septembre 2025 - Page 3 sur 12 - Journal du Niger

Le Niger déclare la guerre aux « épidémies invisibles » d’allergies

À Niamey, le premier Congrès africain sur les allergies sonne l’alerte : la santé publique doit s’adapter, car l’anaphylaxie n’attend pas.

Niamey, 25 septembre 2025 – Un simple repas en famille qui tourne au cauchemar, une promenade printanière qui déclenche une crise respiratoire, ou une piqûre d’insecte qui met une vie en péril : voilà la dure réalité qui touche déjà des millions de personnes à travers le monde. En effet, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), d’ici 2050, la moitié de la population mondiale pourrait souffrir d’au moins une maladie allergique. C’est dans ce contexte alarmant que le Niger a marqué un jalon historique il y a dix jours : l’ouverture du tout premier Congrès de Dermatologie et Allergologie, un événement qui pourrait bien changer la donne pour la santé publique en Afrique.

Face à l’explosion mondiale des allergies, le Niger inaugure son premier Congrès de Dermatologie et Allergologie. Ainsi, experts africains appellent à une riposte coordonnée pour mieux prévenir, diagnostiquer et traiter les maladies immuno-allergiques sur le continent.

Urgence sanitaire mondiale : le top 4 des fléaux révélé à Niamey

 

Sous le thème évocateur des « Maladies Immuno-Allergiques », ce congrès pionnier s’est tenu le mardi 15 septembre au Palais des Congrès de Niamey. Organisé conjointement par la Société Nigérienne de Dermatologie et Vénéréologie (SONIDEV) et l’Association Nationale de Formation Continue en Allergologie (ANAFORCAL), il a réuni experts, chercheurs et décideurs pour poser les bases d’une riposte collective. En fait, c’est le Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation Technologique, le Professeur Mamadou Saidou, qui a donné le ton à l’ouverture, présidant la cérémonie avec une ferveur qui en dit long sur l’urgence de la situation.

« Les maladies immuno-allergiques sont en pleine expansion à travers le monde », a tonné le Ministre dans son allocution d’ouverture. Rappelant les priorités de l’OMS, il a souligné que les allergies sont classées au quatrième rang mondial des préoccupations de santé publique, juste derrière les maladies cardiovasculaires, les cancers et le VIH/SIDA. Une statistique glaçante qui n’a pas manqué de faire réagir l’assistance : ces affections, souvent sous-estimées, incluent des réactions cutanées sévères comme l’urticaire ou l’eczéma, mais aussi des crises respiratoires (asthme allergique) et des chocs anaphylactiques – des réactions violentes à une substance qui peuvent survenir en quelques minutes et mettre la vie en danger.

Le Niger a accueilli son premier Congrès de Dermatologie et Allergologie, révélant l’urgence sanitaire liée aux maladies immuno-allergiques. En effet, experts et décideurs appellent à une riposte panafricaine face à une explosion des cas prévue d’ici 2050.

De la sensibilisation à l’adrénaline : le Niger sonde l’action

 

Le Professeur Mamadou Saidou n’a pas mâché ses mots : « Il est impératif de sensibiliser le public sur les gestes de prévention, sur la reconnaissance des signes d’alerte comme l’anaphylaxie, et sur l’importance d’une consultation spécialisée. » Un appel clair à l’action, qui résonne particulièrement au Niger et en Afrique subsaharienne, où l’accès aux soins spécialisés reste un défi majeur. Pour le grand public, cela se traduit par des conseils concrets : éviter les allergènes connus (poussières, pollens, aliments comme les arachides), porter un auto-injecteur d’adrénaline en cas de risque, et consulter un dermatologue-allergologue dès les premiers symptômes persistants.

 

Vers un Front africain anti-allergies : l’appel révolutionnaire

 

Toutefois, ce congrès n’était pas qu’une tribune pour alerter ; il a aussi été une vitrine pour l’ambition africaine en matière de santé. Le Professeur Salissou Laouali, président de la SONIDEV, a profité de l’occasion pour lancer un appel vibrant à la synergie continentale. « Il est temps de bâtir un réseau africain de Dermatologie-Allergologie, capable de mutualiser nos données, de partager nos expériences et d’influencer les politiques de santé publique et d’enseignement supérieur », a-t-il déclaré. Une vision audacieuse qui vise à combler les lacunes locales : notamment renforcer la recherche sur le terrain, améliorer le diagnostic et la prise en charge des patients, et même développer une « batterie standard africaine » pour tester les allergies – un outil adapté aux réalités locales, loin des protocoles occidentaux souvent inadaptés.

Avant lui, le président du comité d’organisation avait exprimé sa gratitude à tous les acteurs mobilisés pour faire aboutir ce projet ambitieux. Ainsi, la SONIDEV et l’ANAFORCAL, ces deux sociétés savantes nigériennes, se sont en effet fixées des objectifs concrets : booster la recherche locale sur des pathologies comme les dermatites allergiques ou les rhumes des foins tropicaux, sensibiliser les communautés rurales et urbaines, et former les soignants à une prise en charge précoce. « Prévenir, c’est guérir« , pourrait-on résumer, en écho aux messages du ministre.

Le Niger, nouveau phare de la santé africaine

 

Dix jours après cette ouverture prometteuse, le congrès continue de faire des vagues dans les milieux médicaux nigériens et au-delà. Pour les professionnels de la santé, c’est une opportunité de réseautage inédite ; pour le grand public, un rappel salutaire que les allergies ne sont pas de simples « maux de saison », mais un enjeu majeur de santé publique. En conclusion, le dynamisme affiché par le Niger en recherche et innovation place ce pays à l’avant-garde d’une riposte continentale face à ces affections chroniques. Une chose est sûre : dans un monde où le climat change et les pollutions s’intensifient, ignorer ces signaux d’alarme n’est plus une option.

L’heure est à l’action concertée, car la santé de la moitié du continent est en jeu. Reste à savoir si l’élan de Niamey saura se transformer en un mouvement panafricain durable, capable d’inscrire l’allergologie comme une priorité nationale dans chaque pays. Le Niger a lancé le défi ; qui sera le prochain à y répondre ?

Nicolas Sarkozy reconnu coupable d’association de malfaiteurs

Le tribunal correctionnel de Paris reconnaît Nicolas Sarkozy coupable d’association de malfaiteurs. Un verdict historique qui redéfinit les contours de la responsabilité pénale d’un ancien chef d’État.

 

Paris, 25 septembre 2025 — Le tribunal correctionnel de Paris a reconnu Nicolas Sarkozy coupable d’association de malfaiteurs ce jeudi matin. Âgé de 70 ans, l’ancien président de la République a entendu le jugement dans une salle bondée de journalistes et d’observateurs. Ce verdict, attendu par la classe politique française depuis plus de dix ans d’enquête et plusieurs mois de procès, marque un tournant judiciaire majeur. Il écarte les accusations de corruption passive et de recel de détournement de fonds publics, tout en relançant le débat sur l’indépendance de la justice française.

 

Corruption écartée, complicité établie : une condamnation nuancée mais symbolique

 

Le tribunal estime que, entre 2005 et 2007, alors ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy a toléré que ses proches collaborateurs sollicitent un soutien financier auprès du régime libyen de Mouammar Kadhafi pour sa campagne présidentielle de 2007. Par conséquent, l’association de malfaiteurs qualifie un pacte informel impliquant des intermédiaires comme Ziad Takieddine, décédé le 23 septembre à Beyrouth.

Cependant, les juges ont relaxé Sarkozy des chefs de corruption passive, de recel de détournement de fonds publics et de financement illégal de campagne, faute de preuve directe d’un échange d’argent contre des faveurs politiques.

 

Des peines contrastées pour les co-prévenus

 

En mars dernier, le parquet national financier (PNF) avait requis sept ans de prison ferme contre Sarkozy, assortis d’une amende de 300 000 euros et d’une inéligibilité de dix ans. La peine exacte reste à prononcer, mais elle pourrait être assortie d’une peine avec sursis, compte tenu des précédents judiciaires de l’ancien président.

Parmi les douze prévenus :

  • Claude Guéant est condamné pour corruption passive et faux.
  • Brice Hortefeux pour association de malfaiteurs.
  • Alexandre Djouhri pour blanchiment aggravé et trafic d’influence.
  • À l’inverse, Eric Woerth, Ahmed Salem Bugshan et Edouard Ullmo sont relaxés.

 

Une affaire aux ramifications internationales

 

L’affaire Kadhafi remonte à 2012, après la publication d’une note par Mediapart affirmant que la Libye avait versé 50 millions d’euros à la campagne de Sarkozy. Ce dernier a toujours nié les faits, dénonçant un « complot de vengeance » orchestré par les proches du dictateur déchu.

L’enquête du PNF a mobilisé des moyens considérables : perquisitions, écoutes, témoignages de dignitaires libyens et analyses de flux financiers via des sociétés-écrans. Cependant, l’absence de Takieddine au procès, tenu de janvier à avril 2025, et ses déclarations contradictoires ont bousculé le cours de l’histoire judiciaire. Cela a permis à la défense de Sarkozy, menée par Mᵉ Thierry Herzog et Mᵉ Jean-Michel Darrois, de déclarer qu' »aucun élément matériel ne prouvait la corruption », dénonçant ainsi une instruction jugée « fragile » et basée sur des « amalgames ». De fait, le tribunal a écarté la note de Mediapart comme preuve irréfutable.

 

 Sarkozy : un appel immédiat et une image politique fragilisée

 

Nicolas Sarkozy, accompagné de son épouse Carla Bruni et de ses fils, reste stoïque à l’énoncé du verdict. Son avocat, Me Thierry Herzog, annonce immédiatement un appel :

« C’est une victoire sur les faits les plus graves, mais nous combattrons cette condamnation résiduelle qui salit l’honneur de notre client. »

Sarkozy réaffirme son innocence et accuse une « justice politisée » d’avoir prolongé cette affaire pour le discréditer. Ainsi, cette décision intervient à un moment sensible pour la droite française, en pleine recomposition avant 2027.

 

 Sarkozy : une justice sous les projecteurs

 

Ce jugement intervient à un moment sensible pour la droite française, en pleine recomposition avant 2027, et ravive les questions sur la transparence des financements électoraux. En plus, pour Sarkozy, qui se voulait « le président du renouveau », ce verdict entache durablement son image, déjà condamné dans l’affaire des écoutes (« Bismuth ») et en attente d’un pourvoi en cassation dans l’affaire Bygmalion. En définitive, la France s’interroge : la justice a-t-elle servi la démocratie en éclairant cette affaire, ou prolonge-t-elle une période d’incertitude politique ?

L’appel annoncé pourrait devenir la dernière étape d’un marathon judiciaire qui redéfinit les contours de la responsabilité pénale d’un ancien chef d’État.

Niamey : le sang du cœur civique

À Niamey, le don de sang devient un acte civique. Les agents municipaux transforment l’urgence sanitaire en geste de fraternité durable.

Niamey, le 24 septembre 2025— Dans l’intimité de l’infirmerie municipale, où l’air vibre d’une tension palpable mêlée d’altruisme pur, une file discrète d’agents de la Ville de Niamey s’est formée ce matin. Bras tendus, cœurs ouverts, ils ont répondu à l’appel du don de sang – un acte d’une simplicité poignante qui, goutte à goutte, tisse le filet de survie pour des milliers de compatriotes. À l’heure où le Niger ploie sous les défis sanitaires endémiques, cette mobilisation spontanée, impulsée par le Colonel Boubacar Soumana Garanké, premier responsable de la Ville, élève la fraternité au rang de devoir civique impérieux.

Don de sang : un geste vital face à l’urgence nationale

 

Ce geste collectif, survenu aux premières lueurs du jour, n’est pas un épiphénomène isolé, mais l’écho d’une urgence nationale criante. Au Niger, où les besoins en produits sanguins dépassent souvent les capacités de collecte, chaque poche prélevée peut signifier la différence entre l’agonie et la renaissance. Cela est particulièrement vrai pour les femmes en couches, dont sept sur mille succombent encore aux hémorragies postpartum, selon les estimations alarmantes de l’Organisation mondiale de la Santé. Encouragés par leur hiérarchie, ces fonctionnaires – ingénieurs urbains, agents d’entretien, administrateurs zélés – ont incarné l’essence d’un engagement humanitaire viscéral. « Donner son sang, c’est sauver des vies », martèle le communiqué municipal, un rappel solennel que la santé publique n’est pas une abstraction, mais un bien commun à préserver par des actes concrets et généreux.

Face aux pénuries de produits sanguins, la Ville de Niamey mobilise ses agents pour une collecte de sang inédite.

La solidarité, une culture au cœur de l’administration

 

Sous l’égide du Colonel Garanké, figure emblématique de la gouvernance locale qui préside également l’Association des Municipalités du Niger, cette opération s’inscrit dans une dynamique plus large de sensibilisation. Elle témoigne de la résilience d’une administration qui, au-delà des chantiers et des réformes, cultive une culture de la solidarité. Les participants, hommes et femmes anonymes du quotidien niaméen, ont non seulement offert une part d’eux-mêmes, mais ont aussi ravivé la flamme d’une prise de conscience collective. En effet, le sang salvateur manque cruellement pour les accidentés, les opérés et les victimes de crises humanitaires qui jalonnent le Sahel.

Don de sang : un modèle d’espoir pour la communauté

 

À travers cette initiative, la Ville de Niamey se positionne comme un phare de fraternité, invitant chaque citoyen à méditer sur le pouvoir d’un don anonyme. Les agents municipaux, par leur exemple, rappellent que la santé n’est pas un privilège des élites, mais un droit inaliénable, nourri par l’empathie collective. Ensemble, ils forgent un modèle où l’humanité prime sur l’individualisme, transformant les couloirs d’une infirmerie en laboratoire d’espoir partagé.

Au moment où les poches de sang fraîchement collectées rejoignent les réserves vitales des hôpitaux, ce matin de générosité résonne comme un appel lancinant : et vous, prêt à rejoindre la chaîne de la vie ? Suivez les initiatives solidaires sur notre plateforme, car à Niamey, chaque goutte compte pour un Niger plus uni et résilient. Cette initiative exemplaire peut-elle inspirer d’autres villes africaines à faire de la solidarité un pilier de leur gouvernance ?

Niamey renomme ses rues, la mémoire s’ancre

Niamey grave ses héros dans le tissu urbain. Huit voies rebaptisées deviennent les sentinelles d’une mémoire nationale réaffirmée.

 

Niamey, 24 septembre 2025 — Au cœur d’une capitale où chaque coin de rue porte l’empreinte des luttes et des triomphes collectifs, la Ville de Niamey a opéré hier une métamorphose symbolique : huit voies emblématiques ont été rebaptisées pour immortaliser des figures qui ont forgé l’âme du Niger. En effet, cette initiative, loin d’être un simple rituel administratif, résonne comme un acte de justice poétique. Elle invite les générations futures à fouler des pavés chargés d’histoires intimes et nationales, dans un pays qui cultive farouchement sa souveraineté culturelle.

Niamey : la ville célèbre ses bâtisseurs d’histoire

 

C’est sous un ciel clément que le Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville de Niamey et Président de l’Association des Municipalités du Niger, a présidé la cérémonie de dévoilement. Accompagné des familles des défunts, il a dévoilé les nouvelles appellations en présence d’un parterre distingué : membres du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), le Directeur Général de l’Agence Municipale de la Ville (AMV), les Administrateurs Délégués des arrondissements communaux, leaders religieux et communautaires, ainsi que de nombreux invités honorés.

Par ailleurs, cette solennité, empreinte de recueillement et de fierté, a transformé les intersections routières en autels laïcs de la reconnaissance. Cela souligne, par conséquent, comment la toponymie urbaine peut raviver la flamme d’une mémoire nationale souvent éclipsée par les urgences du présent.

La Ville de Niamey a rebaptisé huit artères emblématiques pour honorer des figures historiques et communautaires du Niger. La Ville de Niamey a rebaptisé huit artères emblématiques pour honorer des figures historiques et communautaires du Niger.

Leurs noms gravés dans le marbre de la capitale

 

Les choix d’hommage, minutieusement délibérés, couvrent un spectre riche de contributions : des pionnières de la résilience féminine aux guides spirituels, en passant par des chefs communautaires et des bâtisseurs d’unité.

Voici les transformations phares :

  • La Rue NB 45 porte désormais le nom de Rue Elene Bassy Watara, dite Madame Bassy, en tribut à cette figure maternelle de la communauté, symbole de solidarité et d’engagement social.
  • La Rue NM 15 devient Rue Doulla Tondi, saluant une personnalité dont l’héritage évoque la tenacité face aux défis socio-économiques.
  • La Rue PO 43 est rebaptisée Rue Djeliba Badjé, honorant une femme qui a marqué les annales par son rôle dans la promotion de l’éducation et du développement local.
  • L’intersection des rues KL26 et KL60 – au croisement du Château et de la Grande Mosquée – s’élève en Rond-point Alpha Oumarou Ismaël, célébrant un leader visionnaire dont les efforts ont consolidé les liens intercommunautaires.
  • La voie devant la Mosquée Poudrière se mue en Rond-point Cheikh Aboubacar Hasoumi Koita, un hommage vibrant à ce guide spirituel qui a illuminé les consciences par sa sagesse et son appel à la paix.
  • La Rue BK 68 est désormais Rue Moumouni Moussa, dit « Chef Koutikouli », rendant justice à ce chef charismatique, pilier de la cohésion sociale et de la défense des traditions.
  • La Rue YN 170 devient Rue Aïchatou Tahirou, dite « Dalweyze », en mémoire d’une icône de la culture et de l’émancipation féminine.
  • Enfin, le rond-point du Cimetière Yantala s’affirme comme Rond-point Cheikh Kalidou Djibo, perpétuant l’œuvre d’un érudit religieux dont les enseignements continuent d’inspirer la jeunesse.

une mémoire pour l’avenir

 

Ce geste, orchestré par les autorités municipales, transcende les plaques émaillées : il érige un rempart contre l’oubli, à une époque où les récits ancestraux risquent de s’effilocher sous le poids de la modernité. « Préserver notre mémoire collective et transmettre nos valeurs aux générations futures », a déclaré le Colonel Garanké, soulignant comment ces rebaptêmes ancrent l’identité nigérienne dans le tissu urbain quotidien. À une époque de transitions politiques et sociales, cette initiative renforce le rôle de Niamey comme creuset vivant de l’histoire nationale, invitant chaque passant à une méditation sur les legs invisibles qui tissent la trame d’une nation résiliente.

En somme, cette initiative est une invitation à redécouvrir les villes sous un jour neuf, où chaque nom susurré aux carrefours évoque un chapitre de bravoure collective. Alors que le soleil couchant darde ses rayons sur ces artères renouvelées, Niamey se pose en gardienne vigilante de son passé.

Hydrocarbures : le Niger sécurise ses bâtisseurs

À Niamey, la CNSS lance une caravane inédite pour protéger les travailleurs du secteur de l’hydrocarbures :. Car derrière la manne énergétique, se joue la sécurité vitale de milliers de Nigériens.

Niamey, le 24 septembre 2025 — Sous le ciel implacable du Sahel, où les derricks percent l’horizon comme des phares dans la tempête, des milliers de travailleurs nigériens bravent quotidiennement les ombres invisibles de l’explosion, de l’intoxication chimique et de l’usure inexorable. Aujourd’hui, au deuxième jour d’une initiative nationale majeure, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) déploie une caravane de sensibilisation inédite pour forger une culture de la prévention dans le secteur des hydrocarbures – un pilier économique qui propulse le pays vers l’autosuffisance, mais à quel prix pour ses gardiens du sol ?

Hydrocarbures : un plan de bataille pour la sécurité des travailleurs

Baptisée sous le thème évocateur « La gestion des risques professionnels dans le secteur des hydrocarbures : défis et stratégies de mise en œuvre », cette opération, qui s’étend du 23 au 26 septembre, s’inscrit sous le haut parrainage de Mme Aïssatou Abdoulaye Tondi, Ministre de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi. L’objectif est clair et impérieux : renforcer les mécanismes de prévention des risques spécifiques à l’industrie pétrolière, sauvegarder la vie et la santé des opérateurs, et diffuser des pratiques exemplaires de sécurité.

Dans un Niger où le secteur des hydrocarbures ambitionne de gonfler sa contribution aux recettes fiscales de 19 % à 45 %, et aux emplois salariés de 5 % à 12 %, cette caravane n’est pas un exercice formel : elle est un rempart vital contre les drames qui pourraient freiner cette ascension économique.

La Caisse Nationale de Sécurité Sociale déploie une caravane de sensibilisation sur les risques professionnels dans le secteur Hydrocarbures

Des acteurs clés unis pour la prévention

 

Le lancement officiel, hier à Niamey, a réuni un aréopage représentatif des forces vives du pays. M. Saïdou Maraye Moussa, Conseiller de la Ministre, a incarné l’autorité tutélaire en ouvrant les débats, aux côtés de M. Mamane Alou Arzika, Secrétaire général de la CNSS. De plus, des délégués des syndicats ouvriers, des employeurs pétroliers et des institutions spécialisées ont afflué, témoignant ainsi d’un consensus rare sur l’urgence de l’enjeu. « Protéger nos travailleurs, c’est sécuriser notre avenir collectif », a tonné M. Arzika, soulignant comment cette initiative s’aligne sur la Politique Pétrolière Nationale, qui érige le secteur en « moteur majeur du développement économique et social ».

Au cœur de l’action : formation et outils sur le terrain

 

Au fil des quatre jours, la caravane sillonne les sites clés : ateliers interactifs sur la gestion des fuites gazeuses, simulations d’évacuation face aux incendies, et forums sur l’exposition aux substances toxiques – ces périls qui, selon le Profil National du Niger en Sécurité et Santé au Travail, minent encore trop souvent les industries extractives. Des experts de la CNSS, flanqués de partenaires internationaux, déploieront des outils concrets : protocoles d’évaluation des risques, formations certifiantes et campagnes multimédias pour ancrer ces savoirs dans le quotidien des foreurs et raffineurs. Car si le pétrole nigérien – avec ses gisements prometteurs comme ceux d’Agadem – dope la croissance, il expose aussi ses acteurs à des vulnérabilités exacerbées par les conditions sahéliennes : chaleur extrême, isolement géographique et chaînes logistiques précaires.

 

Hydrocarbures : une prospérité durable, mais à quel prix ?

 

Cette mobilisation résonne comme un appel à la vigilance collective. Derrière les chiffres – 20 % des revenus fiscaux de l’État issus des hydrocarbures, un ratio en pleine expansion – se dressent des familles entières qui attendent le retour sain et sauf de leurs proches. En outre, elle interroge aussi les stratégies nationales : comment transformer les défis en leviers, via une gestion durable des revenus pétroliers qui finance infrastructures sécurisées et programmes de santé ? À l’heure où le Niger accélère sa diversification énergétique, cette caravane pose les bases d’un modèle inclusif, où la manne noire bénéficie à tous sans hypothéquer les vies humaines.

 

À mesure que les caravaniers progressent vers les régions productrices, Niamey vibre d’un espoir pragmatique.Cette initiative peut-elle être le premier pas vers un modèle africain de développement pétrolier où l’humain est au cœur de l’équation économique ?

Le Niger, un géant nucléaire en devenir ?

Le Niger entre dans le cercle restreint des décideurs nucléaires mondiaux. À Vienne, sa diplomatie énergétique s’affirme comme levier stratégique pour l’Afrique.

 

Vienne, 24 septembre 2025 — Dans l’auguste salle de la Hofburg, où les échos des traités historiques se mêlent aux débats sur l’atome pacifique, le Niger a gravé son nom parmi les gardiens de l’énergie nucléaire mondiale. Élu mardi dernier au Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) pour un mandat de deux ans, le pays sahélien affirme sa stature diplomatique et son ambition énergétique. Cette reconnaissance est intervenue au cœur de la 69ᵉ Conférence générale de l’institution, close le 19 septembre.

Ainsi, ce triomphe, survenu dans un contexte de tensions géopolitiques et de course à la souveraineté technologique, n’est pas qu’un honneur protocolaire : il ouvre la porte à une influence décisive sur les normes globales de sécurité et de développement nucléaire.

 

La diplomatie nigérienne s’impose à l’AIEA

 

Cette élection place le Niger aux côtés d’autres nations nouvellement désignées, telles que la Belgique, le Chili, la Jordanie, la Lituanie, le Pérou, les Philippines, le Portugal, la Roumanie, l’Arabie saoudite et le Togo, au sein du Conseil des 35 membres. Instance pivot de l’AIEA, ce Conseil est chargé, entre autres, d’approuver les accords de sauvegarde nucléaire, de valider la publication des normes de sécurité internationales et de formuler des recommandations sur le budget et les programmes de l’Agence à la Conférence générale.

Pour le Niger, producteur historique d’uranium et pivot géostratégique du Sahel, cette adhésion renforce sa crédibilité sur la scène internationale, tout en soulignant le rôle stratégique qu’il entend jouer dans la promotion d’un nucléaire civil responsable et équitable.

 

Stratégie nationale : l’uranium au service du développement

 

À la tête de la délégation nigérienne, le Colonel Maïzama Abdoulaye, Ministre de l’Environnement, de l’Hydraulique et de l’Assainissement, a conduit une équipe composée de la Présidente de la Haute Autorité Nationale à l’Énergie Atomique (HANEA), ainsi que de cadres des ministères concernés, de la HANEA et de l’Autorité de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (ARSN). Leur présence à Vienne incarnait la vision ambitieuse du Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République, Chef suprême des armées et Président du Comité d’Orientation Stratégique pour le Programme Électronucléaire (COSPEN).

De plus, sous son leadership, le Niger accélère sa reconversion vers un programme nucléaire pacifique, scellé en juillet dernier par un mémorandum d’entente avec la Russie (Rosatom) pour la construction d’une centrale électrique nucléaire et la formation d’experts. Ce partenariat, discuté lors d’une rencontre entre le ministre russe de l’Énergie et le Général Tiani, vise aussi à établir une commission intergouvernementale dédiée, marquant l’expansion des ambitions nucléaires russes en Afrique.

 

De fournisseur à acteur : une nouvelle ère pour le Niger

 

Au-delà des applaudissements viennois, cette élection interroge l’avenir énergétique d’un continent assoiffé de progrès. Le Niger, dont les gisements d’uranium attirent une file de prétendants internationaux, transforme sa richesse minière en levier de développement souverain. Face aux défis climatiques et à la dépendance énergétique, ce mandat au Conseil des gouverneurs permettra au pays de peser sur les standards mondiaux, favorisant des transferts de technologies accessibles et une gouvernance inclusive. C’est un signal fort : le Sahel ne sera plus seulement un fournisseur de matières premières, mais un acteur normatif dans la révolution atomique verte.

 

Un avenir prometteur pour le Niger

 

Pour les Nigériens, cette nouvelle sonne comme une promesse d’électrification rurale accélérée, de diversification économique et de sécurité alimentaire via des applications nucléaires en agriculture. À Niamey, où l’électricité reste un luxe pour trop de foyers, l’ombre de l’AIEA se profile désormais comme un allié tangible.

Finalement , le Niger émerge plus que jamais comme un phare diplomatique. En effet, avec cette nouvelle position influente, le pays pourrait-il devenir le catalyseur d’une nouvelle ère énergétique en Afrique, propulsant le continent vers une indépendance technologique et une souveraineté renouvelée ?

 

Un pacte pour l’autosuffisance : le Niger et le PAM face à la faim

À New York, le Niger transforme la diplomatie en levier de souveraineté alimentaire. Face aux défis du Sahel, l’alliance avec le PAM devient une promesse d’abondance durable.

New York, le 24 septembre 2025 – Tandis que les tribunes de l’Assemblée générale des Nations Unies vibrent des discours enflammés sur la paix et le développement durable, un duo inattendu émerge des coulisses : le Premier ministre nigérien, Ali Mahaman Lamine Zeine, et la Directrice exécutive du Programme Alimentaire Mondial (PAM), Cindy McCain. Leur rencontre, survenue hier en marge de la 80ᵉ session, n’est pas un simple échange protocolaire. C’est un serment solennel pour transformer le Niger, pays du Sahel aux défis titanesques, en un bastion de l’autosuffisance alimentaire. Un enjeu qui pourrait bien redessiner le destin de millions d’Africains confrontés à la faim chronique.

En marge de la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU, le Premier ministre nigérien et la Directrice exécutive du PAM ont engagé un partenariat

Le Niger et le PAM : la diplomatie au service de la souveraineté alimentaire

 

Dans les coulisses du siège de l’ONU, les discussions ont porté sur un renforcement décisif de la coopération bilatérale, axé sur la promotion de la sécurité et de la souveraineté alimentaires. Cindy McCain, à la tête du PAM depuis avril 2023, n’a pas tari d’éloges sur les avancées agricoles nigériennes, saluant des initiatives qui, malgré les aléas climatiques, font germer l’espoir dans un sol aride. « Le Niger démontre une résilience exemplaire », a-t-elle déclaré, réaffirmant l’engagement indéfectible de son organisation à soutenir ces efforts. En effet, le PAM, qui fournit une aide vitale en nourriture et nutrition aux populations touchées par les crises au Niger, y compris les déplacés internes et les réfugiés, voit dans ce partenariat une opportunité de bâtir une résilience durable face aux chocs interconnectés du Sahel.

L’agriculture, une priorité nationale pour le Niger

 

De son côté, S.E.M. Ali Mahaman Lamine Zeine, Premier ministre, ministre de l’Économie et des Finances, a planté le décor d’une économie nigérienne où l’agriculture n’est pas un secteur marginal, mais le poumon vital. Elle contribue à près de 40 % du produit intérieur brut (PIB) et emploie 80 % de la population active. Face à l’inflation galopante et aux fluctuations des prix des denrées de base, le gouvernement a multiplié les mesures pour stabiliser les marchés et soutenir les producteurs locaux.

Cependant, le Premier ministre n’a pas éludé les ombres : les défis climatiques exacerbés par le réchauffement global, les pressions migratoires et les tensions sociales exigent un appui international renforcé. « L’agriculture est notre souveraineté », a-t-il insisté, appelant à une mobilisation accrue pour que le Niger ne soit plus un récepteur passif d’aide, mais un architecte de sa propre abondance.

En marge de la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU, le Premier ministre nigérien et la Directrice exécutive du PAM ont engagé un partenariat

Un plan triennal ambitieux pour l’avenir

 

Par ailleurs, le Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur, présent à la table des négociations, a complété ce tableau en dévoilant les priorités triennales 2025-2027. L’objectif est de réduire drastiquement la dépendance à l’aide alimentaire extérieure en boostant la production locale, via des investissements dans l’irrigation, les semences résistantes et les chaînes de valeur agroalimentaires. Ces ambitions s’inscrivent dans une vision plus large : un Niger qui, à l’image des partenariats holistiques du PAM dans la région, transforme la vulnérabilité en force, en intégrant sécurité nutritionnelle, égalité des genres et paix durable.

En marge de la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU, le Premier ministre nigérien et la Directrice exécutive du PAM ont engagé un partenariat

Le Niger et le PAM : une promesse d’espoir pour l’Afrique de demain

 

À l’issue de ces échanges, les deux parties ont scellé une volonté commune de forger un partenariat « durable et stratégique », centré sur le développement agroalimentaire. Pour le grand public nigérien, ces millions de ruraux qui triment sous un soleil impitoyable pour un bol de mil quotidien, cette alliance sonne comme une promesse tangible : des assiettes plus pleines, des marchés plus stables, et un avenir où la faim n’est plus une fatalité.

À l’échelle continentale, cette rencontre illustre comment l’ONU, au-delà des résolutions grandiloquentes, peut catalyser des victoires concrètes contre l’insécurité alimentaire, qui menace encore 2,2 millions de Nigériens selon les analyses récentes.

 

En somme, cette rencontre bilatérale rappelle que la diplomatie se nourrit d’actions. Le Niger, avec le PAM à ses côtés, n’est pas seulement un acteur sur la scène mondiale : il en est le ferment. Quel sera l’impact réel de cet accord sur le quotidien des populations les plus vulnérables ? Le pari de l’autosuffisance deviendra-t-il la nouvelle réalité du Sahel ?

Le Niger en deuil : le « Vieux » Issa Santi, martyr de la paix au Goroual

Issa Santi, figure de la paix au Niger, a été assassiné dans le Goroual, zone oubliée mais stratégique. Son sacrifice, loin d’être vain, interpelle l’État sur l’urgence d’une sécurité durable.

 

Niamey, 24 septembre 2025 – Dans les sables brûlants du Goroual, à quelques encablures du village isolé de Yatakala, un cri étouffé a résonné mardi soir, brisant le silence d’une région oubliée par les cartes administratives. En effet, Issa Santi, figure emblématique de la lutte pour la paix au Niger, a été fauché par la barbarie terroriste. Ce 24 septembre, jour de son enterrement à 15 heures au cimetière musulman de Yantala, le pays entier retient son souffle : qui protégera désormais ces terres ravagées, où les héros comme lui choisissent le sacrifice plutôt que la fuite ?

 

Issa Santi alias le « Vieux » qui refusait d’abandonner les siens

 

Administrateur délégué de la commune rurale du Goroual et coordonnateur régional du Mouvement M62-Moutountchi/Bourtchintarey à Niamey, Issa Santi incarnait l’essence même de la résistance locale. Âgé et respecté – ses camarades l’appelaient affectueusement « le Vieux » –, cet homme au parcours forgé dans l’humilité n’avait pas hésité à regagner son terroir, déserté par les autorités depuis plus de quatre ans.

En effet, au cœur d’une zone minée par l’insécurité, il avait fait le choix le plus audacieux : partager les tourments de sa population, l’organiser face à l’adversaire invisible, et transformer la peur en rempart collectif. « Soldats, nous le sommes, tous ! », clamait l’appel confédéral qu’il portait en lui comme un serment, un mantra de courage quotidien.

 

L’assassinat d’un bâtisseur de justice

 

L’assassinat, survenu dans la soirée du 22 septembre, porte la marque d’une lâcheté calculée. Des terroristes, tapis dans l’ombre des dunes, ont abattu cet artisan de la reconquête pacifique, symbole d’une administration décentralisée qui refuse de capituler. En fait, Issa Santi n’était pas un militaire de métier, mais un bâtisseur de justice : il militait inlassablement pour la paix, défendant les droits des siens dans un Niger où le terrorisme grignote inexorablement les frontières de la vie quotidienne. Son engagement n’était pas un discours lointain ; c’était une présence physique, un partage des souffrances, une humilité qui forçait aussi le respect.

 

Hommage d’une nation à Issa Santi , un héros silencieux

 

Aujourd’hui, la communauté s’est rassemblée pour lui rendre hommage. La levée du corps et l’enterrement sont fixés à 15 heures au cimetière de Yantala, un rituel solennel qui a scellé son passage dans l’histoire. Par ailleurs, les condoléances affluent à son domicile du quartier Maourey, où sa famille éplorée accueille les visiteurs dans un recueillement poignant. Le Comité Exécutif National du M62-Moutountchi/Bourtchintarey, par la voix de son coordonnateur national, Sanoussi Mahaman, exprime « ses condoléances les plus attristées » à ses proches. « Issa Santi est un martyr de la République », déclare le communiqué officiel, soulignant comment ce « sacrifice pour son pays et pour le Goroual en particulier » illumine les ombres de la lutte nationale.

 

Le sacrifice d’Issa Santi, un rappel brutal pour l’État

 

Au-delà du chagrin, cette disparition soulève des questions sur l’avenir de cette région où l’État apparaît parfois comme un simple observateur sans pouvoir. Le Goroual, enclave vulnérable aux incursions jihadistes, attend toujours une protection efficace. Des centaines de familles, comme celles qu’Issa Santi défendait, vivent sous la menace perpétuelle. Par conséquent, comment combler le vide sécuritaire et transformer des civils en « soldats » sans les abandonner ? Telle doit être la préoccupation du gouvernement. Cependant, l’assassinat d’Issa Santi est le rappel brutal que la paix nigérienne ne peut se gagner sur le terrain sans armes.

 

Un flambeau à reprendre, une stratégie à repenser

 

En somme, en cette fin d’après-midi, alors que Niamey bourdonne d’une actualité effervescente, la silhouette d’Issa Santi plane comme un appel à l’action. Qu’Allah, le Clément et Miséricordieux, l’accueille dans son paradis éternel et inspire ceux qui, aujourd’hui, reprennent le flambeau. Son sacrifice pourrait-il être l’électrochoc nécessaire pour une stratégie de sécurité plus efficace et durable, capable de protéger les héros du quotidien ? L’avenir du Goroual se joue dans la réponse à cette question.

Pourquoi la vitesse de retour au centre du court est-elle importante au squash ?

Le squash est l’un des sports les plus dynamiques, où la balle atteint une vitesse supérieure à 250 km/h. Pour réussir, le joueur doit revenir le plus rapidement possible dans la zone centrale après avoir frappé la balle. Des études montrent que les joueurs passent jusqu’à 70 % du match à se déplacer vers le centre. Comme au squash, l’anticipation est essentielle pour un bon pari sportif Sénégal avec 1xbet.sn/fr sur les sports rapides.

La vitesse de retour au centre a une influence directe sur l’issue de l’échange. Si l’athlète a ne serait-ce que 0,5 seconde de retard, son adversaire a la possibilité de contrôler l’angle d’attaque. Les professionnels sont capables d’effectuer jusqu’à 60 sprints par set, chacun durant au maximum 2 à 3 secondes. L’analyse du rythme de jeu vous aide à réussir votre pari sportif Sénégal avec site 1xBet, même en live

Tactique de retour au centre

Les méthodes d’entraînement modernes incluent la simulation de situations de jeu réelles. Les joueurs effectuent des exercices de retour en « position T » jusqu’à 200 fois par entraînement. Cette pratique forme la mémoire musculaire et permet de conserver un rythme correct même en cas de fatigue. Après un match de squash intense, rien de tel que de lancer une machine a sous pour se détendre et tenter sa chance.

Les statistiques du squash mettent en évidence l’importance du retour au centre :

  • Un retard de seulement 0,3 seconde augmente de 20 % les chances de perdre le point.
  • En moyenne, un athlète parcourt jusqu’à 5 km en accélérations courtes pendant un match.
  • Plus de 80 % des attaques réussies commencent précisément à partir de la position centrale.

Les amateurs de réflexes aiment aussi la réactivité des machine 1xBet a sous, où tout se joue en quelques secondes.

Facteur psychologique

Le contrôle de la zone centrale du court permet au joueur de dicter le rythme du match. C’est pourquoi les entraîneurs accordent une attention particulière au développement de la vitesse de réaction et des déplacements. Le retour au centre est la base de l’avantage stratégique au squash. Pour changer de discipline sans perdre le plaisir du pari, essayez de parier sur 1xBet FIFA après un match de squash.

Outre la technique et la condition physique, la confiance du joueur joue un rôle important. Celui qui occupe constamment le centre met la pression sur son adversaire et le force à prendre des risques. Cela augmente non seulement le risque d’erreurs, mais donne également à l’adversaire le sentiment d’être constamment à court de temps. Si vous aimez les sports rapides comme le squash, vous pouvez aussi parier sur le site 1xBet FIFA et vivre la tension balle au pied.

 

Osimhen et les stars de la Premier League : 5 principaux transferts de footballeurs africains à l’été 2025

Selon la FIFA, les clubs de football ont dépensé un montant record de 9,76 milliards de dollars pour recruter de nouveaux joueurs cet été ! Parmi les transactions les plus notables, on compte de nombreux transferts impliquant des joueurs africains. Les visiteurs de 1xBet, le meilleur site de paris sportifs international, ont assisté à plusieurs transferts significatifs simultanément.

 

Victor Osimhen

 

L’attaquant nigérian a officiellement changé Naples pour Galatasaray pour un montant record de 75 millions d’euros. Osimhen a déjà passé la saison 2024/25 en prêt en Turquie avec de solides performances, marquant 37 buts toutes compétitions confondues. L’attaquant est connu pour sa vitesse et sa capacité à conclure les attaques de la tête comme du pied. Il n’est pas surprenant que le club turc ait tout mis en œuvre pour le conserver et construire une ligne offensive autour de ce pilier nigérian.

 

Bryan Mbeumo

 

Le polyvalent camerounais a quitté Brentford pour Manchester United pour 75 millions d’euros. Mbeumo est capable de jouer aussi bien sur l’aile qu’en avant. Il possède une excellente vitesse, un dribble et une capacité à percer dans les zones libres. La saison dernière, il a été le meneur de Brentford et a inscrit 20 buts en Premier League. Manchester United espère que sa créativité et son sens du but aideront le club à retrouver son statut de favori du championnat.

 

Mohammed Kudus

 

Le Ghanéen a coûté à Tottenham pas moins de 63,8 millions d’euros, mais l’ancien joueur de West Ham en vaut largement la peine. Kudus est réputé pour sa capacité à se démarquer de ses adversaires, à évoluer aussi bien sur l’aile qu’en attaque et pour son esprit d’équipe original. Tottenham a retrouvé la Ligue des champions et avait besoin d’une nouvelle star après le départ du légendaire Son. Kudus est parfait pour ce rôle : avec l’Ajax, le Ghanéen a brillé non seulement en championnat, mais aussi en C1, où il a planté 4 pions en 6 apparitions lors de la saison 2022/23. Thomas Frank ne tarit pas d’éloges sur le joueur, auteur de deux passes décisives lors du match d’ouverture du championnat contre Burnley.

 

Yoane Wissa

 

L’accord entre Brentford et Newcastle a été finalisé le dernier jour du mercato. Les « Magpies » ont fait traîner les choses jusqu’à la fin, alors que le joueur s’est mis à faire la grève, exigeant un transfert vers un club plus prestigieux. 57,7 millions d’euros ont néanmoins convaincu Brentford de vendre le Congolais, auteur de 19 réalisations en Premier League la saison dernière. À Newcastle, on espère qu’avec Nick Woltemade, Wissa compensera la perte d’Alexander Isak, parti à Liverpool.

 

Dango Ouattara

 

Le joueur de l’équipe nationale du Burkina Faso évolue sur l’aile, sait casser les reins aux défenseurs en un contre un, trouve rapidement la position avantageuse lors des attaques et est capable de les conclure lui-même. À Bournemouth, il est devenu l’un des joueurs monumentaux, démontrant stabilité et progression durant deux saisons et demie. Cela a suffi à Brentford pour débourser au club la somme record de 42,8 millions d’euros pour le joueur, bonus inclus. Après la perte de Wissa et de Mbeumo, il était crucial pour les Londoniens d’enrôler un joueur offensif épatant, capable de décider à lui seul de l’issue des matchs. Ouattara correspond parfaitement à cette description et, dès le premier match avec son nouveau collectif, l’unique but de Dango a permis à Brentford de s’imposer face à Aston Villa.

 

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