En visite à Maradi, le Chef de l’État a salué les efforts des exploitants du périmètre irrigué de Djirataoua, modèle de résilience et de performance agricole.
Maradi, 18 novembre 2025 — Hier lundi, le Président de la République, Général d’Armée Abdourahamane Tiani, s’est rendu dans la commune rurale de Jiratawa, département de Madarounfa, région de Maradi. Sur le site du périmètre irrigué de Djirataoua, une foule nombreuse et enthousiaste l’attendait, composée de femmes, d’hommes et de jeunes, qui lui a réservé un accueil chaleureux.

Djirataoua : un modèle stratégique confirmé par les Chiffres
La présence du Chef de l’État en ces lieux atteste de la valeur centrale de ce site. Par ailleurs, le périmètre de Djirataoua symbolise une ferme volonté d’améliorer la prospérité des cultivateurs par une nette augmentation des récoltes. Durant sa visite, le Président Tiani a reçu un exposé exhaustif des opérations en cours, lesquelles s’inscrivent dans une approche de développement rural pérenne.
La performance du site se vérifie d’ailleurs par des données marquantes : couvrant 650 hectares et mobilisant 4 227 exploitants (dont 404 femmes), le domaine produit 25 035 tonnes de vivres annuellement (maïs, sorgho, moringa, manioc). Ces résultats démontrent la capacité du périmètre à garantir l’autonomie alimentaire et l’émancipation des communautés paysannes.

Le soutien présidentiel à une agriculture moderne et inclusive
En se déplaçant sur le terrain, le Président Tiani assure l’appui total de l’État aux agriculteurs, en dynamisant les circuits économiques locaux et en améliorant également les équipements du secteur primaire. Ce déplacement à Djirataoua traduit une orientation gouvernementale visant à faire de la culture de la terre un moteur de prospérité partagée et d’équilibre sociétal.
Grâce à l’efficacité de sa gestion et la qualité de ses rendements, le domaine irrigué de Djirataoua a le potentiel de servir de modèle reproductible pour d’autres initiatives à travers le Niger. La présence du Chef de l’État sur le site établit clairement que l’agriculture doit aussi bénéficier d’un soutien ciblé (technique, institutionnel et financier) pour relever les enjeux du progrès.
