juin 2025 - Page 3 sur 10 - Journal du Niger

Jeux de l’AES : le Niger rayonne à Bamako, fier symbole d’unité sahélienne

Le Niger rayonne aux premiers Jeux de l’Alliance des États du Sahel – Bamako 2025

Dans l’effervescence d’une communion régionale sans précédent, le Niger s’illustre avec éclat à la première édition des Jeux de l’Alliance des États du Sahel (AES), qui se déroulent à Bamako, capitale malienne, du 21 au 28 juin 2025. Ce rendez-vous historique, véritable hymne à l’unité sahélienne, consacre le sport et la culture comme vecteurs d’une fraternité indéfectible entre les peuples du Sahel. D’ailleurs, porté par une délégation de 95 âmes vibrantes d’ambition, le Niger s’engage avec ferveur pour défendre ses couleurs et incarner les valeurs d’une jeunesse résolue à écrire une nouvelle page de son destin collectif.

Le Niger participe avec une délégation de 95 membres à la première édition des Jeux de l'Alliance des États du Sahel (AES) à Bamako, célébrant l'unité et la fraternité régionales par le sport et la culture.La délégation nigérienne : 95 talents en quête d’excellence à Bamako

Sous la houlette de M. Sidi Mohamed Almahmoud, Ministre de la Jeunesse et des Sports, la délégation nigérienne, composée d’athlètes, d’encadreurs et d’officiels, s’est envolée pour Bamako avec une détermination sans faille. Forte de 95 membres, elle se déploie dans les neuf disciplines au programme, conjuguant ainsi agilité, endurance et esprit d’équipe. Chaque compétiteur, ambassadeur de la nation, porte en lui l’honneur de représenter un Niger uni, résilient et tourné vers l’excellence. Leur engagement transcende aussi la quête de médailles : il s’agit plutôt d’incarner, par le geste et l’effort, l’aspiration d’un peuple à la grandeur.

Le Niger participe avec une délégation de 95 membres à la première édition des Jeux de l'Alliance des États du Sahel (AES) à Bamako, célébrant l'unité et la fraternité régionales par le sport et la culture.Les Jeux de l’AES : plus qu’une compétition, un pacte de solidarité sahélienne

Les Jeux de l’AES, dans leur Genèse, sont bien plus qu’une simple joute sportive. Ils scellent un pacte de solidarité entre les nations du Sahel, unies par des défis communs et une vision partagée. En cette semaine mémorable, Bamako devient le creuset où s’entrelacent sport, culture et amitié, forgeant des liens indissolubles entre les peuples sahéliens. Les stades et les arènes vibrent au rythme des acclamations, tandis que les échanges culturels, en marge des compétitions, tissent une tapisserie riche de diversité et d’histoire partagée. De ce fait, ces jeux, par leur portée symbolique, consacrent la jeunesse comme fer de lance d’une région en pleine affirmation.

Le sport : puissant vecteur de cohésion et d’espoir pour le Sahel

Les neuf disciplines inscrites au programme – reflets de la vigueur et de la pluralité des talents sahéliens – offrent un théâtre où s’expriment courage et persévérance. Du sprint effréné sur la piste aux affrontements tactiques des sports collectifs, chaque épreuve célèbre la montée en puissance d’une jeunesse qui refuse de plier face à l’adversité. Ces jeux ne se contentent pas de couronner des champions ; ils exaltent des valeurs universelles : l’entraide, le respect et la quête d’un idéal commun. Pour le Niger, chaque performance est également un cri de ralliement, une invitation à se dépasser pour porter haut l’étendard national.

Les Jeux de l’AES : « Tous unis derrière nos athlètes ! » Le peuple nigérien en soutien inconditionnel

L’élan patriotique qui accompagne la délégation nigérienne témoigne de l’attachement profond du peuple à ses athlètes. Dans les villes et les villages, les cœurs battent à l’unisson, galvanisés par les exploits de ces jeunes héros qui, par leur sueur et leur détermination, incarnent l’espoir d’une nation. En plus,  les encouragements fusent, portés par un souffle collectif qui transcende les distances. « Tous unis derrière nos athlètes ! » : ce mot d’ordre, vibrant d’ardeur, résonne comme un serment de soutien indéfectible.

Le Niger participe avec une délégation de 95 membres à la première édition des Jeux de l'Alliance des États du Sahel (AES) à Bamako, célébrant l'unité et la fraternité régionales par le sport et la culture.Un avenir sahélien radieux : le Niger au cœur de la dynamique régionale

En somme, en participant à ces premiers Jeux de l’AES, le Niger ne se contente pas de rivaliser ; il contribue à l’édification d’un Sahel uni, prospère et confiant en son avenir. Cette rencontre, par son caractère inaugural, pose également les fondations d’une tradition appelée à perdurer, où le sport deviendra un levier d’émancipation et de dialogue. À Bamako, le Niger, aux côtés de ses frères sahéliens, affirme sa place dans une dynamique régionale porteuse d’espérance.

En ce mois de juin 2025, le Niger brille de mille feux sous le ciel malien, porté par une jeunesse audacieuse et un peuple fervent. D’ailleurs, que ces jeux soient le prélude à une ère de solidarité renforcée, où les nations du Sahel, main dans la main, construiront un avenir à la mesure de leurs ambitions. Gloire à nos athlètes et vive l’Alliance des États du Sahel ! Le Niger va-t-il marquer l’histoire des premiers Jeux de l’AES ?

Bon débat chez vous …

Anacko, nouvel Ambassadeur du Niger au Tchad

N’Djamena, 24 juin 2025 — Dans un climat empreint de solennité et de coopération, Son Excellence Monsieur Mohamed Anacko a présenté, ce mardi, ses lettres de créance au Président de la République du Tchad, le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno. En fait, cette cérémonie protocolaire consacre officiellement sa prise de fonction en qualité d’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Niger auprès de la République du Tchad. Ce geste symbolique marque le début d’une mission cruciale : celle de consolider des liens historiques et de forger un avenir commun face aux défis majeurs du Sahel.

L'Ambassadeur Mohamed Anacko a officiellement présenté ses lettres de créance au Président Mahamat Idriss Déby Itno, marquant le renforcement des liens diplomatiques entre le Niger et le Tchad.Une Mission cruciale : Anacko promet un nouvel élan pour l’axe Niamey-N’Djamena

Ce geste symbolique, chargé de tradition diplomatique, scelle le début de la mission de SEM Anacko à N’Djamena. Lors de cette audience, le diplomate nigérien a exprimé sa profonde détermination à œuvrer au raffermissement des liens historiques et fraternels unissant les deux nations sahéliennes. En outre, il a également souligné la nécessité de conjuguer les efforts bilatéraux face aux défis communs, notamment en matière de sécurité transfrontalière, de développement durable et de stabilité régionale.

Par conséquent, la coopération entre Niamey et N’Djamena, déjà dense et multisectorielle, pourrait ainsi connaître un nouvel élan à travers cette nomination, qui s’inscrit dans une dynamique de diplomatie active et concertée au sein de l’espace sahélien.

L'Ambassadeur Mohamed Anacko a officiellement présenté ses lettres de créance au Président Mahamat Idriss Déby Itno, marquant le renforcement des liens diplomatiques entre le Niger et le Tchad.Le Tchad réaffirme son engagement vers un dialogue approfondi avec le Niger

Le Président tchadien, pour sa part, a salué la désignation de SEM Mohamed Anacko, tout en réaffirmant l’attachement du Tchad à l’approfondissement du dialogue politique, économique et sécuritaire avec le Niger.

En somme, cette accréditation diplomatique augure de perspectives prometteuses pour une collaboration renforcée au service des peuples nigérien et tchadien, dans un contexte régional marqué par des enjeux cruciaux de paix et de développement. L’arrivée de l’Ambassadeur Anacko ouvrira-t-elle la voie à une nouvelle ère de coopération pour le Sahel ?

Zinder, épicentre d’une caravane pour la gouvernance et l’unité sociale

Zinder Vibre : lancement majeur d’une Caravane Nationale pour l’unité et la cohésion sociale 

Zinder, le 24 juin 2025 – En ce mardi matin, sous un ciel d’azur prometteur, la ville de Zinder a vibré au rythme d’un événement d’une portée singulière. À 10 h 00, devant une foule attentive, s’est déroulée la cérémonie de lancement de la caravane nationale de sensibilisation sur la gouvernance et la cohésion sociale. Ce projet ambitieux, porté par la Direction Générale de l’Administration du Territoire, avec le soutien des autorités locales et nationales, marque un tournant. En marge de la 11ᵉ édition des Journées des Communes, cet événement a été rehaussé par la présence remarquée de la présidente du Comité de gestion du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP), dont l’engagement a conféré à la cérémonie une aura d’unité et de détermination.

Zinder lance la caravane nationale pour la gouvernance et la cohésion sociale, un projet clé pour l'unité du Niger, avec la présence de la présidente du FSSP.Un rassemblement historique pour un Niger fort et solidaire

Présidée par le Ministre de l’Intérieur, le général Mohamed Toumba, la cérémonie a réuni un aréopage de personnalités mêlant figures civiles, militaires et représentants de la société civile. Cette assemblée, reflet de la riche diversité zindéroise, a incarné la volonté collective de faire de la bonne gouvernance et du vivre-ensemble des leviers essentiels de la résilience nationale. De fait, la caravane, par son ambition de sillonner les territoires, se présente comme une entreprise audacieuse visant à insuffler dans le cœur des citoyens les valeurs cardinales de responsabilité, de solidarité et de cohésion.

Par ailleurs, la présidente du FSSP, figure centrale de cet événement, a saisi cette tribune pour réaffirmer l’adhésion indéfectible du Fonds à toute initiative propre à consolider la paix et l’unité nationale. Dans une allocution empreinte de gravité, elle a souligné que la sauvegarde de la patrie ne se limite pas à la défense de ses frontières, mais qu’elle s’enracine dans la capacité des communautés à faire corps face aux défis multiformes. « Chaque pas vers la cohésion sociale est un rempart contre la discorde », a-t-elle proclamé, ses mots résonnant comme un appel vibrant à l’engagement collectif.

Zinder lance la caravane nationale pour la gouvernance et la cohésion sociale, un projet clé pour l'unité du Niger, avec la présence de la présidente du FSSP.La Caravane : un bouclier de résilience pour la nation

L’initiative, baptisée caravane nationale de sensibilisation, ambitionne de tisser un dialogue intime avec les populations, des métropoles aux hameaux les plus reculés. En plaçant la gouvernance et le vivre-ensemble au cœur de son message, elle répond à un impératif pressant : celui de fortifier les fondations d’une nation confrontée à des enjeux sécuritaires, économiques et sociaux cruciaux. À Zinder, ville carrefour où se croisent traditions et aspirations modernes, le lancement de cette caravane revêt une portée symbolique forte, faisant de la région un étendard de l’unité nationale.

Le général Mohamed Toumba, dans son discours inaugural, a salué l’élan fédérateur de cette initiative, insistant sur le rôle des autorités locales comme relais essentiels de cette dynamique. « La gouvernance n’est pas une abstraction réservée aux élites ; elle se vit dans chaque commune, chaque quartier, chaque foyer », a-t-il déclaré, invitant les citoyens à s’approprier pleinement cette démarche. En outre, les représentants de la société civile, quant à eux, ont exprimé leur détermination à accompagner activement la caravane, voyant en elle une opportunité unique de raviver le sens du commun dans un contexte marqué par des fractures potentielles.

Zinder lance la caravane nationale pour la gouvernance et la cohésion sociale, un projet clé pour l'unité du Niger, avec la présence de la présidente du FSSP.Le FSSP : moteur de la solidarité et catalyseur d’espoir

La présence de la présidente du FSSP à cette cérémonie n’est pas anodine. En effet, en s’associant à cette initiative, le Fonds réaffirme sa vocation de catalyseur d’une solidarité active, capable de transcender les clivages et de fédérer les énergies. Depuis sa création, le FSSP s’est imposé comme un acteur incontournable de la cohésion nationale, soutenant des projets qui, des périmètres irrigués aux initiatives d’autonomisation, redonnent espoir aux communautés. À Zinder, la présidente a rappelé avec force que la solidarité n’est pas un vain mot, mais bien une force vive, incarnée dans les gestes concrets qui relient les citoyens à leur patrie.

Cette cérémonie, par sa solennité et son ambition, a également mis en lumière le rôle des Journées des Communes comme espace de dialogue essentiel entre les territoires et les institutions. En choisissant Zinder, ville au riche héritage historique, les organisateurs ont envoyé un message clair : la cohésion sociale se construit dans la proximité, au plus près des réalités locales. Par conséquent, la caravane, en s’élançant depuis ce bastion, promet de porter ce message à travers le Niger, semant les graines d’une gouvernance participative et inclusive.

Un nouveau chapitre : Zinder, symbole d’un Niger uni et engagé 

Alors que les échos de la cérémonie s’estompent dans les ruelles animées de Zinder, l’élan impulsé par ce lancement perdure. La caravane nationale, par son ambition de rallier les cœurs et les esprits, s’inscrit dans une vision où la résilience nationale repose sur l’engagement de tous. La présidente du FSSP, par sa présence a incarné cette conviction profonde : la paix et la cohésion ne se décrètent pas ; elles se construisent, pas à pas, dans le dialogue constant et l’action collective.

En somme,  cette journée, Zinder s’affirme comme le point de départ d’une entreprise qui pourrait redessiner les contours d’un Niger plus uni et plus fort. La caravane, portée par les valeurs fondamentales de gouvernance et de solidarité, s’élance avec une promesse audacieuse : celle de faire des citoyens les véritables artisans d’une patrie résiliente, où chaque voix compte et chaque geste fortifie le lien social. Sous le regard attentif des autorités et l’engagement indéfectible du FSSP, cette initiative marque aussi un jalon historique dans la quête d’un vivre-ensemble durable, dont Zinder, aujourd’hui, est le vibrant étendard et le fier point de départ.

À Zinder, le FSSP ancre la solidarité nationale dans les dynamiques territoriales

Zinder au cœur de la solidarité nationale : quand le FSSP ancre la patrie au quotidien 

Zinder, le 24 juin 2025 – En ce début de semaine, la ville de Zinder, carrefour historique et vibrant du Niger, est devenue le théâtre d’une initiative aussi ambitieuse que fédératrice. Invitée par l’Association des Municipalités du Niger (AMN), la présidente du Comité de gestion du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) effectue un séjour intensif dans la région, du 23 au 25 juin, à l’occasion de la 11ᵉ édition de la Journée des Communes du Niger. Ce déplacement, loin d’être une simple formalité, s’inscrit dans une démarche résolue d’enracinement territorial visant à tisser des liens indissolubles entre le FSSP et les acteurs locaux, véritables gardiens des aspirations communautaires.

Mission stratégique : le FSSP à l’écoute des territoires

La visite de la présidente, accompagnée de son chargé de communication adjoint et de son assistant digital, se veut une ode à la proximité et à l’action concertée. De fait, l’agenda, minutieusement orchestré, reflète la vocation du FSSP à conjuguer dialogue, bilan et projection. Dès le premier jour, une rencontre avec le noyau régional de sensibilisation de Zinder a permis d’explorer les dynamiques locales, ces pulsations intimes qui donnent vie aux territoires. Les échanges, empreints de franchise, ont mis en lumière le rôle stratégique de ces acteurs, véritables hérauts du Fonds dans la diffusion de ses valeurs auprès des populations.

Par ailleurs, le bilan des vingt mois d’existence du Fond, que présentera le FSSP avec une clarté irréprochable, constituera un moment fort de cette mission. La présidente va détailler les ressources mobilisées, les actions entreprises et les résultats obtenus, dressant ainsi  le portrait d’une institution qui, loin des abstractions, s’attache à faire de la solidarité une réalité tangible. Les perspectives esquissées – consolidation des partenariats, amplification des campagnes – vont insuffler une nouvelle énergie, témoignant d’une ambition intacte : faire du FSSP un levier de cohésion nationale.

« Tchéton Kassa » : la solidarité patriotique au pied de votre porte 

L’un des temps forts de ce séjour sera le lancement officiel de l’initiative « Tchéton Kassa, une semaine, un quartier », dont Zinder a l’honneur d’être le berceau pilote. Ce projet, audacieux dans sa simplicité, ambitionne de faire pénétrer l’élan patriotique dans les interstices du tissu social. Concrètement, en investissant les quartiers, lieux de vie et de partage, « Tchéton Kassa » vise à galvaniser les communautés autour des valeurs de solidarité et d’engagement collectif. « Cette campagne n’est pas un slogan, mais un pacte avec les citoyens », a déclaré la présidente, sa voix vibrante d’une conviction communicative. Ainsi, cette initiative, par son ancrage local, promet de transformer chaque ruelle en un espace de dialogue et d’action, redonnant à la solidarité son visage le plus humain.

Communes et FSSP : un partenariat essentiel pour l’avenir du Niger

La mission sera également l’occasion de consolider les liens avec les communes, piliers de la gouvernance locale. Les discussions vont porté sur l’application des mesures relatives à la contribution locale au FSSP, un mécanisme essentiel pour garantir la pérennité des actions du Fonds. En effet, en associant les municipalités à cette dynamique, la présidente réaffirme ainsi  que la sauvegarde de la patrie ne saurait être l’apanage d’une élite, mais qu’elle doit s’appuyer sur une mobilisation collective, enracinée dans les réalités territoriales. Cette approche, à la fois pragmatique et fédératrice,  rencontrera surement  l’assentiment des autorités locales, conscientes de leur rôle crucial dans cette entreprise collective.

Sur le terrain : le FSSP au contact des projets qui transforment le Niger

Au-delà des échanges prévues , la présidente s’est rendue sur le terrain pour visiter des projets structurants à Zinder et Maradi, témoins de la vitalité économique et sociale de la région. Les périmètres de grande irrigation, symboles d’une agriculture résiliente et les initiatives privées en faveur du développement local, ont été salués comme des exemples éloquents de ce que la solidarité, lorsqu’elle est bien canalisée, peut accomplir. De plus, ces visites, minutieusement documentées par l’équipe de communication du FSSP, incarnent la volonté de valoriser les efforts des communautés et de les ériger en modèles pour le reste du pays.

La présidente du FSSP ancre la solidarité nationale à Zinder, lançant l'initiative "Tchéton Kassa" pour tisser des liens forts avec les communautés locales du Niger.Visibilité et unité : la stratégie numérique du FSSP

La présence du chargé de communication adjoint et de l’assistant digital illustre l’engagement du FSSP à rendre ses actions lisibles et inspirantes. À travers une couverture soignée, mêlant récits, images et témoignages, l’équipe s’attache à faire rayonner l’esprit du Fonds bien au-delà des frontières de Zinder. Cette démarche, qui conjugue modernité et authenticité, vise à faire de chaque initiative un jalon dans la construction d’une nation unie, où chaque citoyen se reconnaît dans l’élan collectif.

Zinder : le berceau d’une solidarité qui sème l’espoir

En choisissant Zinder comme théâtre de cette mission, la présidente a envoyé un message clair : aucun territoire, si reculé soit-il, ne sera oublié dans la quête d’une patrie plus solidaire. Cette ville, riche de son histoire et de sa diversité, s’impose comme un laboratoire idéal pour expérimenter des initiatives telles que « Tchéton Kassa ». Les acteurs locaux, galvanisés par cette visite, se savent désormais investis d’une mission : faire vivre la solidarité dans chaque quartier, chaque foyer.

Un Niger uni : Zinder, étape clé d’une solidarité renforcée 

En conclusion, ce séjour à Zinder marquera une étape décisive dans la trajectoire du FSSP. Par son dialogue avec les acteurs locaux, son engagement dans des projets concrets et son ambition de proximité, le Fonds réaffirme sa vocation : être le catalyseur d’une nation où la solidarité n’est pas un vœu pieux, mais une réalité vécue et palpable. Alors que la présidente et son équipe poursuivent leur mission, les échos de Zinder résonnent comme une puissante promesse : celle d’un Niger uni, fort et résilient, porté par l’engagement inébranlable de ses territoires et de ses citoyens. C’est l’aube d’une nouvelle ère pour la solidarité nationale !

Trump décroche un cessez-le-feu « Total » entre Israël et l’Iran

Un cessez-le-feu historique scelle la fin de la « Guerre de 12 jours » entre Israël et l’Iran

Washington, le 24 juin 2025 – Dans un coup de théâtre diplomatique audacieux, le président des États-Unis, Donald J. Trump, a annoncé, le 23 juin à 18 h 02 heure de l’Est, la conclusion d’un accord de cessez-le-feu « complet et total » entre Israël et l’Iran. Cette annonce met un terme à ce qu’il a baptisé la « Guerre de 12 jours », un conflit qui menaçait d’embraser tout le Moyen-Orient. Diffusée avec l’emphase caractéristique du président sur sa plateforme Truth Social, cette proclamation marque un tournant décisif et réaffirme l’ambition de pacificateur de Trump dans un contexte où les tensions régionales semblaient promises à une escalade inexorable.

Moyen-Orient : la chorégraphie secrète d’un apaisement sous tension

L’accord, tel que détaillé par le président, repose sur une architecture savamment orchestrée. Premièrement, à compter de minuit (heure de l’Est) le 24 juin, l’Iran s’engage à suspendre toute action militaire pour une période de douze heures. Ensuite, Israël observera une cessation équivalente des hostilités à partir de la douzième heure. Par conséquent, à l’issue de ces vingt-quatre heures, le conflit, surnommé la « Guerre de 12 jours », sera officiellement déclaré clos, à condition que chaque partie honore son engagement de paix et de respect mutuel. « En supposant que tout se déroule comme prévu, ce qui sera le cas », a assuré le président Trump avec une confiance inébranlable, saluant « l’endurance, le courage et l’intelligence » des deux nations.

Ce cessez-le-feu intervient après une séquence d’événements tumultueux. En effet, des frappes israéliennes sur des sites nucléaires iraniens le 13 juin ont été suivies d’une riposte iranienne contre une base américaine à Al Udeid, au Qatar, le 23 juin. Ces échanges, qui ont coûté la vie à plusieurs civils, dont quatre à Beersheba en Israël, ont exacerbé les craintes d’un conflit régional prolongé. Néanmoins, dans un tour de force diplomatique, le président Trump, appuyé par des intermédiaires qataris, a su canaliser les volontés belligérantes vers un horizon de conciliation.

Coulisses de la paix : une négociation haletante au sommet

L’annonce du président, bien que saluée comme un jalon vers la paix, n’a pas été exempte de complexités. Selon des sources proches de la Maison Blanche, les négociations ont mobilisé un ballet intense de communications, impliquant le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, des responsables iraniens et l’émir du Qatar, Tamim al-Thani, dont le rôle de médiateur a été déterminant. De plus, le vice-président J.D. Vance, le secrétaire d’État Marco Rubio et l’envoyé spécial Steve Witkoff ont également joué un rôle clé, relayant les propositions américaines à travers des canaux directs et indirects.

Cependant, des incertitudes ont plané dans les heures précédant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu. L’Iran, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a initialement nié l’existence d’un accord formel, tout en signalant une suspension des opérations militaires à 4h00 heure de Téhéran (20h30 HE, le 23 juin), à condition qu’ Israël cesse ses frappes. De son côté, Israël, tout en acceptant le principe du cessez-le-feu, a averti qu’il répondrait « avec force » à toute violation, notamment après avoir détecté des tirs de missiles iraniens peu avant l’heure convenue.

Le pari de Trump : une victoire éclatante ou une paix fragile ?

Le président Trump, dans son style flamboyant, a présenté cet accord comme une victoire éclatante, non seulement pour Israël et l’Iran, mais aussi pour le monde entier. « Cette guerre aurait pu durer des années et détruire tout le Moyen-Orient, mais elle ne l’a pas fait et ne le fera jamais ! », a-t-il proclamé, invoquant une vision d’un avenir de « paix, amour et prospérité » pour les deux nations. Cette rhétorique, teintée d’un optimisme messianique, reflète la conviction du président que sa « force pour la paix » – une doctrine alliant fermeté militaire et audace diplomatique – a permis d’éviter une catastrophe régionale.

Toutefois, des voix dissonantes se sont élevées. Certains analystes, comme Omar Rahman d’Al Jazeera, ont pointé du doigt les ambiguïtés de l’accord, notamment l’absence de confirmation immédiate de la part des deux belligérants et le risque d’une reprise des hostilités en cas de violation. Par ailleurs, d’autres, parmi les démocrates au Congrès américain, ont exprimé des réserves sur l’absence d’autorisation préalable du Capitole pour les frappes américaines sur les sites nucléaires iraniens, qui ont précipité l’escalade.

L’avenir du Moyen-Orient : Entre espoir et incertitude

L’issue de ce cessez-le-feu reste suspendue à la bonne foi des parties. Israël, par la voix de son Premier ministre Benjamin Netanyahu, a revendiqué la réalisation de ses objectifs militaires, notamment la neutralisation de la menace nucléaire iranienne, tout en remerciant le président Trump pour son soutien indéfectible. Inversement, l’Iran, de son côté, a présenté l’accord comme une capitulation de sa part, imposée à « l’ennemi sioniste ».

En somme, en ce 24 juin 2025, le monde retient son souffle. L’initiative lancée par Donald J. Trump, si elle tient ses promesses, pourrait redessiner les contours d’un Moyen-Orient apaisé. À Washington, l’aspiration à la paix — qu’elle naisse dans les salles de négociation ou sur les champs de bataille — demeure une quête universelle, portée par des acteurs déterminés à faire triompher la concorde sur la discorde. Le défi est immense et le chemin vers une paix durable reste semé d’incertitudes.

1xBet Casino : les meilleurs jeux de hasard, les top tournois, des bonus généreux et des gains substantiels !

La marque de portée mondiale 1xBet offre aux fans de jeux d’argent une large sélection de jeux de tous les genres populaires, des tournois passionnants avec des prize pools solides, ainsi que des promotions régulières et des bonus généreux. Dans la section 1xBet Casino, vous trouverez tout ce dont vous avez besoin pour vous détendre, vous divertir et gagner !

 

Large choix de machines à sous

 

1xBet Casino contient des milliers de machines à sous – des succès éprouvés aux dernières innovations. Parmi les nombreux jeux, vous trouverez :

 

  • Crystal
  • Crash
  • Under and Over 7
  • Western slot
  • Indian Poker
  • Apple Of Fortune
  • Solitaire
  • 21
  • Vampire Curse
  • Burning Hot.

 

Pour permettre au joueur de choisir plus facilement une machine à sous à son goût, les jeux sont regroupés en catégories – par exemple, populaires, nouveaux ou exclusifs. La section dispose également d’un système de filtres pratiques qui vous permet de sélectionner des machines à sous par fournisseur (Evolution, Spinomenal, 3 Oaks, etc.), mécanique (Cluster, Cascade, Crash, etc.), thème (Afrique) et autres paramètres. Et les machines à sous les plus appréciées peuvent être ajoutées aux favoris – ils attendront alors le joueur au tout début de la section.

 

Casino en direct

 

La section Casino en direct vous permet de vous immerger dans l’ambiance des casinos d’élite de Monte Carlo et de Las Vegas sans quitter votre domicile. Choisissez le poker, le blackjack, le baccarat, la roulette ou tout autre jeu et nos croupiers se feront un plaisir de jouer avec vous en temps réel. N’oubliez pas d’essayer notre Casino en direct, car c’est un tout nouveau niveau de divertissement de jeu !

 

Tournois, promotions et bonus

 

1xBet Casino organise régulièrement des tournois alléchants avec des prize pools solides. Les mécanismes de chaque tournoi étant différents, l’essence reste la même : les joueurs gagnent des points pour leur activité dans les jeux sélectionnés. Le nombre et le montant des paris, les multiplicateurs et les gains reçus, ainsi que d’autres indicateurs sont pris en compte. Plus le participant est actif, plus il monte dans le classement. À l’étape finale du tournoi, les joueurs reçoivent leur part méritée de la cagnotte.

 

Pour les amateurs de jeux d’argent, 1xBet propose de nombreux bonus :

 

  • Pack de bienvenue – jusqu’à 1000000 XOF + 150 FS sur les quatre premiers dépôts pour les nouveaux joueurs ;
  • Cashback VIP – programme de fidélité avec remise en argent sur les paris au casino ;
  • La fidélité vaut son pesant d’or – jusqu’à 100 FS + 50 % de bonus sur le dixième dépôt pour les machines à sous.

 

Afin de ne pas manquer les nouvelles promotions et tournois avantageux de 1xBet Casino, assurez-vous de vous abonner aux réseaux sociaux du bookmaker !

 

Si vous aimez les jeux d’argent, 1xBet Casino est exactement ce dont vous avez besoin. Vous trouverez ici tout pour un repos de qualité et des gains rondelets : une large panoplie de machines à sous populaires, des tournois de premier ordre avec des prix séduisants et des offres généreuses régulières pour les joueurs !

 

Zinder : le Niger mise sur ses communes pour refonder la République

Zinder, phare du renouveau : La 11ᵉ Journée des Communes du Niger consacre la refondation locale

Ce 23 juin 2025, l’amphithéâtre André Salifou de Zinder, vibrant d’une solennité rare, s’est métamorphosé en un véritable creuset d’ambitions pour le Niger. Sous l’égide du Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République et le parrainage prestigieux du Général de Division Mohamed Toumba, Ministre d’État à l’Intérieur, la 11ᵉ Journée des Communes du Niger a été inaugurée avec éclat, portée par un souffle puissant de refondation nationale. Par ailleurs, ce rendez-vous majeur, orchestré avec brio par l’Association des Municipalités du Niger (AMN) sous la houlette du Colonel Boubacar Soumana Garanké, rassemble jusqu’au 25 juin les artisans d’une gouvernance locale réinventée. Dans le Damagaram, où l’histoire et l’avenir se conjuguent avec force, cette édition s’érige en un manifeste vibrant pour des collectivités résilientes, au service d’un Niger souverain et prospère.

La 11e Journée des Communes du Niger s'ouvre à Zinder pour refonder la gouvernance locale, avec un accent sur la vertu, l'autonomie et la solidarité face aux défis du Sahel.Gouvernance locale : un serment de renouveau pour le Niger

Sous le thème percutant « Gouvernance locale dans le contexte de Refondation de la République », cette 11ᵉ édition s’inscrit pleinement dans le sillage des bouleversements profonds du 26 juillet 2023, qui ont vu le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) redessiner avec audace les contours de l’État. À ce titre, le Général Toumba, dans une allocution incandescente, a enjoint les 215 administrateurs délégués – dont 15 femmes – à incarner une gestion intègre et exemplaire, répondant ainsi aux aspirations profondes des citoyens.

« La commune est le pouls de la nation ; son renouveau est notre impératif absolu », a-t-il proclamé avec force, soulignant l’urgence d’une décentralisation effective et efficiente. En outre, le Colonel Garanké, président de l’AMN, a quant à lui vanté un « creuset d’échanges » unique où les 255 communes du Niger, qu’elles soient rurales ou urbaines, forgeront des solutions durables face aux défis cruciaux que sont la sécurité, les changements climatiques et les enjeux économiques.

Zinder, capitale historique : épicentre d’une solidarité régionale

Le choix de Zinder, capitale historique du Niger, n’est pas anodin et revêt une forte symbolique. Le Gouverneur Massalatchi Mahamane Sani, hôte de l’événement, a salué l’hospitalité légendaire du Damagaram, magnifiée par la présence du Sultan Aboubacar Sanda Oumarou. La cérémonie d’ouverture, ponctuée par une visite immersive des stands célébrant l’artisanat local et les produits du terroir, a révélé la richesse et la diversité des terroirs nigériens. Par ailleurs, depuis 2024, l’AMN, forte de ses plaidoyers incessants, a obtenu une hausse significative de 20 % des transferts financiers aux communes, selon les données du ministère de l’Intérieur. Cette augmentation constitue un levier puissant pour stimuler l’économie locale. En plus, cette vitrine exceptionnelle, où se côtoient les délégations de l’Alliance des États du Sahel (AES) et des partenaires clés comme la Banque mondiale, incarne une solidarité régionale essentielle face aux crises sahéliennes complexes.

La 11e Journée des Communes du Niger s'ouvre à Zinder pour refonder la gouvernance locale, avec un accent sur la vertu, l'autonomie et la solidarité face aux défis du Sahel.Communes du Niger : une feuille de route ambitieuse pour l’avenir

Au-delà des fastes de la cérémonie d’ouverture, ces trois jours de réflexion intense s’attaquent à des enjeux cruciaux : la sécurité des populations, le renforcement de la cohésion sociale et l’autonomie financière indispensable des communes. La suppression de l’échelon régional, une décision majeure prise en 2024, impose une réorganisation audacieuse, confiée aux administrateurs délégués. Ces derniers, spécialement formés en gestion financière par l’Agence Nationale de Financement des Collectivités Territoriales (ANFICT), sont désormais chargés de rationaliser les ressources, comme l’exige le Plan de Développement Économique et Social (PDES) 2022-2026. De plus, les débats, enrichis par les expériences du Mali et du Burkina Faso au sein de l’AES, exploreront des modèles innovants d’intercommunalité pour mutualiser les efforts face à l’insécurité grandissante, qui a malheureusement déplacé 377 000 personnes au Niger en 2024, selon les chiffres alarmants de l’UNHCR.

L’innovation au cœur des communes : un appel à l’unité pour le Sahel

Le Sultan de Zinder, dans une adresse empreinte de gravité et de sagesse, a conjuré les élus locaux à « tisser l’unité dans la diversité », un écho puissant aux aspirations de la Charte nationale de la Refondation adoptée en 2023.  Par ailleurs, les partenaires au développement, dont l’UNDP et la GIZ, ont réaffirmé leur soutien indéfectible à la digitalisation des services communaux, un chantier d’envergure amorcé avec la plateforme e-Commune, déjà déployée dans 50 municipalités en 2025. « Chaque commune doit devenir un laboratoire de solutions innovantes », a déclaré un représentant de l’AES, vantant l’approche nigérienne comme un modèle inspirant pour l’ensemble du Sahel. Les ateliers thématiques, animés avec expertise dans l’amphithéâtre Salifou, promettent aussi de sculpter une gouvernance locale agile et résiliente, capable de répondre efficacement aux aléas climatiques et aux tensions sociales.

La 11e Journée des Communes du Niger s'ouvre à Zinder pour refonder la gouvernance locale, avec un accent sur la vertu, l'autonomie et la solidarité face aux défis du Sahel.Un Niger enraciné : l’avenir s’écrit dans les communes

En clôture de cette cérémonie emblématique, le Général Toumba a esquissé une vision audacieuse : celle de communes autonomes et fortes, véritables piliers d’un État refondé où la souveraineté s’incarne concrètement dans chaque village et chaque quartier. Cette 11ᵉ Journée des Communes, par sa portée stratégique et son ancrage populaire, transcende l’événementiel pour devenir un jalon historique essentiel. À Zinder, où les vents du Sahel murmurent des promesses de renouveau, le Niger forge un avenir où la gouvernance locale, tel un baobab millénaire, enracine profondément la République dans le cœur de ses citoyens. En conclusion, que ces trois jours de réflexion et d’échanges intenses illuminent le chemin d’une nation résiliente, unie et résolument prospère !

Agadez sous tension : Tekazamte, le quartier de tous les dangers

Agadez, carrefour sous tension : Les flammes de l’intolérance ravagent Tekazamte

Le 18 juin dernier, le quartier de Tekazamte, à l’est d’Agadez, a été le théâtre d’un embrasement d’une fureur aussi subite que dévastatrice. Ce qui n’était qu’une étincelle – une accusation erronée contre un jeune autochtone, soupçonné d’avoir incendié deux abris de fortune dans le camp informel de « Gadon Kaya » – a malheureusement dégénéré en un brasier de violence incontrôlée. Le lendemain, des affrontements à l’arme blanche entre riverains excédés et migrants nigérians ont laissé un lourd bilan : trois blessés, dont deux dans un état critique, et pas moins de 175 cases précaires réduites en cendres. Dans cette ville-carrefour névralgique du Sahel, où les flux migratoires tissent une trame humaine complexe, Agadez révèle, une fois encore, les fractures douloureuses d’une coexistence sous haute tension.

Agadez est secouée par de violents affrontements entre habitants et migrants, révélant les tensions migratoires croissantes et les défis de la coexistence dans cette ville-carrefour du Sahel.Gadon Kaya : un ghetto à ciel ouvert, une véritable poudrière

Aux confins de Tekazamte, le ghetto de « Gadon Kaya » abrite plus de 1 600 migrants nigérians, des âmes errantes vivant malheureusement en marge du centre de transit de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Ces exilés, arrivés par leurs propres moyens, échappent à l’assistance humanitaire et s’installent dans des conditions d’une précarité abyssale. De ce fait, leur proximité avec le centre OIM, niché au cœur d’Agadez, attise depuis des années l’ire grandissante des habitants, qui imputent à ces ombres vagabondes des vols, des agressions et des actes plus graves. À titre d’illustration, en 2024, l’ONG Alarme Phone Sahara recensait déjà 31 400 migrants refoulés d’Algérie vers Agadez, un flux incessant qui, loin de s’apaiser, ne fait qu’exacerber les rancœurs locales.

Chaos à Tekazamte : la riposte implacable des autorités

Face à l’embrasement et au chaos, les autorités ont déployé une réponse d’une rigueur implacable. Les forces de sécurité, promptes à juguler l’escalade, ont rapidement interpellé un migrant désigné comme instigateur des violences. Dans la foulée, pas moins de 1 573 Nigérians en situation irrégulière ont été regroupés et transférés vers le centre régional des refoulés d’Algérie, une mesure expéditive visant à désamorcer la crise sur-le-champ. Par ailleurs, une réunion d’urgence cruciale, présidée le 20 juin par le commandant Assarid Almoustapha, a mobilisé l’OIM, le HCR et des ONG essentielles comme UNICEF et Médecins du Monde. Des kits alimentaires et une aide médicale d’urgence ont été distribués, tandis qu’un ultimatum de 72 heures a été lancé aux organisations humanitaires pour proposer un plan de rapatriement accéléré et efficace.

Le centre OIM sur la sellette : Agadez réclame son déménagement

Le centre de transit de l’OIM, malheureusement implanté au cœur d’Agadez, cristallise l’ensemble des griefs et des frustrations des habitants. Accusé d’être un véritable aimant à l’insécurité, il est devenu le symbole même d’une cohabitation fracturée et difficile. Les riverains, exaspérés par les délits qu’ils associent aux migrants, réclament depuis longtemps son exil hors des murs urbains. En réponse à cette clameur populaire, les autorités nationales ont finalement décrété sa délocalisation vers un terrain situé à l’ouest, sur la route de Tahoua. Cependant, ce déménagement, s’il apaise incontestablement les tensions locales, ne résout pas le dilemme fondamental : Agadez, plaque tournante incontournable des migrations sahéliennes, reste un carrefour où se heurtent inlassablement rêves d’ailleurs et réalités hostiles.

Le Sahel, une poudrière migratoire : les violences s’exportent

Les violences survenues à Tekazamte ne constituent pas un épiphénomène isolé, mais le symptôme alarmant d’un malaise profond qui mine la région. Agadez, autrefois carrefour commercial prospère et paisible, ploie désormais sous le fardeau de son rôle de corridor migratoire. Les refoulements massifs et souvent brutaux en provenance d’Algérie — dénoncés avec force par Alarme Phone Sahara pour leur caractère inhumain — saturent les centres d’accueil et épuisent des ressources locales déjà limitées. Cette vague de refoulements alimente par ailleurs un cycle infernal de désespoir et de défiance, où des migrants livrés à eux-mêmes deviennent les boucs émissaires d’une ville sous pression extrême.

Agadez est secouée par de violents affrontements entre habitants et migrants, révélant les tensions migratoires croissantes et les défis de la coexistence dans cette ville-carrefour du Sahel.

Tekazamte : un appel urgent à l’apaisement et à la réconciliation

Dans ce tumulte grandissant, la voix de la raison peine à se faire entendre clairement. Le commandant Almoustapha, en instaurant un comité de suivi rigoureux, cherche désespérément à canaliser les tensions et à prévenir de nouvelles flambées de violence. Toutefois, la solution ne saurait être uniquement répressive. Les humanitaires, sous la contrainte d’un calendrier serré et exigeant, doivent redoubler d’efforts pour accompagner les rapatriements tout en préservant impérativement la dignité des exilés. Agadez, à la croisée des routes ancestrales et des destins humains, doit impérativement réinventer sa coexistence. Car, dans ce désert impitoyable où chaque pas est un défi, l’intolérance est un luxe que nul ne peut se permettre. Que Tekazamte, marqué à jamais par les cendres de la violence, devienne enfin le théâtre d’une réconciliation durable, et non celui d’une guerre sans fin.

Fonction Publique : Niamey sonne le réveil de l’administration

Niamey, creuset de la refondation : la 31ᵉ Journée Africaine de la Fonction Publique exalte l’administration nigérienne

Aujourd’hui, 23 juin 2025, Niamey s’est drapée d’une ferveur exceptionnelle pour marquer la 31ème Journée Africaine de la Fonction Publique. Le Niger, en parfaite synergie avec l’Union Africaine, a saisi ce rendez-vous continental crucial pour réaffirmer son engagement inébranlable envers une administration publique audacieuse et renouvelée. En effet, sous la houlette éclairée de Madame Aïssatou Abdoulaye Tondi, Ministre de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi, cette commémoration, placée sous le thème percutant « Justice pour les Africains et les Personnes d’Ascendance par le biais des Réparations », s’est transformée en un vibrant manifeste. L’objectif est de bâtir une gouvernance publique résolument ancrée dans les piliers de l’équité, de la transparence et de l’excellence. Dans un Niger en pleine refondation, cette journée dépasse le simple cadre protocolaire : elle se profile comme un phare, guidant une transformation profonde et essentielle pour l’avenir de la nation.

Un serment de justice : quand l’administration se réinvente

Dans son allocution empreinte de détermination, Mme Aïssatou Abdoulaye Tondi a insufflé une vision audacieuse : celle d’une administration qui, telle un pont solide, restaure la confiance essentielle entre l’État et ses citoyens. À cet égard, « Cette journée doit être un catalyseur, un moment où l’administration se réinvente pour incarner la justice et l’inclusion », a-t-elle proclamé avec force. De surcroît, elle a souligné que le thème de cette édition interpelle chaque fonctionnaire à promouvoir un service public empreint d’éthique et de professionnalisme irréprochable. Ce vœu ardent s’aligne parfaitement avec les aspirations du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) qui, depuis juillet 2023, œuvre sans relâche à purger l’administration de ses tares historiques – lenteur, opacité et favoritisme – pour en faire un levier puissant de développement durable.*

Révolution numérique : la fonction publique nigérienne entre dans l’ère numérique

Le Niger, sous l’impulsion résolue de la ministre, accélère sa mue numérique, un chantier titanesque visant à dématérialiser l’intégralité des procédures administratives. Depuis 2024, la mise en œuvre de plateformes digitales innovantes a permis de réduire drastiquement les délais de traitement des dossiers, notamment pour les retraites et les recrutements, un progrès unanimement salué par les syndicats lors de la session du Conseil Consultatif de la Fonction Publique en mai 2025. « La digitalisation n’est pas une mode, mais une nécessité absolue pour une administration réactive et performante », a martelé Mme Tondi, citant l’exemple éloquent de la gestion des ressources humaines, désormais centralisée pour optimiser l’adéquation poste-profil. En effet, en 2024, pas moins de 15 000 agents ont bénéficié de formations numériques spécialisées, marquant un pas décisif vers une fonction publique agile et pleinement inclusive.

Équité et parité : l’administration nigérienne au service de tous

Le thème central de cette journée, axé sur les réparations, résonne profondément avec les défis structurels auxquels est confronté le Niger : les inégalités criantes d’accès à l’emploi, la sous-représentation persistante des femmes dans les postes stratégiques et la marginalisation des zones rurales. Dans ce contexte, Mme Tondi, forte de son engagement indéfectible pour le leadership féminin, a réitéré son plaidoyer passionné pour une fonction publique exemplaire en matière de parité. Les efforts concertés du ministère, soutenus activement par la Banque mondiale via le Projet Emploi des Jeunes et Inclusion Productive (PEJIP), ont permis à 48 000 jeunes, dont 60 % de femmes, d’accéder à des opportunités économiques concrètes. Ce modèle vertueux, qui conjugue avec succès justice sociale et performance, inspire une administration résolument tournée vers les plus vulnérables.

Dialogue social : le moteur d’une cohésion nationale renforcée

La ministre, véritable architecte d’un dialogue social revitalisé, a saisi cette tribune d’exception pour saluer chaleureusement les partenaires syndicaux. À ce propos, leurs doléances, précieusement recueillies lors de la Fête du Travail 2025, ont nourri des réformes majeures, telle la revalorisation significative du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG). La première session du Conseil National du Travail, tenue en avril 2025, a harmonisé les âges de retraite entre les secteurs public et privé, marquant un jalon essentiel vers une plus grande équité. « Une administration forte naît d’un dialogue franc et constructif », a-t-elle affirmé avec conviction, invitant ainsi l’ensemble des agents à s’investir pleinement dans la mise en œuvre du Programme de Résilience pour la Sauvegarde de la Patrie. Ce programme ambitieux vise à réduire les inégalités et à fortifier la cohésion nationale, socle d’un développement harmonieux.

Un nouveau cap pour le Niger : l’administration au cœur du renouveau

En ce 31ᵉ anniversaire mémorable, Niamey n’a pas simplement célébré une journée ; elle a gravé dans le marbre une promesse audacieuse. Celle d’une fonction publique qui, par sa rigueur exemplaire et son humanité profonde, transcende les défis inhérents à un pays en pleine transition. Sous le leadership inspirant de Mme Aïssatou Abdoulaye Tondi, le Niger esquisse avec détermination les contours d’une administration où chaque acte, chaque dossier traité et chaque interaction avec un citoyen est un pas résolu vers la justice et la prospérité partagée. En définitive, que cette journée, tel un phare lumineux dans l’immensité du Sahel, illumine le chemin d’un renouveau durable, forgeant ainsi un Niger souverain, uni et résolument tourné vers un avenir prometteur.

Agadez : la sentinelle du désert s’embrase contre les narcotrafiquants

Agadez, rempart du Sahel : Une saisie d’ampleur ébranle les réseaux de narcotrafic

La ville d’Agadez, cœur battant du désert nigérien, s’affirme comme un bouclier inébranlable face à l’hydre du trafic de stupéfiants. Sous l’œil vigilant du Général de Division Ibra Boulama Issa, Gouverneur de la région, trois narcotrafiquants, dont deux Nigérians liés à un cartel international de cocaïne et un convoyeur de cannabis, ont été présentés au public le vendredi 20 juin 2025 lors d’une cérémonie symbolique. Cette opération coup de poing, fruit d’une collaboration exemplaire entre la gendarmerie mobile et la police municipale d’Agadez, a permis la saisie spectaculaire de 170 boulettes de cocaïne, ainsi que de 68 boules et 5 briques de cannabis, dont la valeur marchande astronomique atteint près de 300 millions de francs CFA. Dans ce carrefour sahélien où les routes de la drogue croisent celles des destins brisés, le Niger affiche une détermination sans faille, annonçant une guerre totale contre ce fléau.

Agadez se dresse en rempart contre le trafic de drogue : une opération spectaculaire saisit 300 millions de FCFA de cocaïne et cannabis, marquant la détermination implacable du Niger face aux cartels internationaux.Coup de filet au cœur du Ténéré : 300 millions de FCFA de drogue saisis

L’opération, d’une minutie chirurgicale, a vu les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) tendre un piège implacable aux trafiquants. En effet, sous la houlette du Contrôleur Général Boureima Toungaye, Directeur Régional de la Police Nationale et du Commissaire Kabirou Idi Kantou, chef de l’antenne régionale de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS), les gendarmes et policiers ont démantelé un réseau sophistiqué opérant dans l’ombre du Ténéré. De plus, la saisie, d’une envergure rare, illustre l’audace croissante des cartels qui exploitent Agadez comme un nœud stratégique entre l’Amérique latine, l’Europe et les marchés subsahariens. À titre de rappel, en 2022, la saisie record de 200 kg de cocaïne dans le véhicule d’un maire local avait déjà révélé l’ampleur du fléau ; cette nouvelle opération enfonce le clou d’une lutte sans répit.

Un serment solennel : le Niger déclare la guerre aux narcotrafiquants

La présentation des prévenus face aux dignitaires réunis – le Gouverneur Ibra Boulama Issa, le Procureur Issaka Yacouba et le Sultan de l’Aïr, Son Altesse Oumarou Ibrahim Oumarou – n’était pas un simple acte protocolaire. Au contraire, elle incarnait un serment : celui d’un Niger résolu à purger ses terres des narcotrafiquants. Ainsi, le Général Issa, dans une allocution vibrante, a rendu un hommage appuyé aux FDS, saluant leur bravoure face à des réseaux armés et insaisissables. « Chaque gramme saisi est une victoire pour notre jeunesse », a-t-il déclaré, exhortant les citoyens à devenir les yeux et les oreilles des forces de l’ordre. Par ailleurs, le Sultan, gardien des traditions, a quant à lui invoqué l’unité communautaire pour contrer ce « poison qui ronge les âmes ».

Agadez, nouvelle plaque tournante de la drogue : l’alerte rouge au Sahel

Agadez, tristement surnommée la « Colombienne du Niger » pour son rôle de plaque tournante, est un théâtre où se jouent des drames aux ramifications globales. D’après l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC), en 2024, on a rapporté une explosion des saisies dans le Sahel, avec 1 466 kg de cocaïne interceptés en 2022, contre 13 kg en moyenne entre 2013 et 2020. En conséquence, les narcotrafiquants, souvent en cheville avec des groupes armés, profitent de l’immensité du désert et de la porosité des frontières pour acheminer leurs cargaisons. Le cannabis, cultivé au Ghana ou au Nigeria, et la cocaïne, importée d’Amérique latine, convergent à Agadez avant de s’éparpiller vers l’Europe ou les marchés locaux, où le crack gagne du terrain, comme le souligne l’observatrice Lucia Bird.

Tolérance zéro : le Niger contre-attaque face au trafic

Face à cette hydre tentaculaire, le Niger ne plie pas. En effet, l’OCRTIS, renforcé par des formations internationales dispensées par l’Initiative de Coopération Antidrogue en Afrique de l’Ouest (WACI), multiplie les coups d’éclat. De ce fait, en octobre 2024, 76 kg de cannabis et 1,92 million de comprimés de Kaptagon avaient déjà été incinérés à Agadez, sous la présidence du Général Issa. Cette dernière saisie, d’une valeur de 300 millions de FCFA, s’inscrit dans une stratégie de tolérance zéro, soutenue avec fermeté par le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP). En outre, le Procureur Yacouba, dans un élan d’autorité, a promis des sanctions exemplaires, tandis que des partenariats solides avec Interpol et l’ONUDC renforcent la traque des réseaux transnationaux.

Agadez se dresse en rempart contre le trafic de drogue : une opération spectaculaire saisit 300 millions de FCFA de cocaïne et cannabis, marquant la détermination implacable du Niger face aux cartels internationaux.Citoyens, soyez le rempart : Agadez lance un appel à la vigilance collective

Au-delà des interpellations, cette opération est un cri d’alarme retentissant. Le Gouverneur, le Procureur et le Sultan ont conjointement conjuré la population de se dresser comme un rempart, dénonçant avec vigueur les complicités locales qui prospèrent sur la corruption. « La drogue n’est pas seulement un crime ; c’est une trahison de notre avenir », a tonné Issaka Yacouba, appelant à une mobilisation sans faille. Dans une région où le chômage, touchant 60 % des jeunes selon la Banque mondiale, fait malheureusement le lit des trafics, le Niger mise sur l’éducation et l’emploi pour tarir la source de ce fléau. En conclusion, que cette saisie, tel un jalon inoubliable dans le sable, marque le début d’une ère où Agadez, libérée des chaînes du narcotrafic, redevienne un carrefour de paix et de prospérité.