janvier 2021 - Page 3 sur 40 - Journal du niger

Quatre personnes tuées dans un accident de la circulation à Bouaflé

Une collision entre un mini-car de transport et un véhicule de particulier a fait 28 victimes vendredi à 00h19 ( heure locale et GMT) sur la route de Bouaflé au niveau du village Abouakouassikro faisant 28 victimes dont 04 décès certains.

L’information a été donnée par le Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) dans une note d’information. Selon les pompiers, le bilan définitif de cet accident est de 28 victimes dont 04 décès certains. 

Les 24 blessés de ce drame, souligne le GSPM, ont été évacués au Centre hospitalier régional (CHR) et à l’hôpital St Joseph Moscati de Yamoussoukro. L’année 2020 s’est achevée en Côte d’Ivoire avec un total de 31 361 interventions des sapeurs-pompiers qui ont recensé 32 234 victimes dont 1097 décès.

Af’Sud : Hommage de Ramaphosa à Sibongile Khumalo

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa, a rendu hommage à la musicienne de jazz et d’opéra Sibongile Khumalo, pour son militantisme en faveur des droits humains, en particulier dans la défense des droits des artistes et des femmes du pays.Rendant hommage ce venedredi à Khumalo, décédée jeudi à l’âge de 63 ans, Ramaphosa a déclaré que le décès de la très populaire musicienne était « un moment de grande tristesse pour nous tous qui avons été fascinés et émus par la puissance, la sensualité et l’improvisation de la voix unique de Khumalo ».

« Non seulement elle était une voix incontestable sur les scènes de concerts à travers notre pays et dans le monde, mais elle était une voix de plaidoyer pour les arts du spectacle, pour les droits et la place des femmes dans notre société, et pour les droits de l’homme en général », a déclaré Ramaphosa.

Il a indiqué qu’en tant que professeur de musique, Khumalo était aussi « une voix d’instruction et d’inspiration pour les nouvelles générations d’artistes qui ont eu le privilège d’apprendre d’une interprète qui était à l’apogée de sa carrière.»

La ministre de la Culture, Nathi Mthethwa, a décrit Khumalo comme « un ambassadeur de notre héritage » et « un génie musical » qui a enchanté divers publics partout en Afrique du Sud et au-delà.

« Khumalo était une maestro musicale qui s’est donnée pour objectif de raconter l’histoire de notre peuple à travers la musique. Elle a laissé un héritage qui restera à jamais dans les annales de l’histoire », a poursuivi Mthethwa.

Khumalo, récipiendaire de la plus haute distinction culturelle du pays de l’Ordre d’Ikhamanga en 2008, était titulaire de doctorats honorifiques de l’Université de Rhodes, de l’Université d’Afrique du Sud et de l’Université de Zululand.

Santé, économie et sport au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi consacrent de larges commentaires à la campagne de vaccination, aux principales motivations des entreprises marocaines en Afrique et au CHAN-2021.+L’Economiste+ rapporte que le Roi Mohammed VI a procédé, jeudi au Palais Royal à Fès, au lancement de la campagne nationale de vaccination contre le virus de la Covid-19. A cette occasion, le Souverain a reçu la première dose du vaccin contre la Covid-19.

L’objectif étant d’immuniser toutes les composantes du peuple marocain (30 millions pour vacciner à peu près 80% de la population), de réduire puis éliminer les cas de contamination et de décès dus à l’épidémie, et de contenir la propagation du virus, dans la perspective d’un retour progressif à une vie normale. Cette campagne nationale se déroulera de façon progressive et par tranches et bénéficiera à l’ensemble des citoyens marocains et résidents de 17 ans et plus, ajoute le quotidien.

Assabah+ fait savoir que les propriétaires de hammams au niveau national ont été sommés de fermer leurs portes. Cette décision s’applique à toutes les villes sans exception. Une décision justifiée, selon les sources du quotidien, par la volonté de l’Etat de maîtriser le virus et de préserver la sécurité et la santé des citoyens.

Selon les mêmes sources, cette décision s’inscrit également dans le cadre des mesures de prévention pour maîtriser la propagation de la nouvelle souche mutée du Covid-19, récemment découverte au Royaume-Uni.

+Aujourd’hui le Maroc+ relève que les entreprises marocaines ayant choisi de s’implanter en Afrique voient en la croissance africaine une source d’opportunités. Il s’agit en effet d’un marché porteur où les potentiels de marge sont plus importants.

Pour de nombreuses entreprises, il est plus facile de s’y développer, du fait que certains services sont peu proposés voire absents du marché. De même, l’Afrique représente un relais de croissance pour les entreprises ayant atteint une taille critique sur le marché marocain. L’accès aux matières premières ou la sécurisation de l’approvisionnement constituent également des motivations guidant l’action des entreprises marocaines.

A cela s’ajoute également l’optimisation de la structure de coûts. Il s’agit là d’un des facteurs de développement les plus importants, notamment pour les entreprises de services qui sont en quête d’un coût de travail plus faible, note la publication.

Au registre sportif, +Al Massae+ écrit qu’après deux matchs frustrants contre le Togo et le Rwanda, les Lions de l’Atlas ont explosé en étrillant l’Ouganda 5-2, pour se qualifier au quart de finale du CHAN qui se joue au Cameroun jusqu’au 7 février.

En tête du groupe C, le Maroc affrontera la Zambie à Douala, ce dimanche 31 janvier. L’adversaire des Lions de l’Atlas a fini la phase de poules à la deuxième place du groupe D avec 5 points derrière la Guinée.

L’ensemble de l’effectif poursuit la préparation de ce match, sauf le latéral Abdelkrim Baadi qui continue son isolement sanitaire en raison de son infection par le Covid-19, tout en poursuivant son protocole médical.

En cas de qualification en demi-finale, les Lions de l’Atlas affronteront le Cameroun , pays hôte de la compétition, rappelle le journal.

Le président de la délégation spéciale sur les chantiers d’installation de la fibre optique

Le président de la délégation spéciale de la ville de Niamey, M. Mouctar Mamoudou a effectué,  jeudi 28 janvier 2021, une série de visites sur les chantiers d’installation de la fibre optique dans la ville de Niamey.

Cette sortie du président de la délégation spéciale de la ville de Niamey a pour objectif de constater de visu dans quelles conditions s’effectuent ces travaux de la fibre optique dans la capitale.

Dans son intervention à la fin de cette série de visites, le président de la délégation spéciale a indiqué que ‘’nous avons dit à ces sociétés que ces travaux vont être sur les règles de l’art et c’est pour cela que nous avons convié toutes les sociétés concernées, qui font ces travaux, pour qu’ensemble nous puissions nous entendre mieux pour que ces travaux se passent dans des meilleures conditions et à la satisfaction des populations’’.

Monsieur Mouctar Mamadou a noté qu’avant le début de ces chantiers ils ont eu des réunions avec les sociétés concernées.

‘’Nous voulons que toutes les conditions soient respectées’’ a-t-il martélé.

En effet, a-t-il souligné, ‘’la ville de Niamey a changé, il y’a eu énormément de réalisations grâce à la volonté du Président de la République,  et nous n’acceptons pas qu’ils aient de dégradations sur ces réalisations’’.

‘’Dans le cadre de l’amélioration de services, la fibre optique est très importante’’ a-t-il soutenu  avant d’indiquer que ‘’c’est un plus dans cette  dynamique de modernisation de notre capitale, mais nous voulons que ces travaux se passent de telle manière qu’il n’y ait pas de dégradation sur les réalisations notamment sur les traversées des routes, les pavés etc’’.

M. Mouctar Mamoudou a fait savoir qu’ils ont fait quelques observations avec les concernés  qu’après leurs poses que ‘’les routes soient réparées, les pavés replacés dans les règles de l’art’’.

‘’Nous avons recommandé d’éviter les coupures de voie et de privilégier le fonçage’’ a précisé le Président de la délégation spéciale de Niamey.

Cependant, le président dit avoir constaté que sur ‘’la route Askia Mohamed de goudel, vers la Nigelec, les travaux trainent et il faudrait que ces différents travaux s’accélèrent pour permettre la mobilité des personnes et éviter trop de désagréments dans les déplacements des populations de Niamey’’.

Notons que toutes ces séries de visites se sont déroulées en compagnie des représentants des sociétés concernées.

Source : ANP

L’OCRTIS démantèle deux réseaux de trafiquants de drogue à Niamey et Dosso

Deux grands réseaux de trafic international de drogue à haut risque démantelés par les éléments de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) à Niamey et dans la région de Dosso.

Lors d’un point de presse jeudi 28 janvier 2021, la Direction de la Police nationale a annoncé que l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) a démantelé en moins de deux semaines, deux grands réseaux de trafic international de drogue à Niamey et dans la région de Dosso.

Selon la Commissaire Ousmane Bako Nana Aichatou, Directrice adjointe du Service central de l’information, des relations publiques de la Police nationale, le premier réseau a été démantelé après plusieurs jours d’investigations sur un trafic de drogue longtemps établi entre plusieurs pays de la sous-région impliquant des personnes de nationalité nigérienne.

Pour le premier réseau :

Après plusieurs jours d’investigations sur un trafic de drogue longtemps établi entre plusieurs pays de la sous-région impliquant des personnes de nationalité nigérienne, les agents de l’OCRTIS  sont parvenus à interpeller le 13 janvier 2021, au quartier Aéroport de Niamey, un individu de nationalité nigérienne en possession de 119 briques de cannabis d’un poids de 98kg455.

Pour le second réseau :

après huit (08) semaines d’investigations à Niamey et à Dosso, l’exploitation et le recoupement de plusieurs informations concordantes ont permis l’interpellation dans la nuit du 22 au 23 Janvier 2021,  quatre (04) individus de nationalité nigérienne et de saisir 150.000 comprimés de tramadol 250 milligrammes de marque Royal, en provenance d’un pays voisin  dans un village situé à trois kilomètres de Dosso.

Les opérations ont également permis de saisir un véhicule et une dizaine de téléphones portables.

Le tramadol saisi dont la valeur marchande s’élève à plus de 150 millions de francs (150. 000 .000 f) Fcfa est destiné à l’exportation vers certains pays arabes.

En plus, 49 briques de cannabis ont été saisies le 22 janvier 2021, par les éléments de l’OCTRIS antenne de Doutchi en service à la barrière (Route Konni). La marchandise a été découverte  dissimulée dans des sacs de tourteaux dans un véhicule de transport voyageurs (HIACE 19 places).

L’OCTRIS rappel la population à plus de collaboration avec les Forces de Défense et de Sécurité pour lutter contre ce phénomène.

 

Sénégal : décès de Mourchid Iyane Thiam

Le président de la Commission national d’observation du croissant lunaire (Conacoc), Mourchid Iyane Thiam, est décédé.La presse locale qui donne l’information, précise qu’il a rendu l’âme dans la nuit de jeudi à vendredi à Dakar.

Mourchid Iyane Thiam était malade depuis quatre mois, selon l’imam Oumar Diène, Secrétaire général de l’Association des imams et oulémas du Sénégal, interrogé par Radio futurs média (Rfm).

Le variant britannique du coronavirus inquiète la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais reçus, ce vendredi à APA, mettent en exergue la détection dans le pays du variant britannique du coronavirus.« Le variant britannique détecté au Sénégal », titre le quotidien national Le Soleil, informant que ce virus est 50 à 70% plus contagieux et 30 à 40% plus létal que la souche originelle.

Pour se protéger contre cette nouvelle souche de la Covid-19, le professeur Souleymane Mboup qui a annoncé, hier jeudi à Dakar, sa détection, recommande : « Il est impératif d’appliquer scrupuleusement les mesures de prévention individuelle et collective ».

Pour Vox Populi, confronté à une 2e vague explosive et meurtrière de Covid-19, « le Sénégal chope le pire virus du corona » car, « le variant britannique, le plus virulent et le plus contagieux (est) détecté à Dakar sur un ressortissant indien ».

Nos confrères précisent que l’IRESSEF du professeur Mboup a séquencé le génotype de ce variant apparu auparavant en Gambie et détecté pour la première fois en Grande-Bretagne en décembre 2020.

« La variante britannique de la Covid-19 détectée au Sénégal-Elle est là », renchérit Libération à sa Une.

Le journal renseigne que le prélèvement, effectué depuis le 30 décembre, a livré ses secrets après le séquençage de plusieurs échantillons. « Le cas, souligne Libération, a été détecté sur la Petite-Côte, le patient déclaré guéri ».

Avec ce variant britannique, Le Quotidien parle d’«un cas grave pour le Sénégal ».

L’Observateur traite de la hausse de la létalité due au coronavirus et estime que « c’est l’hécatombe » avec 204 morts en 28 jours.

De son côté, EnQuête voit « l’université en ébullition » face à la propagation de la Covid-19 et explique : « Alors que la Covid-19 dicte sa loi, l’université est dans tous ses états ».

Pendant ce temps, Sud Quotidien consacre sa Une à l’Indice de perception de la corruption 2020 de Transparency international et note que « le Sénégal, toujours dans la zone ! »

Cela s’explique, selon le rapport, par une faible volonté politique dans la lutte contre la corruption, la mal gouvernance, l’accroissement de l’impunité.

C’est pourquoi, Birahim Seck, coordonnateur du Forum civil (section sénégalaise de Transparency international) demande « au chef de l’Etat de cesser d’entretenir une impunité affirmée et voulue sur des dossiers qui intéressent la gestion des ressources des contribuables ».

« Indice de perception de la corruption-Le Sénégal toujours dans la zone rouge », ajoute Walf Quotidien, dans lequel journal, Birahim Seck pointe la responsabilité du président Macky Sall.

Le nouvel attaché de presse de l’ambassade des USA en Côte d’Ivoire rencontre le Repprelci

Le nouvel attaché de presse de l’ambassade des États-Unis d’Amérique en Côte d’Ivoire, Taylor Tinney, a échangé jeudi à Abidjan avec les membres du bureau du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (Repprelci).

M. Taylor Tinney qui s’est rendu au siège du Repprelci, la faîtière des acteurs et entreprises de presse numérique en Côte d’Ivoire, avec son assistant Teko Folly, a dit qu’il s’agissait d’une « prise de contact » en vue d’une meilleure collaboration avec le secteur.

Le président du Repprelci, Lassina Sermé, qui avait à ses côtés plusieurs membres de son bureau, a salué cette démarche et l’intérêt marqué pour la faîtière de la presse numérique en Côte d’Ivoire, créée depuis 2006.

Sur le plan institutionnel, c’est depuis décembre 2017 que l’écosystème de la presse numérique en Côte d’Ivoire est pris en compte dans le régime juridique de la presse, a rappelé M. Sermé.

Près de 50 organes de presse numérique sont légalement constitués, aujourd’hui, sur plus de 130 sites web identifiés. Et, pour contrôler les flux d’informations en vue de réduire les fake news et manquements du code d’éthique et de déontologie, le Repprelci a créé l’Observatoire des médias numériques de Côte d’Ivoire (Omenci).

Cet observatoire, organe d’autorégulation, a pour objectif de faire le monitoring des médias numériques, de veiller au respect de l’éthique et de la déontologie,  de contribuer à une labellisation des organes de presse en ligne et d’assurer la médiation avec les usagers.

La faîtière a mis sur pied le site web www.ivoirecheck.com, avec le concours de l’Unesco, pour lutter contre les fake news (fausses nouvelles) relatives à la Covid-19. Cet un instrument, soutenu par l’institution, a permis de corriger de fausses nouvelles lors de la présidentielle du 31 octobre 2020.

Le Repprelci recherche des partenaires pour développer des projets concernant la problématique des fake news. Il projette de continuer de lutter contre les fausses informations durant les prochaines législatives prévues le 6 mars 2021.

Les fake news engendrent parfois des conflits sociaux. Dans l’optique d’amener les citoyens à éviter de tomber dans le piège des fake news, le Repprelci veut aller dans les localités impactées par les violences électorales pour sensibiliser les usagers. 

« On veut aller montrer aux populations comment éviter les fake news », a déclaré le président du Repprelci pour qui l’ignorance et le manque de discernement des citoyens sur les flux des réseaux sociaux peut les conduire à colporter des infox. 

Le secrétaire général du Repprelci, Robert Kra, en charge de la Communication, a fait savoir que 70% des fake news sont distillées sur les réseaux sociaux contre 30% pour des médias formels qui tombent dans le piège des fake news. 

Le nouvel attaché de presse de l’ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire, Taylor Tinney, a félicité le Repprelci pour ces actions, indiquant que la représentation diplomatique envisage de « soutenir les efforts » de la faîtière.

Traoré Mamadou, vice-président du Repprelci, a annoncé que l’organisation s’attèle à faire partie de « IFCN », une organisation mondiale de lutte contre les fake news basée aux États-Unis afin de détruire les infox dont le climat politique est un terreau fertile.

Le gouvernement américain accompagne l’Etat de Côte d’Ivoire dans plusieurs domaines dont les secteurs de la santé, de l’environnement, de la sécurité, de l’éducation et de la bonne gouvernance.

M. Taylor Tinney qui est à Abidjan depuis août 2020, remplace Mme Marion Wohlers, en poste depuis deux ans. Il officiait à l’ambassade des États-Unis à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC).

Hommage professionnel à feu Marcel Zadi Kessy à Abidjan

Les acteurs du secteur de l’eau et de l’énergie ont rendu jeudi un hommage à feu Marcel Zadi Kessy au siège du Groupe de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) et la Société de distribution d’eau de Côte d’Ivoire (SODECI) à Treichville, dans le Sud d’Abidjan.

M. Zadi Kessy a été Président directeur général du Groupe CIE/SODECI puis le Président des Conseils d’administration des deux sociétés. Les agents lui ont rendu des témoignages qui ont ponctué ce moment d’intenses émotions. 

A cet hommage,  étaient présents l’Association africaine de l’eau, l’Association des sociétés africaines de l’électricité, la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI,  Patronat).

Le ministère du Pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables, le ministère de l’Assainissement et de la salubrité, et le ministère de l’hydraulique étaient représentés à cet hommage professionnel. 

Des anecdotes et des témoignages poignants sur son parcours professionnel ont été faits. Décédé le 13 octobre dernier à  Abidjan, Marcel Zadi Kessy sera inhumé le 30 janvier 2021à Yacolidabouo (sud-ouest), son village natal. 

Maroc/Covid-19 : Le Roi Mohammed VI lance la campagne nationale de vaccination

Le Roi Mohammed VI a procédé, jeudi à Fès, au lancement de la campagne nationale de vaccination contre le virus de la Covid-19.A cette occasion, le Souverain a reçu la première dose du vaccin contre la COVID-19.

La campagne de vaccination sera gratuite pour l’ensemble des citoyens, l’objectif étant d’immuniser toutes les composantes du peuple marocain (30 millions pour vacciner à peu près 80% de la population), de réduire puis d’éliminer les cas de contamination et de décès dus à l’épidémie, et de contenir la propagation du virus, dans la perspective d’un retour progressif à une vie normale.

Elle se déroulera de façon progressive et par tranches et bénéficiera à l’ensemble des citoyens marocains et résidents de 17 ans et plus.

Le Maroc a commandé des quantités de vaccins suffisantes pour 33 millions de personnes (66 millions de doses). Il avait déjà reçu un premier lot du vaccin britannique AstraZeneca, fabriqué en Inde et une première livraison du vaccin chinois Sinopharm.

Selon les autorités sanitaires du Royaume, la campagne nationale de vaccination devra cibler, de façon progressive, les personnes les plus exposées à l’infection, à savoir les personnes âgées de 75 ans et plus, les professionnels de la santé (40 ans et plus), les autorités publiques, les militaires et les enseignants (à partir de 45 ans).

L’opération de vaccination bénéficiera, dans une première étape, aux régions qui enregistrent des taux d’infection élevés. Pour ce faire, un lourd dispositif est mobilisé pour réussir cette opération de grande envergure.