février 2021 - Page 20 sur 37 - Journal du niger

L’affaire Sonko omniprésente dans la presse sénégalaise

Les journaux sénégalais, reçus samedi à APA, traitent principalement de l’histoire de moeurs qui ébranle le célèbre homme politique.EnQuête indique que « les incidents notés depuis l’éclatement de l’affaire Ousmane Sonko, le flot de haine, les injures et autres actes posés par les uns et les autres interpellent les membres de la société civile ».

Dans une déclaration commune, exploitée par L’AS, ces organisations sont convaincues que « les acteurs politiques et les autorités étatiques doivent être soucieux de préserver les acquis démocratiques, fruit de longues années de luttes et de sacrifices des aînés, de garantir la stabilité du pays, de respecter l’État de droit et l’indépendance de la justice ».

De son côté, Libération annonce que « le parquet criminalise le dossier » des partisans de Sonko arrêtés lundi dernier au cours de violents affrontements avec les forces de l’ordre.

Les Échos, qui a révélé cette affaire de moeurs, précise que « 19 manifestants ont été placés sous mandat de dépôt pour incendie criminel, organisation et participation à un mouvement insurrectionnel, dégradation de biens appartenant à l’État, et violences et voies de fait sur des agents de la force publique ».

Selon Vox Populi, « seul un (mineur) a échappé à la détention (puisqu’il) est placé sous contrôle judiciaire ». En tout cas, assure Le Quotidien, certes l’affaire Sonko est « privée » mais elle a des « effets politiques ». Quoi qu’il en soit, ce journal estime que le dénouement du dossier « pourrait laisser des séquelles politiques pour le leader de Pastef (Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité, opposition) et celui de la majorité présidentielle ».

Le Soleil rappelle que « la Sûreté urbaine, chargée de cette enquête, avait interpellé 41 suspects (qui ont été) déférés jeudi dernier devant le Doyen des juges d’instruction près le Tribunal de grande instance de Dakar, Samba Sall ».

Pour sa part, L’Observateur analyse « le silence intriguant d’Adji Sarr », la supposée victime de viols répétés sous la menace de deux pistolets. Dans les colonnes de ce quotidien, l’un des avocats de l’employée d’un salon de massage dakarois déclare : « Adji Sarr est gardée dans un lieu sûr, dans un endroit encore tenu secret pour sa sécurité. Elle est bien entourée et constamment assistée par les avocats commis pour sa défense ».

La Côte d’Ivoire a levé plus de 1 000 milliards Fcfa via la BRVM en 2020

L’Etat de Côte d’Ivoire a levé plus de 1 000 milliards Fcfa en 2020 via la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm), selon le directeur de Cabinet adjoint du ministère de l’Économie et des finances, Vassogbo Bamba. 

M. Vassogbo Bamba, s’exprimait lors du lancement officiel, vendredi, de Sika Invest challenge, un concours dédié à l’investissement en bourse destiné aux étudiants en Côte d’Ivoire. 

Pour maintenir la compétitivité de son économie, « en 2020, c’est plus de 1000 milliards Fcfa qui ont été levés par l’Etat ivoirien via la Brvm sur des maturités de 7 et 10 ans », a indiqué M. Vassogbo Bamba.

Il représentait le ministre de l’Économie et des finances, Adama Coulibaly, parrain de la cérémonie de lancement de ce concours de gestion de portefeuille. Dans le message qu’il portait, M. Bamba a salué cette initiative innovante. 

Le gouvernement ivoirien a d’ailleurs adopté le 15 mai 2019 une stratégie nationale d’inclusion financière 2019-2024, qui intègre des actions dont la mise en oeuvre vise à porter le taux d’inclusion financière de 40% en 2017 à 60% en 2024.

Sika Investment Challenge, un concours de gestion de portefeuille dédié aux étudiants des filières Economie/Finance des établissements d’enseignement supérieurs de Côte d’Ivoire, entre dans cette vision de l’Etat ivoirien. 

Selon son promoteur, l’Ivoirien Daniel Aggré, directeur général de Sika Finance, pour cette première édition, 56 établissements prennent part à la compétition avec un total de 850 étudiants retenus à l’issue de la phase d’inscription tenue en janvier. 

« Nous avons dans ce lots les universités publics ou encore l’Institut National Polytechnique de Yamoussoukro, mais aussi des établissements comme l’ENSEA ou encore l’université Internationale de Grand-Bassam entre autres », a-t-il dit.  

Cette cérémonie de lancement marque le point de départ de la compétition qui débute le 13 février 2021 avec le premier niveau de formation pour les étudiants à Abidjan, puis le 20 février pour ceux de l’intérieur du pays.

Une évaluation permettra de sélectionner les trois meilleurs étudiants par équipe: 170 équipes de cinq étudiants ont été constitués. Ils recevront des formations de niveau 2 et 3 afin de leur donner des outils d’analyse et de gestion d’un portefeuille. 

« Nous mettrons par la suite à leur disposition une plateforme de trading en ligne virtuelle qui leur permettra de faire en conditions réelles des transactions sur les valeurs cotées à la Brvm », a ajouté M. Aggré.  

Ils auront en outre trois mois – du 1er avril au 30 juin – pour mettre en application les connaissances acquises au cours de leur formation académique et les outils mis à leur disposition durant ces séances de formation, a-t-il souligné.   

« Au terme de ces trois mois, nous évaluerons les portefeuilles pour retenir les trois équipes ayant générés les meilleurs rendements. Ce sont ces équipes qui prendront part à la finale dont la date est fixée au 9 juillet prochain », a-t-il poursuivi.

Les neuf étudiants finalistes pourront parfaire leur pratique du marché à travers des stages au sein des institutions partenaires qui ont bien voulu nous accompagner dans cette aventure. Et, différents prix leur seront décernés. 

Le marché boursier est une aubaine pour la région. En 2019, les sociétés cotées ont distribués 104,6 milliards FCFA de dividendes à la Brvm et un peu plus de 97 milliards FCFA en 2020. 

Après 22 ans d’existence, le marché financier de l’Umoa « ne compte que 150 000 comptes-titres ouverts  pour une zone qui compte plus de 127 millions d’habitants ». La mobilisation de l’épargne intérieure reste encore une problématique  

Ce concours de gestion du portefeuille vise à promouvoir la culture boursière auprès de la jeunesse ivoirienne en leur donnant des formations pratiques sur l’investissement en bourse.

Distribution des CNI: les centres ouverts samedi à Abidjan

Les centres de distribution de masse des cartes nationales d’identité (CNI) ivoiriennes resteront ouverts, samedi, dans le district d’Abidjan.

Dans un communiqué transmis à APA, la  direction générale de l’Office national de l’état civil et de l’identification (ONECI) annonce que ces « centres resteront ouverts ce samedi 13 février 2021 de 8h à 15h dans le district d’Abidjan ».

« L’ONECI invite les personnes ayant reçu un message ou un appel de ses services à se rendre dans le centre indiqué pour le retrait de leur CNI », ajoute le texte, invitant les personnes enrôlées n’ayant pas encore reçu de message ou d’appels à consulter la plateforme www.rnpp.ci pour connaître le statut de leur demande et la démarche à suivre.

Maroc : 3 nouveaux cas du variant britannique détectés

Le Maroc a enregistré trois cas du variant britannique, a annoncé, vendredi, le ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb, ajoutant que le Royaume mène une surveillance génomique pointue de toute nouvelle souche de ce virus à travers quatre centres qui soumettent un rapport hebdomadaire à cet égard.Dans des déclarations à la presse, le ministre a réfuté, toutefois, la détection au Royaume de toute autre souche, y compris celle sud-africaine.

Par ailleurs, le responsable gouvernemental a assuré que le Maroc ambitionne d’achever l’opération de vaccination dans 3 à 5 prochains mois, en vue d’atteindre l’immunité collective et assurer un retour à la vie normale.

Et d’expliquer que selon la cadence avec laquelle se déroule l’opération de vaccination jusqu’à présent et conformément au calendrier fixé, l’objectif à atteindre lors des 3 à 5 prochains mois est de vacciner environ 30 millions de citoyens marocains, soit 80 % de la population et de parvenir à une immunité collective. Ceci permettra de réduire les effets négatifs induits par la propagation de la pandémie et d’assurer un retour à la vie normale.

Le Maroc, a-t-il poursuivi, a été en mesure, depuis le lancement de la campagne nationale de vaccination, de fournir tous les moyens logistiques et techniques et d’acquérir des quantités très importantes de deux types de vaccin anti-Covid, soulignant que l’opération de vaccination se déroule « dans des conditions favorables ».

À cet égard, il a mentionné que l’opération de vaccination a concerné, à ce jour, plus d’un million de citoyens marocains, précisant que ce rythme va augmenter au fur et à mesure de la réception des lots de vaccins pour pouvoir administrer la deuxième dose du vaccin à partir du vendredi prochain.

Les médias numériques ivoiriens invités à se faire recenser

Les éditeurs des productions d’informations numériques de droit ivoirien et de droit étranger ayant une représentation en Côte d’Ivoire, qui ne se sont pas encore déclarés au procureur de la République, sont invités à se faire recenser « dans les plus brefs délais » auprès de l’Autorité nationale de la presse ( ANP, régulateur ), rapporte un communiqué transmis vendredi à APA.

Selon  M. Samba Koné, le président de l’ANP, ce recensement des médias numériques s’inscrit dans le cadre de la mission de régulation de son institution. A cet effet, les productions d’informations numériques concernées devront fournir plusieurs documents à déposer au siège de l’ANP sis à Cocody II-Plateaux, dans l’Est d’Abidjan.

Il s’agit notamment du nom de l’entreprise éditrice, du nom de la production numérique, de l’identité et de la photocopie de la carte de journaliste professionnel (CIJP) du directeur de la publication.

La liste des membres de la rédaction et leurs pseudonymes, la photocopie des cartes CIJP valides des membres de la rédaction, la situation géographique de la rédaction et les adresses téléphoniques et électroniques de la rédaction sont également à fournir.

Législatives ivoiriennes: l’opposition s’est accordée sur 94 sièges sur 142

Les partis et mouvements de la coalition de l’opposition ivoirienne se sont accordés sur 94 sièges sur 142 pour les élections législatives du 6 mars 2021, soit un taux de réussite de près de 80%.

Ces données ont été révélées, vendredi, par le coordonnateur en charge des élections au Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, opposition), Niamkey Koffi, au siège de la formation politique. 

« Nous avons réussi sur 142 sièges à être d’accord sur 94, soit un taux de près de 80% de réussite au niveau de la coalition de l’opposition », a déclaré M. Niamkey Koffi.

Jusque-là, la coalition de l’opposition demande à certains candidats dans des circonscriptions de retirer leur candidature auprès de la Commission électorale indépendante (CEI).

Pour ces joutes électorales, chaque parti devrait présenter 30% de femmes candidates conformément à une loi qui requiert 30% de femmes dans les assemblées élues.

« Sur le quota des femmes, au niveau du Pdci, nous avons enregistré 39 candidatures, (mais) 19 ont été sélectionnées », a indiqué M. Niamkey Koffi.    

Pour le professeur Niamkey Koffi, « cela reflète la volonté réelle de la femme de participer à la gouvernance et à la vie politique du pays ».

« II faut savoir que le fait d’être candidat est un choix personnel, donc il faut que la femme se détermine à choisir d’exercer cette activité liée à une fois personnelle ».

M. Niamkey a toutefois relevé un certain nombre de  pesanteurs, entre autres, « des couches qui n’acceptent pas d’être commandées par des femmes, ou des époux qui ne veulent pas voir leur femme faire de la politique ».

Du 12 au 15 février 2021 le Pdci lance pour l’intérieur du pays une tournée pour donner à ses militants les orientations de la formation politique sur les enjeux de ces joutes électorales, après celle d’Abidjan. 

La Commission électorale indépendante a déclaré éligibles plus de 12.000 candidats qui vont à la conquête de 225 sièges que compte l’Assemblée nationale ivoirienne.  

Perturbation de la fourniture de l’électricité à Katiola

La fourniture de l’électricité est perturbée depuis vendredi soir à Katiola (Nord) où les équipes de la Compagnie ivoirienne de l’électricité (CIE) sont mobilisées pour un retour à la normale dans les meilleurs délais.

Dans une note d’information transmise à APA, la compagnie rapporte que Diarakokaha, Tiengala, Ounandiékaha, Pétionara, Seribokaha, Ouréguékaha, Tomorokaha, Kiohouan, Angolokaha et Folofonkaha sont les zones impactées par cette perturbation.

 Concessionnaire d’un service public, la CIE est chargée de l’exploitation des ouvrages de production, de transport et de distribution, de commercialisation, d’importation et d’exportation d’énergie électrique

Covid-19/Vaccins: cinq millions $ de la BM pour le Cabo Verde

La Banque mondiale a approuvé un financement supplémentaire de 5 millions de dollars au Cabo Verde afin d’assurer un accès abordable et équitable aux vaccins contre la Covid-19.Le Cabo Verde bénéficie de la première opération financée par la BM en Afrique pour soutenir les plans de vaccination nationaux anti-Covid-19 et contribuer à l’achat et la distribution de vaccins conformément au mécanisme COVAX.

Ce financement supplémentaire permettra aux autorités caboverdiennes d’acheter et de distribuer plus de 400 000 doses de vaccin, ainsi que des équipements de protection individuelle, notamment des masques, et d’autres fournitures médicales essentielles pour garantir une campagne de vaccination efficace.

Le projet financera également des équipements pour la chaîne du froid et le transport des vaccins et il s’attachera à améliorer les infrastructures sanitaires dans le but de rouvrir le pays au tourisme. Cet appui s’inscrit dans la continuité de l’aide apportée dans le cadre du projet d’intervention d’urgence COVID-19 à Cabo Verde.

« Alors qu’une deuxième vague de coronavirus touche durement les populations et les économies africaines, entraînant la fermeture des écoles et des entreprises, nous intensifions nos efforts pour aider les pays à acheter et à distribuer des vaccins, des tests et des traitements, et à renforcer leurs systèmes de vaccination », explique Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale.

« Cabo Verde a une longue expérience des campagnes de vaccination et est bien préparé pour commencer à vacciner ce mois-ci. Il s’agit d’une étape cruciale pour assurer l’avenir de la population du pays, rétablir l’emploi et relancer une industrie du tourisme frappée de plein fouet par la pandémie », poursuit le responsable de la BM.

La crise de la COVID a ébranlé l’économie caboverdienne, dont le PIB devrait enregistrer une contraction de 11 % en 2020. Dans ce petit État insulaire situé au large de l’Afrique de l’Ouest, les arrivées de touristes ont chuté de 70 % en 2020, le chômage a atteint près de 20 % et le taux de pauvreté a plus que doublé, passant de 20 % à 45 %. Si les deux tiers des décès surviennent chez les plus de 65 ans, les jeunes actifs sont les plus touchés économiquement par le virus.

« Après plusieurs mois de travail intensif et d’étroite collaboration, nous sommes très heureux que la Banque mondiale ait approuvé ce financement supplémentaire pour aider Cabo Verde à acheter et à distribuer des vaccins contre le virus de la COVID-19 », s’est réjoui le vice-Premier ministre et ministre des Finances, Olavo Avelino Garcia Correia.

« Ce financement vient compléter les mesures de grande envergure que le Cabo Verde a rapidement mises en place dès le début de la pandémie. À présent, nous avons hâte de vacciner la population au plus vite afin de pouvoir relancer la croissance économique en mettant l’accent sur la diversification et la résilience », a-t-il ajouté.

Dans la perspective du plan de vaccination national contre la COVID-19, les autorités de Cabo Verde ont réalisé, avec l’aide de la Banque mondiale, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), une évaluation de l’état de préparation du pays au déploiement des vaccins.

Cet exercice a montré que les préparatifs étaient bien engagés, que le cadre juridique et le processus d’identification de la population cible étaient en place, et que Cabo Verde pouvait désormais bénéficier de la garantie de marché du mécanisme COVAX afin de procéder à l’achat de vaccins.

Un audit financier de la FIF va démarrer «bientôt» (Dao Gabala)

La présidente du Comité de normalisation de la Fédération ivoirienne de football ( CN-FIF), Mariam Dao Gabala a annoncé vendredi à Abidjan, qu’un audit financier et opérationnel de la FIF va démarrer « bientôt ». 

Mme Gabala a fait cette annonce lors d’une conférence de presse consécutive à une rencontre du Comité de normalisation de cette institution avec les dirigeants de clubs ivoiriens de football. 

« Nous allons avoir un audit financier et un audit opérationnel de la FIF. Il va démarrer bientôt », a indiqué la présidente du CN-FIF.

Interrogé à cette occasion sur les raisons du non-renouvellement du contrat du préfet hors grade Sam Etiassé en qualité de Directeur exécutif  ( DEX) de la FIF, Mme Gabala, a soutenu que  « nous nous sommes séparés du DEX parce que nous n’avons pas évidemment la même vision ».  

« Les motifs de la séparation, je pense que ce n’est pas intéressant ici. L’essentiel c’est que c’est une équipe nouvelle qui va se renouveler et qui va travailler d’une autre façon », a ajouté Mme Gabala se refusant de donner d’autres précisions sur cette fin du contrat de M. Etiassé. 

« Préservons la vie privée des individus même s’ils ont été des acteurs publics. Je ne veux pas rentrer dans les détails tant que l’audit n’a pas été fait », a-t-elle affirmé.

 En ce qui concerne les accointances supposées du CN-FIF avec certains potentiels candidats à l’élection du président de la FIF, Mme Gabala s’est inscrite en faux.

 « Nous ne connaissons aucun des candidats. Nous n’avons d’accointances avec aucun des candidats», a-t-elle assuré.

« Nous sommes une équipe de mission totalement indépendante.   Nous ne sommes pas une équipe qui vient jouer à la chasse aux sorcières », a insisté la présidente du CN-FIF promettant de  « redonner de l’oxygène » à la FIF et de  «permettre au ballon de rouler ».

Rwanda: décès du chef de l’Armée

Le chef d’Etat-major de l’armée rwandaise, le lieutenant général Jacques Musemakweli est décédé de causes naturelles, a confirmé jeudi un communiqué des forces de défense du pays.Selon un tweet des Forces de défense rwandaises, le général Musemakweli est décédé jeudi à l’hôpital militaire de Kanombe. Le général Musemakweli, qui dirigeait l’Inspection générale des Forces de défense rwandaises depuis novembre 2019, a également occupé plusieurs postes au sein de l’armée.

Il s’agit notamment du poste de chef de la garde présidentielle et du poste de commandant des réservistes militaires rwandais. Il était un membre dirigeant du Front patriotique rwandais (FPR), le mouvement rebelle de Paul Kagamé pendant le génocide du pays.