novembre 2022 - Page 19 sur 36 - Journal du niger

L’Arabie Saoudite compte restaurer le Centre islamique de Jakarta

Dans le cadre des relations fraternelles étroites qui unissent le Royaume d’Arabie saoudite et la République d’Indonésie, Son Altesse royale le Prince Muhammad bin Salman bin Abdulaziz Al Saud, Prince héritier et Premier ministre a annoncé que le Royaume d’Arabie Saoudite compte restaurer le Centre islamique de la capitale indonésienne, Jakarta, affecté par un incendie qui a endommagé le mois dernier de grandes parties de l’édifice.L’annonce de Son Altesse le Prince Héritier est le témoignage de son enthousiasme et de son intérêt pour les centres islamiques dans tous les pays frères et amis, en raison du grand rôle qu’ils jouent dans l’éducation des jeunes générations et la diffusion de la tolérance et du message de l’islam fondé sur la paix, la modération et le dialogue.

La superficie du Centre islamique de la capitale indonésienne, Jakarta, est de 109 435 m². Il comprend de nombreuses installations, dont une mosquée de 2200 m² pouvant accueillir plus de 20.000 fidèles, en plus d’un centre d’études et de recherche et une salle de conférence.

Economie et politique au menu des quotidiens marocains

Les enjeux des financements innovants, la lutte contre l’antisémitisme et le consumérisme au Maroc sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mercredi.+Aujourd’hui le Maroc+ écrit que face à la pression de plus en plus grande sur les finances publiques, les mécanismes dits de financements innovants semblent ouvrir de nouvelles pistes et des gisements intéressants pour mobiliser des fonds.

Et c’est l’État qui balise le terrain, en réalisant des montages originaux et ingénieux permettant à la fois de générer des volumes de liquidités conséquents et utiles pour des politiques ou des réformes et d’apporter des réponses pertinentes à des problématiques de gestion publique, relève le quotidien.

Rendre liquides des actifs immobiliers et immobilisés en les cédant à des investisseurs institutionnels tout en gardant leur exploitation est une des formules qui ont été mises en œuvre avec des résultats probants, constate-il, estimant que cette démarche devrait « logiquement » inspirer d’autres acteurs comme les collectivités, les conseils de villes et même le secteur privé.

+L’Economiste+, qui revient sur la lutte contre l’antisémitisme, rapporte que Deborah Lipstadt, envoyée spéciale des Etats-Unis pour surveiller et combattre l’antisémitisme, qui vient d’effectuer une visite officielle au Maroc, considère que le Royaume constitue un exemple en matière de dialogue interreligieux et inter culturel.

Dans sa démarche, le Maroc mise sur la “déconstruction” des discours extrémistes dans les lieux où les jeunes sont généralement ciblés, constate la publication, notant que cette “approche holistique”, qui s’attaque à l’origine du mal, peut être également utile pour la déconstruction des autres discours haineux, comme le racisme ou l’antisémitisme.

Pour y arriver, il faut d’abord « connaître et comprendre, en vue de prévenir et combattre”, soutient-il.

La promotion des valeurs d’ouverture, de tolérance et du vivre-ensemble éviterait également que les jeunes ne restent plus des “proies faciles”, et les immuniserait face à “un dogmatisme alimenté essentiellement par l’ignorance”, ajoute-t-il.

+L’Opinion+ écrit que contrairement aux précédentes années, notamment celles d’avant l’épidémie du Covid, le Black-Friday, qui donne le coup d’envoi de la période des achats des fêtes de fin d’année, censée avoir débuté au Maroc dès le 4 novembre et devrait atteindre son apothéose mais également sa fin le 25 novembre, semble discret au Maroc comme partout dans le monde, à tel point qu’on croirait qu’il sera désormais célébré en sourdine.

Si l’on ne peut qu’apprécier la réduction des appels aux achats compulsifs en cette période de vaches maigres, on ne peut aussi que regretter la raréfaction des «Hmizates» d’antan.

A moins que l’État ne daigne décréter un Black-Friday généralisé sur les produits de première nécessité, souligne-t-il.

Le Sénégal, un bon élève malgré la conjoncture, selon le FMI

Les quotidiens sénégalais parvenus mercredi à APA titrent principalement sur la santé économique du Sénégal qui va beaucoup mieux après plusieurs soubresauts causés par des chocs exogènes, d’après le Fonds monétaire international (FMI).Le Témoin se fait l’écho du « satisfécit » du Fonds monétaire international (FMI) sur la situation et les perspectives économiques du Sénégal. « Taux de croissance de 4,7% en 2022 et de 8,7% l’année prochaine, réduction du déficit et de l’inflation…, les perspectives dressées par l’institution de Washington sont rassurantes », affirme le journal, soulignant que le FMI a communiqué ces données dans la dernière revue de son programme qui prend fin en janvier.

Expliquant dans EnQuête les raisons de « la note positive » décernée par son employeur au Sénégal, le chef de la mission de l’institution de Bretton Woods dans le pays, Edward Gemayel, estime que « les recettes budgétaires ont été très bonnes à un niveau que nous n’espérions pas. La dette reste soutenable avec une marge de manœuvre quasi nulle ». En plus de tout cela, « en 2023, la croissance est projetée à 8,7% », se réjouit M. Gemayel sans manquer de sonner « l’alerte » dans Le Quotidien.

Il attire en effet l’attention des autorités sénégalaises sur le niveau de la dette qui « ôte toute marge de manœuvre » en cas de chocs extérieurs. « La dette est en train d’augmenter à cause des chocs auxquels le Sénégal fait face avec le Covid-19, la guerre en Ukraine. La dette est toujours soutenable, cependant, la marge de manœuvre pour faire face à de nouveaux chocs a quasiment disparu. La dette est actuellement entre 75 et 77% du PIB », affirme le représentant du FMI, qui va débloquer d’ici décembre une enveloppe de « 135 milliards FCFA » pour le Sénégal.

Pour faire face à l’augmentation de la dette, il « encourage le gouvernement (sénégalais) à continuer les mesures de consolidation graduelle au niveau des prochaines années qui sont axées sur une amélioration des recettes, une élimination importante au niveau des exemptions fiscales et un assainissement des dépenses, principalement au niveau des subventions, et pouvoir utiliser les économies dans les secteurs de la santé, de l’éducation ».

Au moment où le FMI se félicite de sa situation économique malgré la conjoncture, « le Sénégal (se met) à l’heure du bracelet électronique » pour gérer les détentions préventives, indique Le Soleil, notant que le Centre de surveillance électronique de l’Afrique de l’ouest, chargé du contrôle à distance des personnes placées sous surveillance électronique, a été inauguré hier à Dakar. Le journal fait savoir aussi que « 1000 bracelets électroniques (sont) déjà disponibles et 1000 autres commandés ».

Pendant ce temps, les diplomates sénégalais vivent des « misères » pour « défaut de paiement de leurs indemnités de logement à l’étranger », rapporte Bés Bi qui souligne que le calvaire dure depuis « deux mois ». « Ambassadeurs et consuls craignent d’être expulsés par leurs bailleurs » alors que le ministère des Affaires étrangères s’est muré dans « le silence », précise le journal.

Sur la Coupe du monde du Sénégal au Qatar, une compétition footballistique qui doit démarrer dimanche prochain, l’attaquant des Lions Ismaila Sarr déclare dans L’AS qu’ils veulent « marquer l’histoire » alors que plusieurs espoirs reposent désormais sur lui en l’absence de Sadio Mané, le leader technique de l’équipe nationale blessé au genou et dont la participation au Mondial qatari est incertaine.

Stades affirme d’ailleurs que la star du Bayern Munich, en Allemagne, a été « le grand absent » de la séance d’entraînement des Lions d’hier à Doha. Ainsi, le quotidien sportif ouvre plusieurs pistes, allant du gardien Edouard Mendy au capitaine défenseur Kalidou Koulibaly, en passant par l’expérimenté milieu Idrissa Gana Guèye et le virevoltant attaquant Ismaila Sarr, « pour porter les Lions » face d’abord aux Pays-Bas, lundi prochain.

Mais ce qu’il faut retenir est qu’« on a de très bons joueurs qui peuvent guider l’équipe. Ils vont se transcender si Sadio n’est pas là. Sans lui, on a vu une équipe très combative et solidaire », rappellent des experts interrogés par Stades.

Burkina : Le capitaine Traoré réorganise l’armée

Le capitaine Ibrahim Traoré a signé plusieurs décrets réorganisant les Forces armées nationales (FAN).

Le Burkina comprend désormais six régions militaires pour l’armée de terre, deux régions aériennes pour l’armée de l’air, six régions de gendarmerie et six groupements de force, selon un décret présidentiel, signé le 14 novembre 2022 par le capitaine Traoré. Cette disposition abroge de fait, celle de 1994 portant organisation du territoire national en zones de défense et en régions militaires.

Un autre décret crée six Bataillons d’intervention rapide (BIR). Basés à Ouagadougou, ils peuvent etre déployés sur l’ensemble du territoire national en fonction « des nécessités opérationnelles », précise la note officielle consultée par APA. « Les BIR vont intervenir le plus rapidement possible et le plus en avant, en privilégiant la mobilité et la puissance face à la menace contre l’intégrité du territoire », explique le décret présidentiel.

Le capitaine Ibrahim Traoré ajoute que ces Bataillons sont  mis à la disposition du Commandement des opérations du theatre national (COTN), lui-même désormais placé sous l’autorité administrative du Chef d’Etat-major général des armées (CEMGA) et du commandement opérationnel du CEMGA adjoint.

Le capitaine Farouk Azaria Sorgho a été nommé commandant du 4e Bataillon d’intervention rapide. Il est connu pour avoir lu le communiqué lors du putsch du 30 septembre 2022 contre le lieutenant-colonel Paul-Henri Damiba.

Le président Traoré a également procédé à plusieurs nominations. Le lieutenant-colonel Christian Ouattara a été nommé, dans la foulée, chef d’état-major de l’armée de l’air. Il remplace le colonel Vincent de Paul Ouédraogo, proche du président déchu, Paul-Henri Damiba.

Dans un autre décret, en date du 14 novembre, le chef de l’État burkinabè a nommé de nouveaux commandants de régions militaires. Une quarantaine d’officiers d’active ont été promus à des grades supérieurs pour compter du 1er octobre 2022.

L’ex-député de l’Assemblée législative de transition (ALT), Dr Arouna Louré, acteur de la société civile, a estimé que la promotion des capitaines met en évidence la « fracture entre les officiers subalternes et les officiers supérieurs et généraux ». Pour lui, le fait de les nommer à des rôles de commandant des régions militaires « est très courageux, et en même temps suicidaire ». Il a expliqué que ce sont des postes qui devraient être reversés à des Colonels ou des officiers généraux selon un certain organigramme.

« De même, nous n’aurons plus de lieutenant-colonel au front. J’imagine mal un lieutenant-colonel au front sous le commandement d’un capitaine ou d’un commandant. Ainsi ces nominations voudraient dire une chose : la non employabilité des officiers supérieurs et des officiers généraux », a insisté Dr Louré.

Le capitaine Traoré tente de prendre le contrôle de l’armée. En mi-octobre, il avait nommé le capitaine Oumarou Yabré, directeur général de l’Agence nationale de renseignement (ANR).

Au pouvoir depuis début octobre, le capitaine avait annoncé une réorganisation de l’armée pour la rendre plus opérationnelle et efficace sur le front. Il a lancé une vaste opération de recrutement de soldats de rang et de supplétifs de l’armée.

Côte d’Ivoire : le Pdci dénonce une CEI déséquilibrée

Le Pdci (opposition) s’insurge contre une surreprésentation du parti au pouvoir au sein de la Commission électorale indépendante (CEI) en dépit de la réforme de l’institution.Le parti, à travers une conférence de presse animée ce mardi à son siège à Cocody, par son porte-parole, Bredoumy Soumaila a fait connaitre son avis sur le récent projet de lois voté à l’Assemblée nationale et qui consacre l’entrée de deux nouveaux membres à la Commission centrale de la CEI.

Il a rappelé que le Pdci a exprimé son rejet du projet de loi portant modification de la Commission électorale indépendante. Le PPA-CI, le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo s’est abstenu de voter soutenant que le texte ne consacre pas l’équilibre de l’institution.

Le motif invoqué par le parti, renchérira-t-il, est que cet organe ne tiendrait pas compte des aspirations de l’opposition. Il a insisté sur le fait que le pouvoir soit représenté par plusieurs membres dans cette commission électorale de façon directe ou indirecte.

Par ailleurs, M. Soumaila Bredoumy a déclaré que le Pdci s’insurge contre la volonté de procéder à un basculement automatique des nouveaux majeurs sur la liste électorale pour ce qu’il y aurait des risques d’insertion de personnes non admises à y figurer.

Pour le parti septuagénaire, ces actes sont des sources de conflits pour les élections à venir. Raison pour laquelle le porte-parole du Pdci dit le porter à la face de la Nation et envisager des actions démocratiques pour empêcher cela.

« Le Pdci-rda ne cédera pas cette fois-ci », a-t-il prévenu, ajoutant qu’« ensemble avec nos alliés nous mènerons tous les combats démocratiques pour que notre pays retrouve l’équité, la démocratie et la paix ».

M. Bredoumy Soumaila a par ailleurs noté les autres rejets faits par le Pdci-rda sur certaines ordonnances de loi dont la parafiscalité sur des produits de construction de première nécessité à savoir le ciment et le fer et le projet de loi règlement.

Concernant la loi de règlement, le Pdci estime que la non- exécution de l’ensemble des projets adossés au budget 2021 et d’autres facteurs ne permettent pas l’adoption de celle-ci.

« Des variations entre des prévisions et des réalisations ont été constatés. Par exemple l’impôt sur le patrimoine pour une prévision de près de 28 milliards, il a été recouvré près de 40 milliards Fcfa. La prévision a été dépassée de 170% à la réalisation », a-t-il fait savoir.

« Ces écarts soulèvent le problème de la sincérité des prévisions », a dit M. Bredoumy Soumaila. Sur la vie du parti, le porte- parole du Pdci-rda a annoncé l’institution d’une tribune de témoignages des illustres membres de la formation politique afin d’édifier et consolider l’assise de ses militants.

Le porte-parole du Pdci, M. Bredoumy Soumaila a annoncé dans la foulée l’organisation d’un congrès d’ici la fin de l’année 2022, après le bureau politique prévu avant le 15 décembre prochain pour plancher sur l’avenir du parti septuagénaire.

Le Maroc, un partenaire dans la lutte contre l’antisémitisme (diplomate US)

L’ambassadeur Deborah Lipstadt, envoyée spéciale des Etats-Unis chargée de surveiller et combattre l’antisémitisme, a mis en avant, mardi à Rabat, le rôle du Maroc en tant que partenaire dans la lutte contre l’antisémitisme. Dans une déclaration à la presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, Mme Lipstadt a salué les efforts déployés par le Maroc dans la lutte contre « l’antisémitisme, la haine et les préjugés ».

 Se félicitant de l’intérêt particulier qu’accorde le Royaume à ce combat, la diplomate américaine a précisé que cet intérêt émane de la place de la composante juive dans l’histoire du Maroc.

 Actuellement en visite dans le Royaume, Mme Lipstadt a pris part lundi à une réception organisée par le consulat général des Etats-Unis d’Amérique en présence de membres de la communauté juive établie dans le Royaume.

 Historienne et académicienne de carrière, Mme Lipstadt a été nommée envoyée spéciale avec le rang d’ambassadeur par le sénat américain le 30 mars dernier, afin de diriger les efforts et de faire avancer la politique étrangère américaine visant à contrer l’antisémitisme dans le monde.

Don d’équipements à un centre de sport-étude à Abidjan

Le centre de formation Casy-foot de Yopougon, dans l’Ouest d’Abidjan, a reçu un important don de lots d’équipements sportifs d’une entreprise de la place.Ces équipements sportifs ont été offerts le 13 novembre 2022 par Yango, une entreprise opérant dans le transport, au stade du Centre de perfectionnement aux métiers de l’imprimerie de Yopougon, à l’issue d’un match de Gala.

Le match de Gala a opposé une équipe de célébrités ivoiriennes composée de Web humoristes, d’acteurs de cinéma et des pensionnaires du centre de formation Casy-foot de Yopougon, dans une ambiance festive.   

« Cette action s’inscrit dans la vision de notre entreprise d’aider les enfants issus de milieux défavorisés à avoir un avenir meilleur.  Avec Casy Foot, nous sommes à notre deuxième action qui n’est évidemment pas la dernière », a déclaré Hermann Ouédraogo, HR Manager de l’entreprise exerçant dans le transport.

Créée en 2013, l’académie Casy-Foot est un centre de formation de sport-étude qui compte en son sein 85 pensionnaires, dont la plupart sont issus des familles défavorisées. Les responsables administratifs et sportifs de ce centre de formation ont salué ce geste.  

Depuis un an, l’entreprise soutient le centre avec « la logistique, les maillots, le matériel qu’il faut pour accompagner ces gamins », s’est réjoui Kassim Junior Dosso, le directeur sportif, qui a fait savoir que ce partenariat a accru le nombre d’adhésion à ce centre de formation de sport-étude.

Selon le directeur sportif, M. Kassim Junior Dosso, les enfants sont davantage bien nourris et bénéficient des œuvres scolaires qui sont « offertes gratuitement ». En outre, le budget de fonctionnement de l’établissement a « carrément doublé ».  

Les célébrités présentes à cette activité sportive, ont exprimé leur joie d’associer leur image à cette action de bienfaisance.  Le Web humoriste ivoirien Léon Gogou a déclaré « nous sommes venus avec nos collègues passer une journée sportive avec nos petits frères issus des familles défavorisées ».

« Je suis très heureux d’associer mon image à cet événement d’autant plus que c’est une manière pour nous de leur dire qu’ils ne sont pas seuls et que toute la Côte d’Ivoire pense à eux”, a exprimé l’humoriste Léon Gogou.

Quant à Karim Konaté Abdoul, acteur de cinéma et du de la Web-série Sery et Sory, il a exhorté l’ensemble des célébrités ivoiriennes à associer leurs images à ce genre d’initiatives qui participent au soutien que les uns et les autres pourraient apporter à la jeunesse ivoirienne.

Maroc: Marrakech abrite la 2ème édition du Congrès annuel de l’OMM

La ville de Marrakech va abriter, les 18 et 19 novembre, la 2ème édition du Congrès annuel de l’Association Marocaine d’Oncologie Médicale du Secteur Libéral (OMM), sous le thème “Médecine de précision en oncologie médicale”.Selon les organisateurs, cet évènement scientifique mettra l’accent sur les dernières innovations en cancérologie du point de vue du pathologiste, de l’oncologue médicale, du radiothérapeute et du chirurgien, avec l’intégration de ces progrès diagnostiques et thérapeutiques dans la pratique quotidienne : séquençage génomique, inhibiteurs des CDK 4/6, immunothérapie, anti-PARP…,

“Après le succès retentissant qu’a connu la première édition du congrès, il est de notre devoir d’innover, d’aller de l’avant et de continuer à nous améliorer”, estiment les organisateurs, faisant savoir que cette rencontre annuelle constitue une opportunité d’échange de connaissances et d’expériences entre les experts nationaux et internationaux.

Elle offrira également l’opportunité de discuter des dernières recommandations, avec un focus détaillé sur les développements technologiques en la matière.

Au menu de ce Congrès figurent nombre de conférences, d’ateliers de formation destinés aux médecins, aux étudiants et pour la première fois aux patients également, outre une session dédiée à l’échange entre professionnels et patients autour du parcours de soins et de l’annonce diagnostique.

Plusieurs thématiques meubleront les travaux de ce conclave ayant trait au “cancer du sein métastatique RH+ HER2-: 1ère ligne et au-delà”, au “cancer du poumon et immunothérapie”, au “cancer de la prostate”, au “cancer du sein localisé/ adaptation thérapeutique”, au “cancer du sein métastatique/ optimisation thérapeutique” et “controverses en oncologie : cancer du rectum/TNT : Traitement Néoadjuvant Total” et “le patient au coeur du parcours de soin”.

A noter que l’OMM s’intègre dans l’initiative gouvernementale du “Plan cancer” visant à améliorer la prise en charge et l’accès aux soins du patient au Maroc.

Russie-Ukraine : l’Afrique ignore la nouvelle résolution de l’Onu

La majorité des Etats africains n’ont pas voté en faveur de la résolution de l’Assemblée générale des Nations unies adoptée lundi et appelant la Russie à verser des réparations de guerre à l’Ukraine.L’Afrique continue de jouer la carte de la neutralité dans la guerre qui oppose la Russie à l’Ukraine. Vingt-sept Etats du continent se sont en effet abstenus lors du vote, lundi 14 novembre, d’une résolution appelant Moscou à verser des réparations de guerre à Kiev. Cinq autres, notamment le Mali, l’Ethiopie, le Zimbabwe, la République centrafricaine et l’Érythrée se sont prononcés contre ladite résolution.

Au total, quatre-vingt-quatorze pays ont voté en faveur de la résolution, et 14 contre, tandis que 73 se sont abstenus.

Près de 50 pays ont coparrainé la résolution sur l’établissement d’un mécanisme international d’indemnisation des dommages, pertes et blessures, ainsi qu’un registre pour documenter les preuves et les réclamations.

Ouverture à Abou Dabi du Congrès mondial des médias

La rencontre réunit 1200 délégués venus du monde entier.Clap de début du Congrès mondial des médias d’Abou Dabi ! L’industrie mondiale de la presse se réunit dans la capitale des Émirats arabes unis du 15 au 17 novembre « pour tirer parti d’innombrables opportunités de mise en réseau et participer à un programme de conférences pour partager des idées novatrices et des solutions de pointe qui façonnent l’avenir des médias ».

« Offrant une plate-forme pour les journalistes, les entreprises technologiques, les créateurs de contenu, les professionnels du marketing numérique, les géants du streaming, les dirigeants du divertissement, les régulateurs et les principaux acteurs des médias, le Congrès mondial des médias facilitera l’échange de connaissances essentielles et présentera des opportunités de partenariats commerciaux pour les professionnels des médias du monde entier », rapportent ses organisateurs.

Au total, 1200 délégués, 200 patrons de presse et 150 conférenciers participent à l’évènement axé, entre autres, sur l’intelligence artificielle et données, la technologie disruptive, et les tendances et prévisions médiatiques clés.