juin 2025 - Page 2 sur 10 - Journal du Niger

Niger : La MSAE révèle ses ambitions pour les fonctionnaires

Assemblée Générale de la MSAE : Une Session Placée sous le Signe de la Transparence et de la Solidarité

Niamey, 27 juin 2025 – La Mutuelle de Santé des Agents de l’État (MSAE) a tenu, le jeudi 26 juin 2025, sa session ordinaire de l’Assemblée Générale, un rendez-vous annuel incontournable pour des milliers de fonctionnaires. Présidée par l’énergique Madame Aïssatou Abdoulaye Tondi, Ministre de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi, cette rencontre a non seulement mis en lumière les valeurs fondamentales de la mutuelle – transparence, solidarité et performance – mais a aussi réaffirmé l’engagement indéfectible du ministère à soutenir le bien-être de ses agents.

Assemblée générale de la MSAE : un bilan solide, de nouveaux horizons 

L’Assemblée Générale de la MSAE constitue un moment clé pour dresser le bilan des actions menées au cours de l’année écoulée et définir les perspectives pour l’avenir. En effet, dans un contexte où la santé et le bien-être des fonctionnaires sont des priorités nationales, cette session a permis de passer en revue les performances financières et opérationnelles de la mutuelle, tout en mettant l’accent sur les défis à relever pour garantir une couverture santé optimale.

Accès aux soins et gestion optimisée : Les clés de la réussite 

Sous la houlette de Mme Tondi, les discussions ont porté sur plusieurs axes stratégiques : l’amélioration de l’accès aux soins, l’optimisation de la gestion des ressources et le renforcement de la communication avec les adhérents. Ainsi, les rapports présentés ont souligné une gestion rigoureuse et transparente des cotisations, permettant à la MSAE de maintenir une stabilité financière tout en répondant aux besoins croissants de ses membres.

La MSAE réaffirme son engagement pour la transparence, la solidarité et la performance lors de son Assemblée Générale annuelle, La Solidarité, cœur battant de la Mutuelle 

La MSAE, en tant que structure mutualiste, repose sur un principe fondamental : la solidarité entre les agents de l’État. Lors de son allocution, la Ministre a rappelé l’importance de cet esprit collectif pour assurer une protection sociale efficace. Elle a déclaré avec conviction : « La mutuelle est bien plus qu’une institution, c’est un pacte de solidarité qui garantit à chaque agent de l’État un accès équitable à des soins de qualité », suscitant l’approbation des participants.

Un impact concret : quand la Mutuelle change des vies 

Cette session a également été l’occasion de saluer les efforts des gestionnaires et des partenaires de la MSAE, qui œuvrent au quotidien pour faciliter l’accès aux services médicaux, notamment dans les zones reculées. De surcroît, des témoignages d’adhérents ont mis en lumière l’impact concret de la mutuelle sur leur quotidien, renforçant ainsi le sentiment d’appartenance à une communauté solidaire.

La MSAE réaffirme son engagement pour la transparence, la solidarité et la performance lors de son Assemblée Générale annuelle, Engagement ministériel : le bien-être des fonctionnaires, une priorité absolue 

La présence de Mme Aïssatou Abdoulaye Tondi à la présidence de cette assemblée témoigne de l’engagement du ministère de la Fonction Publique, du Travail et de l’Emploi à accompagner la MSAE dans ses missions. La Ministre a réaffirmé la volonté du gouvernement de soutenir toutes les initiatives visant à améliorer les conditions de vie et de travail des fonctionnaires. Elle a assuré : « Le bien-être des agents de l’État est une priorité absolue. » « Nous continuerons à œuvrer aux côtés de la MSAE pour garantir une couverture santé performante et accessible à tous. »

Modernisation en marche : la digitalisation et la prévention en ligne de mire 

Cet engagement se traduit également par des actions concrètes, notamment le renforcement des partenariats avec les structures de santé et l’exploration de nouvelles solutions pour élargir les services offerts par la mutuelle. À cet égard, parmi les perspectives évoquées figurent la digitalisation des démarches administratives et l’introduction de nouveaux programmes de prévention santé.

La MSAE réaffirme son engagement pour la transparence, la solidarité et la performance lors de son Assemblée Générale annuelle, MSAE : Cap sur l’avenir, la confiance renforcée 

L’Assemblée Générale de la MSAE s’est conclue sur une note d’optimisme, avec des résolutions adoptées à l’unanimité pour consolider les acquis et relever les défis futurs. Les participants ont salué l’esprit de collaboration qui a prévalu tout au long de la session, ainsi que la clarté des orientations stratégiques présentées.

La MSAE, pilier essentiel de la protection sociale au Niger 

En plaçant la transparence, la solidarité et la performance au cœur de ses priorités, la MSAE s’affirme comme un pilier essentiel du système de protection sociale des agents de l’État. Cette assemblée générale, marquée par un dialogue ouvert et constructif, envoie un signal fort : la mutuelle est prête à relever les défis de demain pour garantir à ses membres une couverture santé à la hauteur de leurs attentes, consolidant ainsi la confiance et le bien-être de la fonction publique nigérienne !

L’UE frappe Nathalie Yamb ! Interdite d’Europe et biens gelés

Nathalie Yamb, figure panafricaniste, déclarée persona non grata par l’Union européenne

Bruxelles, 27 juin 2025 –  Dans une décision retentissante publiée ce jeudi 26 juin 2025 au Journal officiel de l’Union européenne, le Conseil européen a imposé des sanctions sévères à l’encontre de Nathalie Yamb, activiste helvético-camerounaise et figure emblématique du panafricanisme. Désormais interdite d’entrée sur le territoire de l’UE, elle voit également ses avoirs financiers gelés dans les pays membres. Cette mesure drastique, visant à contrer les « activités déstabilisatrices » liées à la Russie, place Yamb au cœur d’un débat géopolitique complexe, entre souveraineté africaine, désinformation et luttes d’influence mondiales. Quel message l’UE envoie-t-elle à travers cette décision choc ? Et comment Nathalie Yamb, figure si controversée, réagira-t-elle à cette offensive sans précédent ?

Sanction Euro-Russe : les raisons officielles derrière la chute de Yamb

Le Conseil européen justifie sa décision en accusant Nathalie Yamb de « soutenir des actions ou des politiques du gouvernement russe qui portent atteinte ou menacent la démocratie, l’État de droit, la stabilité ou la sécurité dans l’Union ou dans ses États membres en recourant à la manipulation de l’information ». Plus précisément, l’UE reproche à l’activiste ses liens présumés avec des entités russes, notamment le groupe Wagner, et son rôle dans la diffusion de narratifs pro-Moscou visant à affaiblir l’influence occidentale, en particulier française, en Afrique.

Cette sanction s’inscrit dans une série de mesures restrictives adoptées par l’UE depuis octobre 2024 pour contrer les « menaces hybrides » russes, incluant la désinformation et les campagnes d’influence. Yamb, qui s’était déjà vu interdire l’entrée en France en janvier 2022 pour des prises de position anti-françaises, est désormais persona non grata dans l’ensemble de l’espace Schengen, une mesure accompagnée d’un gel de ses avoirs financiers et d’une interdiction de tout financement direct ou indirect à son bénéfice.

Nathalie Yamb : Parcours d’une Panafricaniste controversée au Cœur de la tempête

Nathalie Yamb, 55 ans, est une personnalité bien connue pour son militantisme panafricaniste et ses critiques virulentes de la Françafrique et du franc CFA. Née à La Chaux-de-Fonds, en Suisse, d’un père camerounais et d’une mère suisse, elle a grandi au Cameroun avant de poursuivre des études en sciences politiques et journalisme en Allemagne. Sa carrière l’a menée de postes dans l’industrie télévisuelle européenne à des rôles stratégiques en Afrique, notamment dans la communication et les ressources humaines.

Depuis les années 2010, Yamb s’est imposée comme une influenceuse de premier plan, cumulant plus de 1,8 million d’abonnés sur YouTube, Facebook, Instagram et X. Ses discours, qui dénoncent l’exploitation néocoloniale et prônent une souveraineté africaine radicale, résonnent particulièrement auprès d’une jeunesse africaine en quête d’émancipation. Cependant, ses prises de position pro-russes, notamment depuis le sommet Russie-Afrique de Sotchi en 2019, et sa participation en tant qu’« observatrice internationale » aux référendums controversés dans l’est de l’Ukraine en 2022, ont attiré l’attention des autorités européennes.

Son expulsion de Côte d’Ivoire en décembre 2019, ordonnée par le président Alassane Ouattara pour « activités incompatibles avec l’intérêt national », avait déjà marqué un tournant dans son parcours, renforçant son image de résistante face aux pouvoirs établis. De fait, cette nouvelle sanction européenne pourrait consolider son statut de martyre auprès de ses partisans, tout en accentuant les critiques de ceux qui l’accusent de relayer la propagande russe.

Silence de Yamb : stratégie ou choc ? Les réseaux sociaux en ébullition

Pour l’heure, Nathalie Yamb n’a pas réagi publiquement à ces sanctions, un silence inhabituel pour une personnalité connue pour sa présence active sur les réseaux sociaux. Ce mutisme, rapporté par plusieurs sources, pourrait être une stratégie pour évaluer l’impact de la décision ou préparer une riposte médiatique d’envergure. Sur X, les réactions sont polarisées : certains saluent son travail tout en notant la réponse européenne, tandis que d’autres décrivent Yamb comme une menace hybride pour ses narratifs pro-Moscou.

Des observateurs estiment que d’autres figures panafricanistes, comme Kémi Séba ou Alain Foka, pourraient également être visées par des sanctions similaires, reflétant une volonté de l’UE de contrer les relais d’influence russes en Afrique. En parallèle, des voix critiques, notamment sur X, accusent l’UE d’hypocrisie, arguant que ces sanctions visent à museler les voix dissidentes africaines sous couvert de lutte contre la désinformation.

Enjeux géopolitiques : L’Afrique au cœur de la guerre d’influence Europe-Russie

Cette mesure s’inscrit dans un contexte de rivalité accrue entre l’Occident et la Russie pour l’influence en Afrique. Depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022, l’UE a intensifié ses efforts pour contrer les campagnes de désinformation et les réseaux d’influence russes. Nathalie Yamb, avec son audience massive et son discours anti-occidental, est perçue comme un relais clé de ces narratifs, ce qui explique la sévérité des sanctions.

Cependant, cette décision pourrait avoir un effet paradoxal. En faisant de Yamb une figure encore plus controversée, l’UE risque d’amplifier son aura auprès de ceux qui voient en elle une voix de la résistance africaine. « En sanctionnant Nathalie Yamb, l’UE prend le risque de la transformer en héroïne pour une partie de la jeunesse africaine », note un analyste politique, sous couvert d’anonymat. À l’inverse, pour les détracteurs de Yamb, cette mesure est un signal fort contre la propagation de narratifs conspirationnistes qui menacent la stabilité régionale.

Aux Africains : décrypter les enjeux derrière la sanction de Nathalie Yamb

Pour les citoyens africains, cette affaire met en lumière les tensions entre les aspirations à la souveraineté et les luttes d’influence géopolitique. Nathalie Yamb incarne un discours qui résonne avec les frustrations de nombreux Africains face à l’héritage colonial et à l’influence persistante des puissances occidentales. Toutefois, ses liens présumés avec la Russie soulèvent des questions sur les motivations derrière son activisme et sur les risques d’instrumentalisation par des acteurs extérieurs.

Les Africains doivent également comprendre que cette sanction, bien qu’elle n’affecte pas directement la présence de Yamb en Suisse (pays non membre de l’UE), limite sa capacité à opérer dans l’espace européen et pourrait restreindre ses ressources financières. Cela pourrait affecter sa visibilité, mais aussi galvaniser ses partisans, qui pourraient y voir une tentative de censure. Dans un contexte où la désinformation est un défi majeur, les citoyens sont appelés à faire preuve de discernement face aux narratifs polarisants, qu’ils viennent de l’Occident, de la Russie ou d’ailleurs.

Après la sanction : vers une nouvelle bataille de l’information en Afrique ?

Alors que l’UE intensifie sa lutte contre les réseaux pro-russes, l’affaire Nathalie Yamb marque une nouvelle étape dans la guerre informationnelle qui se joue en Afrique. Son silence actuel ne fait qu’alimenter les spéculations sur sa prochaine démarche. Répondra-t-elle par une offensive médiatique retentissante ou optera-t-elle pour une stratégie de repli ? Une chose est certaine : cette sanction ne mettra pas fin aux débats houleux sur la souveraineté africaine et les influences extérieures. Au contraire, elle pourrait redessiner les lignes de fracture dans l’espace public africain, et intensifier encore davantage la bataille des récits. Le rideau vient de se lever sur un nouveau chapitre de cette confrontation idéologique.

De Diallo à Guirassy : les meilleurs joueurs africains de la saison

La marque de portée mondiale 1xBet résume la saison 2024/2025 et présente ses meilleurs footballeurs africains, ceux dont le jeu a marqué les esprits dans les principaux championnats européens.

 

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Mohamed Salah

L’Égyptien a renforcé davantage sa légende au cours de cette saison. Ses dribbles époustouflants, ses offrandes précises et ses buts spectaculaires ont permis à Liverpool de décrocher un vingtième titre historique de champion d’Angleterre.

Avec 29 réalisations, Salah est devenu le meilleur buteur de Premier League, et ses 18 assists lui ont également valu le titre de meilleur passeur. Au total, Mohamed a réalisé 47 actions efficaces, répétant le record d’Andy Cole et d’Alan Shearer : tous deux avaient atteint ce chiffre à l’époque où la Premier League se jouait en 42 journées.

De plus, Salah a été nommé “Joueur de la saison” en Premier League et “Footballeur de l’année” par la Football Writers’ Association pour la troisième fois de sa carrière.

Sans l’élimination prématurée de Liverpool en Ligue des champions, Mohamed aurait été un prétendant sérieux au Ballon d’Or, mais même sans cette récompense, l’Égyptien reste l’un des plus grands joueurs africains de l’histoire.

Serhou Guirassy

L’attaquant du Borussia a produit la saison la plus prolifique de sa carrière. Auteur de 21 réalisations en Bundesliga, Guirassy est également devenu le premier footballeur africain à devenir meilleur buteur de la Ligue des champions. Serhou a partagé ce titre avec l’ailier barcelonais Rafinha, tous deux scorant 13 fois.

L’attaquant guinéen a impressionné par sa force physique et sa capacité à bien choisir sa position, ainsi que par son sang-froid et son calcul à la finition des attaques.

Achraf Hakimi

Le latéral droit marocain peut être considéré à juste titre comme le meilleur joueur du monde à son poste. Durant la saison écoulée, il a été l’un des leaders du Paris Saint-Germain et a contribué à un triplé historique pour le partenaire officiel de 1xBet.

C’est le pion d’Achraf qui a marqué le début de la victoire écrasante contre l’Inter en finale de la Ligue des champions. Hakimi a enfoncé 9 buts et délivré 14 passes décisives toutes compétitions confondues. L’international marocain a également figuré dans les équipes emblématiques du championnat de France et de la Ligue des champions.

Amad Diallo

Le jeune ailier est devenu l’un des rares points forts de Manchester United. Ce jeune talent de 22 ans prenait régulièrement l’initiative et, grâce à sa vitesse explosive et à sa technique précise, créait des occasions dangereuses à partir de rien. Lors du match contre Southampton, il a inscrit un superbe triplé, marquant des buts pour tous les goûts.

Les passages en solo sont devenus la véritable marque de fabrique d’Amad, et les statistiques témoignent de sa grande efficacité : en 43 matchs pour Manchester United, il affiche un bilan de 11 buts et 10 assists à ses coéquipiers.

Fin janvier, Diallo a été nommé “Joueur du mois” au club et son but phénoménal contre Manchester City a été élu “But de la saison” par les supporters des Red Devils.

Bryan Mbeumo et Yoane Wissa

Le duo de feu de Brentford a tout simplement ravagé la Premier League anglaise lors de la saison 2024/2025. Mbeumo a fait trembler les filets 20 fois, suivi de près par Wissa, qui a surpris ses adversaires à 19 reprises. De plus, le Camerounais et le Congolais ont totalisé 13 assists, offrant la plupart du temps des services l’un à l’autre.

Sur le terrain, Bryan et Yoane ont fait preuve d’une complémentarité exceptionnelle, ce qui les a rendus redoutables pour la défense adverse. Lors du match contre Brighton, le duo africain a planté trois buts à lui seul, tandis que le gardien d’Ipswich est allé chercher le ballon dans ses filets à quatre reprises suite aux actions de Mbeumo et Wissa.

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Dosso : Le BEPC 2025 démarre sous le signe de l’intégrité

Dosso sonne l’heure du mérite scolaire : le BEPC 2025 lancé sous le sceau de l’éthique et de l’engagement civique

Dosso, jeudi 26 juin 2025 – La région de Dosso a lancé aujourd’hui les épreuves du Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC), session de juin 2025, dans une atmosphère empreinte de discipline et de sérieux. La cérémonie inaugurale s’est déroulée au Collège d’Enseignement Général N°2 (CEG2) de Dosso, sous la présidence du Gouverneur de la région, le Colonel-Major Bana Alhassane. Un parterre d’autorités éducatives, d’encadreurs, de forces de sécurité et de représentants de parents d’élèves était également présent pour l’occasion.

Le Gouverneur appelle les candidats à la confiance et à l’honnêteté

Dans une allocution empreinte de rigueur morale et de bienveillance, le Colonel-Major Bana Alhassane a salué l’organisation méthodique mise en place par la Direction Régionale de l’Éducation. Il a ensuite délivré un message de confiance mesurée aux candidats : « Je vous exhorte à aborder ces épreuves avec calme, confiance et honnêteté. Ce que vous allez écrire est le fruit de votre travail et de vos efforts durant toute l’année scolaire. » Cet appel au mérite personnel et à l’intégrité intellectuelle a marqué les esprits.

 Le BEPC 2025 démarre à Dosso avec près de 16 500 candidats, sous l'œil vigilant du Gouverneur qui appelle à l'intégrité et au mérite pour un examen crucial.Un enjeu majeur pour Dosso : Près de 16 500 candidats au BEPC

Cette année, 16 497 candidats, dont 8 310 jeunes filles, sont répartis dans 46 centres d’examen à travers la région de Dosso. Ces chiffres témoignent de l’ampleur de cet examen national et des efforts collectifs déployés pour garantir un accès équitable à la validation académique. En ouvrant officiellement l’enveloppe scellée de la première épreuve de rédaction, le Gouverneur a non seulement donné le coup d’envoi, mais a également souligné l’importance citoyenne de cette évaluation.

Le BEPC 2025 démarre à Dosso avec près de 16 500 candidats, sous l'œil vigilant du Gouverneur qui appelle à l'intégrité et au mérite pour un examen crucial.Une organisation rodée et une lutte contre la fraude renforcée

Prenant la parole à son tour, le Directeur Régional de l’Éducation, M. Issa Mandanda, s’est montré rassurant. Par ailleurs, il a confirmé que l’infrastructure logistique est « fin prête », que les dispositifs de surveillance sont optimisés et que les mécanismes de prévention de la fraude ont été renforcés. Il a aussi salué la mobilisation transversale des acteurs administratifs, sécuritaires et éducatifs, gage d’un examen fluide, crédible et juste.

Le Gouverneur sur le terrain pour un lancement réussi

Dans la continuité de la cérémonie d’ouverture, le Gouverneur, accompagné de son équipe, a effectué une tournée d’inspection dans plusieurs centres d’examen de la ville. En effet, l’objectif était de s’assurer du bon déroulement des épreuves et d’encourager tous les acteurs impliqués dans cet exercice d’importance capitale pour la République.

À Dosso, le BEPC 2025 est bien plus qu’une simple épreuve scolaire : il représente un rite de passage collectif, une affirmation silencieuse, mais puissante de la nation éducative en marche, où rigueur morale, égalité des chances et excellence se conjuguent pour bâtir l’avenir.

Niamey : Le Ministre de la Défense inspecte l’élite militaire

Vers une armée doctrinale et souveraine : le Niger renforce son sanctuaire académique militaire

Niamey, 26 juin 2025 — Dans un contexte géopolitique régional en pleine mutation, la formation militaire supérieure est plus que jamais un pilier de la souveraineté. C’est dans cette optique que le Ministre d’État, Ministre de la Défense Nationale, le Général d’Armée Salifou Mody, a mené une visite d’inspection et d’évaluation des deux niveaux de l’École Militaire Supérieure (EMS) – les Écoles des Cours d’État-Major et de Guerre – les 24 et 25 juin 2025. Cette démarche illustre une volonté forte de gouvernance stratégique et de renforcement du lien hiérarchique entre les hautes instances militaires et leurs structures de formation.

Au cœur de la formation des Officiers : De l’État-Major à la guerre stratégique

Accompagné du Chef d’État-Major des Armées, le Général de Division Moussa Salaou Barmou, le Ministre d’État a d’abord visité l’École des Cours d’État-Major, qui en est à sa quatrième promotion. Cette école est dédiée à la formation rigoureuse des officiers appelés à intégrer les cellules d’état-major. Il a ensuite poursuivi sa mission à l’École de Guerre, dans sa phase inaugurale, une institution cruciale pour préparer les officiers supérieurs à la conduite des grandes unités et à la prise de décisions stratégiques en matière de défense.

À chaque étape, le Général Salifou Mody a dialogué directement avec les responsables pédagogiques. Les discussions ont porté sur l’architecture des programmes, l’état des infrastructures et l’adéquation des contenus académiques aux exigences opérationnelles actuelles. Par ailleurs, ce contrôle minutieux s’est doublé d’un hommage vibrant aux instructeurs pour leur enseignement éclairé et aux stagiaires pour leur engagement rigoureux et patriotique.

Le Ministre d'État, Général Salifou Mody, inspecte l'école militaire supérieure de Niamey, soulignant l'importance de la formation Le Ministre d'État, Général Salifou Mody, inspecte l'école militaire supérieure de Niamey, soulignant l'importance de la formation

Soutien Stratégique : L’EMS, laboratoire de la pensée militaire souveraine

Plus qu’un simple contrôle de routine, cette immersion s’est voulue une manifestation tangible du soutien moral de la haute hiérarchie envers ses jeunes officiers. Le Ministre d’État a magnifié le rôle de ces lieux d’excellence, les érigeant en véritables laboratoires doctrinaux où se forge une pensée stratégique ancrée dans les réalités du terrain, mais orientée vers la projection de puissance, la préservation des intérêts souverains et le maintien de l’influence régionale.

La Résilience, nouveau credo doctrinal des forces armées nigériennes

Dans un discours d’une rare intensité, le Général d’Armée a insisté sur l’impératif d’ériger la résilience en matrice doctrinale. Il a affirmé que la résilience, bien plus qu’un simple réflexe de défense, constitue une composante culturelle indissociable de l’identité militaire nationale. Il a exhorté les stagiaires à s’approprier cette résilience comme une capacité de réflexion et un outil d’autonomie doctrinale, s’éloignant ainsi des modèles exogènes souvent inadaptés aux défis spécifiques de la sous-région.

Le Ministre d'État, Général Salifou Mody, inspecte l'école militaire supérieure de Niamey, soulignant l'importance de la formation

L’AES renforce la coopération militaire : Mali et Burkina Faso au cœur de la formation

Le Ministre d’État s’est par ailleurs réjoui de la présence de stagiaires maliens et burkinabè, soulignant la dimension intégratrice de la dynamique de l’AES (Alliance des États du Sahel) qui imprègne désormais les sphères de formation militaire. Cette composante transnationale est, selon lui, une preuve éclatante de la volonté partagée de construire un socle doctrinal commun fondé sur la mutualisation des expériences et la réaffirmation d’une souveraineté assumée.

Le Ministre d'État, Général Salifou Mody, inspecte l'école militaire supérieure de Niamey, soulignant l'importance de la formation Le Ministre d'État, Général Salifou Mody, inspecte l'école militaire supérieure de Niamey, soulignant l'importance de la formation Un appel aux futurs chefs militaires : Lucidité stratégique et vision souverainiste

Enfin , clôturant sa visite, le Ministre d’État a lancé un appel vibrant aux futurs chefs militaires. Il les a invités à embrasser pleinement la vision souverainiste portée par les autorités nationales et à se préparer, avec clairvoyance et détermination, aux défis multiformes d’un monde en constante redéfinition. Il a réitéré, avec gravité, l’exigence d’un commandement nourri par la lucidité stratégique, un sens aigu de l’intérêt national et une ouverture critique sur les paradigmes de défense les plus innovants.

Agadez : Le BEPC 2025 démarre sous le signe de la détermination

Agadez inaugure la session 2025 du BEPC : un rituel académique sous le sceau de la rigueur et de l’espoir

Agadez, jeudi 26 juin 2025 Le lever du jour s’est teinté d’une solennité particulière dans la cité de l’Aïr, alors que le Gouverneur de la région d’Agadez, le Général de Division Ibra Boulama Issa, donnait officiellement le coup d’envoi des épreuves écrites du Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC), session 2025. Entouré d’un aréopage de personnalités civiles et militaires, et en présence d’acteurs engagés du monde éducatif, l’autorité régionale a présidé une cérémonie de lancement empreinte de gravité et de ferveur, au sein du Complexe d’Enseignement Secondaire Mai Maga Oumara, haut lieu de formation de la jeunesse d’Agadez.

Le BEPC 2025 démarre à Agadez avec plus de 5 000 candidats, marquant une étape cruciale pour l'éducation et l'avenir de la région,

Le Gouverneur exhorte les candidats à la concentration et vise un taux de réussite historique

Dans une adresse sobre mais pénétrante, le Gouverneur a exhorté les candidats à s’approprier l’instant avec acuité, à bannir la précipitation et à se concentrer avec constance. Il leur a prodigué ses vœux de réussite, exprimant l’espérance lucide de voir la région s’illustrer par un taux d’admission significatif, gage d’une dynamique éducative conquérante.

Au-delà des discours, cette matinée augurale fut également l’occasion pour le Général Boulama Issa de saluer les efforts multiformes déployés par le Gouvernement, tant au niveau central que régional, pour garantir la tenue harmonieuse de cet examen national, pivot du parcours scolaire. Il a tenu à souligner l’abnégation des équipes pédagogiques, des encadreurs et des responsables administratifs qui, dans l’ombre, œuvrent à la préservation de l’intégrité et de l’égalité des chances au sein de l’espace éducatif.

Le BEPC 2025 démarre à Agadez avec plus de 5 000 candidats, marquant une étape cruciale pour l'éducation et l'avenir de la région,

Chiffres Clés : Plus de 5 000 candidats et une forte Présence féminine au BEPC 2025 à Agadez

La région d’Agadez aligne cette année 5 331 candidats, répartis en 4 862 issus du système classique et 469 relevant du franco-arabe, témoignant d’une diversité de filières et d’un engouement soutenu pour l’enseignement secondaire. Parmi eux, 3 247 sont des jeunes filles, reflet d’un progrès tangible en matière de scolarisation féminine dans une zone historiquement confrontée à de multiples défis. La cartographie régionale des examens dénombre 18 centres d’examen, dont 7 dans la ville d’Agadez (accompagnés de 6 jurys) et 6 à Arlit (dotés de 4 jurys), assurant une couverture spatiale proportionnée et efficiente.

Le BEPC 2025 démarre à Agadez avec plus de 5 000 candidats, marquant une étape cruciale pour l'éducation et l'avenir de la région, Ainsi s’ouvre, dans le silence studieux des salles de composition, une séquence décisive pour des milliers de jeunes consciences, dont le destin scolaire se dessine à la pointe du stylo. Le BEPC à Agadez n’est pas seulement un examen : il incarne l’espérance, la persévérance et la volonté farouche d’une région de bâtir son avenir par l’éducation.

 

Niger : 95 Millions $ de la BID pour Kandadji

Niamey : Le Premier Ministre Zeine multiplie les sommets clés pour l’avenir du Niger 

Niamey, 6 juin 2025 – Le cabinet du Premier Ministre, également Ministre de l’Économie et des Finances, S.E. Ali Mahaman Lamine Zeine, a été le théâtre d’une intense activité diplomatique le mercredi. Trois audiences majeures y ont réuni des partenaires clés du développement : la Banque Islamique de Développement (BID), l’Union Européenne et des coordonnateurs de projets. Objectif : affiner les synergies et mobiliser des ressources décisives dans un contexte économique tendu.

Un milliard de dollars mobilisés : la BID réaffirme son ancrage au Niger

En tête d’affiche, la rencontre avec Hammad Zafar Hundal, Directeur du Bureau régional de la BID, venu en mission à Niamey du 23 au 26 juin. Le ton est donné : la BID reste un acteur de poids, avec plus d’un milliard de dollars engagés depuis le début de son partenariat avec le Niger.

Par ailleurs, les discussions ont porté sur les moyens de renforcer cet appui dans des secteurs structurants — agriculture, éducation, santé, énergie, transports — dans un alignement assumé avec le DSRP, le programme gouvernemental de résilience. Une volonté partagée de consolider les fondations du développement inclusif, malgré les vents contraires du contexte régional.

Kandadji : une relance stratégique avec 95 millions de dollars supplémentaires

Parmi les projets phares, celui du barrage de Kandadji a occupé une place centrale. Lancé à la suite d’une table ronde en 2007, ce projet hydroélectrique stratégique pourrait bénéficier d’un financement additionnel de 95 millions de dollars de la BID. Cette enveloppe s’ajouterait aux 50 millions alloués en 2008, sous réserve de la validation technique des études.

En outre , le barrage ambitionne de répondre aux défis croisés de l’irrigation, de la production énergétique et de l’adaptation climatique, redéfinissant les contours de la sécurité hydrique et alimentaire du pays.

Infrastructures et énergies renouvelables : la BID mise sur l’avenir

Connectivité régionale, corridors logistiques, et transition énergétique sont également dans le viseur. La BID explore de nouveaux leviers d’impact à travers des investissements dans les routes et le solaire — preuve d’une approche tournée vers la résilience et la compétitivité sous-régionale.

À noter enfin, l’annonce par la BID d’une revue à mi-parcours de sa stratégie 2023–2026 avec le Niger. Un exercice prévu d’ici fin 2025 pour ajuster l’action de la Banque aux nouvelles priorités nationales. Signe d’une coopération souple, réactive et orientée résultats.

Le Premier Ministre nigérien Ali Mahaman Lamine Zeine mène des entretiens stratégiques avec la BID et l'UE, scellant des partenariats cruciaux pour l'économie et le développement du Niger.

Union Européenne, projets en cours : poursuivre l’harmonisation

Autre moment fort : la rencontre avec le Chargé d’Affaires de l’Union Européenne, centrée sur l’approfondissement d’un partenariat crucial. Parallèlement, l’audience accordée aux coordonnateurs de projets a permis aussi de renforcer la cohérence entre les initiatives en cours et les objectifs stratégiques de l’État.

Par ces échanges, le Premier Ministre confirme son rôle de catalyseur dans la diplomatie économique du Niger. Dans une conjoncture exigeante, son agenda de coopération trace les contours d’un pays décidé à transformer les défis en leviers de croissance partagée.

Le Niger et la Suisse scellent un partenariat clé pour l’avenir

Coopération Niger-Suisse : Une alliance scellée pour l’essor éducatif et l’émancipation professionnelle des jeunes

Le 25 juin 2025, dans un élan de concorde diplomatique, le Niger et la Suisse ont gravé un jalon décisif dans leur collaboration bilatérale. À Niamey, le Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur, M. Bakary Yaou Sangaré, a paraphé, aux côtés de la Cheffe Adjointe du Bureau de la Coopération Suisse au Niger, un accord de partenariat d’une portée cardinale. En effet, cette cérémonie, empreinte de solennité, a consacré deux engagements d’envergure : le lancement de la première phase du programme « GUANI » et la signature de l’avenant n°3 au Programme d’Appui à la Qualité de l’Éducation (PAQUE III). Ces initiatives, portées par une vision convergente, ambitionnent de tisser un avenir où l’éducation inclusive et l’insertion socio-professionnelle des jeunes Nigériens s’érigent en piliers d’un développement pérenne.

Le Niger et la Suisse renforcent leur partenariat avec les programmes GUANI et PAQUE III, visant l'insertion professionnelle GUANI : L’autonomisation de la jeunesse nigérienne en marche

Le programme « GUANI », acronyme évocateur d’un dessein audacieux, s’inscrit comme une réponse concertée aux défis de l’employabilité des jeunes dans un contexte où les opportunités professionnelles demeurent rares. Cette initiative, dont la première phase a été officiellement entérinée, vise à doter les jeunes Nigériens de compétences techniques et professionnelles à la mesure des exigences du marché contemporain. Ainsi, par une approche pédagogique novatrice, GUANI entend non seulement outiller les bénéficiaires d’aptitudes concrètes, mais également insuffler en eux une dynamique d’autonomie et d’innovation. De ce fait, ce projet, fruit d’une synergie méticuleuse entre les deux nations, se veut un levier pour transcender les entraves structurelles qui freinent l’insertion des jeunes dans le tissu socio-économique.

Le Niger et la Suisse renforcent leur partenariat avec les programmes GUANI et PAQUE III, visant l'insertion professionnelle PAQUE III : L’éducation de qualité, socle du progrès nigérien

Parallèlement, l’avenant n°3 au Programme d’Appui à la Qualité de l’Éducation (PAQUE III) vient consolider un édifice déjà robuste. Soutenu par la Confédération Suisse, ce programme s’attache à rehausser les standards éducatifs au Niger, en promouvant un accès équitable à une instruction de qualité. Pour cela, à travers des investissements ciblés dans les infrastructures, la formation des enseignants, et l’élaboration de curricula adaptés, PAQUE III ambitionne de métamorphoser le paysage éducatif nigérien. Cet avenant, loin d’être une simple formalité administrative, réaffirme l’engagement indéfectible de la Suisse à accompagner le Niger dans sa quête d’un système éducatif inclusif, capable de répondre aux aspirations d’une jeunesse avide de savoir et d’opportunités.

Le Niger et la Suisse renforcent leur partenariat avec les programmes GUANI et PAQUE III, visant l'insertion professionnelle Une coopération exemplaire : Quand le Niger et la Suisse unissent leurs forces

Cette double signature, au-delà de son caractère protocolaire, incarne une convergence de valeurs et d’aspirations. Le Niger, riche de sa jeunesse bouillonnante, mais confronté à des défis systémiques, trouve en Suisse un partenaire dont l’expertise en matière de formation professionnelle et d’éducation est unanimement reconnue. En conséquence, cette alliance, scellée sous le sceau de la mutualité, illustre la puissance d’une coopération internationale qui, loin des velléités hégémoniques, se fonde sur le respect et l’écoute des besoins spécifiques du partenaire. En conjuguant leurs efforts, les deux nations tracent une voie où l’éducation devient le creuset d’une société plus équitable et prospère.

Un horizon d’espérance pour la jeunesse nigérienne : L’Éducation, clé de progrès

En cette journée mémorable du 25 juin 2025, le Niger et la Suisse ont réaffirmé leur foi en un avenir où la jeunesse, fer de lance du développement, disposerait des outils nécessaires à son épanouissement. Les programmes GUANI et PAQUE III, par leur complémentarité, esquissent les contours d’une ambition noble : faire de l’éducation et de la formation professionnelle des vecteurs d’émancipation et de progrès. En effet, les défis mondiaux exigent des réponses audacieuses. Aussi, cette coopération bilatérale se dresse-t-elle comme un phare, éclairant la voie vers un Niger où chaque jeune, fort d’un savoir et d’une expertise, peut contribuer à l’édification d’une nation résiliente et florissante.

Diplomatie Traditionnelle : Le Sultanat de Damagaram, cœur battant de la cohésion sahélienne

Visite au Sultanat de Zinder : une ode à la cohésion et à la mémoire collective

Dans le sillage du lancement vibrant de la caravane nationale pour la sensibilisation et la cohésion sociale, le Sultanat de Damagaram, joyau historique de Zinder, a accueilli, en ce mois de juin 2025, une délégation d’une rare distinction. Conduite par le Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville de Niamey et Président de l’Association des Municipalités du Niger, cette visite de courtoisie a réuni des figures éminentes des Associations des Municipalités du Burkina Faso et du Mali, ainsi que le Directeur Général de l’AMV-Niger. Ce moment d’exception, empreint de solennité et de fraternité, s’inscrit dans une volonté de tisser des liens indéfectibles entre les peuples sahéliens, sous l’égide d’une histoire partagée et d’un avenir commun.

Une audience royale : Le Sultan de Zinder accueille l’élite régionale du Sahel

C’est dans l’enceinte prestigieuse du palais du Sultanat de Damagaram que Sa Majesté Aboubacar Sanda Oumarou, Sultan de Zinder, a réservé un accueil d’une chaleur souveraine à ses hôtes. Ce gardien des traditions, dépositaire d’un héritage séculaire, a incarné, par sa présence bienveillante, l’âme d’un Niger où la modernité dialogue avec l’histoire. Par ailleurs, la remise de présents, geste empreint de générosité et de respect, a scellé cette rencontre comme un acte de communion, où les valeurs d’hospitalité et de solidarité sahéliennes ont trouvé leur plus belle expression.

Le Sultanat de Damagaram à Zinder a accueilli une délégation régionale des Associations des Municipalités du Niger, du Burkina Faso et du Mali, renforçant la cohésion sociale et la coopération sahélienne.Voyage au cœur du Damagaram : immersion dans l’histoire d’un royaume légendaire

Au-delà de l’échange protocolaire, la délégation a été conviée à une immersion captivante dans le riche passé du Sultanat de Damagaram, l’un des plus prestigieux royaumes de la région. Guidés à travers les méandres d’une histoire foisonnante, les visiteurs ont découvert les fastes et les épopées qui ont forgé l’identité de Zinder, ancienne capitale impériale. Des récits des sultans conquérants aux vestiges architecturaux qui témoignent également de la grandeur passée, cette plongée dans le temps a révélé la profondeur d’un patrimoine qui continue d’inspirer les générations.

Le Sultanat, symbole fort de cohésion régionale au service du Sahel

Cette visite, loin d’être un simple interlude, s’inscrit dans le sillage de la caravane nationale pour la sensibilisation et la cohésion sociale, initiative portée par une ambition fédératrice. En plus, la présence des représentants des municipalités du Burkina Faso et du Mali, aux côtés de leurs homologues nigériens, illustre l’élan d’une coopération régionale qui transcende les frontières. En se recueillant au cœur du Sultanat, la délégation a aussi réaffirmé l’importance de conjuguer les efforts pour bâtir des communautés unies, résilientes et ancrées dans leurs racines culturelles.

 Le Sultanat de Damagaram à Zinder a accueilli une délégation régionale des Associations des Municipalités du Niger, du Burkina Faso et du Mali, renforçant la cohésion sociale et la coopération sahélienne.Un héritage vivant : le rôle clé du Sultanat dans la cohésion sociale

Le Sultanat de Damagaram, par son rayonnement historique et spirituel, demeure un phare pour le Niger et le Sahel tout entier. En accueillant cette délégation, Sa Majesté Aboubacar Sanda Oumarou a non seulement honoré ses hôtes, mais a aussi rappelé le rôle cardinal des institutions traditionnelles dans la préservation de la cohésion sociale. Ce moment d’échange, où le passé et le présent se sont entrelacés, a souligné la nécessité de puiser dans l’héritage collectif pour éclairer les défis de demain.

Vers un avenir solidaire : Zinder, carrefour de Fraternité sahélienne

En somme, Zinder s’affirme une fois encore comme un carrefour d’histoire et de fraternité. La visite au Sultanat, par sa portée symbolique, incarne un appel vibrant à l’unité, à la valorisation des identités culturelles et à la construction d’un Sahel harmonieux. Alors que la caravane nationale poursuit sa mission, elle emporte avec elle l’écho de cette rencontre, où les municipalités du Niger, du Burkina Faso et du Mali ont réaffirmé leur engagement commun pour un avenir où la cohésion sociale sera le socle de tout progrès.

Que cette visite au Sultanat de Damagaram, par sa noblesse et sa profondeur, inspire les générations futures à marcher main dans la main, guidées par les leçons du passé et l’espoir d’un horizon partagé. L’unité sahélienne peut-elle se construire à travers ces ponts culturels et historiques ?

Zinder : La décentralisation du Niger prend un nouveau virage

Clôture solennelle de la 11ᵉ Journée des Communes du Niger à Zinder : un élan de renouveau pour la gouvernance locale

Sous le ciel vibrant de Zinder, ancienne capitale impériale, s’est achevée hier, mardi 24 juin 2025, la 11ᵉ édition de la Journée des Communes du Niger. Ce rendez-vous d’envergure, dédié à l’édification d’une gouvernance locale toujours plus robuste, a refermé ses portes après deux jours d’échanges féconds. En effet, la mobilisation exemplaire des administrateurs délégués, venus des quatre horizons du pays, a marqué l’événement. Cette cérémonie de clôture, empreinte de gravité et d’espérance, a scellé un engagement collectif pour un Niger décentralisé, résilient et tourné vers l’avenir. Quels sont les défis et les promesses de cette décentralisation pour le Niger ?

Un conclave au sommet : L’Élite de la décentralisation réunie à Zinder

Sous la présidence du Commissaire Général de Police Abdourahamane Ayouba, Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, représentant le Ministre d’État, la cérémonie a réuni un aréopage de personnalités éminentes. Parmi elles : le Gouverneur de la Région de Zinder, l’Administrateur Délégué de la Ville de Zinder, le Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de Niamey et Président de l’Association des Municipalités du Niger, ainsi que le Directeur Général de l’administration territoriale, de la déconcentration et de la décentralisation. Cette convergence d’acteurs illustre l’importance accordée à cet événement, véritable agora des enjeux communaux.

Les travaux, d’une densité remarquable, ont permis d’explorer des thématiques d’une pertinence cruciale pour la gouvernance locale. Formations pointues, débats incisifs et réflexions prospectives ont rythmé ces deux journées, forgeant un corpus de recommandations destiné à insuffler une nouvelle dynamique à la décentralisation. En effet, ces résolutions, présentées lors de la clôture, témoignent d’une volonté partagée de surmonter les écueils structurels et de promouvoir une administration territoriale au service des citoyens.

Cérémonie Fédératrice : Honneurs et Coopération Régionale au Programme

En plus, la cérémonie de clôture, par sa richesse symbolique, a incarné l’esprit d’unité qui a prévalu tout au long de l’événement. Plusieurs moments forts ont ponctué l’après-midi : la remise de témoignages de satisfaction à l’Université André Salifou de Zinder, hôte de cette édition, a salué l’excellence de son hospitalité et de son engagement académique. Par ailleurs, l’échange de présents entre les délégations des pays membres de l’Alliance des États du Sahel et l’Association des Municipalités du Niger a, quant à lui, scellé des liens d’amitié et de coopération régionale, renforçant l’ancrage du Niger dans une dynamique sahélienne solidaire.

Dans son allocution, le Secrétaire Général Abdourahamane Ayouba a rendu un vibrant hommage à l’engagement des administrateurs délégués, louant ainsi  leur abnégation au service des communautés locales. Avec une fermeté empreinte d’optimisme, il a assuré que les recommandations formulées, fruits d’une réflexion collective, seraient aussi examinées avec la plus grande attention et traduites en mesures concrètes par le Ministère. Cette promesse, accueillie avec ferveur, ouvre des perspectives prometteuses pour une gouvernance communale plus efficace et inclusive.

La 11e Journée des Communes du Niger s'est achevée à Zinder, réunissant les administrateurs délégués pour renforcer la décentralisation et la gouvernance locale au service des citoyens. La 11e Journée des Communes du Niger s'est achevée à Zinder, réunissant les administrateurs délégués pour renforcer la décentralisation et la gouvernance locale au service des citoyens.

Zinder : creuset d’une ambition nationale pour la décentralisation

En accueillant cette 11ᵉ édition, Zinder s’est affirmée comme un foyer d’innovation et de dialogue. La ville, riche de son patrimoine historique, a offert un cadre inspirant pour ces assises, où les enjeux du présent se sont mêlés aux aspirations de demain. La mobilisation des administrateurs délégués, venus de toutes les régions du Niger, a traduit une aspiration commune à transcender les défis – qu’ils soient logistiques, financiers ou institutionnels – pour bâtir des communes résilientes, capables de répondre aux besoins de leurs populations.

La 11e Journée des Communes du Niger s'est achevée à Zinder, réunissant les administrateurs délégués pour renforcer la décentralisation et la gouvernance locale au service des citoyens. La 11e Journée des Communes du Niger s'est achevée à Zinder, réunissant les administrateurs délégués pour renforcer la décentralisation et la gouvernance locale au service des citoyens.

Vers une décentralisation consolidée : Le Niger trace sa voie

La Journée des Communes du Niger, par son caractère fédérateur, dépasse le cadre d’un simple forum. Elle s’érige en un jalon essentiel dans la consolidation de la décentralisation, pilier d’un développement équitable et durable. Les échanges entre les délégations sahéliennes, en marge des travaux, ont par ailleurs renforcé la coopération régionale, inscrivant cet événement dans une vision plus large d’unité et de progrès partagés.

En somme, Zinder a vibré au rythme d’une ambition collective, portée par des femmes et des hommes déterminés à faire de la gouvernance locale un levier d’émancipation. Alors que les participants regagnent leurs territoires, ils emportent avec eux non seulement des nouvelles idées, mais aussi un souffle d’espoir : celui d’un Niger où chaque commune, forte de ses spécificités, contribue à l’édification d’une nation prospère. Que cette 11ᵉ édition soit le prélude à des avancées décisives, pour un avenir où la décentralisation rime avec justice et progrès ! Le Niger s’apprête-t-il à entrer dans une nouvelle ère de gouvernance locale ?