Niger-Ressources minières Archives - Journal du Niger

Ingall : concertation locale pour encadrer l’orpaillage

À Ingall, une séance de concertation sur la gouvernance de l’orpaillage réunit les acteurs locaux autour d’un enjeu stratégique : transformer l’exploitation de l’or en levier de développement territorial.

 

Niamey, 23 septembre 2025 – Dans un contexte régional marqué par les mutations économiques et les pressions migratoires, la commune rurale d’Ingall s’est transformée, hier lundi, en laboratoire de dialogue territorial. L’Administrateur Délégué, Officier de Police Mamadou Bana, a présidé une séance d’animation de la plate-forme communale de concertation sur la gouvernance de l’orpaillage, tenue dans la salle de réunion de la Mairie.

 

L’orpaillage au cœur de la gouvernance locale

 

Co-organisée par le Gouvernorat d’Agadez et l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), cette rencontre a rassemblé les membres du comité communal et les parties prenantes locales. en fait l’objectif était de revisiter les missions, le fonctionnement et les enjeux liés à l’exploitation de l’or dans la région.

À travers cette initiative, le Gouvernorat d’Agadez, sous le leadership du Général de Division Ibra Boulama Issa, et l’OIM, représentée par ses responsables au Niger, démontrent leur engagement commun pour une gouvernance minière efficace et durable.

 

Un partenariat structurant pour la résilience

 

L’initiative vise, en effet, à permettre aux communes de la région — et à Ingall en particulier — de tirer pleinement parti des retombées économiques de l’orpaillage. En parallèle, il s’agit de maîtriser les risques associés, tels que l’insécurité, la pression démographique, le chômage et la faible mobilisation des ressources internes.

De ce fait, ce partenariat s’inscrit dans une logique de résilience territoriale, où l’exploitation aurifère devient un vecteur de développement local plutôt qu’un facteur de vulnérabilité.

 

Au-delà de la migration, l’OIM se positionne en partenaire stratégique

 

Au-delà de son mandat d’assistance aux migrants, l’OIM déploie des projets structurants au bénéfice des populations locales. Son accompagnement dans cette initiative illustre une approche intégrée, qui vise à renforcer les capacités des communes face aux défis liés à la migration, à l’économie informelle et à la gouvernance des ressources naturelles. Ainsi, cette séance d’animation ne se limite pas à un rappel technique. Elle incarne également  une volonté politique et communautaire de bâtir une gouvernance inclusive, capable de transformer les défis de l’orpaillage en opportunités durables.

 

De l’or brut à l’or du développement : le pari d’Ingall

 

À l’issue de cette rencontre, une dynamique se dessine, celle d’une gouvernance locale qui ne se contente plus d’observer les mutations liées à l’orpaillage, mais qui cherche à les encadrer et à en tirer parti. Ce dialogue ouvre la voie à un modèle de développement minier qui pourrait servir d’exemple dans d’autres communes sahéliennes.

Reste à voir si cet élan de concertation se traduira par des actions concrètes sur le terrain et si la richesse souterraine d’Ingall sera, cette fois, canalisée pour bâtir un avenir prospère pour sa population. Les défis sont immenses, mais l’initiative de l’OIM et du gouvernorat d’Agadez démontre qu’une solution pacifique et concertée est possible. La route vers une gestion durable de l’or est tracée ; le Niger a-t-il les moyens et la détermination de la suivre jusqu’au bout ?

Agadez transforme l’or en levier de développement

Agadez : Le nouvel eldorado de l’or s’engage sur la voie de la gouvernance

 

Agadez, 3 septembre 2025— Un vent d’espoir souffle sur les vastes étendues d’Agadez, carrefour stratégique et économique du Niger. Sous l’égide du gouverneur de la région, un événement majeur s’est tenu les 2 et 3 septembre 2025 : le Forum sur la Gouvernance de l’Orpaillage. Réunissant un éventail d’acteurs locaux, régionaux et nationaux, cette rencontre ambitieuse vise à transformer l’exploitation artisanale de l’or en un véritable levier de développement durable. Elle illustre également une démarche inclusive qui engage pleinement les communautés et l’État.

 

L’or, un trésor à sécuriser et à valoriser pour l’avenir du pays

 

En effet, l’objectif de ce forum est clair : instaurer une gouvernance robuste pour un secteur souvent miné par de multiples défis. Les échanges, à la fois intenses et fructueux, ont mis en lumière plusieurs priorités cruciales. Il s’agit notamment de maximiser la valorisation des ressources aurifères, d’accroître les recettes fiscales pour financer le développement, et de préserver l’environnement des impacts de l’exploitation.

De plus, le forum a insisté sur la nécessité de renforcer la sécurité autour des sites miniers et de promouvoir le progrès socio-économique des populations locales. Ce faisant, il apporte une réponse concrète aux enjeux d’un secteur vital pour l’économie régionale, encore trop souvent fragilisé par des pratiques informelles.

Quand l’expertise internationale rencontre la volonté locale

 

Par ailleurs, cet événement, organisé avec le soutien de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) et financé par le Fonds pour la Consolidation de la Paix des Nations Unies, incarne une collaboration exemplaire entre les autorités nigériennes et leurs partenaires internationaux. En rassemblant des représentants de divers horizons — des artisans miniers aux responsables étatiques — le forum a su forger un consensus autour de solutions durables, capables de concilier prospérité économique et responsabilité environnementale.

 

Agadez, l’étincelle d’une nouvelle ère pour l’Afrique de l’Ouest ?

 

Ce rendez-vous, qui marque une étape décisive, pose également les bases d’un dialogue continu pour moderniser l’orpaillage au Niger. Toutefois, si Agadez s’est positionnée comme un modèle de gouvernance responsable, son succès pourrait inspirer d’autres régions confrontées à des défis similaires. Les regards sont désormais tournés vers la mise en œuvre des engagements pris, qui pourraient bien redessiner l’avenir d’un secteur au cœur du développement des communautés locales, et potentiellement au-delà des frontières du pays.

Agadez relance la gouvernance de l’orpaillage pour un développement durable

Agadez : Une session cruciale pour redynamiser l’orpaillage et façonner un avenir durable au Niger

Agadez, 8 juillet 2025 Sous le ciel incandescent du désert nigérien, Agadez, ville légendaire et poumon économique du nord du Niger, s’est transformée ce mardi 8 juillet 2025 en un carrefour de réflexion stratégique. Le Général de Division Ibra Boulama Issa, gouverneur de la région, a donné le coup d’envoi de la 3ᵉ Session de Rédynamisation des Outils Régionaux de Concertation et de Suivi des Questions d’Orpaillage. Par ailleurs, cet événement, bien plus qu’une simple réunion, ambitionne de remodeler l’exploitation aurifère dans une région où l’or représente à la fois une promesse de prospérité et un défi majeur pour la sécurité et le développement.

À Agadez, les autorités régionales ont lancé une session stratégique sur l’orpaillage pour encadrer cette activité clé, renforcer la sécurité et poser les bases d’un développement durable dans le nord du Niger.Un secteur stratégique sous les projecteurs

Réunissant un parterre de responsables civils et militaires, ainsi que des partenaires internationaux comme le représentant de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), cette session s’attaque aux multiples facettes de l’orpaillage, une activité économique vitale pour Agadez. L’objectif est clair : analyser en profondeur les enjeux liés à l’emploi, à la sécurité, à la mobilisation des ressources financières, et aux obstacles qui freinent les acteurs du secteur. De l’exploitation artisanale aux impacts socio-économiques, chaque aspect sera scruté pour poser les bases d’une industrie plus équitable et durable.

Le gouverneur, dans son discours inaugural, a souligné l’importance de cette concertation pour l’avenir de la région. « L’orpaillage est une richesse, mais aussi une responsabilité. Nous devons travailler ensemble pour en faire un moteur de développement inclusif, tout en garantissant la sécurité et la dignité de ceux qui y participent », a-t-il déclaré, donnant ainsi le ton d’une session axée sur des solutions concrètes.

orpaillage : Les défis d’un Eldorado fragile

L’orpaillage, pratique ancestrale dans le nord du Niger, attire des milliers de personnes en quête de fortune, cependant, il est aussi source de tensions. Les sites d’extraction, souvent situés dans des zones reculées, sont confrontés à des problèmes d’insécurité, exacerbés par la présence de groupes armés et de trafics illicites. À cela s’ajoutent des conditions de travail précaires, des conflits fonciers et un manque de régulation qui freinent la collecte des recettes fiscales. Cette session vise aussi  à établir des mécanismes de suivi robustes pour encadrer l’activité, tout en maximisant son apport à l’économie locale.

L’emploi, en particulier, est au cœur des discussions. Avec des milliers de jeunes Nigériens et de migrants attirés par les mines d’or, la question du recrutement et de la formation se pose avec acuité. Comment garantir des opportunités justes tout en évitant l’exploitation des travailleurs ? Les débats promettent d’explorer des solutions innovantes, comme la création de coopératives ou l’introduction de technologies adaptées pour améliorer la productivité et la sécurité.

Une collaboration élargie pour un impact durable

La présence de l’OIM parmi les partenaires illustre la dimension transnationale de l’orpaillage à Agadez, ville carrefour des flux migratoires. L’organisation apporte son expertise pour accompagner les initiatives visant à protéger les travailleurs migrants et à intégrer les questions migratoires dans la gestion du secteur. Cette collaboration, couplée à l’implication des autorités locales et nationales, vise à transformer l’orpaillage en un levier de développement durable, capable de bénéficier aux communautés tout en réduisant les risques sociaux et environnementaux.

À Agadez, les autorités régionales ont lancé une session stratégique sur l’orpaillage pour encadrer cette activité clé, renforcer la sécurité et poser les bases d’un développement durable dans le nord du Niger.orpaillage : Un tournant pour Agadez

En conclusion, cette 3ᵉ Session de Rédynamisation marque un moment charnière pour Agadez. En plaçant l’orpaillage sous le microscope de la concertation, les autorités régionales envoient un message fort : l’exploitation de l’or doit cesser d’être une source de chaos pour devenir un pilier de prospérité. Les discussions, qui se prolongeront dans les jours à venir, devront également  déboucher sur des recommandations concrètes pour encadrer le secteur, sécuriser les sites, et garantir une répartition équitable des richesses.

Alors que le soleil se couche sur les dunes d’Agadez, les espoirs se tournent vers les résultats de cette session. Dans une région où chaque gramme d’or extrait raconte une histoire de labeur et de résilience, cette initiative pourrait redéfinir l’avenir de l’orpaillage, pour qu’il brille non seulement dans les rivières, mais aussi dans la vie des communautés qui en dépendent.

Bras de fer judiciaire : Orano attaque le Niger après une perquisition controversée

Niger : Orano face à la tempête judiciaire après une perquisition musclée à Niamey

Niamey, 13 mai 2025 – Dans les rues poussiéreuses de la capitale nigérienne, un bras de fer aux accents géopolitiques secoue le géant français de l’uranium, Orano. en effet, ce mardi, l’entreprise, anciennement connue sous le nom d’Areva, a brandi l’arme judiciaire, déposant une plainte retentissante auprès du procureur de la République du Niger. En cause : une perquisition musclée, survenue le 5 mai, dans les bureaux de ses filiales Somair, Cominak, Imouraren SA et Orano Mining Niger à Niamey. Cette opération, menée par les forces de sécurité nigériennes, s’est soldée par la saisie de matériel informatique, l’interrogatoire des dirigeants et, surtout, l’arrestation présumée d’Ibrahim Courmo, directeur d’Orano Mining Niger, conduit vers les locaux de la Direction Générale de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DGDSE). Un épisode qui cristallise les tensions entre Niamey et l’ancienne puissance coloniale, sur fond de souveraineté et de ressources stratégiques.

Perquisition musclée et arrestation présumée : le coup de filet nigérien contre Orano

Le 5 mai, les bureaux d’Orano à Niamey, d’ordinaire discrets, ont été le théâtre d’une intervention spectaculaire. Selon des sources concordantes, des agents nigériens ont investi les locaux des filiales Somair, Cominak, Imouraren SA et Orano Mining Niger, confisquant ordinateurs et téléphones portables. Les directeurs généraux ont été interrogés sur place, dans une atmosphère tendue. Mais c’est l’issue de cette opération qui a fait basculer l’affaire dans une crise ouverte : Ibrahim Courmo, figure clé d’Orano au Niger, aurait été emmené vers la DGDSE, où toute communication avec lui demeure impossible à ce jour. « Une arrestation arbitraire, une détention illégale », dénonce Orano dans un communiqué cinglant, fustigeant une intervention « sans cadre légal ni motifs établis ».

Ce raid intervient dans un contexte de relations délétères entre Orano et le gouvernement nigérien, dirigé par le Général Abdourahamane Tiani depuis le coup d’État de juillet 2023. En décembre 2024, Niamey avait déjà saisi le contrôle opérationnel de la mine de Somair, dont Orano détient 63,4 %, marquant un point de rupture. La révocation, en juin 2024, de la licence d’exploitation de l’immense gisement d’Imouraren, l’un des plus grands au monde, avait également sonné comme un avertissement. Ces décisions s’inscrivent dans une volonté affirmée du Niger de reprendre la main sur ses ressources naturelles, l’uranium en tête, qui représente une manne stratégique pour le pays, septième producteur mondial.

La riposte judiciaire d’Orano : des tensions exacerbées par les décisions de Niamey

Pour Orano, présent au Niger depuis plus de cinq décennies, cette perquisition est un coup dur. L’entreprise, qui a extrait des dizaines de milliers de tonnes d’uranium des mines de Somair et Cominak (fermées en 2021 après épuisement des réserves), voit son avenir dans le pays s’assombrir. « Nous sommes indignés par ces méthodes », a déclaré un porte-parole d’Orano,  soulignant l’absence de transparence dans l’opération du 5 mai. En réponse, la firme a engagé des poursuites judiciaires au Niger, tout en maintenant plusieurs arbitrages internationaux contre l’État nigérien, lancés après la perte de contrôle de ses filiales en décembre 2024.

Cette escalade judiciaire reflète un divorce profond avec Niamey, exacerbé par le virage anti-français du régime militaire. Depuis le coup d’État, les relations entre la France et le Niger se sont effondrées .L’uranium, vital pour l’industrie nucléaire française, est devenu un symbole de cette lutte d’influence. Alors que des puissances comme la Russie et la Turquie lorgnent les gisements nigériens, Orano se retrouve dans une position précaire, coincé entre impératifs économiques et pressions géopolitiques.

La quête de souveraineté : le Niger affirme son autorité face au géant de l’uranium

Du côté nigérien, l’opération du 5 mai est perçue comme une affirmation d’autorité. « Le Niger ne sera plus une vache à lait pour les multinationales », martèle un cadre proche du pouvoir, sous couvert d’anonymat. Les autorités reprochent à Orano des décennies d’exploitation jugée inéquitable, marquée par des revenus modestes pour l’État (environ 170 milliards de FCFA entre 2016 et 2020, selon un document présidentiel) et des impacts environnementaux dénoncés par les communautés locales d’Arlit. La saisie du matériel et l’arrestation de Courmo pourraient ainsi viser à faire pression sur Orano, voire à accélérer son départ.

Pourtant, ce bras de fer judiciaire  n’est pas sans risques. Le Niger, l’un des pays les plus pauvres au monde, dépend encore des revenus de l’uranium, et la transition vers de nouveaux partenaires, comme la Russie ou la Turquie, reste incertaine. Rosatom, le géant nucléaire russe, a déjà entamé des discussions pour reprendre les actifs d’Orano, selon des sources proches du dossier, tandis qu’Ankara a signé un protocole minier en octobre 2024. Ces manœuvres signalent un basculement géopolitique, où Niamey cherche à diversifier ses alliances tout en affirmant sa souveraineté.

Un duel aux enjeux mondiaux : risques, nouvelles alliances et avenir incertain de l’uranium nigérien

À Niamey, le silence des autorités face à la plainte d’Orano contraste avec la ferveur des réseaux sociaux, où certains saluent une « revanche » contre l’ancien colonisateur. « La France a pillé notre uranium pendant des décennies, il est temps de rendre des comptes », écrit un internaute sur X. Mais au-delà de la rhétorique, cette crise pose des questions cruciales : le Niger parviendra-t-il à valoriser ses ressources sans aliéner ses partenaires historiques ? Et Orano, pris dans la tourmente, pourra-t-il préserver ses intérêts dans un Sahel en pleine recomposition ?

En somme, l’avenir d’Orano au Niger semble suspendu à un fil. Cette perquisition, loin d’être un simple incident, est un chapitre brûlant d’une saga dans laquelle se jouent la souveraineté, la richesse et le pouvoir. Dans ce duel entre un géant de l’uranium et un État décidé à reprendre son destin en main, chaque geste compte, chaque mot pèse. Et à Niamey, le monde observe, attentif.

 

Orano relance l’uranium au Niger : Imouraren renaît

Niamey, Niger – Mardi, le groupe français Orano, spécialisé dans le combustible nucléaire, a annoncé la relance de l’exploitation de la mine d’uranium d’Imouraren, située dans le nord du Niger. Ce gisement, qui devait devenir la plus grande mine d’uranium à ciel ouvert du continent lors de la pose de la première pierre en 2009, avait vu son développement retardé par des facteurs externes tels que l’accident nucléaire de Fukushima et la chute des prix de l’uranium.

La décision d’Orano de relancer le projet Imouraren s’explique par la récente hausse des prix de l’uranium sur le marché mondial, dopée par l’augmentation de la demande en énergie nucléaire. Cette hausse rend désormais l’exploitation du gisement d’Imouraren économiquement viable.

Orano a réitéré son engagement à mener à bien le projet Imouraren dans le respect des normes sociales et environnementales les plus strictes. Le groupe a également souligné son attachement à un partenariat durable avec les autorités nigériennes et les parties prenantes locales.

Relance d’un projet stratégique pour le Niger

La relance de l’exploitation de la mine d’Imouraren constitue une nouvelle importante pour le Niger, dont l’économie dépend fortement de l’uranium. Le pays est le premier producteur d’uranium en Afrique et le cinquième au monde. L’exploitation d’Imouraren devrait permettre de créer des centaines d’emplois et de générer des revenus importants pour l’État nigérien.

Imouraren :Un projet controversé

Cependant, la relance du projet Imouraren ne fait pas l’unanimité. Certains acteurs de la société civile nigérienne s’inquiètent des impacts environnementaux et sociaux de l’exploitation minière. Ils craignent notamment la pollution des sols et des eaux, ainsi que la dégradation des conditions de vie des populations locales.

Orano a promis de prendre en compte ces préoccupations et de mettre en œuvre des mesures concrètes pour minimiser les impacts négatifs du projet. Le groupe a également annoncé la création d’un fonds de développement communautaire pour soutenir des projets au profit des populations locales.

En somme, la relance de l’exploitation de la mine d’Imouraren marque un nouveau chapitre dans les relations entre le Niger et la France. Les deux pays devront travailler ensemble pour garantir que le projet se déroule de manière durable et responsable, au profit des populations locales et de l’économie nigérienne.