Niger-Actions Sociales Archives - Journal du Niger

Niamey : débat public et mobilisation autour du Fonds de Solidarité

À Niamey, une session citoyenne autour du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) a réuni autorités locales et habitants pour renforcer l’adhésion populaire à la contribution volontaire. Une mobilisation exemplaire qui traduit l’engagement de la capitale dans la défense collective et la cohésion nationale.

 

Niamey 13 novembre 2025–À Niamey, la capitale nigérienne s’engage pleinement dans la dynamique patriotique nationale. Ce jeudi, une session interactive a réuni acteurs locaux et citoyens pour décortiquer les récentes avancées du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP). Animée par la Présidente du Fonds et soutenue par les autorités régionales, cette rencontre a cristallisé un consensus fort autour de la contribution volontaire, démontrant ainsi la ferme volonté collective de soutenir la défense de la nation.

 Fonds de Solidarité : une plateforme d’échanges pour ancrer le civisme local

 

Ainsi, au cœur de Niamey, l’événement a favorisé des débats ouverts sur les mécanismes actualisés de dons citoyens, adaptés aux réalités urbaines. Présidée par la figure emblématique du FSSP, la séance a accueilli, notamment, le Général de Division Assoumane Harouna Abdou, Gouverneur de la Région de Niamey, et le Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville. Grâce à leur présence, ces échanges ont clarifié les voies d’adhésion, soulignant par ailleurs comment chaque geste financier renforce les capacités sécuritaires du pays face aux défis actuels.

À Niamey, les citoyens se mobilisent autour du Fonds de Solidarité pour soutenir la défense nationale. Une initiative participative saluée par les autorités

L’engagement municipal : un levier pour la cohésion nationale

 

Poursuivant dans cette lancée, le Colonel Garanké n’a pas mâché ses mots : la municipalité de Niamey s’aligne sans réserve sur cette cause, enracinant l’effort dans les valeurs de devoir et d’unité. Il a déclaré : « C’est un pacte partagé pour protéger notre souveraineté », invitant ainsi les Niaméens à voir dans le FSSP un investissement direct pour la paix et le progrès. De ce fait, cette posture locale amplifie l’appel national, reliant l’action quotidienne à la grande stratégie de résilience.

À Niamey, les citoyens se mobilisent autour du Fonds de Solidarité pour soutenir la défense nationale. Une initiative participative saluée par les autorités

Des contributions spontanées : le symbole d’une adhésion massive

 

L’événement a même culminé avec une vague de dons immédiats de la part des convives, venus de tous horizons. Ce mouvement spontané, au-delà des mots, incarne l’esprit d’une nation soudée : familles, professionnels et leaders communautaires ont concrétisé leur soutien, gonflant les réserves du fonds pour équiper les forces en première ligne. Il s’agit là d’un message clair : la sauvegarde de la patrie n’est pas l’affaire des seuls uniformes, mais de tous.

Par conséquent, cette initiative à Niamey pave la voie à une mobilisation élargie, où la générosité citoyenne devient le socle d’une défense proactive. De plus, dans un contexte de transitions sécuritaires, le FSSP émerge comme un outil inclusif, propice à des partenariats durables. C’est pourquoi les autorités encouragent les contributions via des canaux sécurisés, pour un impact mesurable sur la stabilité.

En conclusion, en plaçant le citoyen au cœur de l’effort national, cette initiative à Niamey illustre une nouvelle forme de patriotisme actif. Le FSSP s’impose ainsi comme un levier de résilience collective, où chaque contribution devient un acte de souveraineté partagée.

À Niamey, les militaires donnent leur sang pour sauver des vies

À Niamey, la Garde Nationale du Niger a organisé une opération de don de sang d’envergure, mobilisant plus d’une centaine de militaires et leurs familles. Cette initiative citoyenne renforce les stocks vitaux du Centre National de Transfusion Sanguine et illustre l’engagement des forces armées dans la promotion de la santé publique.

 

Niamey, 13 novembre 2025 –À Niamey, la Garde Nationale du Niger (GNN) a transformé un geste humanitaire en exemple d’engagement collectif. Ce jeudi, sous l’égide de son Haut Commandant, le Colonel-Major Ahmed Sidian, une centaine de militaires et leurs conjoints ont convergé vers le Centre National de Transfusion Sanguine pour une journée dédiée au don de sang. Saluée par les autorités sanitaires, cette mobilisation renforce les stocks vitaux et démontre la volonté des forces armées de sauver des vies, peu importe la manière.

Une réponse solidaire aux besoins urgents en produits sanguins

 

L’opération, lancée en matinée, a connu une affluence remarquable : gardes nationaux, épouses et familles se succédant aux bras des soignants. Cette mobilisation répondait à un objectif affiché et crucial : pallier les pénuries récurrentes qui menacent les interventions médicales d’urgence au Niger. Illustrant la portée de l’initiative, un participant a commenté : « Chaque don est une bouée de sauvetage pour nos hôpitaux », soulignant ainsi comment cette action dépasse les frontières de l’armée pour toucher l’ensemble de la société.

Don de sang à Niamey : la Garde Nationale du Niger mobilise ses troupes et leurs familles pour renforcer les réserves vitales et promouvoir la santé communautaire.

Reconnaissance officielle pour un leadership exemplaire

 

Face à cette généreuse initiative, le Centre National de Transfusion Sanguine n’a pas tardé à honorer cette implication. Un certificat d’appréciation a été remis au Colonel-Major Ahmed Sidian et au Commandant El Moctar Bouzou, Directeur des Services de Santé et de l’Action Sociale de la Garde. De ce fait, ce geste valorise non seulement l’effort ponctuel, mais aussi une stratégie plus large d’intégration sociale des militaires, car la générosité devient un levier essentiel de cohésion nationale.

Don de sang à Niamey : la Garde Nationale du Niger mobilise ses troupes et leurs familles pour renforcer les réserves vitales et promouvoir la santé communautaire.
Don de sang à Niamey : la Garde Nationale du Niger mobilise ses troupes et leurs familles pour renforcer les réserves vitales et promouvoir la santé communautaire.

Don de sang à Niamey : les forces armées au service de la vie

 

De plus, cette collecte s’inscrit dans une tradition d’initiatives civiques de la Garde Nationale, qui allie rigueur sécuritaire et actions bienfaisantes. En outre, en impliquant les épouses, l’événement a favorisé une participation familiale, sensibilisant à l’importance du don régulier. C’est pourquoi des stands d’information ont complété la journée, expliquant les bénéfices pour les receveurs et les donneurs, dans un pays où la sensibilisation reste un défi majeur.

Forts de cette réussite, les organisateurs appellent les citoyens à suivre l’exemple. Avec des besoins estimés à 50 000 poches annuelles au Niger, chaque geste compte pour booster la résilience sanitaire. La Garde Nationale entend également pérenniser ces actions, là où le patriotisme devient source de vie.

En conclusion, en conjuguant discipline militaire et solidarité nationale, la Garde Nationale du Niger démontre que le service à la patrie dépasse le champ sécuritaire. À travers cette action exemplaire, en effet, elle appelle chaque citoyen à faire du don de sang un réflexe civique, au service de la vie.

Maradi se mobilise : hygiène et unité avant la visite présidentielle

À Maradi, la visite présidentielle du 16 novembre déclenche une mobilisation citoyenne sans précédent. Jeunes, femmes et associations s’unissent pour embellir la ville, transformant l’hygiène urbaine en levier de cohésion nationale. Une dynamique exemplaire qui dépasse l’événement et s’ancre dans une vision durable.

 

Maradi, 12 novembre 2025 — À Maradi, la ferveur patriotique anime les rues en vue de la visite du président Abdourahamane Tiani ce dimanche 16 novembre. Bien plus qu’un simple coup de propre, cette vaste opération d’embellissement mobilise jeunes, femmes et associations autour d’un enjeu majeur : faire de l’hygiène urbaine un levier de renaissance nationale. L’Arrondissement communal 1, en première ligne, illustre en effet comment un événement présidentiel peut susciter un engagement collectif pour un cadre de vie sain et résilient.

Maradi : mobilisation citoyenne avant la visite de Tiani. Hygiène, unité et refondation au cœur de l’action locale.

Une arène de lutte transfigurée en symbole d’unité

 

L’arène traditionnelle Yacouba Ango dit Kantou, futur théâtre du grand meeting, s’est transformée en chantier communautaire. Sous l’impulsion de l’Administrateur délégué Amadou Moustapha Laouel Maïna, habitants des quartiers voisins, élèves et ONG ont uni leurs efforts pour balayer, désherber et sécuriser les abords.
« C’est la fibre nationale qui nous rassemble », confie un participant, soulignant comment ces actions collectives honorent non seulement l’hôte suprême, mais aussi l’héritage culturel de la lutte libre, discipline pilier de l’identité maradienne.

 

Sensibilisation en amont : des réunions pour ancrer le changement à Maradi

 

Avant même le coup d’envoi, des sessions préparatoires ont essaimé l’idée d’une propreté pérenne. Chefs de quartier et groupes féminins, sensibilisés via communiqués et ateliers, ont adhéré massivement, voyant aussi dans cette dynamique un écho à la refondation prônée par le régime. Résultat : une participation spontanée qui s’étend aux avenues et bâtiments publics, pour un Maradi plus propre et plus fluide. Mais cette mobilisation ne s’arrête pas aux préparatifs : elle s’inscrit dans une dynamique durable.

Au-delà du 16 novembre : un engagement pour la santé publique

 

L’Administrateur délégué l’assure : cette vague verte ne s’essoufflera pas après le passage présidentiel. En effet, des campagnes de suivi viseront à éradiquer les dépotoirs sauvages, inspirées d’une opération du 15 octobre qui a déjà fluidifié la circulation locale. En misant sur l’éducation environnementale, Maradi ambitionne  ainsi de réduire les risques sanitaires et de booster le tourisme, alignant hygiène et développement économique dans une vision post-visite.

 

Refondation en actes : Maradi, laboratoire du Niger moderne

 

En somme, cette mobilisation exemplaire positionne Maradi comme modèle de gouvernance participative, où la visite de Tiani sert de catalyseur pour des réformes durables. Dans un pays en pleine transition, elle rappelle que la souveraineté passe aussi par des villes propres et solidaires.
Face à cette dynamique, les autorités locales appellent à maintenir l’élan, pour un Niger où chaque citoyen est acteur de son avenir.

 

Niamey : le Trésor public donne plus de 16 millions au FSSP

 

Niamey, 24 octobre 2025 – Un souffle de solidarité a parcouru les couloirs de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique (DGT/CP) ce vendredi matin. Les agents de l’institution ont officiellement remis une contribution de 16 632 500 francs CFA au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), traduisant ainsi leur adhésion pleine et entière à l’élan patriotique lancé par le président de la République, le général d’Armée Abdourahamane Tiani.

 

À Niamey, les agents du Trésor public versent plus de 16 millions de francs CFA au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie, illustrant l’engagement citoyen face aux défis sécuritaires du Niger.

Trésor public : une mobilisation exemplaire en réponse à l’appel national

 

La cérémonie, organisée dans les locaux de la DGT/CP, s’est déroulée sous la présidence de Mme Seydou Zeinabou Douka, directrice générale de l’institution. Aux côtés des agents du Trésor, Mme Réki Moussa Hassane Djermakoye, présidente du comité de gestion du FSSP, a reçu le chèque symbolique dans une ambiance empreinte de gravité et de cohésion.

Par ailleurs, ce geste s’inscrit dans le prolongement du discours présidentiel prononcé à Tillabéri, appelant chaque citoyen, sans distinction de rang ni de ressources, à contribuer à l’effort national de défense et de relance économique.
« Dans les heures sombres que traverse notre pays, entre menaces sécuritaires et pressions budgétaires, cet élan nous rappelle que nous sommes tous en première ligne », a souligné Mme Douka, saluant une mobilisation qui dépasse les murs de l’administration centrale pour toucher les trésoreries régionales et départementales.

Le Trésor public, pilier de la solidarité nationale

 

Au-delà du montant versé, c’est la dynamique collective qui marque les esprits. Fruit d’une cotisation volontaire des agents, cette contribution illustre aussi un engagement durable. Mme Douka a annoncé que cette initiative ne serait pas ponctuelle, mais inscrite dans la durée, avec des versements réguliers à venir.
« Nous, qui gérons les deniers de l’État au quotidien, ne pouvions rester en retrait face à cet appel à l’unité », a-t-elle déclaré, insistant sur le rôle moral et symbolique de cette démarche.

Émue, Mme Djermakoye a salué ce geste comme une « injection de cœur et d’espérance dans notre combat commun », remerciant les agents du Trésor pour leur exemplarité. Elle a aussi rappelé que le FSSP, destiné à renforcer les capacités des forces armées et à soutenir les populations affectées, puise sa légitimité dans ces contributions citoyennes, devenues le baromètre de la cohésion nationale.

À Niamey, les agents du Trésor public versent plus de 16 millions de francs CFA au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie, illustrant l’engagement citoyen face aux défis sécuritaires du Niger.

Une dynamique qui gagne du terrain

 

Cette remise intervient dans un contexte marqué par des défis sécuritaires persistants. Face à l’adversité, le Niger mise sur la mobilisation interne pour consolider ses défenses. D’autres institutions publiques ont déjà emboîté le pas, tissant un réseau de soutien qui transcende les frontières administratives.

D’ailleurs, cette initiative illustre la vitalité d’un peuple qui choisit la générosité comme réponse à la crise. À l’heure où les besoins en équipements et en aide humanitaire se multiplient, ce versement de plus de 16 millions CFA vient renforcer un fonds en pleine expansion.

La question demeure : combien d’autres contributions verront le jour d’ici la fin de l’année ? À Niamey, l’espoir est grand. Car dans la tourmente, c’est l’union qui fait la force – et la résilience budgétaire.

 

Diffa : 91 ex-membres de Boko Haram repentis

Diffa, 24 octobre 2025 – Dans les étendues arides du Sahel, un souffle d’espoir s’élève. Mercredi dernier, 91 anciens combattants, issus des rangs de Boko Haram et de groupes affiliés, ont officiellement quitté le camp de réinsertion de Goudoumaria. Cette septième promotion du programme national de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) incarne la volonté du Niger de combattre le terrorisme par la reconstruction humaine, en misant sur la réinsertion plutôt que sur la seule riposte militaire.

 

Un serment solennel pour tourner la page

 

Sous un soleil implacable, la cérémonie s’est déroulée en deux temps : d’abord à Goudoumaria, berceau du camp, puis à Diffa, capitale régionale. Devant une assemblée composée d’autorités locales, de leaders communautaires et de familles, les repentis – 40 hommes, 18 femmes et 33 enfants – ont prêté serment sur le Coran, renonçant publiquement à la violence.
« Devant Dieu et les hommes, nous renonçons à jamais aux armes et aux idéologies destructrices », ont-ils proclamé, dans un moment chargé d’émotion, vécu comme une libération collective.

Présidée par le gouverneur de Diffa, le général de division Mahamadou Ibrahim Bagadoma, la cérémonie a été ponctuée par la remise symbolique des kits de réinstallation : outils agricoles, semences, vêtements et aides financières. « Ce n’est pas une fin, mais un recommencement », a-t-il martelé, exhortant les ex-combattants à tenir leur engagement et à reconstruire leur avenir.

Des trajectoires brisées, reconstruites par l’éducation

 

Avant cette sortie officielle, les 91 bénéficiaires ont suivi un parcours exigeant : accompagnement psychologique pour surmonter les traumatismes, formations pratiques en agriculture, couture, élevage et entrepreneuriat.
« Nous avons appris à cultiver la vie plutôt que la haine », confie une mère de famille, rescapée des camps de Boko Haram depuis deux ans.

Le coordonnateur national des initiatives de stabilisation et le procureur de la République auprès du tribunal de grande instance de Niamey ont rappelé avec fermeté que ce serment engage autant la conscience individuelle que le respect des lois.

« Toute rechute sera traitée avec la rigueur de la justice », a prévenu le magistrat, soulignant que la clémence accordée aujourd’hui repose sur une responsabilité durable.

À Diffa, 91 ex-combattants de Boko Haram quittent le camp de Goudoumaria. Le Niger mise sur la réinsertion pour bâtir une paix durable face à l’extrémisme.

Un programme DDR qui fait ses preuves

 

Pilier de la stratégie antiterroriste du Niger, le programme DDR cible les volontaires repentis pour les transformer en acteurs de paix. À Diffa, région meurtrie par les incursions de Boko Haram depuis 2013, plus de 600 bénéficiaires ont déjà été réinsérés. Les résultats sont tangibles : villages apaisés, familles réunies, et une résilience communautaire renforcée face aux discours extrémistes.

Mais les défis restent nombreux. Si les kits remis constituent un tremplin, l’intégration socio-économique exige un accompagnement soutenu : accès à l’emploi, scolarisation des enfants, et vigilance contre la stigmatisation.
« Ces kits sont des semences ; c’est à la société de les arroser », illustre un animateur du programme, appelant ainsi à une mobilisation collective.

Vers un Sahel apaisé, un engagement à la fois

La sortie de Goudoumaria n’est qu’un chapitre d’une stratégie plus vaste : celle d’un Niger qui refuse de céder au fatalisme. En misant sur la déradicalisation, Niamey adresse un message fort à la sous-région : la paix se construit par les cœurs autant que par les armes.

Alors que ces 91 nouveaux citoyens regagnent leurs villages, les regards se tournent déjà vers la prochaine vague. Dans le vent du désert, résonne une promesse : celle d’un avenir où les armes se taisent, et où l’espoir prend racine.

 

Agadez : 3,2 millions de FCFA versés au Fonds de Solidarité

Agadez se mobilise pour la Patrie ! 3,2 millions de FCFA récoltés en un jour pour le FSSP, prouvant qu’à 100 FCFA chacun, l’unité fait la force.

 

Agadez, 17 octobre 2025 – Dans un geste fort d’unité nationale, le gouverneur de la région d’Agadez, le Général de Division Ibra Boulama Issa, a présidé au sein du Gouvernorat une cérémonie solennelle de réception et de remise de contributions au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP). L’événement répondait à l’appel lancé par le Président de la République, Chef suprême des Armées, le Général d’Armée Abdourahmane Tiani. Dès le coup d’envoi des opérations de contributions volontaires de 100 FCFA, une somme totale de 3 256 300 FCFA a été collectée sur place et immédiatement versée au Fonds via la Trésorerie Régionale.

Cette initiative, essentielle au renforcement de la défense nationale face aux défis sécuritaires au Sahel, a vu la participation active de personnalités civiles et militaires. Parmi elles, le Sultan de l’Aïr, Son Altesse Oumarou Ibrahim Oumarou, également président du comité régional de mobilisation pour le FSSP, a apporté son soutien. Préfets, administrateurs de départements et directeurs régionaux ont également répondu présents, illustrant l’unité régionale autour de cette cause patriotique.

La région d'Agadez démontre son unité nationale en collectant plus de 3,2 millions de FCFA, du Gouvernorat aux communautés locales,

Des 100 FCFA qui unissent à Agadez : du Gouvernorat aux communautés Touareg et Peuls

 

La cérémonie a débuté par les premières remises officielles, donnant le coup d’envoi d’une mobilisation exemplaire. Le personnel du Gouvernorat d’Agadez, représenté par le Secrétaire Général Adjoint (SGA), a ouvert le bal, suivi des préfets de plusieurs départements de la région, dont celui d’Arlit. Les administrateurs de départements, ainsi que les groupements Touareg et Peuls, ont ensuite adhéré avec enthousiasme. Des particuliers et des représentants de communautés locales (Ingall, Tchirozérine, Aderbissinat, et la communauté Kawarienne) ont complété ces gestes, témoignant d’une adhésion transversale à l’appel présidentiel.

« Le Gouverneur a donné le ton en initiant ces contributions volontaires de 100 FCFA, un geste simple mais puissant qui mobilise tous les citoyens pour la sauvegarde de notre patrie », a commenté un proche du comité, soulignant comment ces dons modestes, multipliés par des milliers, forgent une chaîne de solidarité inébranlable.

Le FSSP : l’ambition de « bâtir avec ses propres forces »

 

Créé par l’ordonnance nᵒ 2023-13 du 11 octobre 2023, le FSSP vise à collecter des ressources pour soutenir les Forces de Défense et de Sécurité nigériennes dans leur lutte contre les menaces terroristes et pour la préservation de l’intégrité territoriale. Un an après sa création, le fonds continue de recevoir des contributions en numéraire et en nature de la part de structures diverses. À l’échelle nationale, des entreprises comme Niger Telecom ont déjà versé des millions de FCFA, renforçant ainsi la capacité du Niger à « bâtir avec ses propres forces ».

À Agadez, région frontalière et stratégique, cette cérémonie locale s’aligne aussi sur cette dynamique nationale. Le Sultan Oumarou Ibrahim Oumarou a salué l’engagement : « C’est un acte de foi en notre pays, où chaque FCFA compte pour la paix et la sécurité de nos enfants. » Le gouverneur Ibra Boulama Issa a, pour sa part, exhorté les populations à poursuivre cette mobilisation, promettant que ces fonds seront utilisés de manière transparente pour équiper les forces armées.

La région d'Agadez démontre son unité nationale en collectant plus de 3,2 millions de FCFA, du Gouvernorat aux communautés locales,

Agadez : un signal fort pour la cohésion nationale

 

Dans un contexte où le Niger fait face à des pressions sécuritaires persistantes, cette collecte à Agadez résonne comme un message d’unité. Les autorités locales estiment que cette initiative pourrait inspirer d’autres régions, avec un objectif national ambitieux pour le FSSP. « Contribuer, c’est dire au Niger : je suis avec toi », comme le martèle la communication officielle du fonds.

Tandis que les dunes d’Agadez veillent sur cette terre de résistance, cette journée de solidarité marque un tournant dans l’engagement citoyen.

Niger : Le Fonds de Solidarité pour la Patrie (FSSP) s’installe à Agadez

À Agadez, la solidarité prend des allures de mobilisation nationale.  les citoyens répondent massivement à l’appel du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie, porté par le slogan « 100 F pour l’avenir ». Une initiative qui unit autorités, communautés et société civile autour d’un même objectif : défendre la souveraineté du Niger avec les moyens du peuple.

 

Agadez, 17 octobre 2025 – Face à la menace sécuritaire qui pèse sur le Sahel, la mobilisation citoyenne s’intensifie au Niger. Dans ce contexte, le gouverneur de la région d’Agadez, le Général de Division Ibra Boulama Issa, a donné ce vendredi le coup d’envoi officiel des opérations de contributions volontaires au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP). Cet appel, lancé en écho au mot d’ordre du Chef suprême des Armées, le Général d’Armée Abdourahmane Tiani – « 100 F pour la Patrie, un geste pour l’avenir » –, a rencontré un succès retentissant dès ses premières heures.

En effet, la cérémonie, tenue dans l’enceinte du Gouvernorat, a réuni une foule impressionnante : préfets, autorités coutumières, directeurs régionaux et organisations socioprofessionnelles, tous présents pour témoigner de leur adhésion totale. « Chaque franc collecté est une brique pour la défense de notre souveraineté », a déclaré le gouverneur Ibra Boulama Issa, exhortant ainsi les citoyens à faire de ce geste modeste un levier collectif pour l’avenir du Niger.

À Agadez, le Niger lance officiellement le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), avec l’appel “100 F pour l’avenir”. Une mobilisation citoyenne massive soutient l’armée face aux menaces sécuritaires dans le Sahel.

Le Fonds de Solidarité : un don symbolique de 100 FCFA au service de l’Armée

 

Concrètement, le FSSP est un mécanisme destiné à soutenir les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) dans leur lutte contre les menaces terroristes et pour préserver l’intégrité territoriale. Il repose sur des contributions volontaires accessibles à tous : un simple don de 100 FCFA par personne.

Portée par les plus hautes autorités, l’initiative, impulsée par le chef de l’État, vise à « bâtir avec nos propres forces », comme l’a rappelé le gouverneur, insistant sur l’importance de cette mobilisation dans une région frontalière comme Agadez, particulièrement exposée aux tensions sécuritaires.

Dès le lancement, les premiers chèques et enveloppes ont afflué, marquant une synergie rare entre l’État et les citoyens. Les autorités locales ont donné l’exemple, rapidement suivies par des délégations communautaires. « C’est un honneur de contribuer à la sauvegarde de la Patrie ; ce geste unifie nos cœurs et nos efforts », a confié un préfet présent. De leur côté, les autorités coutumières, gardiens des traditions locales, ont joué un rôle pivot, mobilisant leurs communautés.

À Agadez, le Niger lance officiellement le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), avec l’appel “100 F pour l’avenir”. Une mobilisation citoyenne massive soutient l’armée face aux menaces sécuritaires dans le Sahel.À Agadez, le Niger lance officiellement le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), avec l’appel “100 F pour l’avenir”. Une mobilisation citoyenne massive soutient l’armée face aux menaces sécuritaires dans le Sahel.

Le Fonds de Solidarité : une mobilisation qui dépasse les frontières administratives

Au-delà de l’événement, cette mobilisation a incarné un pacte social renouvelé. Des représentants des groupements socioprofessionnels, des associations de femmes et des jeunes ont promis de relayer l’opération dans les villages reculés et les oasis isolées.

« À Agadez, la solidarité n’est pas un mot ; c’est une action quotidienne forgée par l’histoire », a ajouté le gouverneur, tout en appelant à une extension rapide des collectes dans les départements périphériques, notamment Arlit, Tchirozérine ou Ingall.

Par ailleurs, ce lancement s’inscrit dans une dynamique nationale plus large. Alors que d’autres régions préparent des cérémonies similaires, le FSSP émerge comme un symbole de résilience citoyenne et d’autonomie stratégique du Niger, loin des aides extérieures parfois conditionnelles.

Tandis que le sable d’Agadez porte les échos de ces engagements, cet élan pourrait bien inspirer le reste du pays. Reste à savoir si les 100 FCFA par tête deviendront une marée montante pour la sécurité nationale.

 

Niamey : le sang du cœur civique

À Niamey, le don de sang devient un acte civique. Les agents municipaux transforment l’urgence sanitaire en geste de fraternité durable.

Niamey, le 24 septembre 2025— Dans l’intimité de l’infirmerie municipale, où l’air vibre d’une tension palpable mêlée d’altruisme pur, une file discrète d’agents de la Ville de Niamey s’est formée ce matin. Bras tendus, cœurs ouverts, ils ont répondu à l’appel du don de sang – un acte d’une simplicité poignante qui, goutte à goutte, tisse le filet de survie pour des milliers de compatriotes. À l’heure où le Niger ploie sous les défis sanitaires endémiques, cette mobilisation spontanée, impulsée par le Colonel Boubacar Soumana Garanké, premier responsable de la Ville, élève la fraternité au rang de devoir civique impérieux.

Don de sang : un geste vital face à l’urgence nationale

 

Ce geste collectif, survenu aux premières lueurs du jour, n’est pas un épiphénomène isolé, mais l’écho d’une urgence nationale criante. Au Niger, où les besoins en produits sanguins dépassent souvent les capacités de collecte, chaque poche prélevée peut signifier la différence entre l’agonie et la renaissance. Cela est particulièrement vrai pour les femmes en couches, dont sept sur mille succombent encore aux hémorragies postpartum, selon les estimations alarmantes de l’Organisation mondiale de la Santé. Encouragés par leur hiérarchie, ces fonctionnaires – ingénieurs urbains, agents d’entretien, administrateurs zélés – ont incarné l’essence d’un engagement humanitaire viscéral. « Donner son sang, c’est sauver des vies », martèle le communiqué municipal, un rappel solennel que la santé publique n’est pas une abstraction, mais un bien commun à préserver par des actes concrets et généreux.

Face aux pénuries de produits sanguins, la Ville de Niamey mobilise ses agents pour une collecte de sang inédite.

La solidarité, une culture au cœur de l’administration

 

Sous l’égide du Colonel Garanké, figure emblématique de la gouvernance locale qui préside également l’Association des Municipalités du Niger, cette opération s’inscrit dans une dynamique plus large de sensibilisation. Elle témoigne de la résilience d’une administration qui, au-delà des chantiers et des réformes, cultive une culture de la solidarité. Les participants, hommes et femmes anonymes du quotidien niaméen, ont non seulement offert une part d’eux-mêmes, mais ont aussi ravivé la flamme d’une prise de conscience collective. En effet, le sang salvateur manque cruellement pour les accidentés, les opérés et les victimes de crises humanitaires qui jalonnent le Sahel.

Don de sang : un modèle d’espoir pour la communauté

 

À travers cette initiative, la Ville de Niamey se positionne comme un phare de fraternité, invitant chaque citoyen à méditer sur le pouvoir d’un don anonyme. Les agents municipaux, par leur exemple, rappellent que la santé n’est pas un privilège des élites, mais un droit inaliénable, nourri par l’empathie collective. Ensemble, ils forgent un modèle où l’humanité prime sur l’individualisme, transformant les couloirs d’une infirmerie en laboratoire d’espoir partagé.

Au moment où les poches de sang fraîchement collectées rejoignent les réserves vitales des hôpitaux, ce matin de générosité résonne comme un appel lancinant : et vous, prêt à rejoindre la chaîne de la vie ? Suivez les initiatives solidaires sur notre plateforme, car à Niamey, chaque goutte compte pour un Niger plus uni et résilient. Cette initiative exemplaire peut-elle inspirer d’autres villes africaines à faire de la solidarité un pilier de leur gouvernance ?

Lazaret se lève pour Niamey : le civisme à l’aube

À Niamey, des citoyens du quartier Lazaret ont choisi l’action avant le lever du soleil. Balais en main, ils rappellent que la propreté urbaine commence par l’engagement de chacun.

 

Niamey, 19 septembre 2025 — Sous les étoiles encore scintillantes de Niamey, tandis que la capitale sommeille, un groupe de citoyens du quartier Lazaret, dans l’Arrondissement communal Niamey II, a choisi l’action plutôt que le repos. Ce vendredi, armés de balais, de pelles et d’une détermination sans faille, ils se sont levés à l’aube pour transformer leur cadre de vie. Pas de grands discours, pas d’attente de directives : juste des habitants qui, par un geste simple et puissant, rappellent que la propreté de Niamey est l’affaire de tous. Dans une ville qui aspire à briller, ces héros du quotidien incarnent un civisme contagieux, une lueur d’espoir pour une capitale plus propre et plus unie.

Une initiative spontanée à l’impact profond

 

Dans les ruelles du quartier Lazaret, l’atmosphère est électrique. Tandis que la plupart des foyers dorment encore, ces volontaires, hommes et femmes de tous âges, s’activent avec énergie. Leurs outils sont modestes – balais, pelles, brouettes –, mais leur ambition est immense : rendre leur quartier plus sain, plus accueillant, plus digne. Des déchets ramassés aux caniveaux dégagés, chaque geste compte, chaque effort transforme. « Nous ne voulons pas attendre que quelqu’un d’autre agisse. C’est notre maison, notre Niamey », confie l’un des participants, le visage éclairé par la fierté.

En plus, cette mobilisation spontanée n’est pas un acte isolé. Elle s’inscrit dans une vague grandissante de conscience citoyenne à Niamey, où les habitants refusent de se résigner face aux défis environnementaux. Dans un pays où la gestion des déchets urbains reste un enjeu majeur, ces initiatives locales montrent que le changement commence à la base, dans les quartiers, là où bat le cœur de la ville.

À l'aube, les habitants du quartier Lazaret à Niamey ont lancé une opération de nettoyage citoyenne. Une mobilisation exemplaire qui incarne l’esprit du civisme et la volonté de bâtir une capitale plus propre et solidaire.

Un message d’espoir et de civisme

 

L’opération Niamey_Ville_Propre, portée par ces citoyens du Lazaret, est plus qu’une campagne de nettoyage : c’est une leçon de responsabilité collective. En retroussant leurs manches, ces volontaires prouvent en effet que chaque individu, à son échelle, peut faire une différence.

« Leur courage inspire », souligne un riverain, venu observer l’élan collectif. « Ils nous rappellent que la beauté de notre ville dépend de nous tous. »

Leur action résonne comme un appel à l’ensemble des Nigériens. Dans un contexte où la capitale cherche à moderniser son cadre de vie, ces gestes citoyens sont des briques essentielles pour construire une Niamey plus propre, plus verte, plus solidaire. Ils incarnent aussi l’esprit du civisme, celui qui unit les communautés autour d’un objectif commun : un avenir où les rues reflètent la fierté d’une nation.

Une ville qui se transforme, un pas à la fois

 

Tandis que Niamey s’éveille doucement, le quartier Lazaret donne l’exemple. Ces citoyens, qui ont choisi de ne pas dormir mais d’agir, sont les artisans d’une transformation silencieuse mais puissante. Leur message est clair : une ville propre n’est pas un rêve lointain, c’est une réalité à portée de main, forgée par la détermination et la solidarité.

Par ailleurs, d’autres initiatives similaires fleurissent à travers la capitale. Niamey se dessine un avenir où chaque balai brandi, chaque déchet ramassé, est un pas vers une ville plus belle. À Lazaret, ils ne se contentent pas de nettoyer : ils inspirent, ils fédèrent, ils bâtissent.

Le véritable défi, désormais, sera de maintenir cet élan et d’étendre ce mouvement de civisme à tous les quartiers de Niamey, afin de faire de la propreté une habitude collective et durable pour toute la ville.

Coach Michel honoré : la Garde Nationale mise sur le sport féminin

À Niamey, la Garde Nationale du Niger célèbre le dévouement de Coach Michel avec un geste fort : une moto offerte en reconnaissance de son engagement auprès de l’équipe féminine de football. Un symbole de solidarité et d’espoir pour le sport féminin nigérien.

 

Niamey, 16 septembre 2025 – À Niamey, une scène chaleureuse a illuminé le quotidien de la Garde Nationale du Niger (GNN). Dans un élan de solidarité et de reconnaissance, le Haut Commandant de la GNN, le Colonel-Major Ahmed Sidian, a offert une moto flambant neuve à Abdoul Mounir Alhousseini, surnommé Coach Michel, chargé du matériel de l’équipe féminine de football de l’Association Sportive de la Garde Nationale (AS/GNN).

Ce geste, bien plus qu’un simple don, célèbre le dévouement d’un homme de l’ombre dont le travail acharné fait briller les footballeuses nigériennes. Dans un pays où le sport féminin gagne peu à peu ses lettres de noblesse, cette initiative résonne comme un vibrant hommage à ceux qui font avancer l’équipe, sur et en dehors du terrain.

La Garde Nationale du Niger rend hommage à Coach Michel, pilier discret de l’équipe féminine de football de l’AS/GNN, en lui offrant une moto. Un geste qui incarne les valeurs de solidarité et d’engagement au service du sport féminin.

Une cérémonie empreinte de gratitude pour un pilier de l’équipe

 

La remise a eu lieu ce mardi, sous le regard attentif du Commandant Abdouramane Mani, Directeur de l’Information, des Relations Publiques et des Sports de la GNN, et du Commandant Abdouramane Foutah, Secrétaire Général de l’AS/GNN. Entouré de collaborateurs et de proches, Coach Michel a reçu sa moto, symbole de l’appréciation de ses efforts constants.

« Ce don est une reconnaissance de son engagement exceptionnel », a déclaré le Commandant Mani, soulignant l’importance de valoriser les contributions individuelles pour renforcer l’esprit d’équipe.

En tant que responsable du matériel, il veille avec une rigueur exemplaire à ce que l’équipe féminine de football dispose de tout le nécessaire pour performer : des équipements bien entretenus aux logistiques impeccables. Son travail discret mais crucial permet aux joueuses de se concentrer sur leur jeu, renforçant leur cohésion et leurs performances sur le terrain.

 

Un geste qui inspire et renforce les valeurs de la GNN

 

Ce don, initié par le Haut Commandant Ahmed Sidian, va bien au-delà d’une simple récompense. Il incarne aussi les valeurs de discipline, de persévérance et de solidarité qui sont au cœur de la Garde Nationale du Niger. En honorant Coach Michel, la GNN envoie un message fort : chaque effort, même dans l’ombre, compte.

« Ce geste motive chacun de nous à donner le meilleur, au service de notre nation », a souligné un membre de l’équipe présent à la cérémonie.

L’équipe féminine de football de l’AS/GNN, qui porte fièrement les couleurs rouge et jaune de la Garde, bénéficie ainsi d’un élan supplémentaire. Dans un contexte où le sport féminin nigérien cherche à s’imposer, ce type d’initiative montre que le soutien institutionnel peut faire la différence, en valorisant non seulement les joueuses, mais aussi ceux qui œuvrent dans les coulisses.

Le sport nigérien à l’aube d’un avenir prometteur

 

En somme, ce geste de la Garde Nationale résonne comme un symbole d’espoir dans ce Niger qui continue de bâtir son avenir à travers des initiatives alliant tradition et modernité. En soutenant l’équipe féminine de football, la GNN ne se contente pas de promouvoir le sport : elle investit aussi dans l’égalité, la cohésion et l’excellence. Coach Michel, avec sa nouvelle moto, devient un ambassadeur de cette vision, un exemple vivant que le dévouement paie.

À l’approche des prochaines compétitions, les footballeuses de l’AS/GNN savent qu’elles peuvent compter sur un soutien indéfectible, incarné par des figures comme Coach Michel et des leaders comme le Colonel-Major Sidian.

Il reste à observer si ce type d’initiative inspirera d’autres institutions à soutenir le sport féminin, et si l’AS/GNN parviendra aussi à transformer cette reconnaissance en de nouvelles victoires sur le terrain, faisant du sport un véritable moteur de développement et de cohésion nationale au Niger.

 

Agadez : Ingall s’unit pour la Cure Salée dans un élan de solidarité

Sous l’impulsion du Sultan Oumarou Ibrahim Oumarou et de la chefferie locale, des centaines d’habitants d’Ingall ont mobilisé leurs efforts pour nettoyer le site de la Cure Salée. Cette opération de salubrité, mêlant tradition et écologie, promet de placer l’édition 2025 sous le signe de l’unité communautaire et de la préservation environnementale.

 

Agadez, 16 septembre 2025 – À Ingall, la ferveur est palpable. Ce mardi, des centaines d’habitants se sont réunis sur le site emblématique de la Cure Salée pour une opération de salubrité d’envergure, prélude vibrant à la célèbre fête annuelle de 2025. Dans une ambiance de solidarité et d’élan collectif, la commune rurale d’Ingall donne le ton : cette année, la Cure Salée brillera non seulement par sa tradition, mais aussi par son engagement pour un environnement plus propre.

Cure Salée : un appel à la tradition qui mobilise toute la communauté

 

À l’appel du Sultan de l’Aïr, Son Altesse Oumarou Ibrahim Oumarou, et du président de l’Association de la Chefferie Traditionnelle d’Ingall, l’honorable Ahmoudou Ghaliou, la population s’est mobilisée en masse. Hommes, femmes, jeunes et aînés ont répondu présents pour nettoyer le site, un lieu sacré où se déroule chaque année la Cure Salée, rendez-vous incontournable des éleveurs nomades et symbole culturel fort du Niger.

L’opération a réuni un éventail impressionnant de figures locales : le préfet du département d’Ingall, l’inspecteur de douanes Hamed Alkassoum Aidor, l’Administrateur Délégué de la commune, l’officier de police nationale Mamadou Bana, ainsi que des responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS), des chefs traditionnels, des leaders religieux, des représentants de la société civile et des membres des conseils départemental et communal de la jeunesse. Cette union sacrée illustre l’importance de la Cure Salée pour la communauté et son désir de préserver ce patrimoine.

 

Un nettoyage écologique pour un avenir durable

 

Cette initiative de salubrité ne se limite pas à un simple nettoyage. En effet, elle incarne un message fort : la préservation de l’environnement et la valorisation des traditions vont de pair. En nettoyant le site, les habitants d’Ingall préparent non seulement les festivités, mais posent aussi les bases d’une célébration durable et respectueuse de leur environnement. À quelques jours du coup d’envoi de la Cure Salée 2025, cette action collective donne une nouvelle dimension à l’événement, mêlant culture, responsabilité citoyenne et unité communautaire.

« La Cure Salée, c’est notre fierté, notre identité. En nettoyant ce site, nous honorons nos traditions et offrons un avenir plus sain à nos enfants », a déclaré le Sultan Oumarou Ibrahim Oumarou, applaudi par la foule.

Ingall a organisé une vaste opération de salubrité sur le site de la Cure Salée. Autorités traditionnelles, élus et population se sont unis pour allier patrimoine culturel et protection écologique avant la grande fête pastorale.

Cure Salée : une fête qui s’annonce mémorable

 

La Cure Salée, moment de rassemblement des communautés pastorales et de célébration de la richesse culturelle du Niger, attire chaque année des milliers de visiteurs. Cette opération de salubrité, en mobilisant toutes les strates de la société d’Ingall, donne un avant-goût de l’esprit de communion qui caractérisera l’édition 2025. Alors que les préparatifs battent leur plein, la commune envoie un signal clair : la tradition peut rimer avec modernité et responsabilité.

 

À Ingall, la Cure Salée 2025 s’annonce non seulement comme une fête, mais comme un symbole d’unité et d’engagement pour un avenir durable. Rendez-vous est pris pour un événement qui promet d’être inoubliable. Mais cette action isolée sera-t-elle suffisante pour inculquer un changement de mentalité permanent et assurer la pérennité de la tradition face aux défis écologiques grandissants ? La réponse se trouvera dans les actions futures de la communauté.

Niger : Une vague de solidarité pour la patrie à Niamey

Le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie devient le symbole vibrant d’un peuple uni. Des entreprises aux citoyens, les Nigériens multiplient les gestes de soutien, prouvant que la solidarité nationale peut être la plus puissante des réponses face aux défis du moment.

 

Niamey, 15 septembre 2025 – En ces temps où l’unité nationale est plus que jamais essentielle, le Niger vibre au rythme d’un élan patriotique sans précédent. Ce lundi, le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) a de nouveau été le théâtre de contributions généreuses, témoignant de l’engagement indéfectible des Nigériens pour leur pays. Sous la houlette de Mme Réki Moussa Hassane Djermakoye, présidente du comité de gestion du FSSP, et en présence d’Ep Brah Ali, des dons significatifs ont été réceptionnés, illustrant une solidarité à toute épreuve.

Contributions massives : Quand le public et le privé s’unissent au Niger

 

Les apports financiers dévoilés aujourd’hui reflètent la diversité et la détermination des acteurs nigériens. Parmi eux, Airtel-Niger SA s’est distingué avec un versement impressionnant de 195 934 552 FCFA, collectés grâce à un prélèvement de 10 FCFA sur chaque appel et chaque souscription aux forfaits internet et voix. Cette initiative montre clairement l’impact des petites contributions cumulées à grande échelle.

De son côté, l’Autorité de Régulation de la Commande Publique (ARCOP) a également répondu à l’appel de la patrie avec une contribution de 155 466 409 FCFA, issue d’un prélèvement de 10 % sur les recettes provenant de la redevance de régulation. Même les photographes privés, présents lors des cérémonies de réception des dons, ont aussi apporté leur pierre à l’édifice avec un total de 8 000 FCFA (2 000 FCFA par personne). Ainsi, aucun geste n’est trop petit quand il s’agit de soutenir la nation.

Le Niger célèbre un élan patriotique inédit autour du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie.

Le FSSP, symbole de l’unité nationale

 

Ces contributions, qu’elles proviennent de grandes entreprises ou de citoyens ordinaires, témoignent d’un élan collectif qui transcende les frontières sociales et économiques. Chaque franc versé au FSSP est un pas de plus vers la consolidation de la stabilité et du développement du Niger. « Ces gestes prouvent que le cœur du Niger bat à l’unisson pour la sauvegarde de notre patrie », a déclaré Mme Djermakoye, visiblement émue par l’ampleur de la mobilisation.

Dans un contexte où les défis ne manquent pas, cette vague de solidarité est un puissant rappel de la force de l’unité nigérienne. En effet, le FSSP, en canalisant ces efforts, devient un symbole d’espoir et de résilience. Alors que les contributions continuent d’affluer, le message est clair : le Niger est prêt à se relever, main dans la main, pour bâtir un avenir plus fort.

Le Niger, une nation unie pour un avenir commun

 

En conclusion, la mobilisation autour du FSSP illustre une nation soudée, prête à se surpasser pour son avenir. Ces gestes de générosité, petits ou grands, ne sont pas de simples transactions financières ; ils sont le reflet d’un engagement citoyen profond et de la fierté d’appartenir à une patrie qui se relève ensemble. Le FSSP ne se contente pas de collecter des fonds, il incarne aussi l’espoir et la détermination d’un peuple.

 

FSSP et Niger TELECOM : unis pour bâtir un Niger solidaire

 

Niamey, 10 septembre 2025 — Dans l’après-midi du 9 septembre 2025, la salle de conférence de l’École Supérieure des Communications Électroniques et de la Poste (ESCEP) à Niamey s’est transformée en un espace de communion et d’engagement. Le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) y a réuni le personnel de Niger TELECOM pour une rencontre empreinte d’humanité et de ferveur patriotique. Cette initiative, portée par des échanges sincères et une ambition collective, incarne l’élan d’un peuple uni pour reconstruire son avenir.

À Niamey, le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie et Niger TELECOM unissent leurs forces lors d’une rencontre à l’ESCEP, appelant à la mobilisation citoyenne pour bâtir un Niger plus solidaire et résilient.

Le FSSP et Niger TELECOM : un dialogue pour fédérer les énergies

 

En effet, sous la coprésidence de M. Brah Amadou, vice-président du Comité de gestion du FSSP, et de M. Idrissa Djibo Maiga, Directeur général de Niger TELECOM, cette rencontre a mis en lumière l’importance de l’engagement collectif. L’objectif était clair : sensibiliser les employés de l’entreprise aux missions du FSSP et explorer ensemble les moyens de contribuer à ce fonds national.

M. Maiga, dans une allocution vibrante, a salué l’initiative, soulignant que « la solidarité est un acte à la fois personnel et collectif, un pilier pour rebâtir notre nation ».

En outre , cette rencontre s’inscrit dans une série d’échanges menés par le FSSP auprès des différentes couches socioprofessionnelles, visant à tisser un lien fort entre les citoyens et les ambitions du pays.

À Niamey, le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie et Niger TELECOM unissent leurs forces lors d’une rencontre à l’ESCEP, appelant à la mobilisation citoyenne pour bâtir un Niger plus solidaire et résilient.

Transparence et espoir : les clés de la mobilisation nationale

 

Au cœur des discussions, M. Brah Amadou a présenté avec clarté les objectifs du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie. Il a détaillé ses mécanismes de fonctionnement, mettant en avant les mesures de transparence et de redevabilité qui garantissent une gestion rigoureuse des contributions. Ce moment d’échange a permis de rappeler que le FSSP n’est pas seulement un outil financier, mais un symbole d’espoir et de cohésion, incarnant la volonté du Niger de se relever par la force de ses citoyens.

 

Niamey, cœur battant de la solidarité

 

Par ailleurs, en retenant l’ESCEP pour accueillir cette rencontre, le FSSP inscrit son action au cœur d’un site emblématique de la capitale, véritable carrefour où se conjuguent savoir, innovation et engagement. La présence du Directeur général de l’ESCEP, M. Mohamed Abdoul-Latif, aux côtés des agents de Niger TELECOM a également renforcé la dimension symbolique de cet événement. Niamey, ville carrefour, devient ainsi le théâtre d’une mobilisation où chaque contribution, aussi modeste soit-elle, participe à la construction d’un avenir commun.

FSSP et Niger TELECOM : un appel à l’engagement collectif, pour un avenir partagé

 

En somme, cette rencontre, bien plus qu’un simple échange, est un appel à l’action. Elle invite chaque Nigérien, à l’image des employés de Niger TELECOM, à s’investir dans une cause qui transcende les individualités. En plaçant l’humain au centre de ses priorités, le FSSP rappelle que la solidarité est la clé pour surmonter les défis et bâtir un Niger plus fort. Entamées hier à Niamey, les discussions ne constituent qu’une première étape : d’autres rendez-vous sont déjà envisagés afin de poursuivre la mobilisation et de renforcer l’unité autour de cette ambition commune.

L’enjeu demeure de savoir si cet élan de solidarité saura s’inscrire dans la durée, résister aux défis économiques et sociaux qui se profilent, et jeter les bases d’un avenir sûr et prospère pour toutes les générations.

Agadez : les épouses des FDS nettoient les centres de santé

Agadez se mobilisent pour un grand nettoyage solidaire: Les épouses des FDS redonnent éclat aux centres de santé

 

Agadez, 8 septembre 2025 – Le samedi dernier, la ville d’Agadez a vibré d’une énergie solidaire et collective. Sous l’impulsion de l’épouse du Gouverneur de la région, une foule d’épouses des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) s’est mobilisée pour une vaste opération de salubrité dans deux établissements phares : le Centre Hospitalier Régional et le Centre Mère et Enfant. En fait, cette initiative allie engagement citoyen et volonté de transformer les espaces de santé en lieux accueillants pour tous.

Une vague de propreté déferle sur les hôpitaux

 

Dès 7 h 30, l’élan communautaire s’est mis en marche au Centre Hospitalier Régional. Armées de balais, de pelles et d’une détermination sans faille, ces femmes ont entrepris un grand nettoyage, désherbant les abords, récurant la morgue et redonnant une nouvelle vie à la cour de l’hôpital. Par la suite, leur périple s’est poursuivi au Centre Mère et Enfant, où elles ont continué leur mission avec le même zèle, ramassant les déchets et balayant les espaces pour offrir un environnement sain aux patients.

À Agadez, les épouses des Forces de Défense et de Sécurité mènent une opération de salubrité dans deux établissements hospitaliers, illustrant une mobilisation citoyenne exemplaire pour le bien-être communautaire.

Les épouses des FDS : Une collaboration exemplaire pour la communauté

 

Au-delà du simple nettoyage, cette journée a été marquée par un moment fort : une visite guidée de la pédiatrie du Centre Mère et Enfant, menée par le Dr Wagé, responsable de l’établissement. Par ailleurs, cette immersion a permis aux participantes de mieux comprendre les besoins des jeunes patients et de renforcer leur engagement envers la communauté.

Cependant, l’opération n’aurait pas connu un tel succès sans le soutien actif de l’administrateur délégué de la Commune Urbaine d’Agadez, le Chef de Bataillon Assarid Almoustapha. Présent tout au long de l’activité, il a mis à disposition des outils essentiels (brouettes, balayettes, tricycles et matériel aratoire) facilitant ainsi le ramassage et l’évacuation des ordures. Cette collaboration exemplaire illustre la force d’une communauté unie pour le bien-être collectif.

Un symbole fort pour l’avenir d’Agadez

 

En somme, à Agadez, cette initiative portée par les épouses des FDS n’est pas qu’un simple nettoyage : c’est un symbole d’espoir et de solidarité, une promesse d’un avenir où les lieux de soin brillent par leur propreté et leur humanité.

Cette mobilisation exemplaire pourrait-elle ouvrir la voie à une dynamique citoyenne durable, capable d’inspirer l’ensemble de la région d’Agadez à s’unir autour d’autres défis communautaires et à bâtir des solutions collectives ?

L’OIM et le Niger unissent leurs forces pour les plus vulnérables

Niger : L’OIM et le gouvernement scellent un partenariat renforcé pour la solidarité nationale

 

Niamey, 3 septembre 2025 — Dans un élan de coopération prometteur, l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) a marqué un jalon important le mardi 2 septembre 2025 à Niamey. En effet , lors d’une visite de courtoisie empreinte de cordialité, la cheffe de mission de l’OIM au Niger a rencontré la ministre de la Population, de l’Action Sociale et de la Solidarité Nationale, Pr. Sidikou Ramatou Djermakoye Seyni. Cette entrevue a réaffirmé l’engagement indéfectible de l’organisation à soutenir les ambitions du Niger en matière de protection sociale et d’assistance humanitaire, tout en consolidant un partenariat stratégique au service des communautés les plus vulnérables.

À Niamey, l’OIM et la ministre nigérienne de l’Action Sociale ont renforcé leur partenariat pour améliorer la protection sociale et l’aide humanitaire. Une coopération stratégique au service des communautés fragilisées.

Alignement des priorités : l’OIM au service des besoins nigériens

 

Au cœur des discussions, l’OIM a réitéré sa volonté d’aligner ses actions sur les priorités définies par l’État nigérien. Par ailleurs, cette démarche vise à garantir des interventions cohérentes, durables et adaptées aux besoins réels des populations, dans un contexte marqué par des défis humanitaires et migratoires complexes. La ministre Seyni, figure clé de l’action sociale au Niger, a salué cette approche collaborative, qui promet aussi de renforcer les mécanismes de réponse aux crises et de promouvoir le bien-être des citoyens.

Ce tête-à-tête illustre la dynamique d’une coopération fructueuse entre les autorités nationales et l’OIM, un acteur incontournable dans la gestion des migrations et l’aide humanitaire. En s’appuyant sur des axes stratégiques communs, les deux parties ambitionnent de bâtir des solutions pérennes, capables de répondre aux enjeux de protection sociale tout en favorisant l’inclusion et la résilience des communautés.

Des engagements concrets pour des solutions durables

 

Si cette rencontre marque une étape symbolique, elle ouvre surtout la voie à des initiatives concrètes, où l’expertise de l’OIM et la vision du gouvernement convergeront pour un impact tangible. Alors que le Niger continue de naviguer dans un environnement régional complexe, ce partenariat renouvelé incarne un espoir de progrès, porté par une volonté partagée de placer les besoins des populations au cœur de l’action. La question qui se pose désormais est la suivante : cette collaboration sera-t-elle le catalyseur de solutions concrètes et durables face aux défis humanitaires et migratoires, ou restera-t-elle une simple déclaration d’intention ?

Solidarité nationale : Canal+, ARCEP et citoyens unis pour le FSSP

Solidarité nationale en action : le FSSP reçoit un nouveau souffle citoyen et institutionnel à Niamey

 

Niamey, 20 juillet 2025 Dans un élan de mobilisation qui ne faiblit pas, le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) continue de cristalliser l’engagement des Nigériens autour d’un idéal commun : la résilience nationale. En effet, ce matin, Mme Reki Moussa Hassane Djermakoye, Présidente du Comité de gestion du Fonds, a réceptionné une série de contributions symboliques et substantielles, illustrant la diversité des soutiens, du secteur privé aux citoyens engagés.

 

 

Canal+ : quand la solidarité passe par l’abonnement

 

Parmi les contributions notables, Canal+ a versé la somme de 893 550 FCFA, correspondant au prélèvement mensuel de 10 FCFA par abonné à une formule télévisuelle souscrite pour le mois de juin. Ce geste discret mais puissant, entièrement pris en charge par la société, démontre que les entreprises peuvent intégrer la solidarité dans leur modèle économique.

Femmes engagées : les Ambassadrices du Niger en action

 

Dans une démarche volontaire et militante, le collectif des Ambassadrices Grandes Dames a remis 125 000 FCFA au FSSP. Leur engagement dépasse la simple contribution financière, car elles s’investissent activement dans la sensibilisation et la mobilisation communautaire, incarnant ainsi une solidarité féminine structurée et influente.

Le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie reçoit un soutien croissant des institutions, entreprises et citoyens nigériens.

L’ARCEP donne le ton : un soutien institutionnel majeur

 

De son côté, l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et de la Poste (ARCEP) a apporté une contribution majeure de 60 445 198 FCFA, issue du prélèvement de 10 % sur les recettes des redevances annuelles versées par les opérateurs. Ce soutien institutionnel témoigne de la volonté des régulateurs de participer activement à la sauvegarde nationale.

 

La force du don citoyen : l’exemple d’un enseignant

 

Enfin, dans un geste profondément symbolique, Abdramane Boubacar, enseignant à l’école Dar-Salam 2, a versé 2 500 FCFA au Fonds. Ce don modeste mais chargé de sens rappelle que la solidarité nationale se construit aussi à partir des contributions individuelles, portées par conviction et engagement.

Le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie reçoit un soutien croissant des institutions, entreprises et citoyens nigériens.

Le Fonds de Solidarité : le reflet d’un Niger résilient et uni

 

Ces contributions, aussi diverses que complémentaires, illustrent une dynamique collective où chaque acteur — institution, entreprise, citoyen — joue sa partition pour renforcer la cohésion nationale. Le FSSP devient le miroir d’un Niger qui refuse la résignation et choisit l’unité comme levier de transformation.

Alors que le fonds continue de recueillir les dons de toutes parts, une question se pose : cette vague de solidarité suffira-t-elle à bâtir les fondations d’un Niger prospère et résilient, capable de faire face aux défis de demain ?

À Agadez, l’État se mobilise pour la sécurité alimentaire

Une bouffée d’espoir pour les ménages d’Agadez : lancement des ventes de céréales à prix réduits

 

Agadez, 19 août 2025 Ce mardi, la ville d’Agadez a vibré au rythme d’une initiative majeure pour la sécurité alimentaire. Sous la houlette du Gouverneur de la région, le Général de Division Ibra Boulama Issa, la cérémonie de lancement des opérations de Vente de Céréales à Prix Modérés (VCPM) et de Distribution Gratuite Ciblée (DGC) s’est tenue dans l’enceinte prestigieuse du Sultanat de l’Aïr. En fait, cette opération, entièrement financée par les fonds publics de l’État via l’Office National des Produits Vivriers, marque un engagement fort en faveur des populations vulnérables.

Agadez : 3 000 tonnes de céréales pour les plus démunis

 

En effet , l’initiative a pour objectif principal d’apporter un soulagement immédiat à 15 100 ménages, soit environ 105 700 personnes, qui se trouvent en situation d’insécurité alimentaire modérée. Pour ce faire, les autorités distribueront un total de 3 020 tonnes de céréales en deux phases, avec 1 510 tonnes par étape. Les vivres qui seront fournis comprennent 1 030 tonnes de riz et 480 tonnes de mil, de sorgho et de maïs.

Par ailleurs, les autorités ont fixé des prix volontairement accessibles pour ces céréales : 13 000 FCFA pour un sac de 100 kg de mil, de sorgho ou de maïs, et 11 000 FCFA pour un sac de 25 kg de riz, ce qui permet aux familles de se procurer des denrées essentielles à moindre coût.

À Agadez, le Niger lance une vaste opération de distribution de céréales pour soutenir plus de 100 000 personnes en situation d’insécurité alimentaire.

Une réponse concrète pour un futur plus résilient

 

Cette opération s’inscrit dans une volonté de l’État de soutenir les populations face aux défis économiques et climatiques. En mettant à disposition des céréales à des tarifs subventionnés, le programme vise aussi à garantir un accès équitable aux produits de première nécessité tout en renforçant la résilience des communautés. La Distribution Gratuite Ciblée, quant à elle, complète cette démarche en offrant un appui direct aux ménages les plus démunis.

Une cérémonie sous le signe de la solidarité à Agadez

 

L’événement s’est déroulé en présence de figures marquantes de la région, dont le Secrétaire Général de la région d’Agadez, le préfet du département de Tchirozérine, ainsi que Son Altesse Oumarou Ibrahim Oumarou, Sultan de l’Aïr. Leur présence a conféré à la cérémonie une dimension symbolique, soulignant l’unité des autorités dans cette lutte contre l’insécurité alimentaire.

En posant les bases d’une aide alimentaire structurée et accessible, cette initiative illustre l’engagement du Niger à protéger ses citoyens les plus vulnérables. À Agadez, ce 19 août 2025 restera gravé comme le point de départ d’une action solidaire, portée par une vision d’équité et de soutien aux plus démunis. Cette opération va-t-elle permettre au Niger de lutter durablement contre la faim et d’assurer une meilleure qualité de vie pour sa population ? Quel sera le rôle des acteurs locaux pour garantir l’efficacité et la pérennité de ce programme ?

Dosso : 2.790 tonnes de vivres pour les plus vulnérables

Dosso lance l’opération vivres à prix modérés : un rempart solidaire contre l’insécurité alimentaire

 

Dosso, 19 août 2025 Dans un contexte marqué par des disparités agricoles, malgré une campagne agropastorale globalement excédentaire, la Région de Dosso a donné le ton d’une réponse concrète et solidaire. Ainsi, dans l’enceinte de la Mairie de Dosso, le Gouverneur Colonel-major Bana Alhassane a officiellement lancé l’opération de vente de céréales à prix modérés pour l’année 2025. Cette initiative s’est déroulée en présence des autorités locales, des Forces de Défense et de Sécurité, et de nombreux invités.

 

Une bouée de sauvetage pour les villages vulnérables de Dosso

 

Face aux 2 444 villages déficitaires recensés à l’échelle nationale, dont certains à plus de 50 %, le Gouvernement nigérien, sous l’impulsion du Président de la République, le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, et du Premier Ministre Ali Mahamane Lamine Zeine, déploie une stratégie d’urgence pour soutenir les populations les plus exposées à l’insécurité alimentaire.

À Dosso, ce sont 2 790 tonnes de vivres — riz, mil, maïs et sorgho — qui seront distribuées à prix réduits dans les chefs-lieux de communes et leurs centres secondaires. Cette distribution vise à garantir une couverture territoriale équitable et à cibler les ménages les plus vulnérables.

La Région de Dosso a lancé une vaste opération de vente de céréales à prix modérés pour lutter contre l’insécurité alimentaire.

Transparence et équité au cœur de la distribution

 

Le Gouverneur Bana Alhassane a souligné que cette opération se fera en détail, avec une mesure locale, pour permettre aux ménages démunis de se ravitailler durablement. Les prix sont ainsi fixés à 13 000 FCFA pour le sac de 100 kg de mil, de sorgho ou de maïs, et à 11 000 FCFA pour le sac de 25 kg de riz.

De plus, des comités de vente, institués par acte administratif du Préfet, veilleront à la transparence et à la bonne conduite de l’opération. Le Gouverneur a appelé à la responsabilité collective des acteurs impliqués, insistant sur la nécessité d’une gestion rigoureuse et solidaire.

 

 Dosso : un appel à la vigilance contre les abus

 

L’administrateur délégué de la Commune urbaine de Dosso, M. Ibrahim Moussa Kouré, s’est félicité du choix porté sur sa commune pour le lancement, tout en mettant en garde contre les commerçants véreux susceptibles de détourner l’opération à des fins lucratives. Cette mise en garde souligne les défis de mise en œuvre et le besoin de rigueur pour que cette initiative atteigne véritablement les personnes dans le besoin.

Cette opération représente un pas important dans la lutte contre la précarité alimentaire, mais elle soulève aussi des questions cruciales. Les autorités mettront en place des mécanismes de contrôle pour empêcher tout détournement de l’aide. Mais surtout, elles devront instaurer des solutions durables afin que la région de Dosso, comme l’ensemble du Niger, ne reste pas tributaire d’interventions d’urgence répétées.

Niamey : 99 imperméables pour la Police, un geste citoyen sous la pluie

Niamey : 99 imperméables, un geste de pluie et de patriotisme au profit de la Police Nationale

 

Niamey, 18 août 2025 Dans une capitale battue par les averses, un geste discret mais profondément symbolique vient renforcer les rangs de ceux qui veillent sur la sécurité publique. En effet, ce matin, dans la salle de réception du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), le Vice-président du Comité de gestion, M. Brah Amadou, a procédé à l’affectation officielle d’un lot de 99 imperméables, généreusement offerts par une bonne volonté, à la Police Nationale.

À  Niamey, le FSSP a remis 99 imperméables à la Police Nationale, un don patriotique salué par les forces de sécurité en pleine saison pluvieuse

Une dotation vitale en pleine saison des pluies

 

D’une valeur estimée à 1 366 666 F CFA, ces imperméables – communément appelés raglans – arrivent à point nommé pour équiper les agents en service. En effet, ces derniers sont souvent exposés aux intempéries dans l’exercice de leurs missions. La remise s’inscrit dans une dynamique de soutien concret aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS), portée par le FSSP depuis sa création.

 

Don de 99 imperméables : un geste de reconnaissance salué par les bénéficiaires

 

En recevant le matériel, l’officier de police Ismaël Boubacar n’a pas caché son émotion. Il a exprimé sa « profonde gratitude aux contributeurs pour ce geste hautement patriotique », soulignant qu’il s’agit d’un appui tangible à la résilience des forces de sécurité. Il a également transmis les salutations des responsables de la Police Nationale, qui voient dans cette dotation un signe de reconnaissance et de solidarité nationale.

Le FSSP, catalyseur d’un élan citoyen

 

Par ailleurs, ce geste s’ajoute à une série d’initiatives similaires menées par le FSSP, qui multiplie les actions de proximité et les contributions en nature au profit des FDS et des familles endeuillées. À travers cette affectation, le Fonds réaffirme son rôle de trait d’union entre les citoyens engagés et les institutions républicaines, dans un contexte où chaque acte de solidarité compte.

À Niamey, sous les nuages, la solidarité prend la forme d’un imperméable. Mais cette simple dotation ne symbolise-t-elle pas un changement plus profond ? Ne montre-t-elle pas que la sécurité est désormais une affaire collective, où l’État et la société civile unissent leurs forces pour faire face aux défis ?

L’entreprise Morey fait un don stratégique à Niamey

Niamey : une donation d’équipements de l’entreprise Morey révolutionne la modernisation de la capitale

 

Niamey, 15 août 2025 La ville de Niamey a franchi un pas décisif vers sa transformation grâce à un don généreux de l’Entreprise Morey. En effet, ce vendredi, une chargeuse et une niveleuse, flambant neuves, ont été offertes à la municipalité. Ce geste, salué comme un acte de patriotisme exemplaire, illustre une vision partagée pour un Niger moderne et prospère.

Ces nouveaux engins vont changer le visage de la capitale à l’entreprise Morey 

 

Ces équipements de travaux publics, désormais à la disposition de la municipalité, vont révolutionner la gestion des infrastructures urbaines. Destinés à la réhabilitation des routes, à l’entretien des équipements publics et aux interventions d’urgence, ces engins renforceront la capacité de Niamey à offrir un cadre de vie plus fonctionnel et agréable à ses habitants. Par conséquent, cette donation répond directement aux besoins pressants de la capitale en matière de modernisation.

L’Entreprise Morey offre deux engins à Niamey, marquant un tournant dans la modernisation urbaine et le partenariat public-privé.

La municipalité honore un partenariat public-privé exemplaire

 

Lors de la cérémonie de remise, le Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville de Niamey, a exprimé sa profonde gratitude envers l’Entreprise Morey. Dans ce sens, il a décerné un certificat officiel de reconnaissance à son PDG, Elhadj Moussa Morey, scellant ainsi un partenariat solide entre la municipalité et le secteur privé. Ce geste symbolique souligne l’importance de la collaboration pour le développement de la ville.

Un appel à l’engagement citoyen et au patriotisme économique

 

Le Colonel Garanké a profité de l’occasion pour lancer un appel solennel aux acteurs économiques, entrepreneurs et citoyens engagés. Il a ainsi déclaré : « Que ce don inspire d’autres initiatives similaires », insistant sur la nécessité d’une mobilisation collective pour bâtir un Niger digne et souverain. Selon lui, seul l’engagement des « vrais fils et filles » du pays permettra de réaliser cette ambition.

Bien plus qu’un geste technique, ce don traduit une démarche profondément humaine. Il incarne une vision d’unité et de responsabilité patriotique. En équipant Niamey pour relever ses défis urbains, l’Entreprise Morey pose un jalon pour d’autres acteurs souhaitant contribuer à l’essor de la nation.

Ce geste est un appel à l’action pour une collaboration inédite entre le secteur privé et les autorités. Sera-ce l’étincelle qui allumera un vaste mouvement de solidarité économique au service du développement du Niger ?

Agadez : l’UNICEF évalue ses projets pour un impact durable

Agadez : une alliance renforcée entre l’UNICEF et les autorités pour les enfants du Niger

 

Agadez, 13 août 2025 La région d’Agadez a été le théâtre d’une rencontre significative entre le Secrétaire Général régional, M. Souleymane Seidou Boulhassan, et la Représentante Résidente de l’UNICEF au Niger, Mme Djanabou Mahonde. En effet, cette visite, loin d’être un simple échange protocolaire, illustre l’engagement commun à soutenir les initiatives pour le bien-être des enfants dans une région clé du pays.

Lors d’une visite officielle à Agadez, l’UNICEF et les autorités régionales ont réaffirmé leur engagement commun pour améliorer l’éducation, la santé et la protection des enfants nigériens.

Évaluer les projets pour un impact durable

 

Mme Mahonde, en déplacement professionnel à Agadez, a partagé les grandes lignes de sa visite. Celle-ci est centrée sur l’évaluation des programmes de l’UNICEF à travers le bureau régional local. Par ailleurs, cette mission s’inscrit dans une démarche régulière de suivi des actions menées à l’échelle nationale, avec un accent particulier sur les projets éducatifs, sanitaires et de protection destinés aux enfants d’Agadez. En outre, l’objectif est clair : garantir que ces initiatives aient un impact durable et répondent aux besoins des communautés.

Une collaboration régionale exemplaire

 

Au cours de cet entretien, la représentante de l’UNICEF a tenu à exprimer sa profonde reconnaissance envers les autorités d’Agadez pour leur soutien constant. Elle a salué leur disponibilité et leur engagement, qui facilitent grandement la mise en œuvre des projets sur le terrain. Cette coopération étroite est essentielle pour assurer le succès des programmes en faveur des jeunes Nigériens.

Cette rencontre, bien que qualifiée de visite de courtoisie, témoigne de l’importance de la collaboration entre l’UNICEF et les autorités régionales. Elle pose les bases d’un partenariat solide, au service des enfants et des familles d’Agadez, dans un esprit de progrès et de solidarité. Mais cette synergie peut-elle servir de modèle à d’autres régions, et comment une telle collaboration pourrait-elle garantir un avenir meilleur pour tous les enfants du Niger ?

Diffa s’embrase pour la patrie : Tcheton Kassa mobilise les cœurs

Diffa : « Tcheton Kassa » lance une vague de solidarité pour la défense de la nation

 

Diffa, 7 août 2025 Une vague de solidarité a déferlé sur Diffa ce jeudi, lors du lancement vibrant de l’initiative « Tcheton Kassa », portée par le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP). À 16 h 00, devant le palais du Chef de canton, une foule enthousiaste s’est rassemblée pour célébrer ce projet fédérateur, symbole d’unité et d’engagement citoyen pour la défense de la nation.

À Diffa, le lancement de l’initiative "Tcheton Kassa" par le FSSP suscite une mobilisation citoyenne exemplaire, portée par un élan patriotique et une solidarité active pour la sauvegarde du Niger.

« Tcheton Kassa »: Un mouvement citoyen pour l’unité nationale

 

L’initiative « Tcheton Kassa », déjà couronnée de succès à Zinder, s’implante désormais à Diffa avec un objectif : galvaniser les énergies autour des valeurs patriotiques et mobiliser les citoyens pour soutenir la résilience du Niger. En effet, sous la houlette de la Présidente du Comité de gestion du FSSP, accompagnée du Secrétaire Général et du Chargé de communication adjoint, la cérémonie a marqué une nouvelle étape dans l’expansion de ce mouvement à travers le pays. En mobilisant les communautés locales, « Tcheton Kassa » aspire à renforcer la cohésion nationale face aux défis sécuritaires et sociaux.

Le soutien massif des autorités et de la population de Diffa

 

Par ailleurs, le Gouverneur de la région de Diffa, entouré de ses collaborateurs, a rehaussé l’événement de sa présence, témoignant de l’appui indéfectible des autorités locales à cette cause. De même, la population, venue en masse, a exprimé son adhésion par des applaudissements nourris et une participation active. Ce soutien populaire illustre la résonance de l’initiative dans une région souvent confrontée à des défis majeurs, mais résolue à contribuer à l’effort national.

À Diffa, le lancement de l’initiative "Tcheton Kassa" par le FSSP suscite une mobilisation citoyenne exemplaire, portée par un élan patriotique et une solidarité active pour la sauvegarde du Niger.

Un appel au patriotisme et à la mobilisation

 

Dans son allocution, la Présidente du FSSP a captivé l’audience en rappelant les ambitions de « Tcheton Kassa » : encourager la participation citoyenne, ancrer le patriotisme dans les cœurs et mobiliser des ressources pour la sauvegarde du pays. Elle a salué la ferveur de Diffa, une région qu’elle a qualifiée d’exemplaire dans son engagement, tout en exhortant les habitants à faire vivre ce projet par leur implication quotidienne.

 

L’émotion a atteint son paroxysme lorsque les participants ont spontanément contribué à la collecte organisée sur place. En quelques instants, un montant de 574 575 francs CFA a été réuni, un geste fort qui traduit l’élan solidaire des habitants de Diffa. Cette somme, bien plus qu’un chiffre, symbolise la détermination collective à soutenir les efforts pour la sécurité et le développement du Niger.

L’engagement citoyen : l’avenir du Niger en marche ?

 

Le lancement de « Tcheton Kassa » à Diffa s’inscrit dans une stratégie ambitieuse du FSSP visant à étendre cette initiative à l’ensemble du territoire nigérien. En s’appuyant sur des valeurs d’unité et de résilience, le Fonds consolide son rôle de catalyseur pour une nation plus forte et solidaire. Ce moment historique à Diffa restera gravé comme un exemple de mobilisation citoyenne au service de la patrie.

La question est désormais de savoir si cette vague de solidarité parviendra à s’ancrer durablement dans toutes les régions, et comment le Niger parviendra-t-il à transformer cet élan de patriotisme en actions concrètes et pérennes pour surmonter les défis de sécurité et de développement auxquels il est confronté ?

 

 

Niger : 14 bus pour l’éducation, un don qui roule vers l’avenir

Niamey : 14 bus pour la jeunesse, un élan solidaire célébré avec ferveur

Niamey, 01 août 2025 – La capitale nigérienne a vibré le jeudi au rythme d’une cérémonie empreinte de gratitude. Ali Mahamane Lamine Zeine, Premier ministre, a réceptionné, au garage administratif de Niamey, une flotte de 14 bus flambant neufs, offerts par les compagnies de transport Rimbo et STM. Ce geste fort, dédié à la jeunesse étudiante, illustre une solidarité nationale à toute épreuve dans un contexte de refondation.

 14 bus : Un don majeur pour le futur de l’éducation nigérienne

 

Ces 14 véhicules, remis avec éclat, ne sont pas de simples moyens de transport. En effet, ils incarnent une promesse : celle d’accompagner les étudiants nigériens dans leur quête de savoir. Destinés à faciliter leurs déplacements quotidiens, ces bus renforceront l’accès à l’éducation, pilier du développement national.

« Ces outils seront choyés et mis au service de notre jeunesse, fer de lance de demain », a assuré Ali Mahamane Lamine Zeine, soulignant l’engagement de l’État à optimiser cette précieuse contribution.

Rimbo et STM offrent 14 bus flambant neufs pour soutenir les étudiants nigériens, un geste fort salué par Ali Mahamane Lamine Zeine dans un contexte de refondation nationale.

Rimbo et STM, des partenaires indéfectibles de la Nation

 

Par ailleurs, ce don n’est pas un coup d’essai pour Rimbo et STM. Déjà l’an passé, ces entreprises avaient répondu présentes, prouvant leur attachement indéfectible à la cause nationale. En renouvelant leur geste, elles s’inscrivent comme des alliées précieuses d’un Niger en quête de progrès.

« Leur fidélité à l’appel de la Nation force l’admiration », a déclaré le ministre , saluant leur sens du devoir et leur patriotisme.

Le leadership et la reconnaissance au cœur de la cérémonie

 

La réception de ces bus s’inscrit dans un rituel solennel, celui de célébrer les acteurs qui soutiennent la vision d’un Niger uni et prospère. En présence des officiels, cette remise a permis de réaffirmer les liens forts entre le secteur privé et les aspirations collectives. Au nom du Général d’Armée Abdourahamane Tiani, président de la République, Ali Mahamane Lamine Zeine a exprimé une gratitude profonde, teintée de spiritualité : « Que le Créateur les comble de bénédictions pour leur générosité sans faille. »

 

L’Éducation en marche : un pas de plus pour les étudiants avec ses 14 bus

 

Ce don, aussi pratique que symbolique, s’ajoute aux efforts continus pour doter le système éducatif de moyens modernes. Les 14 bus, bientôt déployés, promettent de désenclaver le parcours des étudiants, en particulier ceux confrontés à des défis logistiques et financiers. En agissant ainsi, les entreprises Rimbo et STM rappellent que le développement du Niger repose sur une synergie entre toutes les forces vives de la Nation, où chaque contribution est un maillon essentiel de la chaîne de solidarité. Ce geste, bien plus qu’un simple don, est un investissement concret dans l’avenir du pays.

Rapatriement à Agadez : 2 000 migrants nigérians regagnent Kano

Agadez : Une opération humanitaire d’envergure pour rapatrier les migrants nigérians

Agadez, 8 juillet 2025 – Dans le sable brûlant d’Agadez, carrefour migratoire du Niger, une page se tourne. En effet, le lundi 7 juillet 2025, un nouveau vol affrété par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a décollé, emportant à son bord une partie des quelque 2000 migrants nigérians, majoritairement des femmes et des enfants, vers Kano, au Nigeria. Cette opération, fruit d’une collaboration sans précédent entre les autorités nigériennes et nigérianes, répond à une crise humanitaire et sécuritaire qui a secoué le quartier Tekazam d’Agadez. Entre espoirs brisés, tensions communautaires et engagement humanitaire, cette initiative marque un tournant décisif pour la région.

À Agadez, le rapatriement de migrants nigérians initié par l’OIM marque une réponse humanitaire concertée à une crise locale,Une crise aux portes du désert

Depuis plusieurs mois, le quartier Tekazam, situé aux abords du centre de transit de l’OIM à Agadez, était devenu le théâtre d’une situation intenable. Près de 2 000 migrants, originaires de diverses localités du Nigeria, s’étaient installés dans cette zone, attirés par la perspective d’une prise en charge par l’OIM, incluant un retour assisté dans leur pays et un soutien pour se réinstaller ou lancer une activité économique. Cependant, cette population dite « flottante » a rapidement bouleversé la vie des habitants locaux.

Les plaintes se sont multipliées, relayées par le chef du quartier, la mairie et même le gouvernorat. Ainsi, vols, dépravation des mœurs, agressions et viols ont été signalés, transformant Tekazam en un foyer de tensions. En outre, La situation a atteint son paroxysme début juin 2025, lorsqu’une violente bagarre entre jeunes du quartier et migrants a éclaté, causant des blessés et des dégâts matériels. Cet incident, qualifié de « goutte d’eau qui a fait déborder le vase », a poussé les autorités à agir.

Rapatriement de migrants  : Une réponse concertée et humanitaire

Face à cette crise, le général de division Ibra Boulama Issa, gouverneur de la région d’Agadez, a ordonné des discussions urgentes avec les autorités nigérianes, notamment l’ambassade du Nigeria au Niger. Ainsi, ces pourparlers, menés en collaboration avec les autorités communales, ont abouti à un accord pour le rapatriement progressif des migrants. Ce partenariat transfrontalier illustre une volonté commune de résoudre une situation complexe tout en respectant les droits des personnes concernées.

L’opération de rapatriement, soutenue par plusieurs organisations humanitaires, repose sur une logistique bien huilée. L’OIM prend en charge le transport par vols réguliers, comme celui du 7 juillet 2025, tandis que le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) fournit des kits non alimentaires, le Programme alimentaire mondial (PAM) assure un soutien alimentaire, et Médecins du Monde (MDM) apporte une assistance sanitaire. Cette coordination exemplaire garantit que les migrants retournent dans leur pays dans des conditions dignes, avec un accompagnement pour leur réintégration.

À Agadez, le rapatriement de migrants nigérians initié par l’OIM marque une réponse humanitaire concertée à une crise locale,Un défi humanitaire et social

L’afflux de migrants à Agadez, ville stratégique sur les routes migratoires du Sahel, n’est pas un phénomène nouveau. Cependant, l’installation prolongée de cette population flottante a exacerbé les tensions avec les communautés locales, mettant en lumière les défis de la coexistence dans une région déjà marquée par des enjeux sécuritaires et économiques. Les habitants de Tekazam, excédés par les troubles, ont vu dans cette opération de rapatriement une lueur d’espoir pour retrouver la sérénité.

Pour les migrants, majoritairement des femmes et des enfants, le voyage vers Agadez était motivé par le rêve d’une vie meilleure, souvent alimenté par des promesses d’aide humanitaire. Leur départ, bien que nécessaire, rappelle l’urgence de solutions durables pour accompagner les migrations intra-africaines, en abordant les causes profondes telles que la pauvreté, l’insécurité et le manque d’opportunités.

À Agadez, le rapatriement de migrants nigérians initié par l’OIM marque une réponse humanitaire concertée à une crise locale,Rapatriement de migrants  : Vers un avenir apaisé

Par ailleurs, le décollage de ce nouveau vol depuis Agadez symbolise plus qu’un simple transfert de personnes. Il incarne un effort collectif pour rétablir l’harmonie dans une ville éprouvée et offrir une porte de sortie digne à des migrants en quête de stabilité. Les autorités nigériennes, en partenariat avec leurs homologues nigérianes et les organisations internationales, posent un jalon important dans la gestion des flux migratoires au Sahel.

Alors que les vols de rapatriement se poursuivent, les regards se tournent désormais vers les mesures à long terme : renforcement de la sécurité à Agadez, amélioration des conditions de vie à Tekazam, et création de programmes de réintégration pour les rapatriés à Kano. En somme, avec ces départs, Agadez ne ferme pas seulement une page difficile ; elle ouvre un chapitre d’espoir, où la solidarité transfrontalière et l’action humanitaire dessinent les contours d’un avenir plus stable pour tous.

Niger : Maraya reverse ses indemnités au FSSP

Niamey, 7 juillet 2025 — Dans un contexte de mobilisation nationale face aux défis économiques et sécuritaires, un geste singulier a marqué les esprits ce lundi à Niamey. M. Amadou Labo, dit Maraya, conseiller au Conseil Consultatif de la Refondation, a annoncé qu’il renonçait à l’intégralité de ses indemnités mensuelles — soit 360 750 FCFA — au profit du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), et ce jusqu’à la fin de son mandat.

Maraya : Un engagement personnel au service de la nation

C’est au siège du FSSP, lors d’une cérémonie officielle de réception des contributions, que M. Maraya a rendu publique sa décision. En effet , cet acte a été salué avec émotion par la présidente du comité de gestion du Fonds, Mme Reki Moussa Hassane Djermakoye, qui a exprimé, au nom du Chef de l’État, le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, sa reconnaissance pour ce geste « d’une portée morale et citoyenne exceptionnelle ».

« Ce n’est pas un sacrifice, c’est un devoir », aurait confié M. Maraya à l’issue de la cérémonie, soulignant ainsi que sa démarche s’inscrit dans une volonté de « servir la patrie au-delà des mots ».

Le FSSP, levier de résilience nationale

Créé pour faire face aux conséquences des sanctions économiques et soutenir les efforts de souveraineté du Niger, le FSSP repose aussi sur les contributions volontaires des citoyens, des institutions et des partenaires. L’initiative de M. Maraya s’inscrit donc dans une dynamique plus large de solidarité nationale, où chaque geste compte.

Depuis sa mise en place, le Fonds a enregistré des centaines de contributions, allant de dons symboliques à des engagements financiers conséquents. Cependant, c’est la dimension volontaire et durable de l’acte de M. Maraya qui lui confère une résonance particulière.

Un signal fort dans un moment charnière

Alors que le pays poursuit sa refondation institutionnelle, ce geste interpelle et inspire. Il rappelle que l’engagement patriotique ne se mesure pas uniquement à l’aune des discours, mais aussi à la capacité de renoncer à des privilèges personnels pour renforcer l’intérêt collectif.

Dans une société en quête de repères et de cohésion, l’exemple de M. Maraya pourrait bien tracer une voie : celle d’un leadership fondé sur l’intégrité, la responsabilité et la solidarité active.

À Niamey, le patriotisme s’exprime en francs CFA

Une solidarité de plus en plus concrète : : le Niger unit ses forces pour la sauvegarde de la patrie

Niamey, 3 juillet 2025 – Dans un contexte où l’unité nationale devient le socle de la résilience, les élans de solidarité se multiplient autour du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP). En effet, mercredi, plusieurs acteurs institutionnels et civils ont renouvelé leur engagement, rappelant que la défense de la souveraineté nigérienne est une cause partagée.

Sous un ciel éclatant chargé de symboles, Mme Réki Moussa Hassane DJERMAKOYE épouse Brah Ali, Présidente du Comité de gestion du FSSP, a réceptionné des contributions significatives, symboles d’un engagement collectif pour la défense de la souveraineté nigérienne. De fait, cette séquence, désormais régulière, illustre l’ancrage croissant du sentiment patriotique dans toutes les couches de la société.

Une mobilisation tous azimuts

La cérémonie, empreinte de solennité, a mis en lumière la diversité des contributeurs. La société Fonds d’Entretien Routier a marqué les esprits avec un versement de 4 075 120 FCFA, fruit d’une initiative originale : un prélèvement de 10 FCFA sur chaque passage au péage routier. Ainsi, une démarche qui transforme chaque trajet en un acte de soutien concret à la nation.

L’ONG Présence Féminine, fidèle à son engagement pour l’émancipation et la solidarité, a apporté une contribution de 30 000 FCFA, prouvant que chaque geste, même modeste, compte dans cette dynamique collective. De leur côté, les Scouts du Niger, porteurs des valeurs d’entraide et de patriotisme, ont remis un chèque de 1 001 000 FCFA, illustrant l’implication de la jeunesse dans la défense des idéaux nationaux. Enfin, la société Web Fontaine GUCE Niger a complété cette vague de générosité avec un don de 1 000 000 FCFA, renforçant le message d’un secteur privé engagé aux côtés de l’État.

Solidarité : Un fonds au cœur de la souveraineté nationale

Le FSSP, créé  pour faire face aux sanctions inhumaines imposées au peuple du Niger, se positionne aujourd’hui comme un pilier de la résilience nigérienne. Chaque franc collecté est bien plus qu’une contribution financière : il représente un symbole de dignité, un acte de foi en l’avenir du pays, et un soutien indéfectible aux hommes et femmes qui veillent sur la sécurité de la nation. « La défense de notre souveraineté est l’affaire de tous », a rappelé Mme Réki Moussa Hassane DJERMAKOYE, dont les mots ont résonné comme un appel à l’unité.

À Niamey, la solidarité nationale s’exprime avec force alors que institutions, associations et entreprises renforcent leur engagement financier en soutien aux Forces de Défense et de Sécurité à travers le Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie.Solidarité : Une nation en marche

Cette mobilisation, qui s’inscrit dans un contexte où le Niger fait face à des défis sécuritaires et géopolitiques majeurs, illustre la détermination d’un peuple à prendre son destin en main. Des routes du pays aux associations locales, en passant par les entreprises et les organisations de la société civile, chaque contribution est aussi une brique dans l’édifice de la souveraineté nationale.

Le FSSP, par son rôle fédérateur, incarne cet élan collectif. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement de collecter des fonds, mais de bâtir une communauté de valeurs, où chaque citoyen, chaque organisation, devient un acteur de la sauvegarde de la patrie. Les dons reçus ce jour ne sont qu’une étape dans un mouvement plus large, qui continue de gagner en ampleur.

Un appel à l’action

En recevant ces contributions, Mme Réki Moussa Hassane DJERMAKOYE a tenu à saluer l’engagement de tous les donateurs, tout en lançant un appel vibrant à l’ensemble des Nigériens : « Chaque franc versé est une déclaration d’amour à notre pays, un message de solidarité, et une force pour nos FDS. Continuons, ensemble, à écrire cette belle histoire de résilience et de dignité. »

Ce florilège d’initiatives volontaires vient renforcer la caisse du FSSP, bras financier de la mobilisation nationale en faveur des Forces de Défense et de Sécurité. « Chaque franc versé est un acte de dignité, un message de solidarité, et un soutien concret à nos soldats », rappelle le Comité, appelant à maintenir cet élan collectif.

À travers ces dons, c’est toute une nation qui affirme, sans équivoque, sa volonté de défendre sa souveraineté par des gestes tangibles. Par conséquent, loin des discours, la solidarité se mesure désormais en actes et en chiffres, portés par la conviction que l’avenir du Niger se construit avec l’implication de tous.

Niger : La MSAE révèle ses ambitions pour les fonctionnaires

Assemblée Générale de la MSAE : Une Session Placée sous le Signe de la Transparence et de la Solidarité

Niamey, 27 juin 2025 – La Mutuelle de Santé des Agents de l’État (MSAE) a tenu, le jeudi 26 juin 2025, sa session ordinaire de l’Assemblée Générale, un rendez-vous annuel incontournable pour des milliers de fonctionnaires. Présidée par l’énergique Madame Aïssatou Abdoulaye Tondi, Ministre de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi, cette rencontre a non seulement mis en lumière les valeurs fondamentales de la mutuelle – transparence, solidarité et performance – mais a aussi réaffirmé l’engagement indéfectible du ministère à soutenir le bien-être de ses agents.

Assemblée générale de la MSAE : un bilan solide, de nouveaux horizons 

L’Assemblée Générale de la MSAE constitue un moment clé pour dresser le bilan des actions menées au cours de l’année écoulée et définir les perspectives pour l’avenir. En effet, dans un contexte où la santé et le bien-être des fonctionnaires sont des priorités nationales, cette session a permis de passer en revue les performances financières et opérationnelles de la mutuelle, tout en mettant l’accent sur les défis à relever pour garantir une couverture santé optimale.

Accès aux soins et gestion optimisée : Les clés de la réussite 

Sous la houlette de Mme Tondi, les discussions ont porté sur plusieurs axes stratégiques : l’amélioration de l’accès aux soins, l’optimisation de la gestion des ressources et le renforcement de la communication avec les adhérents. Ainsi, les rapports présentés ont souligné une gestion rigoureuse et transparente des cotisations, permettant à la MSAE de maintenir une stabilité financière tout en répondant aux besoins croissants de ses membres.

La MSAE réaffirme son engagement pour la transparence, la solidarité et la performance lors de son Assemblée Générale annuelle, La Solidarité, cœur battant de la Mutuelle 

La MSAE, en tant que structure mutualiste, repose sur un principe fondamental : la solidarité entre les agents de l’État. Lors de son allocution, la Ministre a rappelé l’importance de cet esprit collectif pour assurer une protection sociale efficace. Elle a déclaré avec conviction : « La mutuelle est bien plus qu’une institution, c’est un pacte de solidarité qui garantit à chaque agent de l’État un accès équitable à des soins de qualité », suscitant l’approbation des participants.

Un impact concret : quand la Mutuelle change des vies 

Cette session a également été l’occasion de saluer les efforts des gestionnaires et des partenaires de la MSAE, qui œuvrent au quotidien pour faciliter l’accès aux services médicaux, notamment dans les zones reculées. De surcroît, des témoignages d’adhérents ont mis en lumière l’impact concret de la mutuelle sur leur quotidien, renforçant ainsi le sentiment d’appartenance à une communauté solidaire.

La MSAE réaffirme son engagement pour la transparence, la solidarité et la performance lors de son Assemblée Générale annuelle, Engagement ministériel : le bien-être des fonctionnaires, une priorité absolue 

La présence de Mme Aïssatou Abdoulaye Tondi à la présidence de cette assemblée témoigne de l’engagement du ministère de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi à accompagner la MSAE dans ses missions. La Ministre a réaffirmé la volonté du gouvernement de soutenir toutes les initiatives visant à améliorer les conditions de vie et de travail des fonctionnaires. Elle a assuré : « Le bien-être des agents de l’État est une priorité absolue. » « Nous continuerons à œuvrer aux côtés de la MSAE pour garantir une couverture santé performante et accessible à tous. »

Modernisation en marche : la digitalisation et la prévention en ligne de mire 

Cet engagement se traduit également par des actions concrètes, notamment le renforcement des partenariats avec les structures de santé et l’exploration de nouvelles solutions pour élargir les services offerts par la mutuelle. À cet égard, parmi les perspectives évoquées figurent la digitalisation des démarches administratives et l’introduction de nouveaux programmes de prévention santé.

La MSAE réaffirme son engagement pour la transparence, la solidarité et la performance lors de son Assemblée Générale annuelle, MSAE : Cap sur l’avenir, la confiance renforcée 

L’Assemblée Générale de la MSAE s’est conclue sur une note d’optimisme, avec des résolutions adoptées à l’unanimité pour consolider les acquis et relever les défis futurs. Les participants ont salué l’esprit de collaboration qui a prévalu tout au long de la session, ainsi que la clarté des orientations stratégiques présentées.

La MSAE, pilier essentiel de la protection sociale au Niger 

En plaçant la transparence, la solidarité et la performance au cœur de ses priorités, la MSAE s’affirme comme un pilier essentiel du système de protection sociale des agents de l’État. Cette assemblée générale, marquée par un dialogue ouvert et constructif, envoie un signal fort : la mutuelle est prête à relever les défis de demain pour garantir à ses membres une couverture santé à la hauteur de leurs attentes, consolidant ainsi la confiance et le bien-être de la fonction publique nigérienne !

À Zinder, le FSSP ancre la solidarité nationale dans les dynamiques territoriales

Zinder au cœur de la solidarité nationale : quand le FSSP ancre la patrie au quotidien 

Zinder, le 24 juin 2025 – En ce début de semaine, la ville de Zinder, carrefour historique et vibrant du Niger, est devenue le théâtre d’une initiative aussi ambitieuse que fédératrice. Invitée par l’Association des Municipalités du Niger (AMN), la présidente du Comité de gestion du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) effectue un séjour intensif dans la région, du 23 au 25 juin, à l’occasion de la 11ᵉ édition de la Journée des Communes du Niger. Ce déplacement, loin d’être une simple formalité, s’inscrit dans une démarche résolue d’enracinement territorial visant à tisser des liens indissolubles entre le FSSP et les acteurs locaux, véritables gardiens des aspirations communautaires.

Mission stratégique : le FSSP à l’écoute des territoires

La visite de la présidente, accompagnée de son chargé de communication adjoint et de son assistant digital, se veut une ode à la proximité et à l’action concertée. De fait, l’agenda, minutieusement orchestré, reflète la vocation du FSSP à conjuguer dialogue, bilan et projection. Dès le premier jour, une rencontre avec le noyau régional de sensibilisation de Zinder a permis d’explorer les dynamiques locales, ces pulsations intimes qui donnent vie aux territoires. Les échanges, empreints de franchise, ont mis en lumière le rôle stratégique de ces acteurs, véritables hérauts du Fonds dans la diffusion de ses valeurs auprès des populations.

Par ailleurs, le bilan des vingt mois d’existence du Fond, que présentera le FSSP avec une clarté irréprochable, constituera un moment fort de cette mission. La présidente va détailler les ressources mobilisées, les actions entreprises et les résultats obtenus, dressant ainsi  le portrait d’une institution qui, loin des abstractions, s’attache à faire de la solidarité une réalité tangible. Les perspectives esquissées – consolidation des partenariats, amplification des campagnes – vont insuffler une nouvelle énergie, témoignant d’une ambition intacte : faire du FSSP un levier de cohésion nationale.

« Tchéton Kassa » : la solidarité patriotique au pied de votre porte 

L’un des temps forts de ce séjour sera le lancement officiel de l’initiative « Tchéton Kassa, une semaine, un quartier », dont Zinder a l’honneur d’être le berceau pilote. Ce projet, audacieux dans sa simplicité, ambitionne de faire pénétrer l’élan patriotique dans les interstices du tissu social. Concrètement, en investissant les quartiers, lieux de vie et de partage, « Tchéton Kassa » vise à galvaniser les communautés autour des valeurs de solidarité et d’engagement collectif. « Cette campagne n’est pas un slogan, mais un pacte avec les citoyens », a déclaré la présidente, sa voix vibrante d’une conviction communicative. Ainsi, cette initiative, par son ancrage local, promet de transformer chaque ruelle en un espace de dialogue et d’action, redonnant à la solidarité son visage le plus humain.

Communes et FSSP : un partenariat essentiel pour l’avenir du Niger

La mission sera également l’occasion de consolider les liens avec les communes, piliers de la gouvernance locale. Les discussions vont porté sur l’application des mesures relatives à la contribution locale au FSSP, un mécanisme essentiel pour garantir la pérennité des actions du Fonds. En effet, en associant les municipalités à cette dynamique, la présidente réaffirme ainsi  que la sauvegarde de la patrie ne saurait être l’apanage d’une élite, mais qu’elle doit s’appuyer sur une mobilisation collective, enracinée dans les réalités territoriales. Cette approche, à la fois pragmatique et fédératrice,  rencontrera surement  l’assentiment des autorités locales, conscientes de leur rôle crucial dans cette entreprise collective.

Sur le terrain : le FSSP au contact des projets qui transforment le Niger

Au-delà des échanges prévues , la présidente s’est rendue sur le terrain pour visiter des projets structurants à Zinder et Maradi, témoins de la vitalité économique et sociale de la région. Les périmètres de grande irrigation, symboles d’une agriculture résiliente et les initiatives privées en faveur du développement local, ont été salués comme des exemples éloquents de ce que la solidarité, lorsqu’elle est bien canalisée, peut accomplir. De plus, ces visites, minutieusement documentées par l’équipe de communication du FSSP, incarnent la volonté de valoriser les efforts des communautés et de les ériger en modèles pour le reste du pays.

La présidente du FSSP ancre la solidarité nationale à Zinder, lançant l'initiative "Tchéton Kassa" pour tisser des liens forts avec les communautés locales du Niger.Visibilité et unité : la stratégie numérique du FSSP

La présence du chargé de communication adjoint et de l’assistant digital illustre l’engagement du FSSP à rendre ses actions lisibles et inspirantes. À travers une couverture soignée, mêlant récits, images et témoignages, l’équipe s’attache à faire rayonner l’esprit du Fonds bien au-delà des frontières de Zinder. Cette démarche, qui conjugue modernité et authenticité, vise à faire de chaque initiative un jalon dans la construction d’une nation unie, où chaque citoyen se reconnaît dans l’élan collectif.

Zinder : le berceau d’une solidarité qui sème l’espoir

En choisissant Zinder comme théâtre de cette mission, la présidente a envoyé un message clair : aucun territoire, si reculé soit-il, ne sera oublié dans la quête d’une patrie plus solidaire. Cette ville, riche de son histoire et de sa diversité, s’impose comme un laboratoire idéal pour expérimenter des initiatives telles que « Tchéton Kassa ». Les acteurs locaux, galvanisés par cette visite, se savent désormais investis d’une mission : faire vivre la solidarité dans chaque quartier, chaque foyer.

Un Niger uni : Zinder, étape clé d’une solidarité renforcée 

En conclusion, ce séjour à Zinder marquera une étape décisive dans la trajectoire du FSSP. Par son dialogue avec les acteurs locaux, son engagement dans des projets concrets et son ambition de proximité, le Fonds réaffirme sa vocation : être le catalyseur d’une nation où la solidarité n’est pas un vœu pieux, mais une réalité vécue et palpable. Alors que la présidente et son équipe poursuivent leur mission, les échos de Zinder résonnent comme une puissante promesse : celle d’un Niger uni, fort et résilient, porté par l’engagement inébranlable de ses territoires et de ses citoyens. C’est l’aube d’une nouvelle ère pour la solidarité nationale !

Niger : les Nations unies boostent la jeunesse avec une dotation majeure !

Le oneUN dynamise la jeunesse nigérienne : un élan matériel pour le Conseil National

Niamey, 28 mai 2025 – Dans une effervescence vibrante et empreinte de fierté, les Nations Unies, par le truchement de leurs entités PNUD Niger et UNFPA Niger, ont insufflé une vigueur nouvelle au Conseil National de la Jeunesse du Niger. En effet,  le 27 mai 2025, à Niamey, un arsenal d’équipements d’une valeur excédant 20 millions de FCFA a été remis lors d’une cérémonie empreinte de symbolisme, sous la bannière éloquente du One UN. Par ailleurs, des dispositifs de sonorisation dernier cri, des outils informatiques performants et des meubles de bureau fonctionnels composent ce don, destiné à doter ce bastion juvénile d’une capacité opérationnelle accrue.

Les Nations Unies remettent des équipements d'une valeur de plus de 20 millions de FCFA au Conseil National de la Jeunesse du Niger pour renforcer son autonomie et son impact sur le développement du pays. Les Nations unies : une dotation stratégique pour une jeunesse en pleine ébullition

L’événement, qui s’est tenu en fin de matinée sous un ciel clément, a réuni des dignitaires onusiens, des responsables gouvernementaux et une foule vibrante de jeunes leaders. Cette remise ne se limite pas à une simple transaction matérielle ; elle incarne une vision ambitieuse : celle d’une jeunesse nigérienne mieux outillée pour façonner son avenir. Les équipements sonores, capables de porter haut les discours et les aspirations, promettent des rassemblements d’une portée inédite. Les ordinateurs, quant à eux, ouvrent la voie à une gestion numérique affûtée et à des initiatives créatives, tandis que les mobiliers parachèvent un cadre propice à l’efficacité.

Un haut responsable du PNUD Niger a souligné l’enjeu : « Ces outils sont une passerelle vers l’autonomie et l’innovation pour une génération qui ne demande qu’à s’exprimer et à agir. » Du côté du Conseil, l’enthousiasme est palpable. Une voix juvénile s’est élevée : « C’est une aubaine inestimable. » «Désormais, nos idées pourront s’incarner avec une force décuplée. »

Les Nations unies : Un investissement crucial dans le futur du Niger

Au-delà de l’aspect matériel, cette démarche s’inscrit dans une logique profonde. Le Niger, terre de contrastes où la jeunesse représente une majorité éclatante, fait face à des défis colossaux : éducation, emploi, santé. Le Conseil National de la Jeunesse, sentinelle des ambitions de cette démographie bouillonnante, se voit ainsi doté d’un levier pour amplifier son influence et ses actions. Par conséquent, cette synergie entre l’ONU et les autorités locales illustre une volonté ferme de transformer le potentiel brut de cette population en une force motrice pour le développement.

Les Nations Unies remettent des équipements d'une valeur de plus de 20 millions de FCFA au Conseil National de la Jeunesse du Niger pour renforcer son autonomie et son impact sur le développement du pays.Une lueur d’espoir sous le signe de l’Unité

Porté par le concept du One UN, cet élan témoigne d’une coopération internationale harmonieuse, où les agences unies convergent vers un dessein commun. Alors que les échos de la cérémonie résonnent encore, une question demeure : ce coup de pouce marquera-t-il le début d’une ère nouvelle pour les jeunes Nigériens ? Une chose est sûre : avec ces instruments entre leurs mains, ils sont mieux armés pour écrire leur propre histoire et bâtir un avenir prometteur.

Niamey : l’école Alliance offre une classe équipée au FSSP !

Un élan magnanime pour l’avenir du Niger : une classe offerte à l’école Rouga de Boukoki

Niamey, 23 mai 2025 — Ce vendredi 23 mai, sous le ciel éclatant de Niamey, l’école Rouga de Boukoki s’est parée d’un nouvel éclat avec la remise solennelle d’une classe équipée, don gracieux de l’école Alliance au Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP). D’une valeur de 6,2 millions de FCFA, cet espace, fruit de la générosité conjuguée des élèves, parents et encadreurs, a été réceptionné par Mme Brah Réki Djermakoye, présidente du FSSP, dans une atmosphère empreinte de ferveur patriotique.

L’éducation, pilier de la nation : le don de l’École Alliance salué

Mme Farah Ayoub Zadeh, fondatrice de l’école Alliance, a exprimé avec une éloquence vibrante la portée de cet acte. « Quelle félicité de voir ces âmes unies s’atteler à la cause des enfants nigériens, car l’éducation est le socle d’une nation florissante », a-t-elle proclamé. Au-delà de sa matérialité, cette classe incarne une ambition sublime : un sanctuaire où les jeunes esprits s’initieront à l’art, à la science et à la responsabilité civique. « Que ces murs accueillent des bâtisseurs d’avenir, des serviteurs de leur communauté, dont le savoir rayonnera jusqu’aux confins du monde », a-t-elle ajouté, esquissant ainsi un horizon d’espoir et d’excellence.

Un acte patriotique : le FSSP magnifie la générosité de l’École Alliance

Mme Djermakoye, dans une allocution empreinte de gratitude, a magnifié ce geste comme un parangon de patriotisme. « Votre exemple illumine la voie pour tous les Nigériens », a-t-elle déclaré, saluant ainsi  l’adhésion de l’école Alliance aux valeurs de la refondation nationale. En effet, ce don s’inscrit dans la mission du FSSP, institué le 11 octobre 2023 pour galvaniser les ressources en soutien aux Forces de défense et de sécurité dans leur lutte contre le terrorisme, tout en consolidant les fondements d’un Niger résilient.

Un symbole d’unité et d’espérance : l’école Rouga, phare de l’avenir nigérien

Cette initiative, par son souffle altruiste, transcende l’offrande matérielle pour devenir un symbole d’unité et d’espérance. Dès lors, à Boukoki, l’école Rouga s’érige désormais en phare, éclairant le chemin d’un avenir où l’éducation forge des citoyens éclairés, prêts à porter haut les couleurs d’une nation solidaire et ambitieuse.