Libreville (Gabon), 21 janvier 2025– En préparation des élections prévues pour août prochain, les députés et sénateurs du Gabon ont conjointement adopté un nouveau code électoral, marquant une étape cruciale dans le processus de transition politique initié par les autorités militaires. En effet, ce cadre législatif vise à garantir des élections présidentielles, législatives et locales transparentes et équitables dans les sept prochains mois.
Adoption du Code électoral: vers des élections transparentes et inclusives
Par ailleurs, le nouveau code électoral introduit des réformes significatives destinées à renforcer la transparence et l’intégrité du processus électoral. Parmi ces changements figure la possibilité pour les militaires et les magistrats de se présenter aux élections, à condition de prendre un congé de leurs fonctions. Cette mesure vise à élargir le champ des candidats potentiels, tout en assurant une séparation claire entre les fonctions administratives et les ambitions politiques.
L’un des changements majeurs concerne aussi l’augmentation du nombre de sièges au Sénat, qui passe de 52 à 70. En outre, la diaspora gabonaise se voit désormais attribuer deux sièges à l’Assemblée nationale, une première qui témoigne de la volonté d’intégrer davantage les citoyens vivant à l’étranger dans la vie politique nationale.
Représentation des femmes et des jeunes : un pas vers l’équité
Dans un effort de promouvoir l’égalité des sexes et d’encourager la participation des jeunes, le nouveau code électoral instaure des quotas pour ces deux groupes. Les femmes se voient ainsi garantir 30 % des sièges, tandis que 20 % sont réservés aux jeunes, une initiative saluée comme un pas décisif vers une représentation plus équilibrée et inclusive.
Le Premier ministre Raymond Ndong Sima a exprimé sa satisfaction quant à ces réformes, soulignant leur importance pour le renforcement de la démocratie au Gabon. Il a assuré que le calendrier de la transition serait respecté scrupuleusement, témoignant de l’engagement des autorités à mener à bien ce processus.
Réactions et perspectives
Les responsables politiques, dont Paul Biyoghe Mba, ont accueilli favorablement l’adoption de ce nouveau cadre électoral, considérant qu’il s’agit d’un jalon vers des élections libres et justes. Ils insistent sur le fait que la sécurité et l’intégrité électorale sont désormais des priorités incontournables, reflétant une volonté de rompre avec les pratiques du passé.
Ce nouveau code électoral est une avancée majeure dans la construction d’un système démocratique plus robuste et inclusif. En fixant des règles claires et en intégrant des réformes visant à élargir la participation citoyenne, les autorités gabonaises posent les bases d’un processus électoral qui aspire à être un modèle de transparence et de justice.
Avec l’adoption de ce nouveau code électoral, le Gabon se prépare à un tournant décisif de son histoire politique. En intégrant des réformes audacieuses et en plaçant l’accent sur l’inclusivité et l’intégrité, le pays se dirige vers des élections qui pourraient redéfinir son paysage politique et renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions.

Par ailleurs, L’opération d’arrestation, d’une envergure remarquable, a mobilisé plus de 3 000 agents des forces de l’ordre, qui ont convergé vers la résidence présidentielle située dans le quartier de Hannam-dong à Séoul. Cette résidence, transformée en bastion par le président déchu et ses partisans, a opposé une résistance farouche, prolongeant l’assaut sur plusieurs heures. Malgré des tentatives de négociation, notamment la requête de M. Yoon de se rendre sans être menotté, les autorités ont maintenu leur position, procédant à son arrestation conformément aux protocoles établis.
Les analystes politiques considèrent cette évolution comme un signe potentiellement positif pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel et de l’État de droit en Corée du Sud. Toutefois, le processus judiciaire suit son cours : L’OICAF dispose de 48 heures pour décider de prolonger la détention de M. Yoon, tandis que la Cour constitutionnelle doit statuer sur la validité de sa destitution. Si elle confirme la destitution, une élection présidentielle doit être organisée dans un délai de 60 jours, ouvrant une nouvelle page dans l’histoire politique du pays.
Cette journée, hautement symbolique, incarne la résistance, la mobilisation patriotique et la défense nationale face aux sanctions qualifiées d’illégales, d’illégitimes et d’inhumaines imposées par la CEDEAO et l’UEMOA. Ces sanctions ont été un moment de défi pour le Mali, renforçant sa détermination à préserver sa souveraineté et son intégrité territoriale.
Le Ministre Abdoulaye Diop, dans son allocution, a souligné l’importance de cette journée. « La souveraineté retrouvée est un trésor à préserver. » « Elle nous rappelle que, malgré les défis, le peuple malien reste debout, uni et résolu à tracer son propre chemin. » « La culture est notre bouclier et notre lien le plus précieux. »
La souffrance quotidienne des femmes du Sud du Tchad
Un engagement fort en faveur de la jeunesse
Le Président Assimi Goïta a réaffirmé l’engagement de l’État à accompagner la jeunesse malienne dans sa quête d’autonomie et de réussite professionnelle. Il a incité les bénéficiaires à faire preuve de détermination et d’innovation, soulignant que leur succès individuel contribuerait au développement collectif de la nation.
Tchad autonome : Abéché, un symbole de souveraineté militaire
Défis et opportunités : vers une sécurité renforcée au Tchad
Ainsi, alors que les soldats français se retirent progressivement, le regard est tourné vers l’avenir. Les autorités tchadiennes affirment leur détermination à consolider leur capacité de défense et à renforcer la sécurité nationale, tout en maintenant des relations diplomatiques et de coopération étroites avec leurs partenaires internationaux.
Par ailleurs, le lot de véhicules, récemment acquis, comprend une diversité d’équipements destinés à améliorer la mobilité et l’efficacité des FDS sur le terrain. La flotte comprend 40 véhicules Toyota monocabine, 5 véhicules Toyota double cabine, trois ambulances, deux minicars, un véhicule de transport de chiens, deux camions-grues, deux camions de transport de troupes, une citerne à carburant et 56 motos.
Une nouvelle flotte de véhicules pour renforcer les capacités de la sécurité au Mali
Le Directeur Général de la Gendarmerie Nationale a exprimé sa gratitude pour ces dotations, soulignant qu’elles arriveraient à point nommé pour renforcer les capacités opérationnelles des forces de sécurité. Il a également assuré que ces équipements seraient utilisés de manière optimale pour garantir la sécurité des populations et des biens.
En somme, cette initiative reflète la détermination des autorités maliennes à restaurer la confiance des citoyens en leur capacité à assurer leur sécurité. Elle s’inscrit dans une série de mesures prises pour moderniser les forces de sécurité, en leur fournissant les outils nécessaires pour répondre aux menaces grandissantes, notamment celles liées au terrorisme et aux conflits internes.
Une riposte fulgurante des forces loyalistes à N’Djamena
Cette attaque, bien que maîtrisée, pose de nombreuses questions sur la sécurité nationale et la capacité des services de renseignement à anticiper de telles menaces. Qui étaient ces assaillants ? Quelles étaient leurs motivations ? Autant d’interrogations qui restent pour l’instant sans réponse.
Une rencontre qui vire au cauchemar
Un avenir incertain
Une vidéo glaçante de torture
Silence et trahison des autorités locales
Une histoire qui se répète ?
Zones d’ombre et manque de transparence dans l’affaire de nitrate d’ammonium d’Ivoire.
Un passé qui joue contre
Guinée : une journée de contestation qui tourne au drame
Réactions et condamnations
Un contexte de tensions persistantes
Quel avenir pour la Guinée ?
Ibrahim Traoré : un accueil triomphal
Un leader visionnaire en première ligne
Rencontre avec la diaspora : un élan de solidarité
Une vision partagée pour l’avenir