouverneurs pour l’avenir

 

En définitive, la Conférence des Cadres, qui se prolonge jusqu’au 11 septembre, incarne une dynamique de mobilisation et de responsabilité partagée. En plaçant Tahoua au cœur de cet événement, le Niger réaffirme l’importance de chaque région dans la construction d’un avenir commun. Les échanges, marqués par une volonté de dialogue et d’action, posent les bases d’une gouvernance moderne, où la transparence et l’efficacité sont au service du développement national.

Cependant, le véritable défi reste à relever : transformer les bilans et les engagements pris à Tahoua en actions concrètes et mesurables sur le terrain, afin que les citoyens de chaque région du Niger ressentent pleinement les bénéfices de cette refondation.

TotalEnergies cède ses activités au Burkina Faso au géant CIG

Burkina Faso : Coris Investment Group redessine l’avenir énergétique avec le rachat de TotalEnergies

 

Sous le ciel vibrant de Dakar, le 8 septembre dernier, un moment historique a marqué l’horizon énergétique du Burkina Faso. Le Coris Investment Group (CIG), sous la houlette de l’entrepreneur visionnaire Idrissa Nassa, a scellé l’acquisition des activités de TotalEnergies Marketing Burkina. Bien plus qu’une simple transaction, cet événement s’inscrit comme un tournant décisif, porteur d’une ambition profonde : affirmer la souveraineté économique du Burkina Faso et redéfinir son avenir énergétique.

 

Coris Investment Group : une entrée fracassante dans le secteur pétrolier avec le rachat de TotalEnergies

 

En fait, en prenant le contrôle des actifs de TotalEnergies, incluant un vaste réseau d’environ 170 stations-service et des infrastructures clés de distribution pétrolière, CIG fait une entrée remarquée dans l’aval pétrolier. Jusqu’alors ancré dans la banque et l’assurance, le conglomérat burkinabè diversifie son portefeuille et s’impose comme un acteur majeur dans un secteur stratégique, longtemps dominé par des géants internationaux. Par ailleurs, cette acquisition, officialisée par la signature des actes de cession à Dakar entre Yacouba Saré, Directeur Général de CIG, et Jean-Philippe Torres, président de Total Marketing Services Africa, marque une étape clé dans la stratégie d’expansion du groupe.

 

L’acquisition de TotalEnergies symbolise la fierté et l’autonomie nationale

 

« Ce rachat est une affirmation de notre volonté de bâtir une souveraineté industrielle et économique », a déclaré Idrissa Nassa, soulignant la portée symbolique de cette opération.

En présence de l’ambassadeur du Burkina Faso au Sénégal, Saïdou Maïga, la cérémonie a incarné l’engagement des autorités burkinabè à promouvoir un capitalisme local capable de relever les défis nationaux. De fait, ce transfert d’actifs, incluant l’ensemble du réseau de distribution pétrolière, symbolise l’émergence d’un Burkina Faso maître de son destin énergétique, prêt à rivaliser avec les multinationales tout en répondant aux besoins de sa population.

 

Ouagadougou, épicentre d’un renouveau énergétique

 

Par ailleurs, enraciné dans la capitale, ce rachat positionne Ouagadougou comme un carrefour stratégique pour l’énergie en Afrique de l’Ouest. Coris Investment Group s’engage à préserver tous les emplois existants, garantissant la continuité pour les salariés et renforçant l’ancrage local de ses activités. En outre, la nomination de Vincent Ouédraogo, un cadre expérimenté issu de l’entreprise, à la tête de cette nouvelle entité, traduit une volonté de valoriser les talents locaux et de bâtir sur des bases solides pour un développement durable.

 

Un signal fort pour l’avenir de l’Afrique de l’Ouest

 

En somme, cette acquisition s’inscrit dans un mouvement plus large de réorganisation des activités de TotalEnergies, qui réduit progressivement sa présence sur certains marchés africains. En cédant ses actifs à un acteur burkinabè, le géant français ouvre la voie à une nouvelle génération d’entreprises régionales, prêtes à prendre le relais dans des secteurs vitaux. Pour Coris Investment Group, ce rachat est aussi une porte ouverte vers une ambition panafricaine, visant à faire du Burkina Faso un modèle d’innovation et d’autonomie énergétique. Le véritable défi commence maintenant : Coris Investment Group sera-t-il capable de maintenir la qualité de service et d’investissement attendue par les consommateurs ? Et dans un contexte de transition énergétique mondiale, comment cette prise de contrôle d’un secteur traditionnel influencera-t-elle le développement de solutions plus vertes au Burkina Faso ?

Agadez : une stratégie régionale pour des migrations plus sûres

Agadez au centre d’une nouvelle stratégie migratoire : l’UNHCR, l’OIM et les autorités nigériennes unissent leurs forces pour renforcer la protection et l’assistance aux populations en mouvement.

Agadez, 10 septembre 2025— Au cœur du sable brûlant d’Agadez, ville-carrefour des routes migratoires, s’est tenue, ce mercredi, une rencontre d’envergure. À cette occasion, le Secrétaire Général de la Région, M. Souleymane Seidou Boulhassan, a accueilli une délégation conjointe du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) et de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Bien au-delà d’une simple visite de courtoisie, cette rencontre marque une étape clé dans le renforcement des liens entre ces organisations internationales et les autorités nigériennes, mettant ainsi en lumière l’importance stratégique d’Agadez, véritable pivot régional dans la gestion des flux migratoires et l’accueil des réfugiés.

À Agadez, l’UNHCR, l’OIM et le Niger lancent une coopération régionale innovante pour protéger migrants et réfugiés sur les routes du désert.

Une nouvelle approche pour une crise humanitaire majeure à Agadez

Au centre des échanges, une stratégie novatrice axée sur les routes migratoires. Portée conjointement par l’UNHCR et l’OIM, elle vise à renforcer l’assistance aux réfugiés et migrants grâce à une coopération régionale impliquant cinq pays africains, dont le Niger. L’objectif est clair : mieux coordonner les efforts pour relever les défis complexes des déplacements humains, dans une région où les routes du désert sont à la fois chemins d’espoir et de péril. En misant sur une collaboration transfrontalière, cette initiative entend dépasser les approches traditionnelles afin de garantir protection et dignité aux populations vulnérables.

Agadez, symbole d’un partenariat durable et d’un engagement fort

La venue de cette délégation de haut niveau à Agadez témoigne en effet de l’engagement constant des autorités nigériennes à œuvrer main dans la main avec leurs partenaires internationaux. Carrefour historique des échanges culturels et commerciaux, la région s’affirme aujourd’hui comme un acteur incontournable dans la gestion des enjeux migratoires. Ce partenariat, tissé de longue date avec l’UNHCR et l’OIM, reflète une coopération dynamique, solidement ancrée dans des valeurs de solidarité et de responsabilité partagée.

Un signal fort pour l’avenir de la coopération humanitaire

Par ailleurs, cette visite, au-delà de son caractère protocolaire, envoie un message puissant : le Niger, et plus particulièrement Agadez, demeure un pilier central dans la réponse aux défis migratoires en Afrique. En plaçant la région au cœur de cette nouvelle stratégie régionale, l’UNHCR et l’OIM reconnaissent son rôle clé dans la construction d’un avenir plus sûr pour les migrants et les réfugiés.

Dans les prochains jours, les contours de cette approche fondée sur les routes migratoires et ses implications pour le Niger et ses voisins seront détaillés. Une certitude s’impose : cette initiative marque une étape décisive dans la mobilisation collective face à un enjeu humanitaire majeur.

À Agadez, l’UNHCR, l’OIM et le Niger lancent une coopération régionale innovante pour protéger migrants et réfugiés sur les routes du désert.

Un élan régional pour une cause universelle à Agadez

Si la délégation a choisi Agadez pour inaugurer cette nouvelle dynamique, c’est aussi afin de saluer le rôle historique de la région dans l’accueil des populations en mouvement. En s’inscrivant dans une volonté de transparence et de dialogue, ce rendez-vous renforce l’image d’un Niger engagé, aux côtés de ses partenaires, pour un avenir où la dignité humaine guide chaque action.

 

FSSP et Niger TELECOM : unis pour bâtir un Niger solidaire

 

Niamey, 10 septembre 2025 — Dans l’après-midi du 9 septembre 2025, la salle de conférence de l’École Supérieure des Communications Électroniques et de la Poste (ESCEP) à Niamey s’est transformée en un espace de communion et d’engagement. Le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) y a réuni le personnel de Niger TELECOM pour une rencontre empreinte d’humanité et de ferveur patriotique. Cette initiative, portée par des échanges sincères et une ambition collective, incarne l’élan d’un peuple uni pour reconstruire son avenir.

À Niamey, le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie et Niger TELECOM unissent leurs forces lors d’une rencontre à l’ESCEP, appelant à la mobilisation citoyenne pour bâtir un Niger plus solidaire et résilient.

Le FSSP et Niger TELECOM : un dialogue pour fédérer les énergies

 

En effet, sous la coprésidence de M. Brah Amadou, vice-président du Comité de gestion du FSSP, et de M. Idrissa Djibo Maiga, Directeur général de Niger TELECOM, cette rencontre a mis en lumière l’importance de l’engagement collectif. L’objectif était clair : sensibiliser les employés de l’entreprise aux missions du FSSP et explorer ensemble les moyens de contribuer à ce fonds national.

M. Maiga, dans une allocution vibrante, a salué l’initiative, soulignant que « la solidarité est un acte à la fois personnel et collectif, un pilier pour rebâtir notre nation ».

En outre , cette rencontre s’inscrit dans une série d’échanges menés par le FSSP auprès des différentes couches socioprofessionnelles, visant à tisser un lien fort entre les citoyens et les ambitions du pays.

À Niamey, le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie et Niger TELECOM unissent leurs forces lors d’une rencontre à l’ESCEP, appelant à la mobilisation citoyenne pour bâtir un Niger plus solidaire et résilient.

Transparence et espoir : les clés de la mobilisation nationale

 

Au cœur des discussions, M. Brah Amadou a présenté avec clarté les objectifs du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie. Il a détaillé ses mécanismes de fonctionnement, mettant en avant les mesures de transparence et de redevabilité qui garantissent une gestion rigoureuse des contributions. Ce moment d’échange a permis de rappeler que le FSSP n’est pas seulement un outil financier, mais un symbole d’espoir et de cohésion, incarnant la volonté du Niger de se relever par la force de ses citoyens.

 

Niamey, cœur battant de la solidarité

 

Par ailleurs, en retenant l’ESCEP pour accueillir cette rencontre, le FSSP inscrit son action au cœur d’un site emblématique de la capitale, véritable carrefour où se conjuguent savoir, innovation et engagement. La présence du Directeur général de l’ESCEP, M. Mohamed Abdoul-Latif, aux côtés des agents de Niger TELECOM a également renforcé la dimension symbolique de cet événement. Niamey, ville carrefour, devient ainsi le théâtre d’une mobilisation où chaque contribution, aussi modeste soit-elle, participe à la construction d’un avenir commun.

FSSP et Niger TELECOM : un appel à l’engagement collectif, pour un avenir partagé

 

En somme, cette rencontre, bien plus qu’un simple échange, est un appel à l’action. Elle invite chaque Nigérien, à l’image des employés de Niger TELECOM, à s’investir dans une cause qui transcende les individualités. En plaçant l’humain au centre de ses priorités, le FSSP rappelle que la solidarité est la clé pour surmonter les défis et bâtir un Niger plus fort. Entamées hier à Niamey, les discussions ne constituent qu’une première étape : d’autres rendez-vous sont déjà envisagés afin de poursuivre la mobilisation et de renforcer l’unité autour de cette ambition commune.

L’enjeu demeure de savoir si cet élan de solidarité saura s’inscrire dans la durée, résister aux défis économiques et sociaux qui se profilent, et jeter les bases d’un avenir sûr et prospère pour toutes les générations.

Gouvernance territoriale : Agadez trace sa feuille de route

Ce mercredi 10 septembre 2025, dans la continuité des travaux entamés la veille, la ville de Tahoua a confirmé son rôle de carrefour stratégique de la gouvernance nigérienne. Au titre de cette deuxième journée de la Conférence des Cadres de l’Administration Territoriale — qui se poursuivra jusqu’à demain —, le Gouverneur de la Région d’Agadez, le Général de Division Ibra Boulama Issa, a livré une communication d’envergure, mettant en exergue les dynamiques et les ambitions de sa région. Ce moment fort, placé sous le sceau de la solennité, a permis de dresser un tableau vivant d’Agadez, tout en réaffirmant son rôle central dans la refondation du Niger.

Le gouverneur d’Agadez dresse un bilan percutant pour l’avenir

 

En fait, le Général Ibra Boulama Issa a présenté un état des lieux précis, détaillant les avancées réalisées au cours de ses deux années à la tête de la région. Fidèle au mandat confié par le Président de la République, le Général d’Armée Abdourahmane Tiani, via le Ministère de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, il a exposé les actions entreprises, les résultats concrets obtenus, ainsi que les défis qui se dressent sur le chemin de la région. De la gestion administrative aux projets de développement, son intervention a mis en avant une vision pragmatique et ambitieuse, ancrée dans les réalités territoriales d’Agadez.

À Tahoua, lors de la Conférence des Cadres de l’Administration Territoriale, le Gouverneur d’Agadez a présenté un bilan ambitieux et une vision stratégique, affirmant le rôle central de sa région dans la refondation et l’unité nationale du Niger.

Agadez, un pilier de la refondation nationale

 

Par ailleurs, cette communication ne s’est pas contentée de dresser un bilan : elle a également projeté une vision d’avenir. Le Gouverneur a abordé les enjeux stratégiques et les perspectives qui façonneront la région, véritable carrefour géographique et culturel du Niger. Agadez, avec son identité unique et son rôle historique, s’impose comme un pilier de la refondation nationale, un processus cher au Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie. En conséquence, cette intervention a ainsi renforcé la dimension symbolique de la région, incarnation de la résilience et de l’unité nationale.

Un exercice collectif pour un Niger uni

 

En effet, l’événement s’inscrit dans un cadre plus large, où chaque gouverneur des régions du Niger a été appelé à présenter l’état de sa circonscription. Ces échanges, menés sous la supervision du Ministre d’État, Général de Division Mohamed Toumba, et en présence de membres du gouvernement et du Conseil National, ont donné lieu à des discussions riches et constructives. Ce dialogue franc illustre l’engagement collectif des autorités pour une administration transparente et efficace, au service des citoyens.

À Tahoua, lors de la Conférence des Cadres de l’Administration Territoriale, le Gouverneur d’Agadez a présenté un bilan ambitieux et une vision stratégique, affirmant le rôle central de sa région dans la refondation et l’unité nationale du Niger.

Tahoua, un carrefour symbolique pour la gouvernance territoriale

 

En plus, en choisissant Tahoua comme théâtre de cette conférence, les autorités ont mis en lumière une ville emblématique, lieu de convergence des idées et des projets pour le Niger. Cet événement, par sa portée administrative et symbolique, renforce l’élan de mobilisation nationale, où chaque région contribue, à sa manière, à la construction d’un avenir commun. La présentation du Gouverneur d’Agadez, à l’image des autres interventions, témoigne d’une volonté partagée de relever les défis et de saisir les opportunités pour un Niger plus fort.

 

Vers une nouvelle ère de gouvernance territoriale

 

En somme, cette conférence, véritable moment de transparence et de dialogue, pose les jalons d’une gouvernance moderne, où l’administration territoriale devient un levier pour la refondation. Le défi majeur est désormais de transformer ces bilans et ces ambitions en actions concrètes sur le terrain, et de s’assurer que les citoyens ressentent directement les fruits de cette nouvelle dynamique. La question demeure : comment ces discussions au sommet se traduiront-elles par une amélioration tangible de la vie quotidienne de chaque Nigérien ?

Maradi : un pas décisif pour l’avenir universitaire et territorial

Maradi : L’Université Dan Dicko Dan Koulodo se dote de nouvelles infrastructures majeures

Dans un geste à la fois stratégique et symbolique, le Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation Technologique, Pr. Mamadou Saidou, a inauguré, le 9 septembre, deux nouveaux bâtiments administratifs à l’Université Dan Dicko Dan Koulodo de Maradi. Ces infrastructures modernes, érigées au sein de la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) et de la Faculté d’Agronomie et des Sciences de l’Environnement (FASE), marquent une étape clé dans le renforcement des capacités d’accueil et d’encadrement de l’université.

 

Des bâtiments et des projets pour accélérer la croissance

 

En fait, les nouveaux blocs R+2 abritent bureaux, salles de réunion, espaces informatiques et locaux polyvalents. Leur financement, assuré sur fonds propres par l’Université, illustre une volonté affirmée d’autonomie, de transparence et d’efficacité dans la gestion des ressources. En parallèle, la première pierre d’un bâtiment R+1, destiné à accueillir deux amphithéâtres de 250 places chacun, a été posée. Les travaux, prévus sur six mois, visent à répondre à la pression croissante sur les capacités pédagogiques.

 

Une vision stratégique pour l’avenir de l’enseignement

 

Le Recteur, Pr. ElHadj Gounga Mahamadou, a salué un investissement qui répond à un besoin urgent d’amélioration des conditions de travail et d’apprentissage. Il a également rendu hommage au Dr Sani Mamane, premier recteur élu, pour sa vision et son engagement dans le développement infrastructurel de l’institution.
Par ailleurs, ces chantiers s’inscrivent dans une stratégie plus large : regrouper toutes les entités de la FSS sur un site unique, créer un laboratoire moderne et favoriser le retour de la section Pharmacie à Maradi.

Maradi : les étudiants montent au créneau pour leurs revendications

 

La cérémonie a également été l’occasion pour les représentants étudiants et syndicaux de faire entendre leurs priorités : construction d’un amphithéâtre de 1000 places, mise à disposition de bus de transport, création d’un campus intégré, régularisation des bourses et renforcement des moyens de recherche.
D’ailleurs, le Ministre a reconnu la légitimité de ces demandes, rappelant que la création simultanée d’universités dans toutes les régions a généré des besoins importants partout dans le pays.

 

Un signal fort pour le développement régional

 

Au-delà de l’aspect académique, ces réalisations portent aussi une dimension territoriale et diplomatique : elles renforcent l’attractivité de Maradi comme pôle universitaire, stimulent l’économie locale et consolident le lien entre l’État, les institutions et la jeunesse. En saluant l’initiative de l’Université de financer elle-même certaines infrastructures, le Ministre a souligné l’importance de l’innovation et de la mobilisation interne pour relever les défis de l’enseignement supérieur.

 

Un nouvel horizon pour l’Université de Maradi

 

En définitive, en inaugurant ces nouvelles infrastructures, l’Université Dan Dicko Dan Koulodo affirme sa volonté de devenir un acteur majeur du développement régional. Ces bâtiments, financés sur fonds propres, témoignent d’une autonomie grandissante et d’une gestion efficace, saluée par les autorités. Cependant, le véritable défi pour l’institution sera désormais de maintenir cette dynamique et de répondre aux attentes pressantes des étudiants et enseignants.

Comment ces nouvelles capacités seront-elles utilisées pour stimuler l’innovation et la recherche ? La réponse à cette question déterminera l’impact réel de ces investissements sur l’avenir de la jeunesse nigérienne.

Tahoua, capitale de la refondation territoriale

Refondation territoriale : un nouveau départ pour l’administration nigérienne et un signal fort pour la gouvernance et la cohésion nationale

C’est à Tahoua, au cœur de l’Ader, que s’est ouvert hier, sous le haut patronage du Premier Ministre Ali Mahaman Lamine Zeine, le grand rendez-vous national des cadres de l’Administration Territoriale. Placée sous le thème « Refondation de l’Administration Territoriale au Niger », cette conférence marque le retour, après plus d’une décennie d’interruption, d’un espace stratégique de réflexion et d’action pour renforcer la gouvernance locale et nationale.

Une mobilisation prestigieuse pour une ambition régionale

 

De fait, la cérémonie d’ouverture a réuni un large éventail de personnalités : membres du CNSP, ministres, gouverneurs, préfets, représentants des pays de l’Alliance des États du Sahel (AES), ainsi que des autorités traditionnelles et universitaires. Cette diversité d’acteurs illustre la dimension diplomatique et territoriale de l’événement, qui dépasse le seul cadre administratif pour s’inscrire dans une dynamique régionale et internationale.

Sous le haut patronage du Premier Ministre, Tahoua devient le centre de la réflexion sur la refondation de l’administration territoriale au Niger.

Le Premier ministre sonne le rassemblement : « Soyez des soldats de la Refondation. »

 

Le Premier Ministre, transmettant le message du Président de la République, a invité les cadres à s’interroger sur leur rôle dans la construction nationale. « Soyez des serviteurs du peuple, des soldats de la Refondation », a-t-il lancé, insistant sur la nécessité de bâtir une administration de proximité, efficace et ancrée dans la confiance avec les citoyens. Par ailleurs, le Ministre d’État, Général de Division Mohamed Toumba, a rappelé que le thème choisi s’aligne sur la vision présidentielle et doit permettre de clarifier les enjeux et les contours de cette refondation.

Tahoua, symbole d’une politique proche du terrain

 

Le choix de Tahoua n’est pas anodin, car il s’inscrit dans une politique de délocalisation des grandes rencontres nationales hors de Niamey. Cette décision rend ainsi hommage aux figures régionales qui ont marqué l’histoire contemporaine du Niger. Pour le Gouverneur, Colonel-major Souleymane Amadou Moussa, cet honneur restera gravé « en lettres d’or » dans les annales de la région.

Objectifs stratégiques : consolider l’État et la cohésion

 

Les travaux de la conférence visent aussi  à :

  • Renforcer les compétences techniques et managériales des responsables territoriaux.
  • Améliorer la coordination entre les niveaux central, régional, départemental et communal.
  • Favoriser une meilleure appropriation des orientations politiques et stratégiques au niveau local.
  • Aborder des thématiques clés telles que la consolidation de la paix, la cohésion sociale, le rôle du représentant de l’État et l’opérationnalisation de la Confédération de l’AES.

Une tradition réactivée au service de la gouvernance

 

Instituée dans les années 1970, la « Conférence des cadres de commandement » avait disparu du calendrier national depuis 2014. Sa relance traduit en fait une volonté politique manifeste : renouer avec un outil de pilotage territorial et de dialogue institutionnel, au service d’un État plus proche et plus efficace.

Sous le haut patronage du Premier Ministre, Tahoua devient le centre de la réflexion sur la refondation de l’administration territoriale au Niger.

Refondation de l’administration territoriale : un signe fort pour l’avenir du Niger

 

En somme, en réactivant cet événement majeur, le gouvernement nigérien envoie un message clair : l’administration territoriale est au cœur de la refondation nationale. Ce rendez-vous de Tahoua ne se limite pas à une simple rencontre, il pose également  les bases d’une nouvelle vision de la gouvernance, plus proche des citoyens et ancrée dans le réel. Reste à savoir maintenant comment les recommandations issues de ces travaux seront mises en œuvre sur le terrain pour concrétiser cette ambition de refondation. N’est-ce pas là le véritable défi à relever pour la construction d’un État plus résilient et prospère?

Protection sociale : le Niger engage une réforme inclusive

Atelier innovant pour booster la protection sociale au Niger : un pas décisif vers un avenir plus équitable

 

Niamey, 9 septembre 2025— Imaginez un pays où chaque citoyen, du plus vulnérable au plus exposé aux aléas de la vie, bénéficie d’un filet de sécurité robuste et accessible. C’est précisément cette vision ambitieuse qui prend forme aujourd’hui, avec le coup d’envoi d’un séminaire enrichissant dédié à l’amélioration des mécanismes de solidarité nationale. Sous l’égide du Ministère de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi, et en partenariat étroit avec l’UNICEF, cette rencontre marque un jalon essentiel dans la quête d’une couverture sociale plus juste et pérenne pour le Niger.

À Niamey, experts, institutions et partenaires s’unissent pour bâtir une protection sociale inclusive et durable.

Des experts réunis pour une synergie solidaire

 

Représentant la ministre Aissatou Abdoulaye Tondi, M. Laouali Haboubacar, Directeur Général du Travail et de l’Emploi, a officiellement inauguré l’événement le lundi. Ce rassemblement, qui s’étendra sur cinq journées intenses, réunit des experts et décideurs issus de multiples secteurs. Tous sont unis par une mission commune : forger des outils plus efficaces pour protéger les populations face aux défis socio-économiques. De plus, cette initiative s’inscrit au cœur d’un programme partagé entre l’UNICEF et le Ministère, conçu pour propulser le pays vers une stratégie de solidarité inclusive, fermement ancrée dans les réalités locales.

Au cœur de l’atelier : de la théorie à l’action

 

Au premier plan de ces échanges figurent les efforts pour affiner les savoir-faire en matière d’élaboration, de déploiement et d’analyse des stratégies et initiatives de solidarité. Par conséquent, les participants s’attellent à peaufiner leurs aptitudes, afin de garantir que ces mesures répondent avec précision aux attentes des Nigériens, en y intégrant une dimension durable et ouverte à tous. Ce séminaire ne se limite pas à un exercice théorique : il vise à transformer les pratiques quotidiennes, notamment en instaurant des protocoles de suivi rigoureux qui mesurent l’impact réel sur le terrain.

 

Une approche globale pour une protection sociale renforcée

 

En outre, un accent particulier est mis sur le renforcement des liens entre institutions, en impliquant activement les soutiens techniques et financiers. Dans un contexte où les ressources sont précieuses, cette synergie promet de multiplier les effets positifs, en évitant les doublons et en maximisant les apports de chacun. Enfin, l’atelier explore les voies d’une harmonisation accrue entre les dispositifs de solidarité, les réponses aux crises humanitaires et les projets de progrès économique, pour une approche holistique qui anticipe les besoins futurs.

À Niamey, experts, institutions et partenaires s’unissent pour bâtir une protection sociale inclusive et durable.

Protection sociale : un engagement durable pour l’avenir du Niger

 

En conclusion, à travers cette démarche proactive, le Ministère réitère son rôle central dans la construction d’un système de protection nationale résilient. Soutenu par l’expertise bienveillante de l’UNICEF, cet élan s’aligne fidèlement sur les aspirations et les urgences du Niger, promettant des retombées tangibles pour une société plus cohérente et solidaire.

Tandis que les débats se poursuivront jusqu’au 12 septembre, on peut déjà entrevoir les contours d’un Niger mieux armé pour affronter les incertitudes, avec une transparence et une efficacité qui inspirent confiance. Reste à savoir si les recommandations de cet atelier se traduiront par des politiques concrètes, capables de transformer durablement le quotidien de chaque Nigérien.