juillet 2021 - Page 28 sur 42 - Journal du niger

100 jours du Président Bazoum : Le PNDS Tarayya salue « la pertinence des actes posés qui présagent de lendemains meilleurs » (déclaration)

Le Comité Exécutif National du PNDS-TARAYYA, réuni hier, dimanche 11 juillet 2021, a saisi l’occasion des 100 premiers jours de l’accession du Président Mohamed Bazoum à la magistrature suprême de notre pays, pour faire la déclaration suivante :

Les 100 premiers jours d’une gouvernance, considérés comme une période de grâce pour un dirigeant pour prendre ses marques et élaborer ses stratégies, ont été, pour le Président de la République Mohamed Bazoum, pour le Gouvernement dirigé par Ouhoumoudou Mahamadou et pour les dirigeants de notre Parti, une période d’activités intenses, au sortir de scrutins multiples, marqués par une campagne électorale jamais connue dans l’histoire démocratique du Niger, du fait du climat malsain et malpropre entretenu par les partis de l’opposition politique.

Rappelant les deux mandats couronnés de succès du Président Issoufou Mahamadou et le passage de témoin historique, le Président de la République Mohamed Bazoum avait, lors de son discours d’investiture du 2 avril 2021, déclaré (je cite) : « le programme électoral que j’ai soumis au peuple nigérien, sur la base duquel j’ai été élu le 21 février 2021, s’inscrit dans la continuité du travail remarquable accompli par le Président Issoufou Mahamadou. Il en consolidera les acquis en les approfondissant et il apportera les améliorations partout où cela s’avèrera nécessaire » (fin de citation).

En analysant les réalisations de ses 100 premiers jours, le Comité Exécutif National du PNDS-Tarayya salue l’adoption de la Déclaration de Politique Générale du Gouvernement et la pertinence des actes posés, qui présagent de lendemains meilleurs.

Ainsi, sur le plan sécuritaire, nos forces de défense et de sécurité et leurs alliés ont remporté des victoires importantes et infligé de lourdes pertes aux groupes armés terroristes au cours de cette période, sur les frontières du Burkina Faso, du Mali et dans le Bassin du Lac Tchad. Ces succès ont permis le retour progressif des populations déplacées notamment à Diffa et Tillabéri. La poursuite du maillage et des patrouilles sécuritaires a redonné confiance aux populations et a facilité ces retours volontaires. De même, comme programmé depuis fin 2020, d’importants recrutements sont opérés ou en cours pour renforcer les capacités opérationnelles de nos Forces de Défense et de Sécurité. C’est le lieu de féliciter et d’encourager nos Forces de Défense et de Sécurité et de souhaiter un prompt rétablissement aux blessés. Toutefois, le Comité Exécutif National condamne le lâche assassinat de populations civiles perpétré par ces groupes armés terroristes dans le nord Tillabéri et nord Tahoua qui n’est qu’une manifestation de désespoir d’un ennemi en désarroi.

Sur le plan éducatif, force est de constater la priorité accordée, à juste titre, au secteur de l’éducation. C’est ainsi que des rencontres de haut niveau ont été tenues avec les acteurs et partenaires du secteur afin d’obtenir leur adhésion et accompagnement pour la réussite de ce chantier. La construction et l’équipement de 2 centres de regroupement des élèves du primaire en zone nomade à Diffa et Zinder, la finition de 2 internats pour filles à Tahoua et Zinder, ainsi que la poursuite du processus d’évaluation des enseignants constituent une autre preuve de cette priorité.

Au-delà du secteur de l’éducation, c’est un large dialogue social qui est ouvert pour s’assurer de la participation et de l’inclusivité afin d’imprimer un nouvel élan pour la consolidation et la continuité du programme de renaissance, démarche que tous les acteurs, associations, société civile et centrales syndicales notamment, ont saluée et encouragée.

Sur le plan sanitaire, l’accessibilité aux services et soins de santé continue son amélioration avec l’opérationnalisation de l’Hôpital de référence de Maradi qui a bénéficié de l’arrivée de spécialistes cubains, du centre national de lutte contre le cancer ainsi que du programme de transformation des cases de santé. Par ailleurs, d’importantes doses de vaccins contre la COVID-19 sont mises à la disposition des formations sanitaires pour poursuivre l’effort de vaccination des populations. Il y a lieu de se féliciter ici que la situation demeure sous contrôle avec un RO faible d’environ 0,200 au 23 juin 2021, toutes choses ayant permis la réouverture des frontières terrestres.

Dans le secteur rural, le Comité Exécutif National du PNDS-Tarayya a été attentif, en ce début d’hivernage, aux efforts du Gouvernement pour accompagner le monde rural. Aussi, se félicite-t-il des quantités de semences commandées et en cours de distribution. Les stocks de l’OPVN et de la Réserve Alimentaire Stratégique sont renfloués afin de poursuivre les opérations de soutiens aux populations rurales, avec la distribution gratuite des vivres et la vente à prix modérés. Des avancées significatives sont constatées au niveau de la maîtrise de l’eau, avec la finalisation de la construction de 38 seuils d’épandage, l’aménagement de 600 ha pour la petite irrigation et la réhabilitation des digues de protection dont celle de la ville de Niamey.

Dans le secteur des infrastructures, plusieurs tronçons routiers lancés en 2020 – début 2021 sont en cours d’exécution. On peut citer notamment les routes : Loga-Doutchi ; Doutchi – Bagaroua ; Doutchi-Konni-Tsernaoua ; Dosso – Bella ; Sanam-Tébaram ; Margou-Gaya ; la voie d’accès à l’hôpital de référence de Niamey, etc.

Dans le domaine des industries extractives, les secteurs minier et pétrolier ont connu un regain d’activités au cours de la période des 100 jours. Le démarrage prochain de l’exploitation de l’uranium par de nouvelles sociétés, le dynamisme observé et l’encadrement assuré dans la filière aurifère, le démarrage de la construction du pipeline export, l’adoption et la bonification du fonds de développement de l’inclusion financière ainsi que du fonds d’appui aux petites et moyennes entreprises et industries, entre autres, l’accent mis sur la gouvernance des différents secteurs, permettent d’envisager de belles perspectives de croissance économique pour notre pays.

Sur le plan de la décentralisation, tous les conseils régionaux, de villes et communaux ont été renouvelés et installés au cours de cette période de 100 jours, marquant ainsi le dynamisme et la vivacité de notre démocratie.

Ce début très élogieux du quinquennat a plongé l’opposition dans une certaine torpeur, la conduisant à adopter une nouvelle stratégie de communication à travers certains médias et réseaux sociaux. Cette stratégie consiste, de façon hypocrite, à encenser le Président de la République Mohamed Bazoum et à dénigrer l’ancien Président ISSOUFOU Mahamadou. Pourtant, il n’y a pas si longtemps l’opposition avait usé de tous les moyens pour dénigrer le candidat du PNDS Mohamed Bazoum et contester sa victoire en le trainant impitoyablement dans la boue. C’est ainsi que :

Ils ont commencé par le présenter comme le candidat imposé par Issoufou Mahamadou et non démocratiquement désigné par le parti ;

Ils ont poursuivi leur campagne en le présentant comme un étranger ;

Ils ont contesté ses pièces d’état civil ;

Ils ont intenté plusieurs procès en vue de l’invalidation de sa candidature ;

Ils ont noué une alliance contre nature Hama – Ousmane ;

Ils ont introduit plusieurs recours fantaisistes auprès de la cour constitutionnelle pour invalider les résultats des élections Présidentielles ;

Ils ont enclenché des manifestations violentes le jour de la proclamation de la victoire de Mohamed Bazoum et après, pour en définitive déclarer ne pas le reconnaitre comme Président de la République et mettre tout en œuvre pour qu’il ne puisse diriger le Niger.

Après l’échec de toutes ces manœuvres, nous assistons aujourd’hui à un revirement spectaculaire et forcément suspect de cette opposition. Cette nouvelle posture de l’opposition, qui porte la marque d’acteurs politiques bien connus, procède de la farouche volonté de déstabiliser le PNDS-Tarayya en espérant diviser les dirigeants du parti, ses structures et ses militants.

Il vous souviendra en effet que l’opposition avait usé de tous les moyens pour déstabiliser le régime Président Issoufou Mahamadou tout au long de ses deux mandats, par le biais des déclarations, dénigrements, propagations des fausses informations de bas étages, meetings, marches violentes, insurrections, etc…. Ces moments marquants, qui ont endeuillé plusieurs familles, resteront pendant longtemps le triste palmarès d’une opposition aveuglée par la soif du pouvoir et ayant perdu toute éthique politique.

Parce que toutes les tentatives de déstabilisation du régime du Président Issoufou ont échoué, les opposants lui vouaient et lui vouent encore aujourd’hui une haine viscérale au point de l’opposer à son Camarade de toujours le Président Mohamed Bazoum.

Il est du devoir du Comité Exécutif National du PNDS-Tarayya, d’expliquer à ses militantes et militants que cette entreprise, qui consiste à diaboliser le Camarade Issoufou Mahamadou, tout en faisant du Camarade Mohamed Bazoum un ange, n’a d’autres objectifs que de diviser le PNDS-Tarayya et fragiliser le régime. Peine perdue, car l’opposition ne peut, par ce tour de passe-passe, effacer le bilan élogieux et historique des programmes de la Renaissance Acte 1 et 2 sous la direction de l’ancien Président Issoufou Mahamadou. Tout comme elle ne peut effacer la reconnaissance des nigériens par rapport à toutes les réalisations administratives, physiques, politiques et sociales dont ils ont bénéficié ces dix dernières années ; elle ne peut non plus effacer la reconnaissance de l’Afrique eu égard à la contribution du Président Issoufou Mahamadou pour l’atteinte des objectifs d’unité et d’intégration du continent; elle ne peut enfin effacer la reconnaissance internationale du mérite, du leadership et de la gouvernance du Président Issoufou à travers l’attribution du prestigieux prix Mo Ibrahim.

Aussi, le Comité Exécutif National du PNDS-Tarayya condamne-t-il cette agressivité aveugle vis-à-vis du Camarade Issoufou Mahamadou, tout comme il a eu à condamner la même agressivité dont le Président de la République Mohamed Bazoum a fait l’objet à travers les mêmes médias avant et pendant la dernière campagne électorale.

Le Comité Exécutif National du PNDS-Tarayya :

Dénonce les mensonges les plus éhontés distillés à l’endroit de l’un ou de l’autre de ces deux Camarades ;

Appelle les Camarades militantes et militants ainsi que les sympathisantes et sympathisants à la vigilance et à la clairvoyance afin de faire échec et de tuer dans l’œuf cette énième entreprise de déstabilisation de notre Parti ;

Engage les uns et les autres à cultiver l’unité, la cohésion et le triomphe des idéaux de notre grand parti ;

Réaffirme son engagement à consolider l’alliance des partis de la majorité présidentielle ;

Encourage et soutient le Président Mohamed Bazoum dans ses prises d’initiatives visant l’amélioration du dialogue social, l’unité nationale et la bonne gouvernance pour consolider les acquis et avancer vers l’émergence du Niger à travers la mise en œuvre du Programme de Renaissance Acte 3.

Vive le PNDS-TARRAYA !!!

Vive le NIGER !!!

Fait à Niamey, le 11 Juillet 2021

Le Comité Exécutif National

Af’Sud : Ramaphosa salue la reprise économique

Le président sud-africain a salué les signes encourageants de l’économie sud-africaine en termes de croissance et de création d’emplois.L’économie sud-africaine a connu un rebond dans plusieurs secteurs, notamment l’industrie manufacturière, l’exploitation minière et l’agriculture, a déclaré lundi le président Ramaphosa.

Dans son message hebdomadaire à la Nation, M. Ramaphosa a salué les pactes sociaux que le gouvernement a continué de conclure avec les entreprises et les syndicats pour protéger les travailleurs et les entreprises des dures répercussions économiques de la pandémie de Covid-19.

« Grâce à ces interventions, nous avons pu atténuer les pires effets de la pandémie, empêchant ainsi la fermeture de nombreuses entreprises et la perte d’un grand nombre d’emplois », a déclaré M. Ramaphosa.

Il a ajouté que pour faire face à la pandémie, son gouvernement avait cherché à adopter une approche fondée sur des preuves, tant dans les politiques que dans les pratiques, en tenant compte de la recherche scientifique, de l’expertise et des capacités cliniques, et de l’impact sur tous les secteurs de la population.

« Nous avons cherché à trouver un équilibre entre sauver des vies et préserver les moyens de subsistance », a-t-il indiqué. Et d’ajouter : « Nous avons cherché à atténuer l’impact des restrictions successives du confinement sur les moyens de subsistance de la population, sous peine de risquer une deuxième épidémie de pauvreté et de faim, peut-être pire encore, à l’avenir ».

Grâce à cela, M. Ramaphosa a déclaré que les jeunes professionnels se sont vu offrir des opportunités dans le développement des infrastructures, les soins de santé, la conservation de l’environnement et un certain nombre d’autres secteurs.

Il a cité les bases solides du plan de reconstruction et de relance économique lancé en octobre de l’année dernière, ainsi que le programme présidentiel de stimulation de l’emploi du gouvernement, qui vise à fournir des revenus et des moyens de subsistance à des millions de bénéficiaires.

Grâce à ces programmes de relance, plus de 300.000 jeunes ont été placés comme assistants scolaires et plus de 100.000 agriculteurs de subsistance ont été inscrits dans la toute première base de données de ce type, où ils ont accès à une assistance technique.

En outre, plus de 30.000 jeunes ont bénéficié d’opportunités dans les secteurs de la culture, de la création et du sport, a-t-il poursuivi. Cependant, « la pandémie ne montrant aucun signe immédiat de répit, les entreprises et les travailleurs restent vulnérables », a conclu M. Ramaphosa.

Mozambique : l’UE approuve sa mission de formation militaire

La mission a reçu le feu des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne (UE).Elle vise à former et à soutenir les forces armées du Mozambique dans la lutte contre l’insurrection djihadiste dans la région de Cabo Delgado.

Dans un communiqué publié à l’issue de leur réunion, ce lundi 12 juillet à Bruxelles (Belgique), les ministres ont déclaré que l’objectif de la mission est « de former et de soutenir les forces armées mozambicaines dans la protection de la population civile et le rétablissement de la sécurité dans la province de Cabo Delgado ».

« Le mandat de la mission durera deux ans. Pendant cette période, son objectif stratégique sera de soutenir le renforcement des capacités des unités des forces armées mozambicaines qui feront partie d’une future force de réaction rapide », ont-ils précisé.

Le chef de la mission de l’UE sera un Portugais. Les instructeurs militaires de Lisbonne sur le terrain devraient constituer environ la moitié de la nouvelle mission de l’UE.

Une insurrection meurtrière menée par des militants affiliés à l’Etat islamique ravage la province de Cabo Delgado, riche en gaz, depuis octobre 2017, faisant plus de 2.800 morts et déplaçant quelque 732.000 personnes, selon les Nations unies.

La Communauté de développement de l’Afrique australe a approuvé le mois dernier le déploiement de forces pour aider l’armée mozambicaine à combattre l’insurrection islamiste.

Législatives éthiopiennes : Abiy Ahmed assoit sa légitimité

Le Premier ministre éthiopien victorieux aux élections parlementaires, peut désormais poursuivre les réformes politiques et sociales déjà entamées.Le scrutin du 21 juin avait une valeur de véritable test pour Abiy Ahmed (44 ans) nommé en 2018. Dans un contexte de guerre au Tigré, le PM avait sollicité l’onction populaire pour poursuivre les réformes en cours.

Samedi, le Parti de la Prospérité (PP) qu’il dirige a largement remporté les élections, ouvrant la voie à un nouveau mandat. Le « PP » a remporté 400 des 436 sièges en jeu dans les circonscriptions où le vote s’est déroulé en attendant l’organisation d’un autre scrutin le 6 septembre prochain dans les circonscriptions manquantes. En effet, ces consultations se sont déroulées dans un contexte tendu avec des arrestations d’opposants et à l’arrivée plus d’un cinquième des 547 circonscriptions n’ont pas pu voter à cause des violences à caractère ethnique.

Dans un contexte politique marqué par la guerre meurtrière au Tigré, cette victoire n’est pas le tournant décisif attendu pour la démocratie éthiopienne. La répression sanglante contre les chefs dissidents du Tigré, les lourdes pertes en vies humaines et les risques de famine ont fini d’entacher l’image réformatrice du Prix Nobel de la paix de 2019, dont les pourfendeurs parlent de victoire à la Pyrrhus.

Malgré le couvre-feu unilatéral décrété le 29 juin par le gouvernement, le Front de libération du peuple du Tigré (TPFL) occupe le terrain et a repris de nombreuses bases à l’armée éthiopienne. Les rebelles ont posé plusieurs conditions à Addis Abeba dont le retrait des forces érythréennes pour faire taire les armes. Dans un système politique basé sur le fédéralisme ethnique, le TPLF, issu de la minorité tigréenne, a contrôlé pendant plusieurs décennies le pouvoir.

Mais, avec l’arrivée d’Abiy Ahmed de l’ethnie majoritaire Oromo, les chefs politiques du Tigré se sont sentis à l’écart avec des réformes politiques et sociales du gouvernement avant de prendre les armes, dénonçant vigoureusement le rapprochement de l’Ethiopie avec l’ennemi historique l’Erythrée.

Gabon: L’AMEU lance la 3ème caravane médico-chirurgicale sur les pathologies d’Endo-urologie

L’Association marocaine d’endo-urologie (AMEU) a lancé, dimanche à Libreville, la 3ème caravane médico-chirurgicale Sud-Sud sur les pathologies d’Endo-urologie, vaporisation de la prostate et chirurgie de la dysfonction érectile.Initiée en collaboration avec le ministère gabonais de la santé, cette caravane, la 3ème du genre en terre gabonaise, s’inscrit dans le cadre de la stratégie de rapprochement des services médicaux et de la population, notamment des catégories démunies en vue de les faire bénéficier de nouvelles techniques en urologie.

Ouverte à tout patient souffrant, enfants, femmes, hommes, personnes âgées, cette caravane qui se poursuit jusqu’au 15 juillet, permettra la pratique des opérations chirurgicales de résection transurétrale de la prostate, via la technique bipolaire et vaporisation, ainsi que la fragmentation et élimination du calcul vésical par laser.

L’objectif de cette opération est de ramener des technologies nouvelles en matière d’urologie au niveau du Gabon notamment la chirurgie mini-invasive, sachant que cette caravane servira de cadre de partage de savoir faire, d’échange d’expériences et de formation continue aux urologues locaux.

Outre le volet intervention purement médicale, cette caravane sera marquée par l’organisation de conférences portant sur les nouveautés et innovation en matière d’urologie, l’utilisation des plantes médicinales notamment le cannabis et ses vertus thérapeutique et la plante de l’Iboga et la possibilité de la planter au Maroc tout en sachant qui cette plante existe qu’au Gabon.

L’organisation de cette 3ème édition est un exemple de la coopération Sud-Sud.

Créée en 2012, l’Association Marocaine d’Endo-Urologie (AMEU) est gérée par des urologues marocains et internationaux en plus des urologues stagiaires.

Présidée par Rabii Redouane, Professeur d’urologie, l’AMEU joue un rôle important dans le domaine scientifique. Au diapason de l’évolution de toutes les pratiques d’urologie dans le monde, l’Association s’impose en tant que leader de l’innovation des nouvelles techniques et de leur introduction au Maroc.

L’AMEU organise souvent des caravanes médico-chirurgicales au profit des personnes démunies ainsi que des campagnes de sensibilisation au don d’organes, à la prévention de la lithiase urinaire et des maladies sexuellement transmissibles.

Foot : Dakar Sacré Cœur et l’Olympique Lyonnais liés trois ans de plus

Les clubs sénégalais et français ont officialisé, ce lundi 12 juillet, la prolongation de leur coopération jusqu’au 30 juin 2024.Fortifier l’axe Dakar-Lyon dans la durée. C’est le but visé. Dans un article publié sur son site, l’Olympique Lyonnais a expliqué qu’ « à travers cette nouvelle prolongation, les deux parties (veulent) poursuivre le travail engagé depuis 6 ans ».

En août 2018, après un premier accord signé trois ans plus tôt, Dakar Sacré-Cœur et l’Olympique Lyonnais avaient renouvelé leur engagement. A en croire l’OL, sa stratégie à l’international reposant sur le partage de savoir-faire et d’expérience a permis « à DSC d’être reconnue comme l’une des structures référentes au Sénégal ».

Dans le cadre de cette « collaboration au spectre large », le club basé à la Sicap Liberté 1, à Dakar, et le septuple champion de France ont pu organiser « de nombreux échanges entre les staffs » de chaque entité.

Le club rhodanien a souligné que ses relations avec DSC sont basées sur « le développement et la pérennisation d’un modèle de formation local inspiré de (sa) méthode ».

Cette philosophie commune a notamment facilité le recrutement de deux joueurs sénégalais : Ousseynou Ndiaye (milieu) et Abdoulaye Niakhaté Ndiaye (défenseur). DSC a aussi mis sur pied « une équipe féminine ». Trois ans seulement après sa création, la formation a remporté, cette saison, le championnat du Sénégal.

Outre le football, l’Olympique Lyonnais accompagne Dakar Sacré Cœur dans ses activités sociales adossées à « des valeurs comme l’interculturalité, la parité, la solidarité, la performance ou l’abnégation ».

Pour Jean-Michel Aulas, président de l’Olympique Lyonnais, « cette nouvelle prolongation marque une étape supplémentaire dans le formidable élan qui anime ce projet. C’est avec détermination et ambition que nous allons poursuivre ce même élan ».

De son côté, Mathieu Chupin, président délégué de DSC, a déclaré que les deux clubs, « dans des contextes et échelles différents, partagent les mêmes ambitions économiques et sociales au service de projets sportifs performants ».

Sénégal : politique et agriculture au menu des journaux

Les journaux sénégalais, parvenus lundi à APA, sont essentiellement dominés par la politique et l’agriculture.Sud Quotidien parle du projet de réforme électorale et informe que « l’opposition déchire le code ». Pôle opposition et non-alignés au dialogue politique se démarquent de l’arbitrage du chef de l’Etat.

Et dans Vox Populi, le Front de résistance nationale (FRN), les leaders du Mouvement pour la défense de la démocratie (MD2), du Congrès de la Renaissance Démocratique (CRD) et de Jotna soutiennent que « Macky Sall vient de fermer les portes du dialogue et d’ouvrir celles de la confrontation ». Pour le front de l’opposition, le président de la République a « saboté » le travail qu’il a lui-même commandité dans le cadre du dialogue politique.

Walf Quotidien estime que « Macky (Sall) se tire une balle dans le pied » avec l’élection des maires au suffrage universel direct. Le journal explique que cette situation risque de jouer un vilain tour à la majorité présidentielle à cause des nombreuses « rivalités internes » au sein de la coalition.

EnQuête parle sur l’éventuelle alliance entre l’ancien maire de Dakar, Macky Sall et Idrissa Seck et informe « Khalifa dit non ». Le journal soutient même que « Khalifa Sall goûte très mal aux rumeurs de deal et d’alliance avec Macky Sall ».

Sur le plan agricole, L’Observateur revient l’inauguration des Domaines agricoles communautaires (Dac) de Keur Momar Sarr. Selon le journal, « Macky répare une injustice » puisque le chef de l’Etat a promis l’accès à l’eau potable pour les villages aux alentours du Lac Guiers.

Dans le quotidien L’AS, le chef de l’Etat apporte des gages et souligne que les « Dac pourront satisfaire l’approvisionnement local, et aussi exporter vers les marchés étrangers ».

Le Soleil  indique que 1250 milliards Fcfa ont été mobilisés en neuf ans pour le secteur hydraulique au Sénégal. Dans les colonnes du quotidien national, Macky Sall assure que les Dac restent le modèle qu’il faut pour développer l’agriculture.

En sport, Stades et Record reviennent largement sur les sacres de l’Italie et l’Argentine à l’Euro et à la Copa America. « Sacrée Italie, maudite Angleterre » titre Record, qui, parlant de la Copa, souligne que « Messi brise enfin la malédiction ». « L’Italie brise le rêve anglais, Messi enfin couronné avec l’Argentine » ajoute Stades.

Economie, politique et sport au menu des quotidiens marocains

Les enjeux du recours au Partenariat-public-privé, le champ politique national, la production locale du vaccin contre la Covid-19 et la Coupe de la CAF remportée par le Raja de Casablanca, sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce lundi.+L’Économiste+, qui aborde les enjeux du recours au Partenariat public-privé (PPP), écrit que les collectivités locales sont rattrapées par la grande vague des PPP, une formule qui a fait ses preuves depuis des années dans différents secteurs d’activités et pour de nombreux projets d’infrastructure d’envergure.

Pour le quotidien, l’enjeu n’est pas simplement d’attirer les capitaux du privé, mais aussi ses compétences et idéalement en contournant les difficultés classiques des montages publics, les retards de livraison ou les défauts sur la qualité. Toutefois, le système « ne peut s’affranchir de garde-fous pour garantir son efficacité et prévenir les dérives », relève-t-il, estimant nécessaire que le choix du PPP soit « motivé » et que l’évaluation de cette formule soit prise en compte afin de « s’enrichir de croisement entre les coûts économiques des projets en formule PPP ou en maîtrise d’ouvrage publique classique ».

Evoquant le champ politique national, +Al Bayane+ écrit qu’une partie non négligeable de candidats qui se présentent aux élections sont plus guidés par leurs intérêts particuliers que par l’intérêt général, alors que les compétences intègres du pays désertent cette compétition après y avoir pris part.

Face à cette situation, le journal recommande de chercher les compétences dans le répertoire des cadres marocains dont les différents types de formations intellectuelles, académiques et techniques constituent une plateforme idéale pour l’encadrement politique organique. Il est grand temps que cette intelligentsia (ingénieurs, médecins, chirurgiens, esthéticiens, universitaires, entrepreneurs, avocats…), munie de civisme et de probité, s’assume et recouvre la chaise qu’elle a boudée, pendant des décennies, au profit des inciviques, ajoute-t-il.

+Le Matin+ rapporte que la Communauté des Etats Sahélo-Sahariens (CEN-SAD) a salué la signature de trois accords de coopération entre le Maroc et la Chine pour la production locale du vaccin contre la Covid-19 et autres vaccins. « De toute évidence, ce projet structurant et novateur, s’inscrit dans le cadre de la volonté de Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc, de doter le Royaume de capacités industrielles et biotechnologiques complètes et intégrées, dédiées à la fabrication de vaccins au Maroc », souligne la CEN-SAD dans un communiqué, cité par la publication.

Cette initiative royale, relève la CEN-SAD, va de pair avec les dispositions de l’Agenda 2063 de l’Union africaine par lequel le continent africain dispose désormais d’un pôle d’excellence en biotechnologies à même de lui préserver son indépendance médico-technologique face aux risques sanitaires actuels ainsi qu’aux pandémies émergentes.

Au volet sportif, +Libération+ écrit que le Raja de Casablanca a réussi, samedi au stade de l’Amitié à Cotonou, à remporter pour la troisième fois de leur histoire, la Coupe de la Confédération CAF, et ce après avoir surclassé l’équipe algérienne de la Jeunesse Sportive de Kabylie par 2 à 1.

Une victoire tant attendue par toutes les composantes du club rajaoui qui restait sur une série de contre-performances sur le plan national, ce qui avait donné lieu à un climat tendu dans la demeure à la veille de cette finale, estime le journal.

Pour le contingent dépêché, auquel manquait surtout le capitaine Mohcine Moutawalli, écarté pour des raisons disciplinaires, la mission était des plus claires : secouer le cocotier et regagner le bercail avec le trophée continental.

La coupe remportée, le Raja a regagné aussitôt Casablanca qui a vécu des scènes de liesse et de fête, sachant que des supporteurs s’étaient déplacés aux premières heures de dimanche pour accueillir la délégation rajaouie, heureuse d’avoir fait le job et d’avoir garni le palmarès du club par une neuvième étoile africaine, fait savoir le quotidien.

Fake news: adoption d’une Charte par les médias numériques ivoiriens

Les médias numériques de Côte d’Ivoire ont entériné samedi une Charte de bonne conduite dans les médias en ligne et sur les réseaux, à l’issue d’un séminaire à Grand-Bassam, cité balnéaire située à 40 Km au Sud-est d’Abidjan.

Ce séminaire, ténu autour du thème « Médias numériques et cohésion sociale », a été organisé par le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire  (Repprelci), la faîtière des médias numériques ivoiriens.

Il a été financé par le Fonds de consolidation de la paix (FCP) des Nations-Unies à travers le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud).

Au terme des travaux, les participants ont recommandé entre autres un engagement fort des pouvoirs publics dans la lutte contre les fake news, la mise en place dans les rédactions de points focaux pour la cohésion sociale, un appui aux journalistes des médias numériques dans la lutte contre les fake news et une promotion de l’éducation aux médias.

Une application plus rigoureuse et ferme de la loi contre les fausses informations, une responsabilité plus accrue des acteurs de la presse en ligne dans le traitement des informations, et un engagement des journalistes au respect du code d’éthique et de déontologie figurent également sur la liste des recommandations.

A la clôture de ce séminaire, Peyogori Ouattara, représentant de la Représentante résidente du Pnud en Côte d’Ivoire, a fait observer que les journalistes dont la matière première est l’information, doivent être au premier plan de la lutte contre les fausses nouvelles « fake news » et les discours de haine.

Il a invité les professionnels des médias à être des acteurs de paix, prônant l’union des organisations des médias afin que leur message sur la cohésion sociale puisse avoir une forte portée.

Quant à Dr Théodore Konimi, représentant le ministre de la Réconciliation et de la cohésion nationale, il a conseillé les journalistes à faire preuve d’éthique et de maturité pour éviter de diffuser des rumeurs, des diffamations ou encore d’attenter à l’ordre social.

La Charte des médias numériques en Côte d’Ivoire comprend 20 dispositions. Selon le président du Repprelci, Lassina Sermé, à travers cela, les journalistes et les blogueurs s’engagent au professionnalisme et à utiliser les réseaux sociaux de façon responsable.

« Nous réaffirmons notre détermination, notre engagement et notre volonté résolue à enraciner l’exercice du métier de journaliste dans la responsabilité sociale, dans le respect de la liberté d’opinion et d’expression », indique le texte en son préambule.

A travers cette Charte, les médias numériques s’engagent à « promouvoir, défendre et préserver la liberté d’expression dans la responsabilité » dans l’éthique et la déontologie journalistique.

Dans la première disposition de la Charte, les professionnels des médias numériques en Côte d’Ivoire s’interdisent « la diffusion/publication des fake-news ou fausses informations ».

La deuxième disposition de la Charte invite les médias à « s’interdire de publier/diffuser des informations fournies par les réseaux sociaux sans vérification préalable ». 

La disposition numéro 3 exhorte les médias en ligne à « prendre le soin de vérifier les informations fournies par les réseaux sociaux, par ses propres canaux ou sources autorisées et ne rien publier qui ne soit vérifié ».

Le point 11 recommande aux médias en ligne de « respecter la diffusion des droits de réponses et de rectification dans les conditions prévues par la loi », tandis que la 12e disposition ordonne de « faire un erratum en cas de diffusion de fausses informations avec une note d’excuse de la rédaction ». En outre, le point 13 fait obligation au média de « retirer, sans délai, du site les liens ayant diffusé et qui diffusent des fake-news ». 

Le ministre ivoirien en charge de la Réconciliation et de la cohésion nationale, Kouadio Konan Bertin dit « KKB », a présidé, vendredi, l’ouverture de ces assises.  Il a félicité le Repprelci pour cette « belle initiative qui s’inscrit parfaitement dans la vision du président de la République, d’amener tous les Ivoiriens au vivre ensemble » dans leur diversité.

Il a fait observer que la diffusion de fausses nouvelles et les messages violents mettent inéluctablement en mal la cohésion nationale et la coexistence pacifique, soulignant que les discours haineux ont un fort impact chez les jeunes.

Il a évoqué la diffusion récente, sur les réseaux sociaux le 19 mai 2021, d’une fausse information ayant entraîné des violences ciblées à l’endroit de la communauté nigérienne vivant en Côte d’Ivoire, ce qui commande d' »adresser cette problématique avec une urgence absolue ».

Quant au représentant du ministre de la Communication, des médias et de la Francophonie, Guillaume Beda, il a également fait remarquer que l’éducation aux médias et à la culture numérique des populations est une « urgence ». 

Le directeur général de l’Institut polytechnique des sciences et techniques de la Communication  (ISTC Polytechnique), Dr Alfred Dan Moussa, dans une conférence inaugurale sur le thème du séminaire « médias numériques et cohésion sociale », a invité les acteurs des médias à se lever les premiers pour « ôter le costume du déguisement aux esprits malins et dévoiler le faiseur de fausses nouvelles ». 

Le premier module de ce séminaire consacré au cadre juridique des nouveaux médias et à la responsabilité des médias numériques a été animé par le substitut du procureur de la République près le Tribunal d’Abidjan-Plateau, Anet Richard.

La communication identitaire et non violente a été présentée par Dr Djè Salomé de l’ONG Terre d’Union. Le module sur le Code de déontologie et la régulation des médias numériques a été présenté par Mme Sidonie Amoakon, Secrétaire générale de l’Autorité nationale de la presse.

La journée de samedi a été meublée par le quatrième module intitulé, ‘’Défis de la désinformation ». Les participants ont droit à un regard croisé du professionnel Alafé Wakili, Directeur général de l’Intelligent d’Abidjan et de Dr Karim Wally, enseignant-chercheur à l’Université Félix Houphouët-Boigny.

Les outils et mécanismes de vérification des fake news, ont constitué le cinquième module présenté par Mamady Kébé de la plateforme de lutte contre les fake news, Ivoirecheck.com mise en place par le REPPRELCI.

Créé en 2006, le REPPRELCI regroupe les acteurs de la presse numérique en Côte d’Ivoire. Cette faitière des médias numériques ivoiriens s’est donnée pour mission d’organiser, structurer et de promouvoir l’écosystème de la presse numérique en Côte d’Ivoire.

Installation d’une Commission de matérialisation des frontières ivoiro-guinéennes

Une Commission technique mixte de matérialisation des frontières entre la Côte d’Ivoire et la Guinée a été installée à Abidjan, il y a quelques jours, dans un contexte de menace terroriste dans la région.

Pour l’installation officielle de cette Commission, la partie ivoirienne était représentée par le général de corps d’armée Vagondo Diomandé, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, représentant le Premier ministre Patrick Achi, président de la Commission nationale des frontières de la Côte d’Ivoire (CNFCI).

Le ministre guinéen de l’Administration du territoire et de la décentralisation, le général de division Bourema Condé, a paraphé le protocole instituant la Commission Technique Mixte de Matérialisation de la frontière entre la Côte d’Ivoire et la Guinée (CTMM/CI-Guinée) avec son homologue ivoirien, à la Primature.  

« Suivant les directives de l’Union Africaine à travers son Programme frontières, notre pays a créé depuis 2017 la Commission nationale des frontières », opérationnelle depuis février 2020, avec la mise en place de son secrétariat exécutif, a fait savoir le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la sécurité.

Dans le cadre de ses activités, la Commission ivoirienne des frontières a procédé le 19 février 2021 à l’installation de la Commission Mixte Paritaire de Matérialisation de la Frontière Côte d’Ivoire-Burkina Faso. La deuxième réunion des deux commissions est prévue les 12 et 13 juillet prochains à Ouagadougou.

« Cette dynamique qui est à saluer, traduit la vision du président de Alassane Ouattara de consolider et de raffermir les relations fraternelles entre la Côte d’Ivoire et ses voisins, en vue de créer un environnement global de sécurité et de paix qui sont les préalables » à tout développement socio-économique, a-t-il ajouté. 

« Il nous faut faire vite, car l’actualité sous-régionale marquée par la recrudescence des activités terroristes à nos frontières, nous contraignent à mettre la problématique des frontières au coeur des activités de nos gouvernements respectifs », a soutenu le général Diomandé Vagondo.   

Le général Diomandé a fait observer que « la délimitation est un préalable et un socle aux autres activités frontalières. Car, elle permettra de favoriser la coopération transfrontalière et de mettre en œuvre avec beaucoup plus de clarté, les projets de développement socio-économique dans les zones frontalières des deux pays ». 

Le ministre guinéen de l’Administration du territoire et de la décentralisation, Bourema Condé, s’est réjoui de la « réactivation » de la Commission technique mixte de matérialisation des frontières entre la Guinée et la Côte d’Ivoire.

Il s’est dit convaincu que cette Commission sera « capable d’initier et de mettre en oeuvre des actions conjointes conformément aux visions de règlement pacifique des conflits, de renforcement de la paix et de la sécurité » ainsi que de l’entente mutuelle entre les deux pays.

Pour lui, « il est temps d’opérationnaliser la Commission technique et de la doter de moyens nécessaires »en vue d’une démarcation de la ligne frontière commune héritée de la colonisation. 

Le 20 décembre 1996, les deux États ont signé à Abidjan, l’Accord-cadre relatif à la matérialisation de leur frontière commune. Depuis ce temps, la Commission de matérialisation n’a pas pu être mise en place en raison de difficultés de parcours que les deux pays ont connues.  

La coopération allemande à travers la GIZ apporte aux États africains son appui dans la mise en oeuvre des activités du Programme frontière de l’Union Africaine.