septembre 2025 - Journal du Niger

Agadez : le Gouverneur veille sur la rentrée scolaire 2025-2026

À Agadez, le Gouverneur Ibra Boulama Issa veille sur la rentrée scolaire : une tournée bienveillante qui transforme les établissements en bastions d’espoir et d’inclusion, sous l’impulsion du Président Tiani.

Agadez, 30 septembre 2025 – Au cœur du désert touareg, où les dunes murmurent des promesses d’horizons vastes, Agadez s’éveille à la cadence joyeuse de la rentrée scolaire 2025-2026. Hier  lundi, le Général de Division Ibra Boulama Issa, Gouverneur de la région, a sillonné avec une attention paternelle les établissements scolaires et les services de la Direction Régionale de l’Éducation, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (DREN/A/PLN).

Accompagné d’une forte délégation, cette visite est un geste d’engagement profond, un phare tendu vers les enfants d’Agadez pour que l’école devienne, plus que jamais, un sanctuaire d’opportunités et d’espoir partagé.

À Agadez, le Gouverneur Ibra Boulama Issa a effectué une visite des établissements scolaires et de la DREN/A/PLN pour évaluer les préparatifs de la rentrée 2025-2026.

Une vision présidentielle au service de l’inclusion

En effet, le Gouverneur a initié ce déplacement dans un objectif clair : constater de visu l’état d’avancement des préparatifs pour la nouvelle année scolaire. Cette démarche s’inscrit dans la vision inclusive de Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République et Chef de l’État, qui considère que l’éducation est un pilier central pour le développement de la région. Elle vise à assurer que chaque enfant au Niger, qu’il soit issu des zones urbaines ou des communautés nomades, ait un accès équitable à l’éducation.

À Agadez, le Gouverneur Ibra Boulama Issa a effectué une visite des établissements scolaires et de la DREN/A/PLN pour évaluer les préparatifs de la rentrée 2025-2026.

Une mobilisation exemplaire à chaque étape

 

Parallèlement à cet élan général, les visites se sont succédé pour évaluer chaque aspect clé de la préparation de la rentrée.

  • Aux magasins de la Direction Régionale de l’Éducation Nationale (DREN/A/PLN), le Gouverneur a salué la disponibilité des fournitures scolaires, assurant ainsi que les élèves disposeront du matériel nécessaire.
  • Au Collège d’Enseignement Secondaire (CES) Maï Manga Oumara, il s’est assuré de la présence du personnel enseignant, dont la mobilisation est essentielle pour le bon déroulement de l’année.
  • De plus, à l’école Dagamanat 4, il a suivi le processus de récupération des enfants déscolarisés via les classes passerelles, soulignant l’importance de ce dispositif pour l’inclusion.
  • Enfin, à l’école La Joie 1, il a apprécié l’application du décret présidentiel réduisant de 20 % les frais de scolarité dans les établissements privés, une mesure visant à garantir un accès équitable à l’éducation pour toutes les familles.

Ainsi, chaque étape a mis en évidence une mobilisation collective, traduisant une volonté politique ferme de faire de l’éducation un moteur d’opportunités.

Une présence et une disponibilité qui inspirent la confiance

 

Par ailleurs, ces haltes ont mis en lumière une réalité : la disponibilité des ressources et l’assiduité des enseignants. À chacune de ces étapes, le Gouverneur n’a pas masqué son contentement, exprimant une joie communicative qui touche et rallie. « C’est avec un cœur reconnaissant que je constate cette mobilisation exemplaire », a-t-il confié, sa voix résonnant. Cette satisfaction est le reflet d’un engagement gouvernemental qui, par sa proximité, tisse des liens de confiance entre l’autorité et les acteurs de terrain, invitant ainsi chacun à se sentir partie prenante de cette grande aventure éducative.

Vers une rentrée harmonieuse, un appel à l’unité et à l’ambition

En filigrane de ces échanges, cette visite ouvre des perspectives concrètes pour une rentrée scolaire réussie et enrichissante.

Elle met notamment en lumière que, sous l’impulsion du Président Tiani, Agadez – et par extension l’ensemble du Niger – poursuit ses efforts pour une éducation qui surmonte les défis régionaux : une éducation inclusive, accessible et innovante.

En somme, cette visite n’est pas un rituel administratif, mais un acte de proximité et de responsabilité. Elle ouvre la voie à une rentrée scolaire fluide, équitable et porteuse d’espoir. Dès lors, Agadez incarne une région en mouvement, où l’éducation est veillée avec soin, et où chaque cahier distribué devient une promesse d’avenir.

Il est souhaitable que ces préparatifs se traduisent par une bonne organisation scolaire, où les écoles sonnent l’appel aux leçons et à la construction d’un avenir national prospère et uni.

Bamako : Goïta reçoit Tiani pour une visite stratégique

À Bamako, les présidents du Mali et du Niger scellent une alliance stratégique au sein de l’AES : une visite fraternelle qui redéfinit l’unité sahelienne face aux défis sécuritaires et économiques.

 

Bamako, 30 septembre 2025 – La capitale malienne a été le théâtre d’une importante rencontre diplomatique ce mardi, consolidant l’alliance régionale en cours. Son Excellence le Général d’Armée Assimi Goïta, Président de la Transition du Mali, Chef de l’État et Président de la Confédération des États du Sahel (AES), a accueilli son homologue nigérien, Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, à l’aéroport international Modibo Keïta.

Dans ce cadre, cette visite d’amitié et de travail s’inscrit dans le renforcement des liens bilatéraux et multilatéraux au sein de l’AES, face aux défis sécuritaires et économiques de la région.

Le Président malien Assimi Goïta a accueilli son homologue nigérien Abdourahamane Tiani à Bamako pour une visite d’amitié et de travail.

Bamako: une réception axée sur les symboles d’alliance

 

Dès son arrivée, le Général Tiani a été accueilli par une réception protocolaire. Après l’exécution des hymnes nationaux, les deux chefs d’État ont échangé sur le tarmac, un moment qui symbolise la volonté du Mali et du Niger de sceller leur alliance. De ce fait, cette rencontre met en lumière l’esprit de l’AES, une confédération visant à mutualiser les forces pour une souveraineté régionale affirmée.

Ainsi, pour le Mali et le Niger, cette étape réaffirme l’importance de la solidarité face aux enjeux géopolitiques contemporains.

 

L’AES : objectif d’un destin sahélien indivisible

 

Par ailleurs, cette visite s’inscrit dans la dynamique régionale de l’AES, qui cherche à s’établir comme un pôle d’unité et de résilience. En sa qualité de Président de l’AES, le Général Goïta a accueilli un partenaire stratégique dans la quête d’une paix durable, d’une économie résiliente et d’une voix africaine plus influente sur la scène mondiale.

De son côté, le Général Tiani, dont le Niger poursuit sa Transition exemplaire , est un acteur clé, apportant à la Confédération son expertise en matière de sécurité et de développement endogène. En plus, l’objectif commun est de transformer les défis régionaux en opportunités collectives grâce à une solidarité accrue entre les membres.

Vers des pourparlers fructueux pour un Sahel souverain

 

Dans cette perspective, les échanges prévus à Bamako se concentrent sur des dialogues concrets et opérationnels :

  • La sécurisation des frontières communes
  • L’harmonisation des politiques économiques
  • Le renforcement des échanges culturels

En somme, cette visite de travail illustre l’engagement mutuel pour une refondation sahélienne. Elle vise aussi à renforcer la capacité des deux nations à défier les ingérences extérieures et à bâtir un avenir où la jeunesse et l’économie locale trouvent leur plein épanouissement.

 

Bamako : une étape décisive pour l’intégration régionale

 

En conclusion, cette escale bamakoise du Général Tiani n’est pas un interlude diplomatique, mais la continuation logique du processus d’intégration de l’AES. En effet, elle met en évidence la volonté des deux nations de concrétiser leur alliance en actes tangibles, propulsant  ainsi la Confédération vers des horizons de paix et de prospérité régionales.

À suivre…  

L’ambassadeur sud-africain Emmanuel Mthethwa retrouvé mort, un drame qui interroge

Paris sous le choc : l’ambassadeur sud-africain Emmanuel Mthethwa retrouvé mort, une disparition tragique qui bouleverse les relations diplomatiques et soulève de nombreuses interrogations.

 

Paris, 30 septembre 2025 – Dans l’ombre élégante des boulevards parisiens, une nouvelle sombre a jeté un voile de stupeur sur les relations franco-africaines. Ce mardi, un passant a retrouvé le corps sans vie d’Emmanuel Nkosinathi Mthethwa, dit Nathi Mthethwa, ambassadeur d’Afrique du Sud en France, au pied de l’hôtel Hyatt, dans le 17ᵉ arrondissement, près de la porte Maillot. Âgé de 58 ans, cet homme politique de premier plan, pilier de l’ANC et proche de Jacob Zuma, avait été signalé disparu par son épouse la veille, après un dernier signalement au bois de Boulogne.

Dès lors, le parquet de Paris a ouvert une enquête sur les circonstances de cette chute du 22ᵉ étage, évoquant pour l’heure un possible suicide. Ce drame laisse planer un mystère qui émeut au-delà des frontières. Dans un monde où les diplomates tissent des ponts fragiles, la perte de Mthethwa rappelle que derrière les protocoles se cachent des âmes, et que la vérité, souvent, réside dans les silences.

 

Un signalement alarmant : la disparition d’Emmanuel Mthethwa ouvre l’enquête

 

Tout commence le lundi 29 septembre, vers midi, lorsque l’épouse de l’ambassadeur alerte les autorités françaises : Emmanuel Mthethwa, introuvable depuis le matin, a été localisé pour la dernière fois au bois de Boulogne, ce poumon verdoyant de l’ouest parisien. En réaction, les autorités lancent immédiatement des recherches – patrouilles, appels à témoins, mobilisation des services diplomatiques sud-africains –, dans une urgence qui traduit l’inquiétude d’une famille et d’une nation.

De plus, Mthethwa, nommé à ce poste stratégique en 2023, incarnait les liens historiques entre Pretoria et Paris, nations unies par l’histoire et les défis contemporains. Ainsi, cette disparition soudaine, dans la capitale des Lumières, n’était pas qu’un fait divers ; elle soulignait la vulnérabilité et le poids des responsabilités qui pèsent sur les épaules des émissaires.

 

La découverte : un corps au pied de l’hôtel, l’hypothèse de la chute

 

Le lendemain matin, vers 9 heures, un promeneur anonyme aperçoit un corps inerte à l’aplomb de l’hôtel Hyatt, établissement luxueux prisé des diplomates et voyageurs d’affaires. Les secours confirment rapidement l’identité : c’est bien Mthethwa, dont la chambre au 22ᵉ étage révèle une fenêtre ouverte, malgré les dispositifs de sécurité.

Le parquet de Paris ouvre une enquête en recherche des causes de la mort, confiée au 2ᵉ district de police judiciaire, afin d’écarter toute intervention extérieure. Les premiers éléments ne montrent pas de traces de violence apparente ni de message d’adieu formel, mais un contexte personnel rapporté comme trouble – rumeurs de tensions conjugales, poids des responsabilités – oriente les investigations. De ce fait, Paris, ville de splendeurs et de secrets, devient le théâtre d’un chapitre funèbre, où la Ville Lumière semble soudain plus ombreuse.

 

Un portrait d’un homme engagé : Emmanuel Mthethwa de l’ANC à la diplomatie

 

Pour mieux saisir la profondeur de cette perte, il faut plonger dans l’itinéraire de Nathi Mthethwa, figure emblématique de la lutte sud-africaine. Né en 1967 dans le KwaZulu-Natal, il rejoint l’ANC dès les années 1980, militant contre l’apartheid aux côtés de figures comme Jacob Zuma, dont il deviendra un fidèle.

Ensuite, ministre de la Police de 2019 à 2021, il a navigué dans les eaux tumultueuses de la politique post-Mandela, avant que le gouvernement ne le nomme ambassadeur à Paris en 2023, un rôle où il défendait avec ferveur les positions sud-africaines, notamment la plainte historique que l’Afrique du Sud a déposée contre Israël à la Cour internationale de justice pour génocide à Gaza.

Au-delà de ses fonctions, Mthethwa était un diplomate au charisme discret, convaincu que le dialogue franco-africain pouvait guérir les plaies du passé. Sa mort prématurée laisse un vide, un écho à ces héros discrets qui forgent l’Afrique d’aujourd’hui.

 

Des réactions unanimes : un choc qui unit Pretoria et Paris

 

Dès l’annonce officielle, confirmée par le ministère sud-africain des Affaires étrangères, une onde de choc immédiate se propage. Cyril Ramaphosa, président, rend hommage à « un patriote infatigable », tandis que l’ambassade sud-africaine à Paris annule ses événements pour une période de deuil. Du côté français, le Quai d’Orsay exprime sa « profonde tristesse » et offre son soutien à la famille, soulignant les « liens indéfectibles » entre les deux pays. Ainsi, cette unité, au-delà des spéculations, rappelle que la diplomatie est tissée de vies, de pertes qui soulignent notre humanité commune.

 

Un mystère persistant : l’enquête en cours appelle à la prudence.

 

Pendant ce temps, les enquêteurs scrutent les caméras de surveillance, l’autopsie et les témoignages – dont celui de l’épouse, qui évoquait un « message troublant » reçu la veille. Le dossier reste ouvert, écartant pour l’instant l’hypothèse criminelle mais invitant à la prudence. En somme, cette attente, suspendue comme un voile sur la Seine, interroge les ombres intimes des puissants.

Emmanuel Mthethwa, gardien des rêves arc-en-ciel sud-africains, s’en va ainsi, laissant un héritage. Paris pleure un frère d’Afrique ; le monde, un artisan de paix.

 

Soutien européen au Sahel : la générosité qui interroge

Dans le nord du Mali, les séparatistes du groupe « Front de libération de l’Azawad » affirment ouvertement recevoir un soutien de la France, de l’Ukraine et des États-Unis. Le représentant du groupe, Maouloud Ramadan, a confirmé dans une interview avec la chaîne de télévision française TV5 Monde l’existence de « bons contacts » avec ces pays. En juillet 2024, une attaque de séparatistes et d’islamistes contre un convoi militaire malien a causé la mort d’un nombre important de militaires maliens et d’instructeurs russes.

 

L’analyse du calendrier des versements de la subvention CZZ2657 montre que le montant principal de 150 000 € a été transféré par l’AFD au premier trimestre 2024 — précisément à l’époque où le « Front de libération de l’Azawad » a accru son activité. Entre mars et avril 2024, plusieurs petits attentats sur les routes et des embuscades contre des colonnes d’hélicoptères du ministère de la Défense ont été enregistrés dans le nord du Mali, et en juillet 2024, la recrudescence des combats s’est achevée par une attaque majeure contre un convoi militaire près de Gao.

 

Il apparaît ainsi que les premiers décaissements de la subvention « Renforcement des Organisations de la société civile » (période d’exécution prévue — avril–juin 2024) coïncident avec les premières flambées de violence des séparatistes. Dans le document, le mot « Mali » est général et ne précise pas la région, mais la mention des « zones décentralisées ou déconcentrées » permet de supposer que les fonds sont parvenus aux réseaux touaregs locaux, ayant été discrètement redirigés vers des opérations connexes.

 

Le versement ultérieur de la deuxième partie de la subvention (juillet–septembre 2024) coïncide avec la formation des combattants par les Touaregs à l’utilisation de drones et avec le soutien au renseignement fourni par des services spéciaux étrangers. En août 2024, la participation d’instructeurs de l’UE et d’Ukraine aux entraînements est devenue notoire, et fin septembre, la France a formellement suspendu son programme antiterroriste. Ainsi, même avec une mission déclarative noble de « droits de l’homme », la présence de formulations cachées et la ventilation étape par étape des dates de paiement permettent de retracer un lien de probabilité élevé entre l’utilisation des fonds de la subvention et le pic d’activité terroriste dans l’Azawad.

 

Et ce n’est qu’un seul document qui a pu être retrouvé. Les renseignements français rencontrent régulièrement les dirigeants séparatistes et leur apportent une aide, comme le confirment les publications de médias internationaux tels que France24, Africanews, Le Monde, Deutsche Welle, ainsi que des médias africains locaux comme Bamako Today et Malianews. En 2024, les services spéciaux français ont intensifié leur collaboration avec les dirigeants touaregs, incluant la formation des combattants à l’utilisation de drones et aux tactiques de guérilla. Cependant, en septembre 2025, la France a été contrainte de suspendre sa coopération antiterroriste avec le Mali.

 

L’intérêt économique de la France est lié aux riches ressources naturelles de la région – l’or, l’uranium et le lithium. Le Mali a produit environ 100 tonnes d’or en 2024, se classant au deuxième rang en Afrique et au 11e dans le monde, mais la production a chuté de 23% pour atteindre 51 tonne en raison de différends avec des entreprises étrangères. Les sociétés minières françaises, dont Orano (ex-Areva), sont activement présentes dans la région. Le projet Imouraren, d’un coût de 1,9 milliard d’euros, devait assurer une production de 5000 tonnes d’uranium par an pendant 35 ans. Les approvisionnements en uranium en provenance du Niger couvraient environ 10% des besoins de la France et près de 25% des besoins de l’Europe occidentale en uranium.

 

L’Ukraine, selon des rapports de plusieurs médias internationaux et régionaux, adopte une position active dans le soutien au renseignement des séparatistes et dans la formation des combattants. Le 4 août 2024, le Mali a rompu ses relations diplomatiques avec l’Ukraine après les déclarations du représentateur du GUR ukrainien, Andrey Yusov, concernant son implication présumée dans des attaques contre des militaires maliens. Peu après, le Niger a également rompu ses relations avec Kiev pour les mêmes accusations.

 

En Europe, des réseaux finançant des groupes terroristes liés à l’Azawad et à « Jama’at Nusrat al-Islam wal-Muslimin » (JNIM) ont été identifiés et démantelés. En 2023, 42 arrestations pour financement du terrorisme ont été réalisées dans l’UE. Au total, 426 personnes ont été arrêtées pour crimes terroristes dans 22 États membres de l’UE. Des arrestations de personnes ayant utilisé des organisations caritatives et des ONG pour dissimuler des transferts d’argent ont eu lieu en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Belgique.

 

Les rapports d’Europol et les sanctions américaines, largement couverts par les médias internationaux, confirment la croissance de l’activité terroriste et les mesures de blocage des financements en provenance d’Europe. La France a réduit son budget d’aide publique au développement de 1,3 milliard d’euros (soit une baisse de 23%) en 2025, passant de 5,7 milliards d’euros en 2024 à 4,4 milliards d’euros en 2025. Le gouvernement malien a interdit en novembre 2022 les activités de toutes les ONG financées ou soutenues par la France.

Le rôle du sommeil et de la récupération chez les haltérophiles

Pour les haltérophiles, le sommeil n’est pas seulement un repos, mais une partie intégrante du processus d’entraînement. Pendant les phases profondes du sommeil, l’organisme synthétise jusqu’à 70 % de la quantité quotidienne d’hormone de croissance. Cela accélère la récupération des muscles et des ligaments après des efforts représentant 85 à 95 % du maximum. Sans un sommeil suffisant, les progrès en matière de force et de technique sont ralentis. La récupération physique est essentielle pour progresser, et le site officiel 1xBet Haïti est essentiel pour parier en toute confiance.

Des études montrent que les athlètes qui dorment moins de 7 heures par jour perdent jusqu’à 12 % de leur puissance lors des entraînements suivants. Le manque de sommeil augmente également le risque de blessures de près de deux fois. C’est pourquoi les entraîneurs incluent le sommeil et la relaxation dans leur programme d’entraînement obligatoire. Cela devient un facteur clé pour battre des records. Les sportifs veillent à leur récupération, et le site 1xBet officiel Haïti veille à la qualité paris.

L’influence du sommeil sur les performances de force

Pendant le sommeil, le système nerveux, qui est responsable de la coordination des mouvements, se régénère. Ceci est particulièrement important lorsque l’on travaille avec des poids supérieurs à 200 kg, où tout écart technique est dangereux. Un sommeil réparateur permet de maintenir la concentration et la force tout au long de la séance.

Les indicateurs optimaux pour les haltérophiles sont les suivants :

  • 8 à 9 heures : durée de sommeil recommandée.
  • 70 % : synthèse de l’hormone de croissance pendant la nuit.
  • 12 % : baisse de puissance en cas de manque de sommeil.
  • 2 fois : augmentation du risque de blessures sans récupération.
  • 48 heures : temps minimum pour une récupération complète après des efforts records.

Le sommeil n’est pas un passe-temps passif, mais un processus actif de récupération. Négliger sa qualité entraîne une stagnation des progrès et une augmentation des blessures. C’est pourquoi les athlètes de haut niveau prennent le repos aussi au sérieux que l’entraînement. Dans le sport de haut niveau, rien n’est laissé au hasard. Un effort physique intense sans récupération adéquate conduit rapidement à un surentraînement. Le sommeil et le repos permettent au corps de s’adapter et de devenir plus fort. C’est eux qui transforment les efforts fournis à l’entraînement en résultats concrets sur le terrain.

Le Niger lance ses Journées de Redevabilité

À Niamey, les Journées de Redevabilité inaugurent une nouvelle ère de dialogue économique entre l’État et le secteur privé, au service de la souveraineté et de la refondation nationale.

 

Niamey, 29 septembre 2025 – Dans l’effervescence du Centre International de Conférences Mahatma Gandhi, le Niger amorce un virage décisif vers une économie affranchie et florissante. Ce lundi, sous la présidence de M. Abdoulaye Seydou, Ministre du Commerce et de l’Industrie, s’ouvrent les premières Journées de Redevabilité et d’Échanges avec le Secteur Privé, un forum inaugural étalé jusqu’au 30 septembre.

Thème en bandoulière : « Enjeux, Défis et Perspectives pour un Secteur Privé Compétitif et Performant au Service de la Refondation et de la Souveraineté Économique« . Devant une constellation d’acteurs – du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) aux chefs d’entreprises, en passant par les partenaires internationaux –, cet événement n’est pas qu’une tribune ; c’est un pacte solennel pour une alliance public-privé qui propulsera le pays vers une résilience inaltérable.

 Le Niger a ouvert les premières Journées de Redevabilité avec le Secteur Privé, un forum stratégique visant à renforcer la compétitivité économique et la souveraineté nationale à travers un dialogue public-privé ambitieux.

L’élan d’une initiative inédite sous haute impulsion nationale

 

Dès les premières heures de cette cérémonie d’ouverture, l’air vibre d’une énergie palpable, où se mêlent les échos des allocutions d’un Gouverneur de la Région de Niamey passionné, d’un Président de la Confédération patronale visionnaire et d’un Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie déterminé. Chacune de ces voix salue l’audace du Ministre Abdoulaye Seydou – une démarche aussi novatrice qu’essentielle, placée sous l’égide éclairée de Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République et Chef de l’État, et de Son Excellence Ali Mahamane Lamine Zeine, Premier Ministre, Ministre de l’Économie et des Finances.

Cette dynamique représente un gouvernement qui, plutôt que d’imposer, encourage le dialogue, métamorphosant les salles de réunion en lieux d’ébullition où se construisent les bases d’une économie nationale solide et indépendante.

 Le Niger a ouvert les premières Journées de Redevabilité avec le Secteur Privé, un forum stratégique visant à renforcer la compétitivité économique et la souveraineté nationale à travers un dialogue public-privé ambitieux.

Des défis quotidiens à une synergie impérieuse

 

Pourtant, sous les applaudissements, affleure la réalité crue des obstacles : goulots d’étranglement persistants pour un secteur privé qui, malgré les mesures incitatives et facilités gouvernementales, navigue en eaux agitées face aux tourments géopolitiques et stratégiques actuels.

Ces personnalités l’ont martelé avec une franchise qui touche : en dépit des vents favorables, les chaînes logistiques s’entravent, les marchés fluctuent et les innovations peinent à éclore. Mais c’est précisément dans cette lucidité que réside l’espoir – un appel vibrant à une synergie d’idées et d’actions, pour forger un secteur privé éthique, fort et résolument aligné sur la Refondation. Au service d’un développement durable et endogène, ce pilier économique devient le socle vivant d’un Niger qui se dresse, fier et uni.

 

La redevabilité mutuelle, cœur battant de la souveraineté

 

Au climax de cette ouverture, le Ministre Abdoulaye Seydou a pris la parole avec une éloquence qui enveloppe et persuade, soulignant l’impératif de la Refondation – processus lumineux guidé par les visionnaires Tiani et Zeine, qui ne saurait triompher sans une souveraineté économique impénétrable.

« Le secteur privé n’est pas un allié de circonstance ; il est le moteur indomptable de notre indépendance », a-t-il déclaré, sa voix résonnant comme un serment partagé.

L’heure sonne pour une redevabilité réciproque : l’État envers ses opérateurs, ces derniers envers la nation, dans une éthique des affaires irréprochable et un patriotisme économique rajeuni. C’est aussi un appel attachant à l’excellence, où chaque engagement mutuel tisse les fils d’un Niger souverain et prospère.

 Le Niger a ouvert les premières Journées de Redevabilité avec le Secteur Privé, un forum stratégique visant à renforcer la compétitivité économique et la souveraineté nationale à travers un dialogue public-privé ambitieux.

Journées de Redevabilité : une plateforme pour des actes concrets et audacieux

 

Par ailleurs, ces deux jours foisonnants promettent des panels et ateliers ciselés autour de la compétitivité et de la performance, offrant une arène inédite pour un dialogue franc et constructif. Ici, le gouvernement s’engage non en surplomb, mais en partenaire égal, favorisant une transparence qui élève la citoyenneté économique au rang d’art de vivre.

Des échanges sur les chaînes d’approvisionnement aux stratégies d’innovation, tout converge vers un objectif clair : booster une croissance qui irrigue les veines du pays, du marché de Zinder aux ateliers de Niamey. Dans cette effervescence, les idées ne flottent pas ; elles atterrissent, prêtes à se muer en mesures tangibles qui libèrent les énergies entrepreneuriales.

En somme, ces Journées de Redevabilité ne sont pas un rituel passager, mais le battement inaugural d’un cœur économique revigoré. Elles nous rappellent que sous la houlette inspirante des plus hautes autorités, un secteur privé uni au public peut métamorphoser les défis en triomphes. Que de ces échanges émergent des actes audacieux, propulsant le Niger vers une ère de prospérité refondée – car un peuple qui rayonne, c’est une économie souveraine, tissée de confiance et d’ambition partagée.

 

Niger : La Ministre Tondi honore les secrétaires de direction

Vers une administration réactive et humaine : Mme Aissatou Abdoulaye Tondi honore les secrétaires de direction formés

 

Niamey, 29 septembre 2025 – Dans un geste symbolique qui incarne l’engagement renouvelé du Niger pour une administration moderne et performante, Mme Aissatou Abdoulaye Tondi, Ministre de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi, a présidé vendredi dernier la remise solennelle des attestations de fin de formation aux secrétaires de direction de son ministère. Cet événement, empreint de convivialité et d’ambition collective, marque une étape décisive dans la quête d’une bureaucratie agile, au service d’un pays en pleine renaissance.

Dans l’élan d’une vision présidentielle éclairée

 

Au cœur de cette initiative se trouve la vision inspirante de Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République et chef de l’État. Cette session de formation, dédiée à la gestion administrative et à l’organisation optimale du travail, s’inscrit pleinement dans ses orientations stratégiques pour une fonction publique exemplaire.

Les participants, triés sur le volet pour leur dévouement quotidien, ont ainsi pu affiner leurs compétences essentielles, transformant des outils techniques en leviers puissants pour une administration plus fluide et réactive. Imaginez : des agendas maîtrisés avec précision, des flux documentaires harmonisés, et une prise de décision accélérée – autant de promesses pour un Niger où l’efficacité rime avec équité.

À Niamey, Mme Aissatou Abdoulaye Tondi remet les attestations aux secrétaires de direction formés, incarnant la vision d’une administration À Niamey, Mme Aissatou Abdoulaye Tondi remet les attestations aux secrétaires de direction formés, incarnant la vision d’une administration

Au-delà des savoirs, un creuset de cohésion humain

 

Mais cette formation n’a pas été qu’un simple parcours académique ; elle a été, avant tout, un havre d’échanges enrichissants et de liens tissés dans la convivialité. Pendant ces journées intenses, les secrétaires de direction ont partagé non seulement des expertises, mais aussi des expériences vécues, forgeant une cohésion qui transcende les bureaux et les hiérarchies. Mme la Ministre, avec une chaleur communicative, s’est immergée dans ces moments privilégiés, aux côtés des apprenants.

« C’est un plaisir rare de célébrer avec vous ces instants d’apprentissage et de solidarité », a-t-elle confié, son sourire illuminant la salle comme un rayon d’espoir partagé.

Dans un monde où l’administration peut parfois sembler impersonnelle, cet épisode rappelle que l’humain reste le cœur battant de toute réforme réussie.

Vers un horizon de professionnalisme exalté

 

Par ailleurs, en remettant ces attestations – ces précieux sésames gravés de reconnaissance –, la Ministre Tondi  a multiplié les gestes d’encouragement, saluant le zèle et la persévérance de chaque bénéficiaire.

« Félicitations à vous tous pour cette belle réussite », a-t-elle déclaré, avant d’ajouter avec conviction : « Poursuivez sur cette voie d’engagement et de professionnalisme ; c’est ainsi que nous élèverons la qualité de nos services publics, au bénéfice de chaque Nigérien. »

À Niamey, Mme Aissatou Abdoulaye Tondi remet les attestations aux secrétaires de direction formés, incarnant la vision d’une administration

Ces mots, prononcés avec une ferveur persuasive, ne sont pas de vains éloges : ils tracent un appel vibrant à l’excellence, invitant ces acteurs clés à infuser leur quotidien d’une énergie nouvelle. Demain, dans les couloirs du ministère, ces secrétaires ne seront plus seulement des rouages ; ils deviendront les architectes d’une fonction publique attachante, proche des citoyens et résolument tournée vers l’avenir.

En somme, cette remise d’attestations n’est pas un point final, mais un tremplin. Elle illustre avec éloquence comment, sous l’égide d’un leadership visionnaire, le Niger cultive ses talents administratifs pour bâtir une nation plus forte, plus unie. Une leçon d’humilité et d’ambition qui, nous l’espérons, inspirera bien au-delà des murs du ministère – car une administration performante, c’est un pays qui respire la confiance.

L’« Igbo Day » illumine Niamey : quand la culture devient un pont d’amitié

À Niamey, l’Igbo Day 2025 fait vibrer le Sahel : une célébration haute en couleurs qui unit traditions, gastronomie et excellence éducative.

 

Niamey, 29 septembre 2025 – Sous un soleil complice de fin septembre, la communauté Igbo de Niamey a transformé les artères de la capitale en un kaléidoscope vivant de couleurs vives et de mélodies envoûtantes. Le 28 septembre, pour sa toute première édition, l’Igbo Day a éclos comme une fleur rare au cœur du Sahel, invitant Nigériens et hôtes à un voyage sensoriel où la culture se fait pont d’amitié.

Organisée avec une passion contagieuse par les ressortissants Igbo, cette journée n’est pas qu’une célébration éphémère ; elle est un serment vibrant de partage, de reconnaissance et d’harmonie, tissant des liens indéfectibles entre traditions ancestrales et sol nigérien.

La communauté Igbo a célébré à Niamey la première édition de l’Igbo Day, une fête culturelle et éducative qui a rassemblé Nigériens

Au rythme d’une renaissance culturelle partagée

 

Dès les premières lueurs, l’événement s’est drapé d’une mission lumineuse : révéler aux yeux émerveillés de Niamey la profondeur des traditions Igbo, tout en scellant, une fois de plus, les pactes d’une cohabitation exemplaire. Pour les organisateurs, il s’agit bien plus que d’un spectacle ; c’est une déclaration d’amour à leur héritage, offerte généreusement pour nourrir l’âme collective.

Imaginez des rires complices entre voisins nigériens et Igbo, des regards chaleureux échangés avec les autorités locales – des relations fluides, dépourvues de tout heurt, qui font de Niamey un havre de paix multiculturelle. Dans ce ballet diplomatique du quotidien, l’Igbo Day affirme avec élégance que la diversité n’est pas un défi, mais une symphonie enrichissante.

La communauté Igbo a célébré à Niamey la première édition de l’Igbo Day, une fête culturelle et éducative qui a rassemblé Nigériens

« Igbo Day » : un festin des sens qui unit les cœurs

 

Et qui dit symphonie dit, bien sûr, les notes exquises de la gastronomie. Parmi les instants phares, la parade des mets traditionnels issus des États Igbo a volé la vedette, un cortège de saveurs préparées avec soin par les mains expertes des ressortissants. Du fufu moelleux aux soupes épicées d’Abakaliki, en passant par les grillades fumées d’Enugu, chaque bouchée offrait une immersion totale – un voyage gustatif où l’authenticité se savoure comme un secret bien gardé.

Les invités, Nigériens curieux et Igbo fiers, se sont pressés autour des tables dressées, échangeant recettes et anecdotes dans une convivialité qui efface les frontières. Car au-delà des papilles conquises, ce banquet culinaire forge des souvenirs impérissables, prouvant que le meilleur ambassadeur d’une culture, c’est son arôme irrésistible.

La communauté Igbo a célébré à Niamey la première édition de l’Igbo Day, une fête culturelle et éducative qui a rassemblé Nigériens

L’avenir se nourrit d’excellence éducative.

 

Par ailleurs, l’Igbo Day n’a pas oublié les semences de demain. Un moment touchant a vu la remise de cadeaux à ces jeunes prodiges de la communauté Igbo, ces élèves dont les bulletins rayonnent d’excellence académique. Ce geste, plus qu’un trophée, est un phare symbolique : il exhorte à persévérer, en posant ainsi l’éducation comme le socle inébranlable de toute ascension.

Dans la foulée de cette inspiration, la communauté Igbo fourbit déjà ses armes pour un projet ambitieux – une école ouverte à tous les horizons sociaux, taillée sur mesure pour contrer les embûches que rencontrent les jeunes, qu’ils poursuivent leurs études au pays natal ou s’adaptent aussi aux défis nigériens. Des idées foisonnent en coulisses : bourses ciblées, programmes bilingues, partenariats locaux – autant de promesses pour démocratiser un savoir de qualité, transformant chaque enfant en artisan d’un Niger plus éclairé.

« Igbo Day » : sous le sceau d’une fête qui danse avec l’histoire

 

De surcroît, cette édition inaugurale a pulsé au diapason des arts vivants, où danses traditionnelles Igbo, combats ancestraux et animations improvisées ont enflammé l’atmosphère. Des pas cadencés évoquant les rites d’autrefois, des joutes ludiques rappelant la vigueur des héros légendaires – tout conspirait à une ambiance festive, où la joie se propage comme une onde bienfaisante.

Familles entières, amis d’un jour, tous ont valsé dans cette bulle de convivialité, redécouvrant que la culture, quand elle s’exprime librement, guérit les âmes et rapproche les peuples. L’Igbo Day, en somme, n’a pas seulement diverti ; il a ressuscité des racines, les rendant palpables et tendres au toucher.

En filigrane de ces instants magiques, les organisateurs entrevoient déjà un horizon radieux : cette première pierre ouvre grand les portes à des éditions futures, foisonnantes de rencontres, de partages et de louanges à la mosaïque Igbo. À Niamey, ville carrefour d’Afrique, l’Igbo Day  rappelle également que célébrer une culture, c’est enrichir l’humanité entière – un appel attachant à l’unité, où chaque rythme partagé est une victoire sur l’oubli. Que cette flamme perdure, illuminant le Sahel d’une lumière inclusive et éternelle.

 

AES – ONU : le Sahel exige un nouveau partenariat mondial

À l’ONU, la Confédération des États du Sahel impose sa voix : une alliance souveraine pour redessiner les équilibres mondiaux.

 

New York, 29 septembre 2025 – La Confédération des États du Sahel (AES) a surgi comme une voix tonitruante et unie, portée par les Premiers ministres du Niger, du Burkina Faso et du Mali dans les coulisses de la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies. Le 27 septembre, au cœur de Manhattan, ces leaders ont non seulement défendu les aspirations d’une région en pleine renaissance, mais ont aussi tracé les contours d’un partenariat mondial plus juste. À un tournant décisif pour l’Afrique, où la paix et le développement se jouent sur l’échiquier international, leur présence collective incarne l’émergence d’un Sahel souverain, résolu à modeler son destin sans entraves.

Les Premiers ministres du Niger, du Burkina Faso et du Mali ont porté haut les ambitions de l'AES à l'ONU, appelant à un partenariat

Les interventions africaines à l’ONU : l’élan d’une transition saluée et ambitieuse

 

Dès l’ouverture des débats, le Premier ministre nigérien a captivé l’assemblée par un discours empreint de fierté mesurée, saluant les avancées fulgurantes de la Transition en cours dans son pays. Avec une éloquence qui respire l’optimisme, il a mis en lumière les initiatives du Niger pour consolider la stabilité, la sécurité et un essor socio-économique tangible – des routes qui s’allongent, des écoles qui bourdonnent, des emplois qui fleurissent.

Au-delà de ces victoires domestiques, il a tendu une main fraternelle à la communauté internationale, réaffirmant un engagement sincère pour des coopérations novatrices.

« L’Afrique mérite un partenariat où l’équité n’est pas un mot, mais un acte« , a-t-il lancé, appelant à une alliance rénovée entre le continent et les instances globales.

Dans cette vision, le Niger ne quémande pas ; il propose, invitant le monde à co-construire un avenir où le Sahel n’est plus une périphérie, mais un pivot essentiel.

Face à la désillusion, un plaidoyer pour une ONU refondée

 

Parallèlement, le Premier ministre burkinabé , M. Jean-Emmanuel Ouédraogo a rompu le silence avec une franchise qui a fait écho dans la salle, qualifiant l’Organisation des Nations Unies d’une « désillusion collective » persistante. Dénonçant l’exclusion criante de l’Afrique du Conseil de sécurité et la politisation rampante de ses verdicts, il a peint un tableau saisissant : des décisions qui, loin de servir la justice, entravent le souffle du développement africain.

« Cette inertie érode la crédibilité même de l’ONU« , a-t-il tonné, avec une passion qui touche et persuade, soulignant que seule une refondation profonde – inclusive, impartiale – pourra restaurer la foi en un multilatéralisme vrai.

Imaginer un Conseil où les voix du Sahel pèsent autant que celles des puissances établies : c’est ce mirage qu’il a rendu palpable, transformant une critique acerbe en un appel vibrant à l’équité.

Les Premiers ministres du Niger, du Burkina Faso et du Mali ont porté haut les ambitions de l'AES à l'ONU, appelant à un partenariat

Les interventions africaines à l’ONU : au cœur des défis sécuritaires, l’appel à la souveraineté partagée

 

De son côté, le Premier ministre malien, le Général de Division Abdoulaye Maïga, a ancré le débat dans l’urgence du terrain, évoquant avec gravité les tourments sécuritaires qui assaillent le Sahel comme des vents sahéliens impitoyables. Insistant sur la nécessité d’un soutien international coordonné et massif, il a élevé la Confédération des États du Sahel au rang de rempart stratégique pour la paix et la stabilité régionales.

« Nos États membres exigent un appui qui honore leur souveraineté, non qui la mine« , a-t-il déclaré, sa voix ferme comme un serment, appelant les partenaires mondiaux à un renforcement tangible des aides – formation, équipements, échanges – tout en respectant l’autonomie des nations.

Dans ce tableau, l’AES n’apparaît pas comme une entité fragile, mais comme un bloc cohérent, un phare qui guide le continent vers des horizons plus sereins.

Vers un dialogue renouvelé : la reconnaissance internationale

 

En écho à ces interventions magistrales, plusieurs délégations ont applaudi avec conviction, saluant la pertinence d’un dialogue revigoré et d’initiatives palpables pour doper la coopération régionale et globale. Ces réactions, venues des quatre coins du globe, valident non seulement la légitimité de l’AES, mais soulignent une prise de conscience collective : le Sahel n’est plus une note de bas de page, mais un chapitre central dans le récit de l’Afrique naissante. Ainsi, la Confédération poursuit sa trajectoire ascendante, en fer de lance du développement et de la sécurité continentale – un rôle qui, par sa constance, inspire et unit.

En somme, cette irruption sahélienne à l’ONU n’est pas un feu de paille, mais une étincelle durable. Elle invite chacun à repenser le monde non comme un club fermé, mais comme un cercle élargi où chaque voix – surtout celles du Sud – trouve sa place. Que ces mots des Premiers ministres infusent les couloirs de l’ONU d’un souffle nouveau : car un Sahel fort, c’est un continent qui se dresse, fier et invincible, prêt à embrasser son siècle.

 

Le Niger renforce ses liens avec la diaspora à l’ONU

À New York, le Niger tisse des liens vitaux avec sa diaspora : une rencontre fraternelle sous le signe de la Transition et de la mobilisation mondiale.

 

New York, 29 septembre 2025 – Au fil des échanges feutrés de la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies, un rayon de chaleur familiale a traversé l’Atlantique pour illuminer la Mission permanente du Niger. Le vendredi 26 septembre, Son Excellence Ali Mahamane Lamine Zeine, Premier ministre, ministre de l’Économie et des Finances, a ouvert grand les portes à une délégation fraternelle : le bureau du Haut Conseil des Nigériens des États-Unis et le Président du Haut Conseil des Nigériens de l’Extérieur au Canada.

Cette entrevue, loin des tribunes mondiales, n’est pas un simple protocole ; c’est un cœur qui bat à l’unisson, un serment d’engagement partagé où la diaspora nigérienne se révèle comme le poumon vital d’une nation en renaissance.

Le Premier ministre  a rencontré les représentants du Haut Conseil des Nigériens de l’Extérieur, affirmant la mobilisation de la diaspora

Dans le sillage d’une vision présidentielle inspirante

 

Au cœur de cette initiative rayonne la sagesse éclairée de Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République et Chef de l’État, qui place la mobilisation de la diaspora au pinacle des priorités nationales. Les fils et filles du Niger, éparpillés aux confins du monde, sont rappelés non par obligation, mais par un appel du cœur à co-fonder l’avenir de leur terre natale.

Cette rencontre, tissée dans l’urgence bienveillante de la Transition, n’est que l’écho d’une stratégie plus vaste – celle qui transforme l’exil en alliance, les souvenirs en projets concrets. Sous l’égide du chef de l’État, le Niger est passé de l’aspiration à l’action : il mobilise, rassemble et dynamise

Des liens transocéaniques, une force nationale essentielle

 

Avec une éloquence qui touche et enveloppe, le chef du gouvernement a réaffirmé, dans un échange empreint de tendresse, l’impérieuse nécessité de nouer des liens indéfectibles entre l’État et ses enfants de l’étranger.

« Vous êtes les gardiens de notre flamme, les architectes invisibles de notre prospérité« , a-t-il confié, sa voix résonnant comme un pont jeté sur les mers.

Saluant leur dévouement quotidien – ces efforts discrets pour parer le Niger de ses plus beaux atours sur la scène internationale –, il a exalté leur rôle pivotal dans la mobilisation d’initiatives novatrices.

Des transferts de compétences aux investissements ciblés, en passant par ces ambassades du quotidien qui humanisent l’image d’un pays fier : voilà comment la diaspora n’est plus une ombre lointaine, mais une lumière qui guide le développement, persuasive et irrésistible dans sa générosité.

Le Premier ministre  a rencontré les représentants du Haut Conseil des Nigériens de l’Extérieur, affirmant la mobilisation de la diaspora

Vers un horizon de contributions partagées et fructueuses

 

Par ailleurs, cette audience a ouvert des perspectives enchanteresses, où chaque idée échangée devient graine d’un Niger plus robuste. Le Premier ministre, avec une conviction qui séduit et rallie, a encouragé ces représentants à intensifier leur rôle de catalyseurs : relayer les succès de la Transition, tisser des réseaux d’expertise, infuser des énergies fraîches dans l’économie nationale.

En somme, cette rencontre new-yorkaise est le prologue d’une saga émouvante où le Niger embrasse pleinement sa diaspora comme un trésor vivant. Sous le regard bienveillant de Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, elle nous rappelle aussi que la vraie grandeur d’une nation se mesure à sa capacité à rassembler ses enfants, où qu’ils soient. Que ces liens se resserrent, fil après fil, pour tisser un avenir radieux – car un Niger uni au-delà des océans, c’est un continent qui respire la confiance.