Awaza au cœur du Sahel : le Niger transforme son enclavement en levier diplomatique et stratégique à l’ONU.
New York, 29 septembre 2025 – Au rythme effréné des débats de la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies, une lumière sahélienne a percé les vitraux de la diplomatie mondiale. Son Excellence M. Bakary Yaou Sangaré, Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’extérieur, a marqué de son empreinte les travaux dédiés au Programme d’action d’Awaza.
Ce cadre ambitieux, adopté en décembre 2024 par l’Assemblée générale et scellé lors de la 3ᵉ Conférence sur les pays en développement sans littoral (PDES3) en août dernier, n’est pas qu’un document technique : c’est un horizon prometteur pour des nations comme le Niger, où la mer n’est qu’un rêve lointain, mais où la résilience forge des empires intérieurs.

Awaza : l’élan d’un programme décennal pour les oubliés de la côte
Au cœur de cette initiative décennale (2024-2034) se dessine une feuille de route audacieuse, conçue pour propulser les États enclavés vers un développement durable accéléré. Imaginez : des corridors commerciaux fluidifiés, une intégration régionale qui efface les chaînes de la géographie, et une armure climatique forgée contre les caprices du désert et des pluies. Pour le Niger, pays de vastes horizons terrestres, Awaza n’est pas une contrainte extérieure, mais un allié complice qui amplifie les battements d’un cœur national résolu. En y adhérant avec ferveur, Niamey se positionne en pionnier, transformant ses défis en leviers d’une prospérité inclusive et rayonnante.

La souveraineté, phare de toute alliance
Avec une dignité qui impose le respect, le chef de la Diplomatie nigérienne a réaffirmé, au nom de son pays, que l’engagement envers Awaza s’opérera dans le sanctuaire absolu de la souveraineté nationale. Fidèle à la vision inspirante de Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président de la République et Chef de l’État, cette posture n’est pas un rempart défensif, mais un acte d’équilibre magistral. Elle nous rappelle que dans le grand théâtre des Nations Unies, le Niger ne signe pas à l’aveugle : il choisit, il adapte, il élève. Ainsi, ce programme international devient un miroir fidèle des aspirations locales, où chaque clause se plie au tempo d’une nation qui refuse de troquer son âme pour des mirages lointains.

Awaza : vers une implémentation ancrée dans les racines nigériennes
Par ailleurs, l’horizon s’éclaircit avec une mise en œuvre qui marie harmonieusement les ambitions globales aux urgences du terrain. Le Niger entend infuser le Programme d’action d’Awaza de ses priorités cardinales : consolider une souveraineté économique impénétrable, valoriser les trésors enfouis de ses sols et de ses esprits, et tisser des filets de coopération régionale et internationale au seul bénéfice de son peuple bien-aimé.
Pensez aux routes caravanières modernisées qui relient Agadez à Ouagadougou, aux énergies renouvelables qui domptent le soleil saharéen, aux partenariats qui canalisent des expertises sans effacer les empreintes locales. Dans cette alchimie, Awaza n’est plus un cadre abstrait ; elle devient une symphonie nigérienne, où chaque note – du commerce aux climats – chante l’épanouissement d’une population unie et fière.
En somme, cette participation Ministre Sangaré n’est pas un interlude diplomatique, mais un chapitre décisif d’une saga nationale. Elle nous invite, avec une élégance persuasive, à célébrer un Niger qui, enclavé par la carte mais libre par l’esprit, transforme ses limites en forces irrésistibles. Sous l’égide visionnaire de Son Excellence le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, que ce Programme d’action d’Awaza soit le vent qui porte nos ambitions vers des rivages de prospérité durable – car un Sahel souverain, c’est un monde qui gagne en humanité et en espoir partagé.





























