octobre 2022 - Page 29 sur 41 - Journal du niger

Lusaka, pôle économique de la Zambie (étude)

La capitale zambienne, Lusaka, représente environ un quart du Produit intérieur brut (PIB) du pays et possède un secteur informel dynamique qui stimule l’activité économique, selon une nouvelle étude publiée lundi.L’étude, réalisée par l’Agence zambienne des statistiques, montre que la contribution de Lusaka au PIB a atteint en moyenne 24,2 % entre 2016 et 2020.

« La ville a maintenu un taux de croissance annuel moyen de 3,1% au cours de la même période », indique l’étude, soulignant l’importance du secteur informel, qui « a contribué à la plus grande part du PIB, avec une moyenne de 40% du PIB de la ville depuis 2016 ».

En outre, l’étude a montré que la production économique de Lusaka par personne s’élevait à 2.200 dollars, ce qui était nettement supérieur à la moyenne nationale de 1.400 dollars.

Selon le document, le gouvernement doit donner la priorité aux interventions politiques pour attirer les investisseurs dans les secteurs à forte valeur, améliorer la compétitivité de la ville et stimuler la productivité économique en facilitant la formalisation de nombreuses activités informelles.

L’étude a été financée par la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA), dont la responsable pour la région d’Afrique australe, Eunice Kamwendo, a reconnu l’importance des capitales pour les économies nationales et appelé à la collecte de données désagrégées au niveau des villes afin d’informer la planification et la gestion urbaines.

« Nous espérons que cette étude sera d’une grande utilité pour le paysage des données de la Zambie, afin de soutenir les décisions en matière de politique et de planification urbaines et d’investissement fondées sur des preuves », a déclaré Mme Kamwendo.

L’étude fait partie d’une initiative plus large de la CEA qui cherche à promouvoir une pratique standardisée de mesure des statistiques désagrégées au niveau des villes africaines.

Le Bénin tient son premier congrès sur les soins palliatifs

Le pays d’Afrique occidentale ambitionne de devenir un pionnier des soins palliatifs dans la sous-région en mettant en place une série de mécanismes.Le ministre de la Santé, le professeur Benjamin Hounkpatin a procédé, le 7 octobre,  au lancement des travaux marquant le premier congrès des soins palliatifs au Benin.

Ce pays s’illustre comme pionnier des soins palliatifs dans la sous-région en mettant en place une série de mécanismes qui favorisent son effectivité. À travers ce premier congrès, le gouvernement béninois entend booster la mise en œuvre du plan quinquennal 2022-2026 des soins palliatifs. 

Au cours de cette assise qui a réuni toutes les composantes de la société, les congressistes ont manifesté leur engagement à œuvrer aux côtés du gouvernement pour la promotion des soins palliatifs au Bénin. Selon les statistiques, plus de 62.000 personnes sont dans le besoin des soins palliatifs au Bénin chaque année du fait du cancer, du Vih-Sida et d’autres maladies chroniques. 

Au cours de son intervention, le ministre de la Santé a souligné l’évidence de la menace au regard de la prévalence de plus en plus élevée des cancers, des affections cardiovasculaires, des maladies respiratoires chroniques et des anomalies génétiques ou congénitales. Pour contrer cette menace, le chef du département de la santé a fait part d’une série de mesures mises en œuvre par le gouvernement et qui tendent à relever le défi des soins palliatifs à tous les niveaux. 

Le thème retenu pour ce premier congrès est : « Soins palliatifs, couverture sanitaire universelle et développement ».

Lutte contre la pêche illicite : la Côte d’Ivoire aménage son plan d’action

La viabilité du secteur de la pêche est mise à mal aujourd’hui par le développement multiforme d’activités de pêche illicite, non déclarée et non réglementée, notamment dans le Golfe de Guinée.Depuis 2015, le pays a mis en place un Plan d’action national de lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non règlementée (PAN-INN). Avec l’évolution des choses, l’Etat veut mener des innovations, notamment au niveau de la réglementation.   

Dans ce contexte, la Côte d’Ivoire veut adopter une réglementation qui puisse s’appliquer aux données actuelles sur le terrain. Avec l’appui de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), un atelier est organisé à Abidjan en vue du toilettage de ce plan.   

M. Gouromenan Kouakou Assoumany, directeur de Cabinet, représentant le ministre des Ressources animales et halieutiques, a ouvert lundi à Abidjan un atelier de réflexion sur l’actualisation du Plan d’action national de lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non règlementée (PAN-INN).

Durant cinq jours, des experts de la FAO et les acteurs de la pêche définiront certaines normes dans le cadre des stratégies de lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non règlementée qui constitue un véritable fléau.

La pêche illicite crée des dommages économiques et environnementaux aux Etats. Selon M. Gouromenan Kouakou Assoumany, la Côte d’Ivoire est « victime » de ce fléau parce que ses moyens sont limités.

« En dépit des efforts consentis par l’Etat, notre pays est de plus en plus une cible privilégiée des braconniers de la pêche en raison de sa situation géographique centrale par rapport aux zones de pêche dans le Golfe de Guinée », a-t-il fait observer.

« L’un des plus grands fléaux qui pille les ressources halieutiques des pays est la pêche illicite, non déclarée, non règlementée (pêche INN) pratiquée », c’est pourquoi pour faire face à ce fléau, il est important de mettre en place, un plan de suivi, de contrôle et de surveillance afin de protéger les ressources halieutiques et préserver l’économie bleue, a dit le représentant de la FAO, M. Samy Gaiji.

C’est fort de ce constat que la FAO a initié un Accord des mesures de ressort de l’Etat du Port (AMREP) pour harmoniser et améliorer la réglementation au niveau des ports des pays qui ont ratifiés l’accord, a-t-il ajouté.

La FAO et l’Union européenne, dans le cadre du projet « GCP/INT/413/EC », apportent leur appui à la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre effective et efficace des dispositions de l’Accord des mesures de ressort de l’Etat du Port (AMREP).  

La Côte d’Ivoire s’est dotée d’un centre de surveillance des pêches d’une valeur de 827 millions Fcfa avec l’appui de l’Union européenne afin de renforcer le suivi, le contrôle et la surveillance des activités de pêche dans sa zone économique exclusive (ZEE).  

Depuis le premier trimestre 2021, plusieurs rencontres virtuelles qu’en présentiel se sont déroulées avec l’ensemble des administrations en charge de la pêche. Elles ont permis aux acteurs de relever les actions à mettre en œuvre pour une gestion durable des ressources halieutiques.

Conflit au Tigré : report sine die des pourparlers de paix

Le gouvernement éthiopien et les rebelles du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) devaient se rencontrer dimanche 9 octobre à Pretoria, en Afrique du Sud, pour arrondir les angles.« En raison de conflits dans (son) emploi du temps », l’ancien président Uhuru Kenyatta, un des acteurs de la médiation entreprise par l’Union Africaine (UA), a annulé sa participation aux pourparlers de paix au pays de Nelson Mandela.

En outre, le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) a tardivement confirmé sa présence. Au préalable, il demande notamment des précisions sur la logistique du voyage pour ses représentants et la garantie de leur sécurité.

Toutes choses qui font que la rencontre de Pretoria (Afrique du Sud) a été reportée indéfiniment. C’est en début de semaine que le gouvernement éthiopien a accepté l’invitation de l’UA à prendre part aux discussions avec les rebelles du Tigré. Parallèlement, Addis Abeba poursuit son action militaire sur le théâtre des opérations.

Jeudi, l’organisation panafricaine avait pourtant félicité le gouvernement éthiopien et les forces rebelles du Tigré pour leur « engagement » en faveur de la paix.

Sénégal : l’explosion d’une chaudière tue sept personnes

Le bilan de l’accident dans une société spécialisée dans l’agroalimentaire, au Centre du Sénégal, est passé à sept morts.L’explosion de la chaudière de la Société de transformation agroalimentaire raffinée (Star) a eu lieu en début de semaine dernière. À l’arrivée des sapeurs-pompiers, une personne morte sur le coup a été trouvée dans les décombres en plus de neuf blessés. Ces derniers ont d’abord été pris en charge dans les structures sanitaires locales avant d’être transférés dans la capitale Dakar.

Mais six d’entre eux ont succombé à leurs blessures en l’espace d’une semaine, avec un nouveau décès enregistré dimanche 9 octobre à l’Hôpital Principal de Dakar.

La Star, une usine inaugurée en juin 2021 dans le village de Nébé, dans le département de Diourbel (Centre), est spécialisée dans le raffinage d’huile d’arachide. Mardi dernier, le lieutenant Modou Tine, commandant de la 22ème compagnie d’incendie et de secours de Diourbel, a expliqué que le feu serait parti de l’explosion d’une chaudière à huile. M. Tine souligne qu’ils ont mobilisé une lance à mousse pour refroidir la chaudière en métal en proie aux flammes.

Ce lundi, les familles des victimes ont réclamé « l’assistance » de l’État qui a promis, à son tour, « l’ouverture d’une enquête pour situer les responsabilités et élucider les causes de cet accident ». En visite mercredi à Nébé, le ministre du Développement communautaire, de l’Équité sociale et territoriale, Samba Ndiobène Kâ, a assuré aussi aux promoteurs de l’usine l’appui du gouvernement.

Sirop contre la toux en Gambie : l’État suspend les licences des distributeurs

Des sirops pour la toux produits en Inde sont incriminés dans le décès de 66 enfants des suites d’une insuffisance rénale aiguë en Gambie.Le bilan est lourd. Ces trois derniers mois, l’utilisation de sirops contre la toux et le rhume a entraîné en Gambie la mort d’au moins 66 enfants ayant développé une insuffisance rénale aiguë.

Dans ce petit pays de l’Afrique de l’Ouest, enclavé dans le Sénégal, les soupçons se dirigent vers le laboratoire indien Maiden Pharmaceuticals Limited qui produit les médicaments en question. Il s’agit du Promethazine Oral Solution, Kofexmalin Baby Cough Syrup, Makoff Baby Cough Syrup et Magrip N Cold Syrup.

Le président Adama Barrow, dans l’urgence, a ordonné la suspension des licences des fournisseurs desdits sirops. Un décret, pris samedi, permet à l’Agence gambienne de contrôle des médicaments d’exécuter la décision. Du côté de la police, une enquête est déjà ouverte pour établir les responsabilités.

Le ministère gambien des Affaires étrangères a également reçu l’ordre de consulter l’ambassadeur de l’Inde. La colère des familles éplorées gronde. Dans l’opinion publique gambienne, la négligence des autorités sanitaires est pointée du doigt.

Mercredi dernier, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait recommandé le retrait des quatre sirops qui « pourraient avoir un lien » avec les morts enregistrées en Gambie. À en croire l’organisme spécialisé des Nations Unies, les médicaments en solution buvable « contiennent des quantités inacceptables de diéthylène glycol et d’éthylène glycol » pouvant provoquer des vomissements, des douleurs abdominales, des diarrhées, une incapacité à uriner, des maux de tête, des complications rénales aiguës et la mort.

Ce scandale a poussé le gouvernement gambien à annoncer la révision des conditions d’octroi de licences médicales. Jusque-là, Maiden Pharmaceuticals Limited se mure dans le silence.  Le gouvernement indien, pour sa part, a indiqué qu’il enquête sur la dangerosité des sirops fabriqués dans l’État de l’Haryana, dans le Nord du pays. En attendant, les bureaux Maiden Pharmaceutical Limited à New Delhi, la capitale de l’Inde, ont été fermés.

Tchad : Mahamat Idriss Deby Itno investi président de la transition

Le Général Mahamat Idriss Deby Itno a prêté serment lundi 10 octobre comme chef de l’État du Tchad pour les deux années à venir.Conformément aux conclusions du Dialogue national inclusif et souverain (DNIS) clôturé samedi 8 octobre à N’Djamena, le Général Mahamat Idriss Deby Itno a été investi lundi 10 octobre président de la transition pour les 24 prochains mois.

Il a prêté serment en présence du président nigérian, Muhammadu Buhari et de représentants de quelques pays voisins du Tchad.

Suite au décès de son père, le maréchal Idriss Déby Itno lors d’une contre-offensive contre les rebelles du Front pour l’Alternance et la Concorde au Tchad (FACT) dans le nord du pays, Mahamat Idriss Deby a été porté à la tête d’un Conseil militaire de transition (CMT) par quinze généraux, après que le président de l’Assemblée nationale a renoncé à assurer l’intérim comme le prévoyaient les lois en vigueur dans ce pays d’Afrique centrale.

Le président trentenaire avait promis une transition de 18 mois renouvelable une fois. Mais il semble avoir changé d’avis depuis juin dernier en confiant son destin présidentiel…à Dieu.

Finalement, le DNIS auquel le FACT et une partie de l’opposition n’ont pas pris part, lui permet non seulement de prolonger la durée de la transition mais aussi de se présenter à la prochaine présidentielle.

Le président de la transition a annoncé dans son discours d’investiture, la formation imminente d’un gouvernement d’union nationale.

Il a réaffirmé son attachement aux textes internationaux, mais a rappelé que son pays est jaloux de sa « souveraineté ».

L’Union africaine (UA) a demandé à la junte de respecter « la période de dix-huit mois pour l’achèvement de la transition ». Elle a aussi rappelé « sans équivoque qu’aucun membre du Conseil militaire de transition ne pourra être candidat aux élections à la fin de la transition ». L’Union européenne a, elle aussi, fait part de sa « préoccupation » après la décision adoptée samedi par les délégués du DNIS de prolonger la transition et d’autoriser le général Mahamat Idriss Deby à briguer la présidence lors des élections prochaines.

Législatives au Lesotho : un nouveau parti en tête du scrutin

La Révolution pour la Prospérité (RFP), parti nouvellement formé, est très en avance sur ses concurrents selon les résultats préliminaires des élections législatives publiés lundi par la Commission électorale du Lesotho.C’est un coup d’essai qui se transforme en un coup de maître. La Révolution pour la Prospérité (RFP), formation née en mars dernier, est partie pour ne laisser que des miettes à la concurrence lors des élections législatives tenues la semaine dernière au Lesotho.

D’après la Commission électorale indépendante, la RFP de Sam Matekane (64 ans), un magnat de l’industrie minière, a raflé pour le moment 47 des 80 sièges en jeu au parlement alors que le dépouillement est toujours en cours dans les circonscriptions.

Le Congrès démocratique, dirigé par le vice-Premier ministre sortant Mathibeli Mokhothu, s’est quant à lui adjugé 14 sièges. La Convention All Basotho, au pouvoir depuis 2017, est la grande perdante du scrutin. Au Lesotho, le parti ayant obtenu 50+1 % des suffrages valablement exprimés aux législatives élit un Premier ministre et forme le gouvernement. Les résultats définitifs sont attendus demain mardi.

Mawlid 2022 : la « spiritualité » pour soigner les maux du Sénégal

Les quotidiens sénégalais, parvenus lundi à APA, titrent principalement sur l’appel des guides confrériques à un changement de comportements de tous pour une « société sénégalaise meilleure ».Le Soleil revient sur la célébration au Sénégal du Maouloud (ou Mawlid), la naissance du prophète de l’islam, et note qu’elle fut une « nuit de spiritualité à travers le pays ». A Tivaouane, lieu d’attraction de plusieurs fidèles soufis tidianes, le Khalife général Serigne Babacar Sy Mansour, « appelle à un retour à Dieu et à s’inspirer des enseignements d’El Hadji Malick Sy afin de construire une société sénégalaise meilleure ».

Selon le quotidien national, le guide religieux a aussi réprouvé les « dérives verbales, la dépravation des mœurs, les insultes, les calomnies et les bagarres politiques ». Pour WalfQuotidien, ce sont « pouvoir et opposition (qui ont été) sermonnés » à Kaolack (Centre) et Tivaouane (Ouest) lors de la célébration du Gamou, autre appellation du Maouloud au Sénégal.

« 60 ans de polémique, ça suffit », martèle dans L’Observateur Serigne Babacar Sy Mansour à la cérémonie officielle du Gamou célébré ce week-end. Le journal retient dans « le discours magistral » du  chef religieux ses interventions sur la « gestion du pays et de l’espace public » ainsi que les « relations entre marabout et disciple ».

En politique, EnQuête souligne que l’éventuelle « déchéance parlementaire » de l’ex-Premier ministre Aminata Touré se heurte « à l’épreuve des jurisprudences ». Hier, le ministre de la Justice Ismaïla Madior Fall « a menacé de ses foudres » son prédécesseur, devenu députée, mais en rupture de ban avec la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (Unis pour un même espoir, en langue wolof) depuis quelques temps. « Si Aminata Touré se dresse contre la majorité, elle sera démise de son mandat de député », prévient M. Fall.

Toutefois, « élue sur la base d’une coalition, même si elle démissionne de l’APR (parti présidentiel), elle ne perd pas son mandat », précise l’ancien député Alioune Souaré. De son côté, L’Observateur se fait l’écho de la « réponse cinglante »  de l’ex-Premier ministre qualifiant la sortie du Garde des Sceaux de « menaces de tigres en papier ».

Earthtalent by Bolloré : plus de 50 000 bénéficiaires en 2021

Depuis de nombreuses années, le Groupe Bolloré soutient l’autonomisation de la jeunesse à travers son programme de mécénat Earthtalent by Bolloré. En 2021, 366 projets à fort impact sociétal ont été soutenus dans les pays d’implantation du Groupe. 70 % d’entre eux étaient sur le continent africain. Au total, ils ont permis de toucher plus de 50 000 personnes*.La philosophie du Groupe, fondée sur l’engagement éthique et solidaire, a pour vocation d’accompagner la jeunesse sur le long terme afin d’aider au plus près les communautés locales. Aussi depuis la création de ce programme de solidarité internationale, le Groupe Bolloré présent dans 130 pays, développe une politique unique de mécénat de proximité. En 2021, les dons aux associations ont principalement soutenu le secteur de l’éducation et de la santé. 

Au Congo par exemple, grâce au programme Bibliobus, un accès à la lecture a été mis en place pour les jeunes défavorisés dans plusieurs quartiers de Pointe-Noire. Un partenariat de quatre ans a été signé avec l’Institut Français du Congo. Il permet actuellement à 1 000 enfants de bénéficier du dispositif. 

À New Delhi, en Inde, ce sont 180 jeunes en situation de handicap qui ont pu être accompagnés à travers la prise en charge de leur formation professionnelle et le financement de la rénovation d’un centre adapté. 

Si la jeunesse est l’axe prioritaire du programme de solidarité Earthtalent by Bolloré, elle n’en est pas l’unique destinataire. Le Groupe se mobilise aussi en cas d’urgence humanitaire, comme cela a été le cas en 2021 après les pluies diluviennes au Timor-Leste et plus récemment en Haïti. 

« L’an dernier, le Groupe Bolloré a mené une politique de mécénat ambitieuse à destination des communautés locales, des personnes en situation de handicap, des femmes et bien évidemment de la jeunesse. Au sein de toutes les divisions du Groupe Bolloré, les collaborateurs se sont également mobilisés à travers des missions de bénévolat effectuées sur leur temps de travail. Nous continuons en 2022 à nous mobiliser pour maintenir nos engagements et mettre en place de nouveaux projets », a déclaré Dorothée Van der Cruyssen, Directrice de l’Engagement Solidaire International et Mécénat du Groupe Bolloré.

À propos du Groupe Bolloré

Créé́ en 1822, le Groupe Bolloré figure parmi les 500 plus grandes compagnies mondiales, avec plus de 79 000 collaborateurs, répartis dans 130 pays et sur les 5 continents. Grâce à sa stratégie de diversification basée sur l’innovation et sur le développement à l’international, il occupe aujourd’hui des positions fortes dans trois secteurs d’activité : le transport et la logistique, la communication, le stockage d’électricité et les systèmes. Implanté dans de nombreux pays en transition, notamment en Afrique, le Groupe Bolloré participe à la croissance économique et au développement social des territoires sur lesquels il est présent.

À propos d’Earthtalent By Bolloré

C’est le programme de solidarité du Groupe Bolloré en faveur de l’autonomisation de la jeunesse. Crée en 2010, il s’appuie sur son ancrage territorial développé à travers ses différentes activités pour soutenir les projets d’associations de proximité principalement dans les domaines de l’éducation, la formation professionnelle et l’entrepreneuriat. Répondant aux enjeux sociétaux, ce programme constitue une priorité tant pour les jeunes générations que pour les communautés locales. 

Contact presse : 

Cindy Patan, Responsable Relations Médias T +33 1 46 96 49 75 / +33 7 72 40 49 75 cindy.patan@bollore.com *Toutes les filiales du 

Groupe Bolloré n’ont pas pu recenser le nombre de bénéficiaires de leurs actions de solidarité.