New York, le 7 juin 2024 – Le Yémen a été désigné aujourd’hui premier pays à siéger lors de la prochaine session de l’Assemblée générale des Nations Unies. Cette sélection s’est déroulée conformément à la tradition consistant à tirer un nom au tri parmi les États membres.
Un honneur et une responsabilité pour le Yémen
Le fait d’occuper le premier siège est un honneur et une responsabilité. Le pays désigne ainsi à la responsabilité de présider la première réunion de l’Assemblée générale et de jouer un rôle de premier plan dans l’organisation des travaux de l’instance.
Un contexte difficile pour le Yémen
La désignation du Yémen intervient alors que le pays est en proie à une guerre civile dévastatrice depuis 2014. Cette situation a entraîné une crise humanitaire majeure, avec des millions de personnes déplacées et affamées.
Un message d’espoir
En dépit des difficultés auxquelles il fait face, la nomination du Yémen souhaite en tant que premier pays à siéger transmettra un message d’espoir et de résilience à l’échelle mondiale.
Le pays profitera également de cette occasion pour attirer l’attention de la communauté internationale sur la crise humanitaire qu’il traverse. La session devrait débuter en septembre 2024.
Enjeux de la désignation
La désignation du Yémen comme premier pays à siéger est importante pour plusieurs raisons. Elle permet de mettre en lumière la situation difficile qui traverse le pays et de sensibiliser la communauté internationale à la crise humanitaire qui y sévit. Elle permet également au Yémen de jouer un rôle plus important sur la scène internationale et de faire entendre sa voix.
Conclusion
La désignation du Yémen comme premier pays à siéger lors de la prochaine Assemblée générale des Nations Unies est une occasion importante pour le pays de se faire entendre et de défendre ses intérêts. Le Yémen espère que cette occasion permettra de mobiliser un soutien international accumulé pour mettre fin à la guerre civile et pour reconstruire le pays.

« Nous vivons dans un monde de prédateur et pour avoir la paix, il faut parfois faire la guerre. Alors, engagez-vous dans cette lutte », a insisté le président Traoré, insufflant ainsi un esprit de résilience parmi les troupes. Le matériel distribué, qui inclut des blindés spécialisés contre les engins explosifs improvisés, de l’armement lourd, des munitions et des équipements de génie militaire, est destiné à améliorer les capacités offensives des forces armées dans leur combat tenace contre le terrorisme.
Le général Kassoum Coulibaly, ministre de la Défense, a exprimé la reconnaissance des forces armées envers le président Traoré pour son soutien constant dans l’acquisition d’équipements militaires avancés. Il a également salué le peuple burkinabè pour son soutien financier sans faille, reflétant une solidarité nationale face à la menace terroriste.
Un partenariat crucial pour les communautés sahéliennes
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