Morts Archives - Journal du niger

Niger : déjà 52 morts enregistrés dans les inondations

Depuis le début du mois de juillet, des pluies torrentielles entraînent des noyades et l’effondrement de maisons dans le pays.

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Le Niger enregistre 52 morts des inondations depuis le mois de juillet 2022. Le bilan s’alourdi au fur avec le temps. C’est du moins ce que rapporte l’Agence nigérienne de presse (officielle).

« Un nouveau bilan établi par la direction générale de la protection civile fait état de 52 personnes décédées à la suite de noyade et d’effondrement de leurs habitats », a indiqué le média.

« Ces inondations ont aussi fait 85 690 personnes sinistrées pour 9 997 ménages impactés sur toute l’étendue du territoire du Niger à la date du lundi 22 août 2022 », a précisé la même source. Soixante-trois (63) autres personnes ont aussi été blessées et d’importants dégâts matériels enregistrés, dont une vingtaine de classes détruites par les eaux.

Un précédent bilan publié le 19 août par la direction générale de la protection civile faisait état de 33 personnes tuées et 46 autres blessées dans les inondations. Depuis le début du mois de juillet, le Niger enregistre des fortes pluies atteignant jusqu’à deux cent (200) millimètres par endroit. Dans de nombreux départements du pays, ces pluies ont provoqué des noyades et l’effondrement de maisons.

Niger : 33 morts et 46 blessés dans les inondations

Depuis le début du mois de juillet 2022, le Niger enregistre des fortes pluies atteignant jusqu’à deux cent (200) millimètres par endroit.

 

Trente-trois (33) personnes ont été tuées et quarante-six (46) autres blessées dans des inondations, depuis le début de juillet. L’annonce a été faite par les services de la protection civile.

« Les inondations enregistrées depuis le début de la saison pluvieuse ont causé au total la mort de 33 personnes et blessé 46 autres », a indiqué la direction de la protection civile dans un communiqué publié jeudi.

Selon la même source, ce sont au total soixante-neuf (69) mille 256 personnes qui ont été affectées par les inondations à la date du 16 août courant. En plus des décès, plusieurs dégâts matériels ont aussi été enregistrés.

Un précédent bilan publié le 21 juillet faisait état de 24 personnes tuées et 36 autres blessées. Depuis le début du mois de juillet, le Niger enregistre des fortes pluies atteignant jusqu’à deux cent (200) millimètres par endroit.

Dans de nombreux départements du pays, ces pluies ont provoqué des effondrements de maisons et des noyades. Pour rappel, selon le bilan bureau de coordination de l’action humanitaire de l’ONU (OCHA), 2021 le Niger a aussi enregistré des inondations qui ont affecté plus de 250 mille personnes, dont 77 tuées.

Niger-inondations : 65. 864 sinistrés enregistrés

Le bilan des inondations causées par les pluies torrentielles depuis le début de la campagne agricole est en hausse au Niger.

 

La Direction Générale de la protection civile (DGPC) a livré un nouveau bilan à la date du 14 août 2022, a rapporté lundi l’Agence Nigérienne de Presse (ANP). Ce nouveau bilan fait état de 31 morts, 43 blessés et 65. 864 sinistrés. Un chiffre à la hausse par rapport au bilan annoncé il y a quelques semaines.

Au total, 608 animaux sont morts des inondations qui ont également détruits 13, 7 tonnes d’aliments sur l’ensemble du pays.
A noter que le bilan en date du 27 juillet 2022, faisait état de 21 décès, 54. 655 sinistrés et 36 blessés.

Niger-pluies : 24 morts et plus de 50.000 sinistrés depuis juin

De fortes pluies qui se sont abattues au Niger depuis juin 2022, ont fait 24 morts, moins 36 blessés et plus de 50.000 sinistrés.

 

Depuis le mois de juin, de fortes pluies qui se sont abattues au Niger, ont fait de nombreuses victimes. Selon le bilan officiel publié le 04 août, 24 personnes ont perdu la vie, au moins 36 blessés et plus de 23.600 sinistrés.

Un précédent bilan officiel du 20 juillet faisait état de 15 morts et plus de 23.600 sinistrés. Les régions les plus touchées sont celles de Zinder (centre-est), Maradi (centre-sud) et Diffa (sud-est). La capitale, Niamey, habituellement davantage frappée par les pluies et les inondations, est pour le moment épargnée. Dans les zones affectées, les pluies ont détruit ou endommagé plus de 5800 habitations et provoqué l’effondrement de classes, de centres de soins médicaux, de greniers à céréales et de boutiques.

En dépit de sa courte durée de trois à quatre mois – entre juin et août ou septembre – la saison des pluies est devenue meurtrière ces dernières années, y compris dans les zones désertiques du nord. En 2021, les fortes précipitations avaient causé la mort d’au moins 70 personnes et fait plus de 200.000 sinistrés, selon les autorités et l’ONU. Dans ce pays pauvre et au climat très sec, les mauvaises récoltes sont habituellement dues à la sécheresse. «En moyenne ce sont 40 milliards de FCFA (environ 60 millions d’euros) que le Niger perd» chaque année «à cause des inondations et des sécheresses», selon Laouan Magagi.

Niger : deux morts et plusieurs blessés dans un accident

L’accident s’est produit entre un mini-bus et un véhicule de Barkhane. C’est le deuxième accident mortel impliquant un véhicule de la force française en une semaine.

 

Au moins deux personnes ont été tuées et plusieurs autres ont été blessées, mardi, dans un accident de la route entre un mini-bus de transport et un véhicule de la force française Barkhane dans la commune de Karma, à une quarantaine de kilomètres de la capitale Niamey.

« Un accident a eu lieu ce jour 26/07/2022 aux environs de 07h 15 mn dans la descente de Boubon entre un véhicule Hiace de transport en commun et un véhicule de Barkhane », a rapporté la journaliste Samira Sabou sur sa page Facebook, annonçant un bilan de « deux morts sur place et plusieurs blessés évacués à l’hôpital de Niamey ».

La localité de Boubon est située dans la commune de Karma, à une quarantaine de kilomètres de Niamey.

Contacté par l’Agence Anadolu, le maire de Karma Abass Diallo a confirmé l’accident et le bilan de deux morts et plusieurs blessés.

C’est le deuxième accident mortel impliquant un véhicule de Barkhane en une semaine au Niger.

Mardi dernier, un autre véhicule de Barkhane a « accidentellement » tué une personne dans la ville nigérienne d’Ayorou, située près de la frontière malienne.

Dans un communiqué, Barkhane a déploré l’accident et a annoncé qu’elle « coopère avec les autorités nigériennes pour déterminer les causes exactes de cet accident ».

Depuis plusieurs semaines, des camions et véhicules chargés de matériels militaires destinés à la force française Barkhane arrivent au Niger, en provenance du Mali que les forces françaises et européennes ont décidé de quitter suite à un désaccord avec les autorités de la transition maliennes.

Le 27 novembre dernier, des jeunes de la ville de Téra située près de la frontière du Burkina Faso, avaient manifesté pour empêcher le passage d’un convoi de Barkhane en provenance de la Côte d’Ivoire pour Gao dans le nord du Mali.

La manifestation a été dispersée par la force.

Selon un bilan publié par le gouvernement nigérien, au moins trois manifestants avaient été tués, alors que dix-sept autres et sept gendarmes nigériens accompagnant le convoi de Barkhane, avaient été blessés.

Après une enquête qui n’a pas permis de déterminer les circonstances de la mort des manifestants, les autorités nigériennes et françaises ont convenu, en mai dernier, de dédommager les familles des trois manifestants tués et des blessés.

Niger : 15 morts après des fortes pluies

Au moins quinze personnes ont été tuées suite aux fortes pluies enregistrées depuis le début du mois en cours au Niger, ont annoncé les services de la protection civile.

 

« Les statistiques de la Direction générale de la protection font état de 2 237 ménages, soit 18 921 personnes victimes d’intempéries et quinze pertes en vies humaines à la date du 19 juillet 2022 », a indiqué le Centre opérationnel de veille, d’alerte et de conduite de crises (COVACC), dans une note d’information publiée jeudi.

La même source a appelé les populations au respect des consignes suivantes : éviter de s’abriter dans des maisons en ruine, de traverser des rivières en crue, de se baigner dans des cours d’eau et de quitter les zones potentiellement inondables.

Depuis le début du mois en cours, le Niger enregistre de fortes pluies, avec une pluviométrie dépassant les 200 millimètres par endroit. Dans de nombreux départements du Niger, les fortes pluies enregistrées ont causé des noyades, l’effondrement de maisons et même coupé des axes routiers.

En 2021, le Niger a aussi enregistré des fortes pluies qui ont affecté plus de 250 mille personnes, dont 77 sont mortes, et entraîné d’importants dégâts matériels.

Niger : une dizaine de morts et 16 000 sinistrés après des pluies diluviennes

Des communes de plusieurs régions du Niger connaissent actuellement des inondations, en raison des fortes précipitations qui s’abattent depuis plusieurs jours, en ce début de saison des pluies.

 

Dans son dernier bilan, la direction générale de la protection civile a recensé une dizaine de morts, plus de 16 000 sinistrés, et des nombreux dégâts matériels. Les régions les plus touchées sont celles de Zinder, Tillabéri et Maradi, ainsi que Diffa et Tahoua.

Des pluies exceptionnelles, dans des délais très courts, combinées à la fragilité de certaines infrastructures et à l’occupation de zones inondables, ont provoqué ces dégâts, selon le directeur général de la protection civile, le colonel major Bako Boubacar.

Dans la région de Zinder, la commune de Hamdara est l’une des plus touchées. Les images montrent des maisons effondrées, et des personnes relogées dans des écoles.

« C’est un village qui est situé sur une pente, explique son maire, Oumarou Nouhou. Donc l’eau descend d’abord sur une colline et traverse les villages avant de se déverser dans les mares. Dans son passage, cela cause des dégâts, notamment l’effondrement des maisons, ainsi que des dégâts sur les installations électriques et hydrauliques. »

« D’autres précipitations sont attendues, dans les prochains jours. Les prévisions annoncent une saison des pluies très humide : « Selon nous, cette situation va continuer, on aura d’autres séquences de fortes pluies çà et là sur le pays, explique Katiellou Gaptia Lawan, directeur de la météorologie nationale. On a eu beaucoup d’inondations sur l’année passée, également, et on est en train d’assister à une situation où la pluviométrie en termes de cumul augmente, mais le nombre de jours de pluie diminue. Ce qui rend les choses beaucoup plus intenses. »

L’évaluation des dégâts se poursuit. La direction générale de la protection civile affirme que des plans de réponse se mettent en place. Les autorités appellent à la vigilance et à quitter les zones potentiellement inondables. En cas de danger, les autorités demandent de se mettre en lieu sûr et d’appeler le 18.

Niger : 700 civils et 500 militaires morts depuis 2013

Ces chiffres sont été donnés par le ministre nigérien de la Défense nationale, Alkassoum Indatou samedi 28 mai 2022.

 

Le ministre nigérien de la Défense nationale Alkassoum Indatou a déclaré, samedi, qu’environ sept cent (700) civils et cinq cent (500) militaires ont été tués dans des « attaques terroristes » au Niger, depuis 2013, a rapporté l’Agence nigérienne de presse (ANP), officielle.
Il a fait cette déclaration lors d’une interpellation à l’Assemblée nationale où un député qui lui a demandé si le gouvernement nigérien dispose d’un « plan de sortie définitive » de la crise sécuritaire que connaît le Niger.

« Les Nigériens font face à une guerre qui leur est imposée depuis plus d’une dizaine d’années », a indiqué le ministre Alkassoum Indatou.
« Ce terrorisme est responsable de près de 1200 pertes en vies humaines dont 700 civils et 500 militaires et a un coup social énorme avec des milliers des déplacés, la famine, l’aggravation de la pauvreté, la privation des droits d’aller et venir, nous amenant à des prorogations récurrentes d’états d’urgence et aussi à des classifications de nos routiers verts en axes dits conditionnés et déclarés rouges », a-t-il expliqué.

Les premières « attaques terroristes » ont été enregistrées en mai 2013 au Niger, avec deux attentats suicides contre une caserne militaire et un site d’exploitation minière dans la région d’Agadez, dans le nord du pays, près des frontières algérienne et libyenne.
La situation s’est particulièrement dégradée à partir de 2015 avec les premières attaques de Boko Haram à Diffa, dans le sud-est du Niger, près de la frontière avec le Nigeria.

En 2017 les régions de Tahoua et Tillaberi, frontalières du Mali, ont basculé dans l’insécurité avec des attaques attribuées à des « groupes terroristes » opérant dans le nord du Mali.

Niger: au moins 19 morts dans l’attaque d’un bus qui revenait de Ouagadougou

L’attaque du bus en provenance de Ouagadougou a eu lieu en territoire nigérien à quelques kilomètres du chef-lieu de la préfecture de Téra.

 

Un bus d’une compagnie nigérienne de transport a été attaqué, ce mercredi 16 mars 2022, par un groupe de jihadistes lourdement armés sur l’axe Dori-Téra. Au moins 19 passagers, dont le chauffeur du bus qui revenait de Ouagadougou, ont été tués. Le ministre de l’Intérieur du Niger a confirmé l’attaque meurtrière. Les blessés ont été admis à l’hôpital de la ville de Téra toute proche.

L’attaque du bus en provenance de Ouagadougou a eu lieu en territoire nigérien à quelques kilomètres du chef-lieu de la préfecture de Téra. Dans un premier temps, les jihadistes, à bord de plusieurs dizaines de motos, selon des témoins, ont intercepté un premier bus, non loin du village de Fono.

Après des fouilles et des vérifications d’identité, le bus et ses passagers ont été autorisés à continuer leur route en direction de Téra. Mais cette chance extraordinaire n’a pas souri à la cinquantaine de passagers du second bus violemment attaqué par les terroristes. Au moins 19 personnes au moins ont été massacrées et le bus incendié. Certains passagers qui ont réussi à s’échapper sont toujours portés disparus, quant aux blessés trouvés par l’armée, ils ont été admis à l’hôpital de Téra.

Ces dernières semaines, on constate une recrudescence de la violence terroriste dans la zone des trois frontières, notamment les préfectures de Téra, Bankilaré et Torodi. Cette insécurité va de la pose d’engins explosifs sur des axes routiers aux massacres des populations civiles. Selon le secrétaire général de l’Organisation patronale des gares modernes du Niger, s’il n’y a pas de sécurité sur les tronçons frontaliers avec le Burkina Faso, « les affaires de compagnies de transport vont s’arrêter ».

Une lueur d’espoir vient de la coopération européenne. En effet, selon le président Mohamed Bazoum, la Belgique va construire une grande caserne militaire à Torodi à destination de l’armée nigérienne.

 

Une dizaine de morts et de nombreux militaires disparus dans une attaque à l’Ouest du Niger

Une patrouille d’une cinquantaine de militaires environ  est tombée ce mercredi dans une embuscade tendue par des individus lourdement armés.

 Dix-sept militaires nigériens ont été tués ce 15 mai dans une embuscade non loin du village de Tongo Tongo, dans la région de Tillabéri. Onze autres soldats sont portées disparus.

L’attaque n’a pas encore revendiquée. L’on sait toutefois que les militaires attaqué faisaient partir de l’opération Dongo. Ils s’étaient lancé lundi à la poursuite des auteurs de l’attaque de la prison de haute sécurité de Koutoukalé.

 Lors de cette poursuite, indique Radio France internationale, un véhicule militaire a sauté sur un engin explosif et le reste de la compagnie arrivée en renfort est tombé dans une embuscade minutieusement préparée. Ce, sans possibilité de lancer des appels d’urgence, plusieurs antennes relais téléphoniques ayant été saccagées quelques semaines auparavant.