juillet 2021 - Page 10 sur 42 - Journal du niger

JO Tokyo 2021: Ruth Gbagbi offre à la Côte d’Ivoire sa première médaille

La taekwondo-in ivoirienne Ruth Marie Christelle Gbagbi a offert, lundi, à la Côte d’Ivoire sa première médaille en décrochant le bronze.

Elle a conservé sa médaille de bronze, à l’issue des combats de classement dans la catégorie des moins de 67 kg disputés lundi à Tokyo au Japon dans le cadre de la 32è édition des Jeux olympiques d’été.

Ruth Gbagbi a gagné au score (12-8) face à la Brésilienne Milena Titoneli. L’ivoirienne de 27 ans conserve ainsi son titre de médaillée de bronze olympique pour la 2è édition consécutive. En 2016, à Rio de Janeiro au Brésil elle avait battu l’Azerbaïdjanaise Farida Azizoua par 7 points à 1 en match de classement pour se hisser sur la 3è marche du podium.

Tout au long de cette journée marathon consacrée au taekwondo depuis 2h 00 du matin Gmt et heure locale, la championne du monde en titre dans sa catégorie a d’abord remporté son premier combat en 8è de finale après la disqualification de son adversaire Naomie Katoka de la République démocratique du Congo.

Ruth Gbagbi s’est ensuite imposée dans les quarts de finale par une victoire au score 21 contre 9 face à la chinoise Mengyu Zhang avant de perdre son combat en demi-finale face à la Britannique Lauren Williams.

L’histoire des JO Rio 2016 se répète donc pour cette désormais double médaillée de bronze olympique.

Cette victoire de Gbagbi vient ainsi mettre un terme à la traversée du désert vécue par la sélection ivoirienne depuis l’ouverture des JO Tokyo 2021. Dans la nuit de dimanche à lundi, le premier espoir de médaille d’or de cette équipe notamment le champion olympique Cheick Cissé a été éliminé dès sa première sortie en 8è de finale au taekwondo dans la catégorie des -80 kg.

Avant lui, ce sont 4 autres athlètes ivoiriens qui ont été sortis de la course aux médailles. Le rameur N’Dri Franck n’a pas réussi à dépasser les séries éliminatoires au Skiff hommes en Aviron. Même son de cloche pour la nageuse Talita Te Flan qui a calé également en série du 400 m nage libre féminine. Quant à la judokate Zouleiha Abzetta Dabonné, elle est tombée à son tour dès les 16è de finale.

La Côte d’Ivoire totalise donc à ce jour, une médaille de bronze depuis l’ouverture des jeux, en attendant, l’entrée en scène de deux autres taekwondo-ins, de 3 sprinteurs et de l’équipe de football ivoirienne encore en lice pour les JO Tokyo 2021.

Mali : le gouvernement sur le chantier où des étrangers ont été enlevés

Le ministre de la Défense et des Anciens combattants, colonel Sadio Camara et son homologue des Transports et des Infrastructures, Médina Sissoko Dembélé, se sont rendus à Kwala (Sud-Ouest) pour constater les dégâts causés par l’attaque terroriste du 17 juillet dernier.Sur le site, les engins de génie civil calcinés renseignent sur la violence de l’assaut au cours de laquelle trois Chinois et deux Mauritaniens ont été kidnappés. L’entreprise chinoise Covec-Mali et ATTMSA de la Mauritanie sont chargées de la construction et du bitumage de la route Kwala-Mourdiah-Nara.

Lors d’une visite effectuée le 25 juillet, le colonel Sadio Camara, le ministre de la Défense et des Anciens combattants, a affirmé que les Forces armées maliennes (Fama) « sont à la poursuite de ces groupes terroristes afin de libérer les otages ».

Ambassadeur de la Chine au Mali, Wan Lei, a quant à lui déclaré que « les efforts seront conjugués » pour l’atteinte de cet objectif. De son côté, le diplomate mauritanien, Ahmedou Ould Ahmedou, a exprimé son inquiétude par rapport à « la sécurité de ses compatriotes enlevés », non sans souligner tout de même que « la mobilisation du gouvernement malien est rassurante ».

Enfin, Médina Sissoko Dembélé, la ministre des Transports et des Infrastructures, a plaidé pour que « les travaux reprennent dans un bref délai ». Démarrés en novembre 2019, les travaux de construction de cette route sont à un taux d’exécution de 35%.

Bénin : décès de Rosine Soglo, l’ex-première dame

Rose-Marie Honorine Vieyra s’est éteinte à l’âge de 87 ans, dimanche 25 juillet, dans sa résidence à Cotonou.L’ancienne première dame souffrait de problèmes cardiovasculaires et avait été admise dans une clinique de Cotonou depuis plusieurs jours. Alors que son état de santé s’était dégradé, elle a demandé à rentrer chez elle à Cotonou où elle est décédée dimanche vers 16 heures selon son entourage.

Plus qu’une première dame, cette avocate issue d’une famille afro-brésilienne, a été de tous les combats politiques auprès de son mari Nicéphore Soglo, premier président démocratiquement élu président du Bénin entre 1991 et 1996.

Celle qui était affectueusement appelée « Maman » par ses proches, a fondé le 24 mars 1992, la Renaissance du Bénin (RB), un parti politique pour accompagner son mari Nicéphore Soglo à la tête du pays. L’ancien président béninois, en séjour médical à Paris, a rendu hommage à une « battante ». « C’est cette femme-là qui m’a permis d’être solide », a-t-il témoigné.

Le président béninois Patrice Talon, qui entretient des relations très tendues avec la famille politique de Rosine Soglo, a salué la mémoire de la défunte. « Nous garderons d’elle l’image d’une femme brave et exceptionnelle. Au nom de la Nation, je présente mes condoléances attristées au Président Soglo, aux enfants Léhady et Galiou, ainsi qu’aux familles Vieyra et Soglo » a-t-il écrit sur sa page Facebook.

Constamment élue députée depuis la création de son parti, cette dame de fer, réputée pour son franc parler, avait annoncé son retrait de la vie politique à cause des problèmes de santé et notamment la perte de la vue en janvier 2019.

Mali : l’agresseur d’Assimi Goïta mort en détention

L’homme qui a tenté d’assassiner le président de la transition malienne est décédé dimanche au cours de sa garde à vue.L’auteur de l’agression contre le colonel Assimi Goïta est « malheureusement décédé », informe un communiqué du gouvernement malien. L’assaillant, d’apparence jeune et dont l’identité n’a pas été dévoilée, a été rapidement appréhendé mardi par les services de sécurité après la prière de la fête du Sacrifice dans la Grande mosquée de Bamako. Il avait tenté d’égorger le chef de l’Etat de transition.

Au cours des investigations « qui ont permis de mettre en évidence des indices corroboratifs », son état de santé « s’est dégradé » après son admission au centre hospitalier universitaire (CHU) Gabriel Touré puis au CHU du Point G, situés dans la capitale malienne. « Une autopsie a été immédiatement ordonnée pour déterminer les causes de son décès », ajoute le document.

Par ailleurs, le gouvernement rassure « que son décès ne fait pas obstacle à la poursuite de l’enquête déjà en cours au niveau du Parquet de la commune II (de Bamako), surtout que les premiers indices collectés et les informations recueillies indiquent qu’il ne s’agissait pas d’un élément isolé ». Ce qui voudrait dire que d’autres personnes seraient impliquées.

Le Mali se trouve dans un cycle d’incertitude politique depuis le renversement, dans la nuit du 18 au 19 août 2020, du président élu Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) par des militaires qui avaient à leur tête le colonel Assimi Goïta.

Jusque-là vice-président de la transition, cet officier de l’Armée a poussé le 26 mai 2021, président intérimaire Bah N’Daw à la démission.

Avec son ex-Premier ministre Moctar Ouane et d’autres personnalités, ils sont toujours placés en résidence surveillée par les autorités militaires. Récemment, le colonel Assimi Goïta a promis à l’Union africaine (UA) de lever les restrictions qui pèsent sur eux.

Lors de leur mission effectuée en mi-juillet à Bamako, les émissaires du Conseil Paix et Sécurité de l’UA ont salué les « avancées » de la situation politique au Mali. Au terme de leur visite, le nouvel homme fort de Bamako a réitéré son engagement à respecter la transition de dix-huit mois qui doit déboucher sur l’organisation d’élections générales en février 2022.

JO Tokyo/Taekwondo: l’Ivoirien Cheick Cissé éliminé

Le médaillé d’or olympique, le taekwondo-in ivoirien Cheick Sallah Cissé a été éliminé, lundi, à Tokyo après sa défaite contre le Marocain Achraf Mahboubi.

M. Cissé était à sa première sortie dans la catégorie des moins de 80 kg comptant pour les Jeux olympiques Tokyo 2021.

Il a perdu son combat en 8è de finale avec une différence de 10 points d’écart. Le champion olympique en titre et triple champion d’Afrique est tombé sans gloire à Tokyo. Son adversaire, le marocain Mahboubi a gagné au score 21 points contre 11 pour l’ivoirien.

Cette défaite de Cissé est perçue par plusieurs observateurs comme la fin d’un rêve de médaille d’or pour la Côte d’Ivoire.

En attendant l’entrée en scène dans quelques jours des sprinteurs ivoiriens, notamment Muriel Ahouré et Marie-Josée Ta Lou, la taekwondo-in Ruth Gbagbi reste encore en lice pour une chance de médaille de bronze pour la Côte d’Ivoire.

Santé, économie et sport au menu des quotidiens marocains

Les nouvelles mesures préventives pour lutter contre la propagation du Covid-19 et le nouveau Port Dakhla-Atlantique et la piètre prestation des athlètes marocains aux JO de Tokyo, sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus lundi.+Aujourd’hui le Maroc+ écrit : « C’est acté au vu de l’évolution des indicateurs: le Maroc fait face à sa quatrième vague Covid-19 à l’instar de nombreux autres pays à travers le monde », relevant que les pouvoirs publics savent cette fois-ci comment procéder et savent très bien quels dispositifs et mesures sont les plus adaptés et quand les prendre et avec quelles conséquences et quels résultats.

L’autre paramètre qui sera lui aussi déterminant dans les semaines et mois qui viennent est le rythme de la vaccination, poursuit la publication, ajoutant que le dernier paramètre est le niveau de conscience et de civisme des citoyens.

« Aucun dispositif sanitaire au monde ne peut donner de résultats, quel que soit son niveau de sévérité, en l’absence d’une discipline collective et rigoureuse », assure le journal. « C’est la seule et vraie barrière contre le virus… », soutient-il.

Sur un autre registre, +Al Bayane+ souligne que la ville de Dakhla est promue à un avenir florissant en termes économique et diplomatique de tout premier rang, rappelant que l’État envisage d’y fonder une unité portuaire de haut standing international, pour une enveloppe budgétaire de pas moins de 1 milliard d’euros.

Étendu sur pas moins de 1600 ha, le complexe portuaire sis à quelque 40 kilomètres de Dakhla, se compose de trois pôles en l’occurrence une unité commerciale spécialisée en échange avec l’Afrique et l’Amérique, l’unité des pêches maritimes et l’unité de chantiers navals, fait savoir le quotidien, ajoutant que la région de Dakhla Oued Dahab englobe à elle seule environ 65% des ressources halieutiques nationales.

Le port atlantique de Dakhla se dotera d’une zone logistique industrielle à même de permettre l’opérationnalité directe et indirecte de nombre de métiers, plus particulièrement dans les secteurs de l’industrie agricole et la production poissonnière, indique-t-il.

+Al Ahdath Al Maghribia+ relève qu’il y a de moins en moins d’athlètes marocains en lice dans les JO de Tokyo, alors que nous ne sommes qu’au troisième jour.

Le quotidien pointe ces éliminations successives malgré les motivations et les nombreux stages de préparation.

Dimanche, les derniers éliminés ont été les deux boxeurs Mohamed Assaghir et Abdelhak Nadir. Ce dernier s’est fait éliminer par un boxeur Mauricien en 16ème de finale dans la catégorie des poids légers (moins de 63 KG) et le premier dans le moins de 81 kg a vu l’arbitre mettre fin à son calvaire face au russe Khataev Imam. Les deux rejoignent Mohammed Hammout éliminé samedi dans le moins de 57 kg par un boxeur iranien.

Le quotidien explique qu’une vague d’énervement et de déception a envahi la délégation marocaine à Tokyo après ce grand nombre d’athlètes éliminés très rapidement. Le niveau des sportifs marocains n’a pas été à la hauteur de la compétition comme cela a été le cas pour la rameuse Sarah Fraincart, éliminée en aviron après avoir été repêchée pour une dernière course.

JO/Taekwondo: l’Ivoirienne Ruth Gbagbi se qualifie pour la médaille de bronze

La taekwondo-in ivoirienne Ruth Marie Christelle Gbagbi est tombée, lundi, à l’issue des demi-finales du Taekwondo, mais se qualifie pour la médaille de bronze.

Elle évoluait dans la catégorie des moins de 67 kg femmes comptant pour les olympiades 2020 en cours à Tokyo au Japon.

Ruth Gbagbi a perdu son combat au Makuhari Messe Hall A avec seulement 6 points d’écart. Son adversaire Lauren Williams de la Grande Bretagne est sortie victorieuse avec un score de 24 points contre 18 pour l’ivoirienne. 

Ruth Gbagbi reste en course malgré cette défaite. Elle est qualifiée d’office pour le combat pour la médaille de bronze prévue en mi-journée ce lundi.

L’histoire des JO Rio 2016 se répète donc pour la médaillée de bronze olympique qui devra batailler dur pour conserver son titre.

Tout au long de cette journée marathon de la discipline du Taekwondo, la championne du monde en titre dans sa catégorie a d’abord remporté son premier combat en 8è de finale après la disqualification de la congolaise Naomie Katoka.

Ruth Gbagbi s’est ensuite imposée en quarts de finale par une victoire au score 21 contre 9 face à la chinoise Mengyu Zhang avant de perdre son combat en demi-finale face à la Britannique Lauren.

Côte d’Ivoire : un prêt de 25 millions d’euros pour le projet hydroélectrique vert

Le Fonds pour l’infrastructure de l’Afrique émergente (EAIF, sigle en anglais) participe ainsi au financement de la construction d’une centrale hydroélectrique d’un montant global de 174 millions d’euros.Si tout se passe comme prévu, une centrale hydroélectrique d’une capacité de 44 Mégawatt devrait être inaugurée dans 36 mois sur le fleuve Bandama qui traverse la Côte d’Ivoire du Nord au Sud. L’infrastructure sera érigée à Singrobo-Ahouaty dans le département de Toumodi situé à environ 200 kilomètres au Nord d’Abidjan.

C’est la société Ivoir Hydro Energy (IHE), initiatrice de ce projet soutenu par l’Etat ivoirien, qui va recevoir le prêt à solder dans 18 ans. « Un contrat d’achat d’électricité à long terme stipule que toute la production de la centrale de Singrobo sera vendue à la Compagnie Ivoirienne d’Électricité, exploitante du réseau national de Côte d’Ivoire », précise un communiqué reçu ce lundi à APA.

Pour les concepteurs du projet, « la nouvelle centrale sera un atout économique stratégique important pour la Côte d’Ivoire » parce que « elle augmentera la capacité de production du pays, renforcera la flexibilité du système par sa capacité à assurer l’alimentation électrique de base, mais également à répondre aux pics de la demande ».

Outre le Fonds pour l’infrastructure de l’Afrique émergente (EAIF),  la Banque africaine de développement (Bad) et la Société allemande d’investissement et de développement (DEG) sont les autres créanciers.

De leur côté, IHE Holding, l’Africa Finance Corporation (AFC) et la DIPFA, plateforme internationale d’investissement dans les projets de production d’énergie, vont financer sur fonds propres 25 % du coût du projet.

En Côte d’Ivoire, le taux d’électrification est d’environ 88 % dans les zones urbaines et de 31 % en milieu rural. L’économie la plus développée de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) veut porter, à l’horizon 2030, la part d’énergies renouvelables dans sa production électrique à 42% contre 15% actuellement.

Coronavirus, justice et sport au menu de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus lundi à APA traitent de l’augmentation tragique des cas de Covid-19, des critiques émises contre le Conseil constitutionnel et de l’actualité sportive nationale.L’Observateur décrit « le scénario catastrophe » dans l’évolution de la Covid-19 au Sénégal, informant que « tous les lits sous d’oxygène (sont) occupés dans les CTE (centres de traitement) de Dakar ». Sans gants, l’épidémiologiste Abdoulaye Kébé Dia déclare que « la 3e vague sera plus meurtrière ».

Cette situation coïncide avec la « hausse des inhumations », constate Le Quotidien sous la Une « Ci-gît la tragédie ». « Si la situation continue, on fermera le cimetière dans deux ans », selon le gestionnaire de Saint-Lazare. Du côté du cimetière musulman de Yoff, un fossoyeur note que « je n’ai jamais vu autant d’enterrements ».

L’AS ne se gêne pas pour dire que « la Covid-19 malmène les populations » après 17 décès enregistrés en deux jours. Le directeur des Infrastructures sanitaires Amath Diouf souligne qu’un « malade atteint de Covid-19 peut consommer 25 litres d’oxygène par minute ».

Sur un autre sujet, Walf Quotidien rapporte des « tirs groupés sur les +Sages+ » du Conseil constitutionnel dont quatre d’entre eux, en lieu et place des sept membres, ont rejeté le recours de l’opposition sur le projet de loi voté à l’Assemblée nationale réformant le code pénal et le code de procédure pénale.

L’ex-Premier ministre Abdoul Mbaye se dit « dégoûté », l’ex-député Moustapha Diakhaté note que « le Conseil constitutionnel immole la Loi organique » là où Amadou Bâ de Pastef se courrouce contre « le très gros mensonge de Ismaïla Madior Fall », ex-ministre de la Justice et conseiller spécial du président Macky Sall.

Le quotidien national Le Soleil consacre sa Une à « l’addiction aux paris sportifs » et interroge à propos Pr Idrissa Bâ, psychiatre-addictologue : « Elle prive l’individu du caractère ludique du jeu ».

En fait divers, Libération informe de la neutralisation d’un prédateur sexuel aux Parcelles assainies, dans la banlieue dakaroise. L’individu est poursuivi pour viols et actes de barbarie sur une gamine de six ans.

Le journal informe en outre que « le gang à Amy Sène tombe » avant d’expliquer comment la gendarmerie de Thiaroye a cerné l’ancienne footballeuse et les membres de sa bande de braqueurs.

En sports, Stades note une « timide entrée des Sénégalais » dans les Jeux Olympiques de Tokyo 2021 avec des athlètes « éliminés » et d’autres « toujours en course ». En football, l’attaquant sénégalais Santy Ngom souligne dans Record vouloir « retrouver la Tanière et aller à la CAN ».

Sur l’élection du prochain président de la Fédération sénégalaise de football, prévue le 8 août, Alioune Abatalib Guèye, ex-président de l’instance, note que « ce consensus hypocrite (voulu par les actuels dirigeants) est contre l’intérêt du football ». Dans le même journal, Louis Lamotte, promoteur du consensus, explique « pourquoi Mady Touré n’a pas signé le protocole » avec les trois autres candidats dont le sortant Augustin Senghor qui brigue un quatrième mandat.

Dans Le Soleil, M. Touré décline sa feuille de route en ces termes : « J’ai juste besoin de 4 ans pour changer le football sénégalais ».

Un bateau-bus de la Sotra prend feu au quai à Abidjan

Un bateau-bus de la Société de transport abidjanais (Sotra, publique) a pris feu dimanche au quai, selon une note de l’entreprise qui ne déplore « aucun blessé, ni aucune perte en vies humaines ».

« Le dimanche 25 juillet 2021, aux environs de 9h45 minutes, le bateau nommé « Akwaba » a pris feu au quai de la gare lacunaire de Blockauss (dans l’Est d’Abidjan) », indique une note, qui mentionne qu' »aucun blessé, ni aucune perte en vies humaines n’est à déplorer ». 

Les équipes techniques ont été mobilisées pour déterminer les causes de cet incident, ajoute la société de transport public qui rassure toutefois que « le trafic lagunaire n’est aucunement perturbé par cet incident ». 

Un bateau-bus de la Sotra avait pris feu en novembre 2017, alors qu’il venait de quitter la gare lagunaire d’Abobodoumé, un quartier de la commune d’Attécoubé, dans l’Ouest d’Abidjan, avec à son bord près de 100 personnes, mais aucune perte en vie humaine n’avait été enregistrée.