Niger-Commémoration Archives - Journal du Niger

Identité urbaine : Niamey baptise trois rues au nom de ses héros

Ce mercredi 19 novembre 2025, la capitale nigérienne a procédé au baptême officiel de trois voies publiques stratégiques, une initiative municipale visant à perpétuer la mémoire collective et à renforcer l’identité urbaine au cœur de la ville.

Une cérémonie solennelle présidée par l’Administrateur Délégué

 

Sous la direction du Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville de Niamey et Président de l’Association des Municipalités du Niger, l’événement a rassemblé un public diversifié. En effet, les familles des personnalités honorées étaient présentes aux côtés des chefs traditionnels, des leaders religieux et communautaires, des responsables municipaux et de nombreux invités. Tous ont exprimé leur attachement profond à l’histoire nationale et à l’identité spécifique de Niamey.

Cette manifestation s’inscrit dans une stratégie plus large adoptée par les autorités locales pour valoriser le patrimoine culturel et encourager les citoyens à s’approprier leur héritage historique.

Les nouvelles dénominations des trois artères concernées

Ce faisant, et afin de concrétiser cet hommage, trois axes routiers majeurs ont reçu des appellations inédites, reflétant l’hommage rendu aux figures emblématiques du pays :

  • La rue anciennement connue sous le code CN4-MD 28, située dans le quartier de Couronne Nord Madina au sein de l’arrondissement communal 3, porte désormais le nom de Boulevard Akazama.
  • Sur la route de Filingué, dans l’arrondissement communal Nord 4, la rue RF 75 a été rebaptisée Rue Taguimba Bouzou.
  • Enfin, dans le quartier de Talladjé, toujours au sein de l’arrondissement communal Nord 4, la rue TGA devient Avenue Kabrin Kabran.

Niamey : La capitale nigérienne baptise trois artères stratégiques (Boulevard Akazama, Rue Taguimba Bouzou, Avenue Kabrin Kabran) pour consolider l'identité urbaine et la mémoire collective.

Un appel à l’appropriation citoyenne et à la consolidation identitaire

Par ce geste symbolique, la Ville de Niamey met en lumière ses héros nationaux et invite chaque habitant à adopter ces nouvelles désignations dans son quotidien. Les autorités soulignent ainsi l’importance de cette mesure pour consolider l’identité urbaine de la capitale et favoriser un sentiment d’appartenance partagé parmi les populations.

Deux figures emblématiques honorées dans les rues de la capitale

À Niamey, deux artères urbaines portent désormais les noms de figures emblématiques de l’histoire nigérienne. En hommage à Sagolo, griot légendaire de la lutte traditionnelle, et à Dan Kassawa, fondateur du royaume de Katsina, la capitale renforce son ancrage mémoriel à travers une politique de baptême de rues qui valorise le patrimoine culturel et l’identité nationale.

 

Niamey, 11 novembre 2025 – La capitale nigérienne a rendu hommage à deux icônes de son histoire ce mardi. Le Colonel Boubacar Soumana Garanké, à la tête de la Ville de Niamey, a inauguré deux nouvelles dénominations de voies urbaines, perpétuant ainsi la mémoire de personnalités qui ont façonné l’identité nationale. Cette initiative s’inscrit dans une politique municipale ambitieuse visant à ancrer le patrimoine au cœur de la vie quotidienne et à renforcer l’attractivité culturelle de la ville.

 

 Une tradition de baptêmes qui s’accélère pour célébrer l’histoire locale

 

La Ville de Niamey ne relâche pas son élan pour nommer ses artères en écho aux gloires passées. Ce programme ambitieux, qui cible rues, avenues et boulevards, vise à tisser un lien tangible entre les générations actuelles et les racines profondes du Niger. Au-delà de la symbolique, cette démarche s’inscrit dans une stratégie de valorisation du patrimoine urbain et de cohésion sociale.

Aujourd’hui, sous le ciel ensoleillé de novembre, la cérémonie a réuni un parterre choisi d’invités, transformant un simple acte administratif en un moment de communion collective. Ensuite, L’Administrateur Délégué, en sa qualité de président de l’Association des Municipalités du Niger, a présidé l’événement avec solennité.

Les représentants des arrondissements 2 et 4, aux côtés des dignitaires coutumiers, des familles des hommages et des figures sportives locales, ont également témoigné de l’ampleur de cette démarche. La présence du président de la Fédération de la Lutte Traditionnelle a renforcé la portée culturelle de l’événement, symbolisant l’héritage vivant des traditions.

Rue Sagolo : L’écho éternel d’un griot de la lutte nigérienne

 

La première voie concernée, anciennement RF-42, arbore désormais le nom de Rue Mahaman Abdou, plus connu sous le sobriquet de Sagolo. Ce griot mythique, dont la voix résonne encore dans les arènes poussiéreuses, incarnait l’âme de la lutte traditionnelle. Sa narration enflammée, mêlant proverbes et chants ancestraux, a élevé ce sport national au rang de spectacle culturel incontournable.

En rebaptisant cette artère, Niamey rend justice à un homme qui, par ses mots, unissait communautés et rivaux. Les familles de Sagolo, émues aux larmes, ont partagé des anecdotes qui ont fait vibrer l’assistance, rappelant aussi comment ses interventions étaient la « mascotte sonore » des joutes physiques et morales de la nation.

À Niamey, deux rues ont été rebaptisées en hommage à Sagolo, griot de la lutte traditionnelle, et à Dan Kassawa, fondateur du royaume de Katsina, dans le cadre d’une politique municipale visant à valoriser le patrimoine culturel et renforcer l’identité nationale.

Rue Dan Kassawa : Revivre la fondation du royaume de Katsina

 

La seconde artère, ex-FK-41, porte à présent le nom de Rue Dan Kassawa, en mémoire du fondateur visionnaire du royaume de Katsina – dans l’actuelle région de Maradi. De 1820 à 1831, ce souverain a jeté les bases d’un empire florissant, marquant l’histoire ouest-africaine par sa sagesse et son leadership. Son règne, synonyme d’unité et de prospérité, continue d’inspirer les récits épiques transmis de génération en génération.

Cette dénomination honore non seulement un bâtisseur politique, mais aussi un pilier de l’identité haoussa, contribuant ainsi à réconcilier mémoire précoloniale et modernité urbaine.
Les autorités traditionnelles présentes ont salué ce choix comme un pont entre passé et présent, invitant les Niçois à redécouvrir ces chapitres oubliés de leur lignage.

 

À Niamey, deux rues ont été rebaptisées en hommage à Sagolo, griot de la lutte traditionnelle, et à Dan Kassawa, fondateur du royaume de Katsina, dans le cadre d’une politique municipale visant à valoriser le patrimoine culturel et renforcer l’identité nationale.

 

 Patrimoine vivant : Un levier pour l’identité niçoise et nationale

 

Au-delà des plaques inaugurées, cette initiative municipale pulse d’une ambition plus large : forger une capitale imprégnée de son ADN culturel. En honorant ces héros discrets, Niamey combat l’oubli et stimule un tourisme patrimonial en plein essor. En plus, ce programme de dénomination s’inscrit dans une vision stratégique de développement urbain, où la mémoire devient un vecteur d’identité, de dialogue intergénérationnel et de rayonnement régional.

Les échanges post-cérémonie, entre amis et connaissances, ont prolongé la fête, transformant ainsi les abords des nouvelles rues en forums improvisés sur l’héritage nigérien.

Cet engagement s’aligne sur les priorités de la Ville, qui multiplie les actions pour que l’histoire ne soit pas reléguée aux manuels, mais vive dans les pas quotidiens des habitants.
À l’horizon, d’autres baptêmes promettent de poursuivre cette renaissance mémorielle, consolidant le tissu social d’une métropole en pleine mutation.

En rebaptisant ses rues à l’image de ses héros, Niamey ne se contente pas de rendre hommage : elle inscrit son histoire dans le quotidien, tisse des ponts entre générations et affirme son identité dans le paysage urbain. Une mémoire vivante, au service d’une capitale en pleine mutation.

Le Niger honore ses relais communautaires

À l’occasion de la 4ᵉ Journée nationale des relais communautaires, le Niger rend hommage à ces acteurs de proximité qui œuvrent au quotidien pour le bien-être des populations. Le Ministre d’État, Mohamed Toumba, a salué leur engagement et appelé à renforcer leur encadrement à travers une meilleure coordination avec l’Agence Nationale du Volontariat pour le Développement.

Niamey, 10 novembre 2025 – Le Niger célèbre ce lundi la 4ᵉ édition de la Journée nationale des Relais Communautaires, une occasion solennelle de mettre à l’honneur ces femmes et ces hommes de terrain qui œuvrent, souvent dans l’ombre, pour le bien-être de leurs communautés. À cette occasion, le Ministre d’État, Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, le Général de Division Mohamed Toumba, a adressé un message fort à la nation.

 

Journée nationale des Relais Communautaires : un hommage à l’engagement de proximité

 

Dans son allocution, le Ministre d’État a salué le rôle essentiel des relais communautaires dans l’animation sociale, la sensibilisation sanitaire, l’éducation de base et la cohésion locale. Il a aussi souligné leur dévouement exemplaire, leur sens du sacrifice et leur contribution directe à la consolidation du tissu social, en particulier dans les zones rurales.

« Ces acteurs de proximité sont les piliers silencieux du développement local. Leur engagement mérite reconnaissance et valorisation », a-t-il affirmé.

 

 Vers un cadre institutionnel renforcé pour les relais communautaires

 

Le Ministre a également rappelé les efforts entrepris par les autorités pour doter les relais communautaires d’un cadre juridique formel, garant de leur reconnaissance et de leur épanouissement. Par ailleurs, il a insisté sur la nécessité de structurer davantage leur action à travers des mécanismes durables, transparents et coordonnés.

Dans cette optique, il a lancé un appel à l’ensemble des partenaires techniques et financiers – ONG, associations, agences internationales et institutions du système des Nations Unies – pour qu’ils renforcent leur collaboration avec l’Agence Nationale du Volontariat pour le Développement (ANVD), seule entité habilitée à assurer l’ancrage institutionnel du volontariat au Niger.

 

 Une dynamique collective à consolider

 

En somme, cette journée nationale s’inscrit dans une volonté plus large de promouvoir l’engagement citoyen comme levier de transformation sociale. En valorisant les relais communautaires, le gouvernement nigérien affirme sa foi dans une gouvernance de proximité, inclusive et participative.

La célébration de cette 4ᵉ édition est aussi un appel à la mobilisation collective pour bâtir un Niger plus solidaire, où chaque citoyen est acteur du changement.

 

151 ans de l’UPU : le Niger mise sur l’inclusion numérique

Dans un monde où les colis voyagent plus vite que les avions et où un clic peut relier un artisan du désert à un acheteur new-yorkais, la Poste reste ce fil invisible qui tisse les destinées humaines. Ce jeudi 9 octobre 2025, à l’occasion de la 151ᵉ Journée mondiale de la Poste, le Niger célèbre non seulement l’héritage d’une institution née en 1874 à Berne par l’Union Postale Universelle (UPU), mais surtout sa renaissance au cœur de la révolution numérique. Cette organisation a, depuis plus d’un siècle et demi, posé les bases d’un réseau global simple et audacieux : unir les peuples par-delà les océans et les sables.

 

De l’UPU à l’ère numérique : la poste comme levier d’unité et de progrès

 

En cette journée de commémoration de l’Union Postale Universelle (UPU), le ministre de la Communication et des Nouvelles Technologies de l’Information, Adji Ali Salatou, a saisi l’occasion pour dessiner les contours d’un Niger connecté, où la poste ne se limite plus à un simple relais du passé, mais devient un levier audacieux d’inclusion sociale. À l’époque, l’idée de relier les peuples par un réseau postal universel, franchissant océans et déserts, relevait presque de l’utopie.

Pourtant, près de 150 ans plus tard, le Niger s’inscrit pleinement dans cette tradition, porté par un thème universel évocateur pour 2025 : « Post For People : service local, portée mondiale ». Pour le ministre Salatou, cette formule incarne une mission hybride : profondément enracinée dans le quotidien des communautés, elle propulse simultanément le pays vers les vastes horizons de la connectivité mondiale.

 

Un rôle social indéfectible et l’ouverture au Monde

 

Au cœur de cette célébration, le rôle vital de la poste nigérienne s’impose comme un fil rouge indéfectible. « Plus qu’une administration, c’est le lien tangible qui unit nos concitoyens, de Niamey aux villages les plus reculés », a déclaré le ministre, soulignant comment chaque bureau de poste devient un espace de confiance et de cohésion. Dans les zones enclavées, où les routes s’effacent sous le sable, ces guichets tissent des relations humaines qui défient l’isolement. Cet engagement quotidien d’un service public soutient les familles, dynamise les Petites et Moyennes Entreprises (PME) et veille à ce que nul ne soit laissé pour compte dans le tourbillon des échanges contemporains.

Mais la poste nigérienne ne se contente pas de préserver son héritage local : elle s’ouvre résolument au monde. Grâce à des services innovants, elle ouvre des portes inattendues : le commerce électronique permet à un artisan de Tahoua de vendre ses bijoux sur des plateformes internationales, tandis que les services financiers postaux démocratisent l’accès à l’épargne et au crédit pour des milliers de ruraux. Les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) jouent ici un rôle pivot, comblant la fracture numérique entre villes et campagnes. « Nous connectons le Niger au reste du monde », a insisté le ministre, évoquant une vocation qui transcende les frontières et transforme les défis en opportunités.

 

151 ans de l’UPU : défis et cadre stratégique de modernisation

 

Toutefois, cette ambition ne va pas sans défis. Le secteur postal, balayé par la vague des innovations numériques, a connu ces dernières années une refonte profonde, tant sur le plan économique que juridique. Conscient de cette mutation inévitable, le gouvernement a jeté les bases d’une transformation ambitieuse. Ainsi, en 2019, le décret N°2019-366/PRN/MPT/EN a donné naissance à la Politique Sectorielle de la Poste (PSP) pour 2019-2028, un cadre stratégique visant à faire de la poste un outil dynamique d’échanges et d’inclusion financière. Plus récemment, un projet d’ordonnance est en cours pour amender la loi N°2023-26 du 23 juin 2023. Ce texte vise à corriger les lacunes actuelles et à forger un régime postal moderne, agile face à la concurrence, à la transition numérique et aux aspirations sociétales en pleine évolution.

 

Du guichet au global : la poste nigérienne trace sa voie

 

Cette modernisation, a rappelé Adji Ali Salatou, repose avant tout sur ses acteurs humains. Un hommage vibrant a été rendu aux milliers de postiers nigériens, ces « femmes et hommes dévoués » dont l’abnégation fait le pouls du réseau. Leur sens du service public, forgé dans l’adversité, est le socle sur lequel le Niger bâtit son futur connecté.

En clôture de cette journée symbolique, le ministre a réitéré l’engagement ferme du gouvernement : forger un avenir numérique équitable, où chaque Nigérien – urbain ou rural – accède pleinement aux bienfaits de la connectivité mondiale. Dans un pays où le désert et les innovations se côtoient, la poste nigérienne n’est pas seulement un service ; c’est un espoir tangible, reliant les cœurs et les horizons.

Alors que le Niger déploie sa stratégie pour un avenir numérique inclusif, son modèle interpelle bien au-delà de ses frontières. Face aux défis géographiques, économiques ou sociaux, la poste nigérienne démontre qu’un service public enraciné dans les réalités locales peut devenir un vecteur puissant de transformation. Dès lors, comment les autres nations en développement pourraient-elles s’inspirer de cette dynamique pour convertir leurs contraintes territoriales en leviers de connectivité mondiale et d’inclusion durable ?

Niamey honore le Professeur Sékou, pionnier de la médecine

À Niamey, le Colonel Boubacar Soumana Garanké a présidé la cérémonie de baptême de l’avenue reliant l’Université Abdou Moumouni au CHU Amirou Diallo, désormais nommée Avenue Professeur Hamidou Sékou.

 

Niamey, 8 octobre 2025 – L’Administrateur Délégué de la Ville de Niamey et Président de l’Association des Municipalités du Niger, le Colonel Boubacar Soumana Garanké, a présidé, hier, la cérémonie solennelle de baptême de l’avenue reliant l’Université Abdou Moumouni à l’Hôpital Amirou Diallo (CHU). Désormais nommée Avenue Professeur Hamidou Sékou, cette artère emblématique rend ainsi hommage à l’une des figures les plus illustres de la médecine et de l’enseignement supérieur nigérien. Cette figure emblématique , dont l’héritage scientifique et patriotique continue d’inspirer les générations futures. Une initiative qui inscrit la mémoire dans l’urbanisme et valorise le patrimoine intellectuel national.

L’héritage d’un pionnier de la médecine

 

En effet, Père fondateur de la Faculté des Sciences de la Santé (FSS), le Professeur Hamidou Sékou a joué un rôle déterminant dans la création d’un complexe hospitalo-universitaire moderne, intégrant formation, recherche et soins de qualité. De plus, médecin, enseignant, chercheur et bâtisseur infatigable, il a dirigé et contribué à plus de quatre-vingt-dix travaux scientifiques et publications, tant au niveau national qu’international. Né en janvier 1925 à Boura et décédé en juin 2015, le Professeur Sékou incarne une vie entière dédiée au service de la santé publique, de l’éducation et du développement de son pays, faisant de lui une grande figure intellectuelle, scientifique et patriotique du Niger.

La Ville de Niamey baptise une avenue au nom du Professeur Hamidou Sékou, pionnier de la médecine nigérienne. Un hommage fort à son héritage scientifique et éducatif.

Une cérémonie institutionnelle et collective en honneur du Professeur Sékou

 

Par ailleurs, la cérémonie, qui s’est déroulée dans une atmosphère empreinte de solennité et de mobilisation collective, a réuni des personnalités éminentes. Parmi les participants figuraient le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation technologique, le Professeur Saidou Mamoudou ; le Directeur général de l’Agence de Modernisation des Villes du Niger ; l’Administrateur Délégué du 5ᵉ Arrondissement ; ainsi que des leaders communautaires, des représentants de la chefferie traditionnelle, des enseignants-chercheurs, des étudiants, et les proches et amis du défunt. Ces échanges ont permis de rappeler l’héritage durable du Professeur Sékou et son impact sur les générations futures.

La Ville de Niamey baptise une avenue au nom du Professeur Hamidou Sékou, pionnier de la médecine nigérienne. Un hommage fort à son héritage scientifique et éducatif.

Professeur Sékou : la reconnaissance et la valorisation du patrimoine

 

Par cette initiative, la Ville de Niamey exprime sa profonde reconnaissance envers ses héros et réaffirme son attachement indéfectible à ceux qui ont forgé son histoire tout en inspirant son avenir. En outre, ce baptême s’inscrit dans une démarche plus large de valorisation du patrimoine intellectuel et culturel nigérien, contribuant ainsi à la promotion d’un urbanisme inclusif et mémoriel. Les autorités municipales s’engagent à poursuivre de telles actions pour honorer les bâtisseurs de la nation et renforcer le lien entre passé et progrès.

La Ville de Niamey baptise une avenue au nom du Professeur Hamidou Sékou, pionnier de la médecine nigérienne. Un hommage fort à son héritage scientifique et éducatif.

L’héritage comme fondement du progrès

En conclusion, le baptême de l’avenue Professeur Hamidou Sékou transcende la simple dénomination d’une voie publique. Il s’agit d’un acte de mémoire fondateur par lequel la Ville de Niamey ancre dans son urbanisme le souvenir d’un homme qui a dédié sa vie au progrès scientifique et au service de son pays.

Cette initiative, par ailleurs, réaffirme l’engagement des autorités municipales et nationales à valoriser le patrimoine intellectuel du Niger. Elle sert de puissants rappels aux nouvelles générations de l’importance de l’excellence, du dévouement et du patriotisme. L’héritage du Professeur Sékou, pionnier de la santé et de l’éducation, devient ainsi un phare qui éclaire la voie vers le développement harmonieux et durable de la nation nigérienne.

À Niamey, l’histoire nationale s’écrit sur les rues

Niamey grave ses mémoires dans le bitume : onze artères rebaptisées pour honorer l’histoire nationale

 

Niamey, 19 août 2025 Sous un ciel chargé d’émotion et de symboles, la capitale nigérienne a vécu ce jour une cérémonie empreinte de solennité et de reconnaissance : le baptême officiel de onze boulevards, avenues et rues, désormais porteurs des noms de figures emblématiques de l’histoire nationale. Cette initiative forte, orchestrée par le Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué, marque un tournant dans la valorisation du patrimoine urbain et mémoriel.

Une ville qui parle, une mémoire qui marche

 

Ce geste n’est qu’un changement de signalétique. Il est, en fait, un acte de transmission, une manière de faire parler les murs et les pavés, de faire vivre les valeurs et les engagements des grandes personnalités qui ont façonné le Niger. En rebaptisant ces artères, Niamey inscrit dans son paysage quotidien les repères d’une histoire partagée, d’un héritage à transmettre aux générations futures.

« C’est un devoir de mémoire, mais aussi un acte de reconnaissance envers ceux qui ont porté haut les couleurs de notre nation », a déclaré le Colonel Garanké devant une assemblée composée des Administrateurs Délégués des Arrondissements communaux, de cadres municipaux, de familles honorées et d’invités venus saluer cette démarche.

 

Une cérémonie à haute portée symbolique à Niamey 

 

En plus , la présence des familles des personnalités honorées a donné à l’événement une dimension profondément humaine. Entre émotion et fierté, les hommages rendus ont résonné comme autant de ponts entre le passé et le présent. Chaque nom attribué à une rue devient ainsi une balise de mémoire, un appel à la reconnaissance et à la cohésion sociale.

Niamey rebaptise onze rues et avenues pour honorer des figures historiques et renforcer la mémoire collective.

L’urbanisme comme vecteur d’identité

 

Au-delà de l’hommage, cette opération s’inscrit dans une volonté de réappropriation de l’espace urbain comme vecteur d’identité. De plus, elle participe à une dynamique de gouvernance territoriale où la ville devient le reflet vivant de ses valeurs, de ses combats et de ses aspirations. Rebaptiser les rues, c’est aussi redonner du sens à la marche quotidienne des citoyens, en les reconnectant à leur histoire.

En inscrivant l’histoire du Niger dans son paysage urbain, Niamey ne se contente pas d’honorer son passé, elle forge son identité future. Le baptême de ces rues est un geste fort pour la mémoire collective, mais il soulève également une question fondamentale : cette initiative parviendra-t-elle à inspirer les citoyens et les jeunes générations, les incitant à s’approprier leur héritage et à bâtir un avenir à la hauteur de leurs ancêtres ? Cet acte symbolique peut-il réellement renforcer la cohésion sociale et le sentiment d’appartenance nationale à un moment charnière de l’histoire du pays ?

Agadez honore ses soldats : 65 ans de loyauté nationale

Ce 1ᵉʳ août 2025, la Place d’Armes d’Agadez s’est transformée en sanctuaire de reconnaissance. Sous le commandement du colonel Djibrilla Mamoudou Idrissa, les autorités régionales et coutumières ont salué le courage des Forces Armées Nigériennes, dans une cérémonie marquée par l’émotion, la mémoire et l’engagement pour un Niger debout et solidaire.

 

Agadez, 1ᵉʳ août 2025 Sous un ciel chargé de mémoire, la ville d’Agadez a célébré ce vendredi, avec une solennité marquante, le 65ᵉ anniversaire des Forces Armées Nigériennes (FAN). En effet, une cérémonie poignante, orchestrée à la Place d’Armes de la Zone de Défense n°2, a rassemblé les plus hautes autorités de la région pour honorer le courage et le sacrifice des défenseurs de la Nation. Ce fut un rituel vibrant, profondément ancré dans la reconnaissance d’une armée qui veille sans relâche sur le Niger.

À Agadez, le 65ᵉ anniversaire des Forces Armées Nigériennes a été célébré avec solennité, rendant hommage aux héros de la Nation et réaffirmant l’unité entre autorités civiles, coutumières et militaires.

Un Front uni pour l’armée : l’élite d’Agadez au rendez-vous

 

C’est précisément sous le commandement du colonel Djibrilla Mamoudou Idrissa, chef de la Zone de Défense n°2, que s’est déroulée cette journée mémorable. D’ailleurs, le Secrétaire Général de la Région, Souleymane Seidou Boulhassan, et le Sultan de l’Aïr, Son Altesse Oumarou Ibrahim Oumarou, ont présidé l’événement. Par ailleurs, ils étaient entourés des responsables des Forces de Défense et de Sécurité (FDS), des dignitaires, des membres de l’association des épouses des FDS et des représentants de divers corps d’armes. Cette convergence d’autorités administratives, coutumières et militaires illustre sans équivoque l’union sacrée autour des FAN, véritable pilier de la souveraineté nationale.

Leurs sacrifices, notre boussole : hommage émouvant aux héros du Niger

 

Après la traditionnelle montée des couleurs et la revue des troupes, le colonel Djibrilla Mamoudou Idrissa a pris la parole. Il a retracé avec ferveur l’épopée des FAN, nées il y a 65 ans dans un contexte de défis historiques. Avec émotion, il a aussi  salué les pionniers de l’armée nigérienne, ces figures légendaires dont l’héritage inspire encore. Un moment de recueillement intense a marqué l’hommage rendu aux soldats tombés pour la patrie, gardiens inlassables de la sécurité des citoyens et de leurs biens. « Leur sacrifice est notre boussole », a-t-il déclaré avec force, louant également le professionnalisme exemplaire des troupes actuelles, dont les exploits résonnent au Niger comme bien au-delà des frontières.

À Agadez, le 65ᵉ anniversaire des Forces Armées Nigériennes a été célébré avec solennité, rendant hommage aux héros de la Nation et réaffirmant l’unité entre autorités civiles, coutumières et militaires.

Plus qu’une cérémonie : un pacte de dévouement annuel

 

Cette cérémonie, organisée à l’unisson dans toutes les régions du Niger, dépasse le cadre protocolaire traditionnel. En effet, elle incarne un devoir de mémoire et une volonté affirmée de célébrer l’engagement indéfectible des FAN. À Agadez, la Place d’Armes s’est transformée en un véritable théâtre d’honneur, où chaque geste – de la parade militaire à l’allocution émue – visait à rappeler le rôle central de l’armée dans la cohésion nationale. Ce rituel annuel, loin d’être une formalité vide de sens, se veut aussi un pont entre le passé glorieux et les défis contemporains, une manière de galvaniser les troupes et de rassurer la population.

À Agadez, le 65ᵉ anniversaire des Forces Armées Nigériennes a été célébré avec solennité, rendant hommage aux héros de la Nation et réaffirmant l’unité entre autorités civiles, coutumières et militaires.

Un geste vert pour un avenir meilleur : quand l’espoir prend racine

 

Point d’orgue de la journée, et ajoutant une dimension symbolique forte, les autorités et les invités ont participé à une plantation d’arbres au sein de la garnison. Il s’agit là d’un geste porteur d’avenir. Sous l’égide du colonel Djibrilla Mamoudou Idrissa, ce moment a uni les participants dans un acte concret, mêlant respect pour la terre et aspiration à un Niger verdoyant. Cette initiative, bien que secondaire face à l’ampleur de la commémoration militaire, a néanmoins ajouté une touche d’optimisme et d’engagement environnemental à une journée déjà dédiée à la résilience nationale.

Agadez vibre : L’armée, cœur battant d’une nation debout

 

À l’image des autres unités des FAN à travers le pays, la Zone de Défense n°2 d’Agadez a fait de ce 65ᵉ anniversaire un moment de fierté collective palpable. La cérémonie, par sa portée et sa symbolique, a rappelé que les Forces Armées Nigériennes ne sont pas seulement une institution, mais bien une famille au service dévoué du peuple. En somme ,  ce 1ᵉʳ août 2025, Agadez a vibré au rythme de cet hommage puissant, un écho retentissant à l’engagement infaillible des héros d’un Niger résolument debout et confiant en son avenir.

Tahoua : Une commémoration empreinte de sobriété

Tahoua, 12 février 2025 – Dans une démarche empreinte de gravité et de respect, les scolaires de la ville de Tahoua ont honoré, hier, la mémoire des étudiants tombés lors des tragiques événements du 9 février 1990. En effet, cette commémoration, marquée par une procession silencieuse vers le gouvernorat de la région, témoigne de l’ancrage profond de cette date dans la conscience collective des Nigériens.

La rétrospective de ces événements funestes rappelle le sacrifice de Maman Saguir, Alio Nahantchi et Issaka Kainé, trois étudiants dont la lutte pacifique pour l’amélioration des conditions de vie et d’études fut brutalement interrompue sur le pont Kennedy de Niamey. Ce jour-là, la répression aveugle s’abattit sur une jeunesse en quête de justice, inscrivant à jamais cette journée dans les annales des luttes estudiantines du pays.

Une commémoration digne et solennelle

Par ailleurs, dans un climat empreint de sobriété, la mobilisation des scolaires de Tahoua s’est voulue exemplaire. Le cortège, discipliné et silencieux, a atteint le Gouvernorat dans lequel il a été accueilli par le Colonel-Major Oumarou Tawayé, gouverneur de la région, entouré de ses proches collaborateurs et des autorités locales. Dans son allocution, il a salué la retenue des manifestants, soulignant que cet hommage ne saurait être une célébration, mais bien un moment de recueillement et de réflexion collective.

Le gouverneur n’a pas manqué de rappeler que de tels drames, bien que regrettables, jalonnent parfois l’histoire des nations. Il a évoqué les réponses apportées à l’époque par les autorités, tout en reconnaissant les défis qui persistent. Dans son allocution, il a également exhorté au courage et à la patience dans le contexte actuel de refondation nationale, assurant aux étudiants que « dans peu de temps, nous serons au bout du tunnel ».

Un plaidoyer pour un enseignement de qualité

Les représentants des structures estudiantines, dont Mohamed Amadou Issoufou, Secrétaire général de l’Union des Étudiants Nigériens à l’Université de Tahoua (UENUT), ont successivement pris la parole pour raviver la mémoire collective sur les événements de 1990. Leurs interventions ont mis en exergue le contexte sociopolitique ayant conduit à cette tragédie, notamment l’application des mesures drastiques du Programme d’Ajustement Structurel (PAS), lesquelles avaient engendré une vague de mécontentement au sein de la communauté estudiantine.

Au-delà de la commémoration, cette journée a été l’occasion pour les étudiants de porter leurs doléances devant les autorités. Parmi les revendications figurent le manque criant d’enseignants, l’insuffisance des infrastructures académiques et les conditions précaires des universités publiques. Par ailleurs, les étudiants ont réaffirmé leur soutien indéfectible aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et exprimé leur solidarité envers les victimes du terrorisme qui sévit dans le pays.

Un message d’espoir et de résilience

Loin d’être une simple évocation du passé, cette commémoration s’inscrit dans une dynamique de réflexion sur l’avenir du système éducatif nigérien. À travers leur mobilisation, les scolaires de Tahoua démontrent que la mémoire des martyrs du 9 février 1990 demeure vivante et qu’elle nourrit encore les aspirations à une éducation équitable et de qualité.

L’histoire enseigne que les sacrifices d’hier façonnent les victoires de demain. En ce sens, cet hommage dépasse la seule commémoration pour devenir un cri d’alerte, un appel à l’action pour que les erreurs du passé ne se reproduisent plus et que l’éducation, pilier du développement, reçoive enfin l’attention qu’elle mérite.

Un an après le départ des forces françaises, le Niger célèbre sa souveraineté

Niamey, le 23 décembre 2024 – Un an jour pour jour après le départ des dernières troupes françaises du sol nigérien, des milliers de personnes se sont rassemblées à la place de la Résistance pour célébrer cet événement historique. Organisée par le mouvement M62 en collaboration avec le Regroupement des Associations Islamiques et des Zawiyas du Niger, cette cérémonie a été l’occasion de rendre hommage à la résistance du peuple nigérien et d’affirmer sa détermination à construire un avenir souverain.

M62 : Hommage patriotique et unité nationale

Sous un soleil éclatant, la foule a entonné des chants patriotiques et brandi des drapeaux nationaux. La prière d’Asr a été suivie de deux conférences qui ont abordé des thèmes majeurs tels que l’amour de la patrie et la lutte contre l’injustice. Les orateurs ont souligné l’importance de préserver les acquis de la souveraineté retrouvée et ont appelé à l’unité nationale.

Le colonel Ibro Amadou, membre du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), a remercié le peuple nigérien pour son soutien indéfectible. «Nous avons franchi une étape importante dans l’histoire de notre pays», a-t-il déclaré. « Mais le chemin est encore long. » « Nous devons rester unis et déterminés pour relever les défis qui nous attendent. »

Pour Abdoulaye Seydou, président du mouvement M62, cette journée a marqué un tournant décisif. « Nous avons tourné une page de notre histoire et nous écrivons désormais un nouveau chapitre, fondé sur la souveraineté, la justice et la solidarité», a-t-il allégué.

Le président du mouvement M62 a justifié la mobilisation populaire par sept raisons principales. Il a notamment salué l’unité nationale, soutenu le CNSP, condamné l’impérialisme occidental et appelé à une meilleure gouvernance au Niger.

Les manifestants ont également exprimé leur solidarité avec le peuple palestinien et ont appelé la communauté internationale à mettre fin à l’occupation israélienne. Ils ont aussi formulé plusieurs recommandations au CNSP, particulièrement la nécessité d’intégrer l’enseignement du Coran dans le système éducatif, d’inscrire la Zakat sur les revenus miniers et pétroliers comme instrument de gestion des ressources ; construire une grande mosquée à la place de la Résistance ; réguler les coûts de loyer à travers des mesures légales ; accorder une amnistie ou une grâce présidentielle aux militaires détenus avant le 26 juillet 2023.

Un événement marquant

Cette cérémonie a été l’occasion de mesurer l’attachement des Nigériens à leur souveraineté. Le départ des forces françaises a provoqué une vague d’enthousiasme dans le pays et a renforcé le sentiment d’unité nationale. Cependant, les défis restent nombreux et le CNSP devra faire face à de nombreuses attentes.

En somme, l’euphorie de cette journée ne doit pas occulter les défis qui attendent le Niger. La transition politique, la reconstruction des institutions et le développement économique sont autant de dossiers qui nécessitent une attention particulière. Néanmoins, la mobilisation populaire lors de cette cérémonie est un signe encourageant pour l’avenir.

Dosso, berceau de l’unité nationale : Un 66ᵉ anniversaire placé sous le signe de la souveraineté

Dosso, le 18 décembre 2024 – Sous un ciel clair et serein, la ville de Dosso s’est parée de ses plus beaux atours pour célébrer le 66ᵉ anniversaire de la proclamation de la République du Niger. En effet, cette journée, empreinte de solennité et de fierté nationale, a été l’occasion pour les Nigériens de réaffirmer leur attachement aux valeurs républicaines et de célébrer les progrès accomplis depuis l’indépendance.

Dosso célèbre l'unité nationale et l'affirmation de la souveraineté nigérienne lors du 66ᵉ anniversaire de la République.66ᵉ anniversaire : une célébration placée sous le signe de l’unité

La cérémonie officielle, présidée par le général de brigade Iro Oumarou, gouverneur de la région de Dosso, a été marquée par une prise d’armes solennelle, rappelant l’engagement des forces de défense et de sécurité au service de la nation. Dans son allocution, le gouverneur a souligné l’importance de l’unité nationale et de la cohésion sociale, rappelant les mots du président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), le général de brigade Abdourahamane Tiani, qui a insisté sur l’affirmation de la souveraineté, de la dignité et de l’indépendance du peuple nigérien.

Un avenir prometteur pour le Niger

Le gouverneur de Dosso a également invité la population à se mobiliser pour la réussite de L’organisation du Sabre National KOKOWA 2024, dont le thème est « Zantchan Kassa, Labou Sani No » (Unissons-nous pour un Niger nouveau). Cet événement témoigne de la volonté du gouvernement de renforcer le sentiment d’appartenance à la nation et de mobiliser toutes les énergies pour relever les défis auxquels fait face le pays. Par ailleurs, il contribuera à renforcer la cohésion sociale.

En plus, le général a exhorté les populations de la cité des Djermakoyes à faire en sorte que le réveillon du 31 décembre à Dosso se passe bien et dans l’harmonie. Cette annonce souligne l’ambition du Niger de faire de ses fêtes de fin d’année un moment inoubliable pour cette nation qui n’a connu que des moments difficiles en 2024.

Un appel à la mobilisation générale

Le gouverneur a aussi appelé les Nigériens à s’engager résolument dans la refondation de leur pays. Il a rendu hommage aux forces de défense et de sécurité qui travaillent sans relâche pour assurer la sécurité et l’intégrité territoriale du Niger. Il a aussi exprimé sa gratitude au CNSP et à son président pour leur engagement en faveur d’un Niger souverain, libre et indépendant.

En conclusion, la célébration du 66ᵉ anniversaire de la proclamation de la République du Niger à Dosso a été l’occasion de réaffirmer les fondamentaux de la nation et de tracer les perspectives. Le peuple nigérien, fort de son histoire, se tourne résolument vers l’avenir et s’engage à relever les défis qui se présentent.