Bénin- Education Archives - Journal du Niger

Niger : Lancement officiel de la rentrée scolaire 2025-2026 à Niamey

La rentrée scolaire 2025-2026 est officielle au Niger. À Niamey, la cérémonie de la « montée des couleurs » a réuni le corps de l’État pour réaffirmer la vision du Président Tiani : l’éducation comme socle du développement et de la souveraineté.

 

Niamey, 15 octobre 2025 – Les élèves nigériens ont retrouvé les bancs ce mercredi matin pour l’année académique 2025-2026. L’événement, orchestré par une cérémonie officielle à l’École primaire Poudrière III, a été  une puissante démonstration de l’engagement gouvernemental. Sous la vision du Président Abdourahmane Tiani, cette rentrée est présentée non comme une simple reprise des cours, mais comme un « pas décisif vers un Niger instruit et souverain ».

Le lancement officiel de la rentrée scolaire 2025-2026 à l'école Poudrière III de Niamey a réuni les plus hautes autorités, soulignant que, sous la vision du Président Tiani, l'éducation est le socle de la souveraineté et du développement du Niger.

Une cérémonie haute en symboles à Poudrière III

 

Dès l’aube, l’École primaire Poudrière III, située au cœur de la capitale, a accueilli un parterre d’autorités. La cérémonie de la « montée des couleurs » a notamment été honorée par la présence du Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville de Niamey et Président de l’Association des Municipalités du Niger.

À ses côtés, le Pr Farmo Moumouni, Ministre de l’Enseignement et de la Formation Techniques et Professionnels, ainsi que le Général de Division Assoumane Abdou Harouna, Gouverneur de la Région de Niamey, ont symbolisé la mobilisation conjointe de l’Administration, de l’Éducation et de la Défense. Cet alignement des élites, complété par les autorités coutumières et les représentants d’enseignants et de parents, a souligné l’enjeu national de la rentrée.

Niger : une rentrée scolaire placée sous le signe de la souveraineté et du développement

Le Colonel Garanké, dans son allocution, a donné le ton, insistant sur la nécessité d’une école « citoyenne, inclusive et performante ».

Au-delà des hymnes et des uniformes impeccables, cette rentrée incarne la priorité stratégique fixée par le Général d’Armée Abdourahmane Tiani. Pour le Chef de l’État, l’éducation est « le socle du développement national et de la souveraineté du Niger ». Sous son impulsion et avec le soutien actif du Premier Ministre et du Gouvernement, des actions concrètes sont engagées :

  1. Amélioration des conditions d’apprentissage et rénovation des infrastructures scolaires, notamment celles endommagées par les récentes inondations.
  2. Valorisation du corps enseignant via des programmes de formation continue.
  3. Garantie d’un accès équitable à une éducation de qualité pour chaque enfant.

« Le Niger investit dans ses enfants pour bâtir un avenir prospère », a affirmé le Ministre Moumouni, mentionnant également la distribution de kits scolaires. L’Administrateur Garanké a, quant à lui, promis le soutien logistique et financier de la Ville de Niamey aux établissements vulnérables.

 

Le lancement officiel de la rentrée scolaire 2025-2026 à l'école Poudrière III de Niamey a réuni les plus hautes autorités, soulignant que, sous la vision du Président Tiani, l'éducation est le socle de la souveraineté et du développement du Niger. Le lancement officiel de la rentrée scolaire 2025-2026 à l'école Poudrière III de Niamey a réuni les plus hautes autorités, soulignant que, sous la vision du Président Tiani, l'éducation est le socle de la souveraineté et du développement du Niger.

Rentrée scolaire 2025-2026 : vers un Niger instruit et uni malgré les défis

 

Malgré cet élan institutionnel, le secteur éducatif fait face à des défis persistants : les retards de salaires, régulièrement dénoncés par les syndicats, et les séquelles matérielles des intempéries récentes tempèrent l’enthousiasme.

Néanmoins, l’atmosphère dans les cours de récréation, de la maternelle au secondaire, était marquée par l’optimisme. L’enthousiasme des élèves et la gratitude exprimée par les parents pour les avancées observées infusent un vent d’espoir.

La cérémonie s’est achevée sur un appel à la mobilisation de toute la Nation : transformer l’énergie de cette rentrée en résultats tangibles. L’enjeu est désormais clair : bâtir, ensemble, un Niger instruit et uni.

Bonne rentrée à tous les élèves, enseignants et parents !

Niger : « Illimi Mata » honore 240 filles à Niamey

Niger : une journée pour célébrer le triomphe des filles du programme « Illimi Mata »

 

Niamey, le 28 août 2025 Une vague d’espoir et de détermination a envahi le Niger avec la célébration de la Journée des Cohortes des Filles bénéficiaires du programme « Illimi Mata ». Sous la présidence de la ministre de l’Éducation Nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues, Dr Élisabeth Shérif, cette cérémonie vibrante a honoré 240 jeunes filles des régions de Maradi et Tahoua, récompensées pour leur persévérance dans le cadre de ce programme de seconde chance. Une ode à l’éducation inclusive et à la résilience féminine, cette journée marque une étape décisive pour un Niger où chaque fille peut rêver grand.

Une seconde chance pour un avenir meilleur

 

Porté par la Fondation PetitPouss, avec le soutien technique et financier de l’UNICEF et de l’ambassade du Royaume-Uni, le programme « Illimi Mata » offre une opportunité unique aux filles déscolarisées ou marginalisées de reprendre leur parcours éducatif. Lors de cette cérémonie, la promotion « Djanabou Mahondé » a été mise à l’honneur, avec la remise de diplômes à 240 jeunes filles, symbolisant leur détermination à surmonter les obstacles. De ce fait, cet événement, à la fois festif et solennel, a rappelé une vérité fondamentale : l’éducation est un droit inaliénable, capable de transformer des vies et des communautés entières.

La ministre de l’Éducation remet diplômes et encouragements aux bénéficiaires d’« Illimi Mata », symbole d’espoir et de réussite.

Un plaidoyer en faveur de la scolarisation des filles

 

Dans un discours empreint de conviction, le Dr Élisabeth Shérif a salué le courage des lauréates, qu’elle a qualifiées d’« ambassadrices de la réussite et du courage ». « Votre parcours prouve qu’aucune situation n’est irréversible. Investir dans l’éducation d’une fille, c’est investir dans l’avenir d’une famille, d’une communauté et d’un pays tout entier », a-t-elle déclaré devant un parterre composé des récipiendaires, de cadres ministériels et de partenaires internationaux. La ministre a également réaffirmé l’engagement du président de la République, le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, à promouvoir une éducation équitable et transformative pour tous.

Le succès du programme « Illimi Mata » grâce à un partenariat exemplaire

 

Le succès d’« Illimi Mata » repose sur une collaboration exemplaire entre la Fondation PetitPouss, l’UNICEF et l’ambassade du Royaume-Uni. Leur appui a permis de structurer ce programme dans les régions de Maradi et Tahoua, où les défis liés à l’accès à l’éducation, notamment pour les filles, restent prégnants. La présence de l’ambassadrice du Royaume-Uni et du représentant de l’UNICEF à la cérémonie a souligné l’importance de ce partenariat pour bâtir un avenir inclusif.

La ministre de l’Éducation remet diplômes et encouragements aux bénéficiaires d’« Illimi Mata », symbole d’espoir et de réussite.

Un message d’inspiration pour le Niger et son avenir

 

Le Dr Élisabeth Shérif a conclu la cérémonie par un appel vibrant :« Que cette journée inspire chacun de nous à œuvrer pour un Niger où chaque fille, quelle que soit son histoire, puisse réaliser ses rêves et contribuer à la grandeur de la nation. »

En somme, ces mots résonnent comme un défi collectif, celui de faire de l’éducation un levier de transformation sociale et d’émancipation. La célébration de ces 240 jeunes filles, unies par un même idéal, restera gravée comme un symbole d’espoir et de progrès. Comment le Niger compte-t-il étendre ce programme à l’ensemble du territoire pour que toutes les jeunes filles du pays puissent bénéficier d’une seconde chance ?

AENF 2025 : La Ministre Shérif en immersion à l’IFAENF

Examen AENF 2025 : Une Ministre au cœur de l’action à l’IFAENF, où l’éducation non formelle écrit son avenir

Sous le soleil ardent de ce mercredi 2 juillet 2025, l’Institut de Formation en Alphabétisation et Éducation Non Formelle (IFAENF) vibrait d’une énergie singulière. Au cœur de cette effervescence, une figure inattendue : la Ministre de l’Éducation Nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues, Dr Élisabeth Shérif, en visite surprise pour s’imprégner du pouls de l’examen AENF. Loin des bureaux feutrés, elle a plongé dans l’arène des épreuves, là où 222 candidats, dont 61 filles, jouent leur avenir avec une détermination palpable.

La Ministre de l'Éducation, Dr. Élisabeth Shérif, a effectué une visite surprise percutante à l'examen AENF 2025 à l'IFAENF, inspirant 222 candidats et soulignant l'importance vitale de l'éducation non formelle.Coup de théâtre à l’IFAENF : La Ministre révèle les secrets de l’examen

Dès son arrivée, la Ministre a marqué les esprits par un geste aussi symbolique que solennel : l’ouverture d’une enveloppe scellée à la cire, gardienne des secrets de la première épreuve de langue de cette troisième journée d’examen. Ce rituel, presque théâtral, a captivé les regards des candidats, suspendus à ce moment où le destin s’entrouvre. Cependant, Dr Shérif ne s’est pas contentée de ce rôle protocolaire. Avec une verve inspirante, elle a distillé des conseils précieux aux apprenants, leur insufflant courage et confiance, tout en saluant l’engagement des responsables du centre et des jurys, véritables artisans de cette mécanique bien huilée.

La Ministre de l'Éducation, Dr. Élisabeth Shérif, a effectué une visite surprise percutante à l'examen AENF 2025 à l'IFAENF, inspirant 222 candidats et soulignant l'importance vitale de l'éducation non formelle.Mission accomplie : L’Examen AENF 2025, un succès salué par la Ministre

« Tout se déroule dans des conditions optimales », ont assuré les organisateurs, visiblement galvanisés par cette visite ministérielle. En effet, depuis le 30 juin, date du coup d’envoi de cet examen, l’IFAENF s’est transformé en un théâtre d’efforts et d’espoirs. Les candidats, issus de parcours souvent atypiques, se battent pour décrocher le précieux Diplôme d’Aptitude à la Formation en Alphabétisation et Éducation Non Formelle (DAFAENF), sésame vers de nouvelles opportunités dans un monde où l’éducation non formelle gagne chaque jour en importance.

Au-delà des chiffres : Quand l’éducation non formelle révèle son vrai visage

Mais au-delà des chiffres – 222 candidats, un tiers de filles, une organisation sans faille –, c’est une histoire humaine qui se dessine. Celle d’une Ministre qui, en posant un pied dans la salle d’examen, a rappelé que l’éducation, même dans ses formes les moins conventionnelles, est une priorité nationale. C’est aussi celle de candidats qui, stylo en main, réécrivent leur avenir. Et enfin, c’est celle d’un système qui, sous la houlette du Dr Shérif, semble vouloir prouver que l’apprentissage est une flamme qui ne s’éteint jamais, peu importe le chemin emprunté.

Alors que l’examen AENF 2025 suit son cours, une question flotte dans l’air : et si cette visite, au-delà de son caractère officiel, était le signe d’une ambition plus audacieuse pour l’éducation non formelle ? Une chose est sûre : à l’IFAENF, ce 2 juillet, l’avenir s’est écrit avec audace, sous le regard attentif d’une Ministre qui n’a pas hésité à descendre dans l’arène pour soutenir les apprenants. Cet événement marque un tournant significatif pour l’éducation non formelle au Niger.