octobre 2021 - Page 33 sur 40 - Journal du niger

Eliminatoires Mondial 2022 : Le Maroc bat la Guinée Bissau (5-0)

L’équipe marocaine de football a battu son homologue de la Guinée Bissau sur le score large de 5 buts à 0, mercredi soir à Rabat, pour le compte de la 3è journée (groupe I) des éliminatoires africaines du Mondial-2022 au Qatar.Les Lions de l’Atlas se sont imposés grâce à des buts inscrits Achraf Hakimi (31è), Imrane Louza (45+1è, s.p.), Ilias Chair (49è), Ayoub El Kaabi (62è) et Mounir El Haddadi (82è).

Grâce à cette victoire, l’équipe marocaine a repris la tête de la poule I avec 6 points obtenus en deux victoires, devançant la Guinée Bissau (2è/4 pts), la Guinée (3è/2 pts) et le Soudan (4è/1 pt).

Plus tôt, le Soudan et la Guinée ont fait match nul, 1 but partout, à Marrakech.

La Côte d’Ivoire annonce 2 centrales thermiques d’une puissance de 650 MW

La Côte d’Ivoire, qui compte accroître sa fourniture d’électricité afin de satisfaire la demande locale et régionale, envisage de construire deux centrales thermiques d’une capacité totale de plus de 650 mégawatts.

Ce projet a été présenté, mardi, par le ministre ivoirien des Mines, du pétrole et des énergies, Thomas Camara, lors d’une visite de chantier de construction d’un pipeline opéré par la société Foxtrot international et d’une station de traitement de gaz. 

« Nous avons en construction deux grosses centrales thermiques, une à Azito et une extension de Ciprel (Compagnie Ivoirienne de production d’électricité). Ces deux grandes centrales avec les cycles combinés vont produire 650 MW d’électricité à mettre à la disposition des populations et des industriels », a indiqué M. Thomas Camara.  

Selon M. Camara, « ces centrales seront alimentées par du gaz naturel”. Le projet comprend deux phases, l’une concernant la mise en place d’un poste de livraison sur Azito, achevée en mars 2021, et la seconde, un poste définitif d’Azito IV et du pipeline Vridi Ouest-Azito, en cours. 

Par ailleurs, le projet devrait permettre la mise en place du poste Ciprel V et d’autres pipelines, notamment sur les lignes Addah-Avagou-Taboth-Vridi Ouest, dont les travaux sont en cours de réalisation. 

 Le ministre des Mines, du pétrole et des énergies a souligné que ce pipeline et cette station de traitement de gaz devraient permettre d’accroître la capacité de transport du gaz naturel depuis les plateformes, au large de Jacqueville jusqu’aux centrales thermiques existantes et celles en construction.

Avec ce projet, la Côte d’Ivoire renforce sa production énergétique grâce à l’exploitation de nouvelles turbines de la centrale thermique d’Azito, ce qui devrait mettre le pays à l’abri d’une crise énergétique. 

Le 10 mai 2021, le pays a instauré un Programme de rationnement de la fourniture d’électricité, à la suite d’un déficit énergétique qu’avait connu la Côte d’Ivoire en raison d’une baisse du niveau d’eau dans les barrages hydroélectriques due à la sécheresse.

Le ministre ivoirien en charge des Mines, du pétrole et de l’énergie, Thomas Camara, avait annoncé « officiellement la fin du rationnement en électricité en Côte d’Ivoire », le 3 août 2021, assurant que de nouvelles turbines à la centrale d’Azito devraient entrer en production en septembre.  

La Centrale d’Azito, basée dans l’Ouest  d’Abidjan, dont l’une des turbines était récemment en panne est « totalement réparée » et toutes les structures de production fonctionnent aujourd’hui normalement.  

L’Afrique subsaharienne sort de la récession (BM)

La dernière édition du rapport Africa’s Pulse, rendue publique ce mercredi, projette une croissance économique de la région à 3,3 % à la fin de cette année.Après sa première récession depuis plus de 25 ans consécutive à la Covid-19, l’Afrique subsaharienne renoue avec la croissance. Ce rebond tient, selon l’étude, au prix élevé des matières premières, à l’assouplissement des mesures mises en place pour lutter contre la pandémie et la reprise du commerce international.

Toutefois, signale le document, cette relance reste fragile, en raison du faible taux de vaccination sur le continent, des préjudices économiques prolongés et du manque de dynamisme de la reprise.

« Un accès aisé et équitable à des vaccins anti-Covid-19 sûrs et efficaces est essentiel pour sauver des vies et renforcer la relance économique en Afrique », explique l’économiste en chef pour la région Afrique à la Banque mondiale, Albert Zeufack.

A en croire ce dernier, « un déploiement plus rapide des vaccins permettrait d’accélérer la croissance régionale pour l’amener à 5,1 % en 2022 et 5,4 % en 2023, l’allègement des mesures de confinement stimulant la consommation et l’investissement ».

Par ailleurs, note le rapport, la croissance devrait avoisiner les 4 % en 2022 et 2023, accusant un retard dans la relance par rapport aux économies avancées et aux marchés émergents. Cela étant le reflet d’un investissement en berne en Afrique subsaharienne.

En outre, l’étude fait état d’une relance économique hétérogène selon les pays de la région. Pour ses trois principales économies, l’Angola, le Nigéria et l’Afrique du Sud, la croissance est attendue à respectivement 0,4 %, 2,4 % et 4,6 %.

L’Afrique du Sud et le Nigéria mis à part, le reste de l’Afrique subsaharienne a su rebondir plus vite avec un taux de croissance de 3,6 % en 2021. Du côté des économies ne disposant pas de ressources naturelles abondantes, comme la Côte d’Ivoire et le Kenya, on s’attend à une reprise forte avec une croissance de respectivement 6,2 % et 5 %.

De plus, le rapport souligne la tendance positive des réformes structurelles et macroéconomiques que les pays africains ont su mettre en œuvre à l’occasion de la crise. Plusieurs pays se sont lancés dans des réformes structurelles difficiles mais nécessaires, comme l’unification des taux de change au Soudan, la réforme des subventions des produits pétroliers au Nigéria, et l’ouverture à la concurrence du secteur des télécommunications en Éthiopie.

De même, informe le document, grâce à des politiques monétaires et budgétaires prudentes, le déficit budgétaire régional, qui s’élève à 5,4 % du Produit Intérieur Brut (PIB) en 2021, devrait baisser pour atteindre 4,5 % du PIB en 2022 et 3 % du PIB en 2023. Cependant, la rigueur budgétaire, associée à une marge de manœuvre limitée, a empêché les pays d’Afrique d’injecter les ressources nécessaires au lancement d’une politique de relance vigoureuse face à la Covid-19.

En plus de la montée de la pression budgétaire et du niveau de leurs dettes due à la mise en œuvre des mesures de relance économique durable et inclusive, les pays d’Afrique subsaharienne sont confrontés à l’augmentation des effets du changement climatique, rappelle Africa’s Pulse.

Les auteurs de la recherche recommandent donc aux pays de saisir cette opportunité pour enclencher leurs transitions vers des modèles économiques moins polluants, de la même manière qu’ils ont su saisir l’occasion offerte par la pandémie pour lancer des réformes. Cette transition leur offrira des bénéfices à long terme, en réduisant les aléas naturels et en créant des opportunités de développement économique.

Elaboration d’une politique nationale de gestion des frontières ivoiriennes

Les travaux de l’élaboration de la politique nationale de gestion intégrée des frontières de la Côte d’Ivoire (PNGIF-CI) et son plan d’actions ont démarré, mercredi à Abidjan, par un atelier.

A l’ouverture de ces travaux, le préfet hors grade, Daouda Ouattara, représentant le premier ministre Patrick Achi, président de la Commission nationale des frontières de la Côte d’Ivoire, a souligné que « les problématiques à nos frontières renvoient à des enjeux essentiels dans la gouvernance de nos États, notamment dans la sous-région ouest-africaine ».

La politique nationale de gestion intégrée des frontières de la Côte d’Ivoire (PNGIF-CI) a pour objectif principal de doter le pays d’un outil de cadrage et de pilotage en matière de gestion des frontières qui constitue une dimension importante des politiques et des stratégies de gouvernance et de développement des frontières du gouvernement ivoirien.

« Ce cadre référentiel permettra donc au gouvernement ivoirien de disposer d’un outil qui explicite sa vision et de mettre en œuvre sa politique en matière de gestion et de développement des frontières terrestres, aériennes et maritimes de notre pays. C’est dire toute l’attente du gouvernement ivoirien de ce processus qui démarre aujourd’hui », a expliqué M. Ouattara.

Poursuivant, il a exhorté et encouragé les différents acteurs à s’investir avec « conscience et abnégation dans la présente mission ».

Auparavant, le Secrétaire exécutif de la Commission nationale des frontières de la Côte d’Ivoire, Diakalidia Konaté a rappelé que l’élaboration de la politique nationale de gestion intégrée des frontières de la Côte d’Ivoire, vise à disposer d’un « outil de cadrage et de pilotage en matière de gouvernance de nos frontières, en vue de permettre à la Côte d’Ivoire d’aborder un nouveau virage dans l’approche et la gestion de ses frontières terrestres, aériennes et maritimes».

Premièrement, il s’agit selon lui, tout en marquant davantage la présence de l’État dans les « zones frontalières de notre pays, de disposer d’une institution capable de mettre en cohérence les politiques et de coordonner les actions de tous les acteurs étatiques et non étatiques qui y interviennent afin d’assurer la durabilité et la pérennité de celles-ci ».

Deuxièmement, il s’agit de sortir les frontières de leur « vulnérabilité et de leur fragilité pour en faire des leviers essentiels de sécurisation et de développement socio-économique plus harmonieux dans notre pays ».

Troisièmement, en raison des engagements sous-régionaux et continentaux, notamment dans l’espace CEDEAO qui recommandent de passer « de la CEDEAO des Nations à la CEDEAO des Peuples », il s’avère « important, aujourd’hui, de transformer les frontières en des passerelles d’intégration de nos pays »,  a conclu M. Konaté.

L’élaboration de cette politique se fonde sur une approche participative qui intègre, au plan régional, les orientations de l’Union économique et monétaire ouest-africaine  (UEMOA) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et au plan continental, celles de l’Union Africaine notamment celles contenues dans la stratégie de l’Union africaine pour une meilleure gouvernance intégrée des frontières, le règlement sanitaire international (RSI, 2005), etc…

La PNGIF-CI doit tenir compte des réalités politiques, sécuritaires, socio-économiques de la Côte d’Ivoire ainsi que de l’environnement socio-sécuritaire qui prévaut en Afrique subsaharienne. Elle vise à renforcer la présence de l’État et à améliorer l’offre de services publics aux populations des zones frontalières. Pour cela, elle sera structurée autour de plusieurs domaines prioritaires.

Il s’agit notamment de la prévention et de la résolution des conflits, de sécurité des frontières et des espaces frontaliers, de la gestion coopérative des frontières, du développement des zones frontalières et de l’engagement communautaire, de la mobilité, de la migration et de la facilitation du commerce.

Le développement des capacités pour la gouvernance des frontières, les stratégies de mobilisation des ressources financières,  et le cadre institutionnel et gouvernance figurent également au nombre des domaines prioritaires.

Dans le cadre de la poursuite de ces travaux d’élaboration de la politique nationale de gestion intégrée des frontières de la Côte d’Ivoire, quatre ateliers régionaux sont prévus du 13 au 27 octobre 2021 à Abidjan (Sud), Abengourou (Est), Korhogo (Nord) et Man (Ouest). Les travaux d’élaboration de cette politique nationale de gestion intégrée des frontières de Côte d’Ivoire dureront un an. 

Somaliland : l’ONU dénonce l’expulsion de Somaliens

La décision de la République autoproclamée du Somaliland est inquiétante, selon le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA).Le Somaliland, qui n’est pas reconnu internationalement comme un pays indépendant, a expulsé dimanche dernier des dizaines de Somaliens, affirmant qu’ils représentaient un risque sécuritaire.

La région faisait partie de la grande Somalie jusqu’à ce qu’elle se déclare indépendante après la chute de l’homme fort militaire Mohamed Siad Barre en 1991.

Dans un communiqué condamnant les expulsions, l’OCHA a indiqué qu’au moins 1.000 Somaliens ont été expulsés du Somaliland, accusant les autorités du territoire autonome d’entraîner des déplacements forcés.

« Bon nombre des personnes expulsées vivaient au Somaliland depuis 20 ans », a précisé l’OCHA, exprimant sa crainte de voir les expulsions se poursuivre.

Côte d’Ivoire: hommage national à l’ex-PM défunt Charles Konan Banny jeudi

Un hommage national est prévu jeudi en mémoire de l’ex-Premier ministre ivoirien Charles Konan Banny, décédé le 10 septembre 2021 à Paris, a annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly.

Un hommage national à l’ancien Premier ministre défunt, Charles Konan Banny, se tiendra jeudi à 10h (GMT, heure locale), a indiqué le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, à l’issue d’un Conseil des ministres. 

L’ancien Premier ministre ivoirien, Charles Konan Banny, évacué pour des soins à Paris, a tiré sa révérence dans la capitale française des suites de la Covid-19. Sa dépouille mortelle est arrivée le 23 septembre 2021 à Abidjan. 

Les membres de sa famille politique, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir), étaient présents à l’aéroport. Parmi ceux-ci, figuraient Mme Henri Konan Bédié, l’épouse de l’ancien président Henri Konan Bédié, chef du Pdci. 

Plusieurs personnes, venues de divers horizons ont également assisté à l’arrivée du corps de l’ancien gouverneur de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), Charles Konan Banny. 

Le président Alassane Ouattara a adressé ses condoléances à la suite de son décès, exprimant avoir perdu un « ami et frère ». De son côté, l’ancien président Laurent Gbagbo, a également traduit à la famille ses émotions en cette « terrible circonstance ».  

Cyril Ramaphosa en visite à Abidjan dans « la 1ère semaine de décembre 2021 » (officiel)

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, est attendu à Abidjan dans « la première semaine de décembre 2021 » dans le cadre d’une visite officielle, a annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly.

Cette visite du président sud-africain, Cyril Ramaphosa, est prévue « pour la première semaine du mois de décembre 2021 », a indiqué à la presse le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, à l’issue d’un Conseil des ministres. 

En prélude à cette visite, se tiendra la première session de la grande Commission mixte de coopération ivoiro-sud africaine, prévue les 14, 15 et 16 octobre 2021 à Abidjan, dans la capitale économique ivoirienne. 

« Ce sera l’occasion pour les deux États de faire le bilan de leur coopération et d’explorer de nouvelles perspectives susceptibles, de réactiver et de renforcer cette coopération », a souligné le porte-parole du gouvernement ivoirien. 

Gbagbo en visite chez Bédié suite au décès de son frère aîné

L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo s’est rendu mercredi au domicile de Henri Konan Bédié à Cocody, dans l’Est d’Abidjan, pour lui présenter ses condoléances à la suite du décès de son frère aîné, Marcelin Bédié.

« C’est évident, le président Bédié est en deuil. Nous sommes venus le saluer, lui présenter nos condoléances et lui dire que nous sommes à sa disposition pour le reste du déroulement des funérailles », a déclaré M. Gbagbo à la presse. 

L’ex-chef d’Etat, Laurent Gbagbo, a précisé que « ce n’est pas une rencontre politique, ou au sens péjoratif une rencontre politicienne, (mais) une rencontre fraternelle » en raison du deuil qui frappe M. Bédié. 

 M. Henri Konan Bédié, président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir) a perdu dans la nuit du 27 au 28 août 2021 son frère aîné Marcelin Bédié, chef du village de Préprèssou, une localité située dans le centre-est du pays.

L’ancien président Laurent Gbagbo était en compagnie d’une forte délégation,  au nombre desquelles figuraient Nady Bamba, son épouse, et des proches collaborateurs dont Assoa Adou. 

Sénégal : vers la dématérialisation totale du dédouanement

Les procédures douanières se feront bientôt entièrement en ligne au Sénégal.Ouf de soulagement pour les importateurs et exportateurs sénégalais. Le dédouanement sera intégralement digitalisé grâce à la version 2 du Guichet unique ORBUS qui entre dans le cadre du projet de modernisation de l’administration douanière.

L’annonce a été faite, ce mercredi à Dakar, par Abdourahmane Wade, Directeur des Systèmes informatiques douaniers.

« Le parachèvement très prochain d’un environnement totalement dématérialisé, avec la mise en œuvre du vaste chantier de modernisation de l’administration des Douanes en cours, placera, sans nul doute, notre pays dans le peloton mondial en matière de facilitation des échanges », a notamment dit M. Wade.

Il ouvrait, au nom du Directeur général des Douanes, l’atelier de clôture et de restitution des réalisations du projet « From Paperless Trade to Mobility » financé par la Banque africaine de développement (BAD). Il a été mis en œuvre depuis 2016 par le GIE GAINDE 2000.

Poursuivant, le Directeur des Systèmes informatiques douaniers a affirmé que les instruments juridiques internationaux comme la Convention de Kyoto révisée (CKR) et l’Accord de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) sur la facilitation des échanges (AFE) invitent à la dématérialisation totale des procédures douanières.

« (…) l’émergence économique promue par les hautes plus autorités en fait une exigence autant qu’une priorité », a indiqué Abdourahmane Wade.

Revenant sur le projet « From Paperless Trade to Mobility », il a souligné qu’il s’inscrit en droite ligne du long processus de facilitation des formalités du commerce extérieur, impulsée par les Douanes sénégalaises depuis plus de trois décennies, avec notamment la mise en service de la première version du système informatique de dédouanement appelé GAINDE (Gestion automatisée des informations douanières et des échanges).

« A cet important acquis, s’est ajoutée la mise en place du Guichet unique ORBUS, qui interconnecte les différentes administrations publiques et privées intervenant dans les opérations d’importation et d’exportation auxquelles il apporte de la valeur ajoutée, en même temps qu’il les incruste résolument dans le numérique, avec la digitalisation des procédures devenue incontournable dans la recherche de la performance », a-t-il dit.

Selon l’Administrateur général du GIE GAINDE 2000, Ibrahima Nour Eddine Diagne, l’objectif dudit projet est d’assurer la disponibilité et l’intégrité des informations dans un environnement sans papier à travers des outils comme la mobilité ; les échanges SMS ; le contrôle, la vérification et le traitement en mode off line.

« Le principal résultat qui en est attendu par ses initiateurs est de mettre à la disposition des utilisateurs de nouveaux modules, notamment la mobilité pour la visualisation et le contrôle à distance des documents de ORBUS par les agents de contrôle compétents sur les différents corridors ; la saisie déconnectée ORBUS pour faire face aux problèmes de connexion lors de la saie de dossiers ; les alertes SMS ORBUS pour introduire des notifications SMS sur l’état des demandes et des services offerts par ORBUS », a poursuivi M. Diagne.

Bolloré Logistics obtient l’extension de la certification multi-sites

Plus de 420 sites sont concernés dont 136 en Afrique.La certification regroupe l’ensemble des normes relatives à la sécurité au travail (ISO 45001 vs 2018), le management de la qualité (ISO 9001 vs 2015), et l’environnement (ISO 14001 vs 2015).

« Destinée à harmoniser les procédures actuelles du réseau au niveau mondial, cette certification permettra à Bolloré Logistics de poursuivre le déploiement des processus opérationnels communs pour répondre aux exigences de ses clients internationaux et améliorer de façon continue ses méthodes et outils de management pour tendre vers plus d’agilité et de performances », rapporte un communiqué de Bolloré Logistics reçu ce mercredi à APA.

Il souligne que cette démarche a été initiée il y a plusieurs années et intervient après l’obtention d’une certification délivrée par Bureau Veritas pour chacune des zones géographiques couvertes par Bolloré Logistics : Europe, Asie-Pacifique, Amériques, Moyen-Orient, Asie du Sud et Afrique.

« Nous sommes l’un des précurseurs de cette certification qui constitue une étape déterminante dans notre quête vers l’excellence opérationnelle et qui nous permettra de garantir à nos clients un traitement homogène de leurs flux dans tout notre réseau avec un niveau de qualité de service identique » a déclaré Christian Teillet, Directeur QHSE de Bolloré Logistics.